Face à face tendu entre Apolline de Malherbe et Michel-Edouard Leclerc sur BFMTV

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00:00 il y a une addiction et quand on est dans une société stressée, on va chercher un peu d'amour dans la bouffe, dans le snacking, chez McDo, avec les enfants, etc.
00:12 Donc ce n'est pas sain, on est bien d'accord, ce n'est pas sain de le faire par répétition.
00:16 Donc aujourd'hui, il y a un débat au Sénat pour savoir si on doit taxer tout ça parce que c'est mauvais pour le diabète.
00:22 Moi, je trouve que déjà la première chose à faire, c'est l'éducation des consommateurs, l'éducation des foyers.
00:27 Mais la deuxième chose... - Mais là, vous vous êtes un peu, quand même, vous êtes jugé parti parce qu'en réalité, ça vous arrange aussi que ces volumes augmentent.
00:35 - Non, non, non, non, moi, mes enfants, je ne les ai pas nourris au Nutella et au Coca. - Non, vos enfants, non, mais vos clients, oui.
00:40 - Je veux dire par là que je ne suis pas un militant. Le client, ce n'est pas moi qui vais le censurer, ce n'est pas moi qui vais vous dire ce que vous allez manger.
00:45 Non, mais par contre, je peux vous mettre le Nutri-Score. Nous sommes, les Leclerc, un militant de cet affichage qui vous dit,
00:52 avec des étiquettes qui vont du jaune au rouge ou du vert au rouge, qui vous dit le degré de sel, de sucre.
01:01 Et donc ça, c'est important. L'éducation du client permet de temps en temps de demander de manger une fraise taïgada ou des bonbons Haribo ou des bonbons Ferrero.
01:12 - Mais Michel est dans Leclerc. - Je ne vais pas être censeur.

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