Selon Maïté Hubert Ntoumo de l'Ugtg, il est indispensable de rappeler les originies du 1er mai et de faire connaître l'ensemble des luttes syndicales en Guadeloupe.
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00:00 Bonjour, alors je voudrais nous assembler à la première mai,
00:04 première mai qui c'est le premier jour à mois de mai,
00:07 et mois de mai qui c'est un jour essentiel pour conscientisation à travailler et conscientisation à pep,
00:13 parce qu'elles nous savent que c'est des travailleurs du vent, du vent, qui grouillent,
00:16 et qui permettent, je veux dire, qu'elles nous obtiennent un certain nombre d'avancées sociales.
00:20 Ça veut dire qu'elles ne savent toujours pas où la lutte, qu'elles nous obtiennent des avancées sociales.
00:24 Et dans le contexte dans lequel nous sommes là, particulièrement,
00:27 elles vont remis en cause totale des droits et des libertés,
00:31 c'est fondamental qu'elles travaillent en conscience des ça,
00:33 et s'assembler alentour à l'organisation syndicale, justement,
00:37 pour qu'elles puissent continuer à vendiquer leurs droits.
00:39 Jean Delagnon, série de camarades qui ont le droit, tout simplement, pour réclamer leurs droits,
00:43 pour réclamer qu'ils respectent le code du travail,
00:45 pour réclamer qu'ils ont appliqué la Convention collective à Guadeloupe,
00:49 d'avoir, comme le patronat Jean Delagnon, volonté manifeste,
00:52 de faire disparaître toute convention collective de Guadeloupe,
00:56 pour qu'elles puissent adhérer, justement, à des organisations en France,
00:59 et pour faire en sorte que les syndicats guadeloupes disparaissent.
01:02 Donc face à ça, il faut absolument que nous nous vésions,
01:05 et que nous soyons conscients que si on ne veut pas être guadeloupeux,
01:08 si on ne veut pas être agroumé, c'est le syndicat qui doit disparaître.
01:11 Et si le syndicat disparaît, c'est les droits et les libertés qui doivent disparaître.
01:14 Nous devons voir, dans la combat qu'elles nous ont mené,
01:18 contre l'obligation vaccinale et le pass sanitaire,
01:20 pour la réintégration, en qui je reste que l'État,
01:23 laisser les camarades dans précarité, dans misère, dans souffrance,
01:27 tout ça parce que, ils étaient caprichons,
01:29 ils l'ont imposé, on piquait,
01:31 on piquait, qui partait bon finalement pour santé,
01:33 ils ont reconnu ça.
01:34 Alors oui, Jodhla, il fallait réintégrer les camarades,
01:37 mais dans quelles conditions et qui genre ?
01:39 Est-ce qu'ils devaient réintégrer justement,
01:41 tout ce qu'ils subissent ?
01:43 Est-ce qu'ils devaient payer tout le salaire ?
01:45 Donc c'est pour ça que nous avons dit, "Ca qui en veux, pas en valent".
01:48 Face à un État colonial aussi méprisant,
01:50 face à un État colonial, qui Jodhla,
01:52 qui a mis en place une véritable dictature,
01:54 et qui a veillé en France, en France,
01:56 en France, en France, en France, en France, en France,
01:57 et qui a ignoré revendications,
01:58 après le français, en l'arrivée là,
02:00 contre la réforme des retraites,
02:01 c'est un essentiel, Jodhla,
02:02 que nous tous présents, et que vous démontrez,
02:04 que c'est que par la lutte, que nous obtiennons une satisfaction,
02:07 pour ne pas juste nous laguer en maille, au contraire.
02:10 Il faut nous assembler, il faut nous fédérer,
02:11 il faut s'en souvenir, il faut nous assembler en masse,
02:13 en masse pour montrer que de toutes les manières,
02:15 nous pouvons nous laguer, et nous pouvons continuer de nous léger,
02:17 jusqu'à ce qu'elles répondent à toutes nos revendications.