Tourisme: "Le plaisir a un coût. Le consommateur est prêt à le payer, à partir du moment où il sait qu'il en a pour son argent" affirme Stéphane Manigold

  • l’année dernière
Malgré l'inflation, les week-ends prolongés du mois de mai sont fructueux pour le secteur du tourisme. Pour Didier Arino (cabinet Protourisme), "la météorologie impacte plus défavorablement la fréquentation touristique que l'inflation".

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Transcription
00:00 Il y a des arbitrages qui sont faits, on le sent, mais il y a des arbitrages aussi qui se font entre le ratio prix-plaisir.
00:05 Quand vous allez au restaurant, ce sont des petits investissements.
00:08 On ne parle pas d'investissement d'une voiture qui est ou de l'immobilier.
00:11 On parle de plaisir, mais ce plaisir, il a un coût.
00:14 Le consommateur est prêt à le payer à partir du moment où il sait qu'il en a pour son argent.
00:18 Quand il sait qu'il en a pour son argent, il se fait plaisir.
00:20 Et d'ailleurs, on le voit.
00:21 Les restaurants qui aujourd'hui pratiquent de la transparence, du fait maison, du local, eh bien, eux, ils sont pleins.
00:27 Ceux qui ont de vraies difficultés à la fois dans le recrutement et dans le taux de remplissage de leur établissement
00:32 sont aussi ceux qui ont des cartes à rallonge et qui sont aussi des pégeats touristes.

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