RTG : les travailleurs exigent la levée de la suspension de Fana Soumah

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Transcription
00:00 Général ! Général ! Général !
00:23 C'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, merci, merci.
00:32 Laissez-le, laissez-le, laissez-le, laissez-le, laissez-le, laissez-le.
00:35 Rappelle, j'ai un gars qui va te le dire.
00:37 [Brouhaha]
00:59 [Brouhaha]
01:09 [Brouhaha]
01:35 Venez, venez, venez, venez.
01:39 [Brouhaha]
01:44 Caméraman, salut !
01:45 Salut !
01:46 Caméraman, salut !
01:47 Salut !
01:48 Merci pour votre présence.
01:49 Merci.
01:50 Merci.
01:51 [Brouhaha]
02:20 On a fait la confiance.
02:21 On a amené des mouvements ensemble.
02:24 On a fait la pluie et le beau temps ensemble.
02:27 Vous savez mieux que nous que personne ne peut nous effrayer.
02:30 Nous, on s'en fout d'occuper un poste ou qu'on nous enlève un poste, c'est pas notre problème.
02:34 Notre souci est de mettre en confiance les travailleurs que vous êtes pour nous mettre dans un cadre idéal de travail.
02:42 Alors, nous allons porter votre voix et sachez tout simplement qu'on ne va jamais vous trahir.
02:47 Merci, bravo.
02:50 [Brouhaha]
02:59 Caméraman, salut !
03:00 Salut !
03:01 Caméraman, salut !
03:02 Salut !
03:03 Est-ce qu'on a encore de l'énergie ?
03:05 Oui !
03:06 Est-ce qu'on a encore de l'énergie ?
03:09 Oui !
03:10 J'ai dit que cette journée nous est dédiée.
03:14 C'est d'autres journées.
03:15 Vendredi, c'est moi !
03:17 Alors, vous avez l'honneur, c'est notre vendredi.
03:22 Ce que nous vous demandons, c'est de garder la sérénité, c'est de rester calme.
03:30 Nous vous remercions de votre niveau de responsabilité élevé.
03:35 Les édifices que nous voyons nous appartiennent tous.
03:39 La Guinée est à nous.
03:41 Je vous ai dit tout à l'heure, les engins qui sont là ne nous appartiennent pas.
03:46 Restons nous-mêmes.
03:48 Nous ne sommes pas des enfants de la rue.
03:51 Nous sommes chez nous, nous sommes en famille.
03:53 Nous venons rencontrer Madame la Ministre.
03:56 Depuis le matin, nous avons dit que le cabinet a fait ce qu'il pouvait.
04:02 Toute la journée d'hier, Monsieur le Secrétaire Général, Madame la Chef de Cabinet ont passé leur temps à Coloma.
04:10 Jusqu'à après le journal.
04:13 Alors, c'est pour vous dire que nous n'avons pas de pour parler aujourd'hui avec le cabinet.
04:19 C'est Madame qui nous reçoit.
04:22 Nous sortons, nous ne sommes pas satisfaits, nous vous le dirons.
04:28 Le premier point, il faut qu'on partage avec vous, c'est le retrait de la suspension.
04:38 Le deuxième point, il y aura le dialogue, on verra ce qu'il faut et nous n'allons pas trop vite en besoin.
04:48 On lève la suspension, nous revenons vers vous, vous dire quelle est la conduite à tenir pour la suite.
04:57 Nous n'allons pas avec mi-point, trois points, cinq points, nous avons les deux points.
05:02 Nous sommes des intellectuels, nous nous saluons votre maturité depuis le matin.
05:06 Personne ne peut dire que vous l'avez agressé.
05:10 Entre nous, gardons la sérénité, restons nous-mêmes, nous ne sommes pas les enfants de la rue.
05:15 Laissez-nous aller rencontrer Madame la Ministre, pas Monsieur le Secrétaire Général, pas Madame la Chef de Cabinet.
05:21 Je vous remercie.
05:24 (Brouhaha)

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