• l’année dernière
La Promesa 2023 Capitulo 100

Category

📺
TV
Transcription
00:00 [Musique]
00:05 Ce n'est pas mon intérêt de m'envergurer, Madame.
00:08 Alors ?
00:09 Partie de la cause de laquelle tu parles est aussi ma faute.
00:13 Je suis le père de la créature qui attend la Seigneure d'Ar.
00:18 Madame, on s'est bien amusé, mais on ne peut pas se faire la tête, ni à M. Castillo, ni à moi.
00:23 Autre chose que de ne pas nous avoir laissé porter,
00:27 pour le petit délire de la viande.
00:30 Tu ne t'imagines pas les fois où j'ai rêvé de donner à Marie et de demander qu'elle se marie avec moi.
00:34 Je l'ai toujours aimé et je n'ai jamais eu l'intention de lui dire.
00:37 Salvador llegó, s'est amouré,
00:40 et sa chance a été que Marie lui ait répondu.
00:42 Une situation cruelle dans laquelle tu te trouves.
00:44 C'est un horreur, Mauro.
00:46 Si je n'avais pas décidé d'intervenir devant la Seigneure Marquésa,
00:51 ce soir, vous auriez été laissé dans la rue.
00:54 Et vous ?
00:56 Ou vous voulez me convaincre que c'est aussi le meilleur pour vous ?
01:00 C'est le plus important.
01:02 Pourquoi vous avez-vous fait ces précautions avec M. Gregorio ?
01:05 Simone, ce n'est pas que je suis une mauvaise personne.
01:07 Je ne le connais pas.
01:09 On ne s'est jamais traité.
01:11 Je comprends.
01:12 Mais vous devez aussi comprendre,
01:15 qu'il faut se prendre en charge des conséquences de ses actes,
01:20 même si ce sont irrémédiables.
01:22 Tu as raison, Simone.
01:24 Mais ça ne le fait pas plus facile.
01:26 Je ne veux pas que vous me dites rien,
01:28 mais que vous fassiez quelque chose.
01:29 Comme m'autoriser à aller à Cádiz,
01:31 voir le palais et connaître la situation.
01:34 D'accord.
01:35 Organisez le voyage et voyez quand vous le considérez opportun.
01:38 J'ai investigé cette femme,
01:40 la marronnette de Grazalema,
01:42 comme vous m'avez dit quand vous avez sauvé son héritage.
01:45 Je ne sais pas si vous aimeriez le savoir.
01:48 Je la connais.
01:49 Si vous n'êtes pas familier,
01:51 votre nom ne vous appartient pas,
01:53 c'est parce que vous avez été connu par un autre nom.
01:56 Qu'avez-vous dit ?
01:57 Qu'il t'avait manipulé, Manuel.
01:59 De mon point de vue, il t'avait créé des souvenirs faux,
02:02 plus à son convenance,
02:04 et très différents de ce que tu aurais pu t'en souvenir.
02:07 Quelle est la plus grande preuve d'amour
02:09 que celle de se sacrifier au bénéfice de l'autre ?
02:12 La question est, monsieur, si un bon fin
02:15 légitime ou un menteur.
02:18 Surtout parce que celui qui ment décide.
02:20 Et avec quel droit se décide
02:22 ce qui est bon et ce qui est mauvais pour l'autre ?
02:24 Pourquoi veux-tu partir ?
02:26 Tu ne te souviens pas de la fin de notre histoire ?
02:29 Tu ne te soucies pas de ta souffrance ?
02:31 Que se passe-t-il de la mienne ?
02:33 Pourquoi as-tu fait autant d'efforts
02:38 à enlever de mes souvenirs tout ce qui avait à voir avec l'aviation ?
02:40 Parce que c'était ce que tu voulais, Manuel.
02:42 Et chaque jour, tu avais plus peur de voler.
02:45 Quand on a parlé de former une famille,
02:47 tu as décidé de le laisser.
02:49 Je ne crois pas.
02:50 C'est la vérité.
02:51 Tu l'as choisi, personne ne l'a fait.
02:52 Quelles autres choses as-tu cachées, Gimena ?
02:54 Je ne sais pas ce que tu veux dire.
02:55 Dis-moi, quelles autres choses as-tu cachées ?
02:56 Rien !
02:57 Je ne sais pas comment le garçon s'est connu,
02:59 ni ce qu'il a fait pour mériter un tiers de l'héritage.
03:02 Mais ce que je sais, c'est que cette femme
03:04 ne peut pas entrer dans cette maison sans aucun concept.
03:06 Mais pourquoi ? Qui est-ce ?
03:08 Je vous en prie, monsieur.
03:10 Mais une visite vient de venir.
03:12 Permettez-moi de vous présenter
03:14 la dame Elisa, la baronne de Grazalema,
03:16 et notre invitée à la promesse.
03:19 Mon mari Alonso, le marquis de Lujan.
03:23 J'ai adoré.
03:25 Alonso, Alonso, Alonso !
03:27 Ça fait tellement longtemps !
03:30 Quelle joie de te voir de nouveau.
03:32 Vous vous connaissez ?
03:35 Oui.
03:37 Je suis Elisa.
03:40 Je suis la baronne de Grazalema.
03:42 Je suis la baronne de Lujan.
03:44 Je suis la baronne de Grazalema.
03:46 Je suis la baronne de Lujan.
03:48 Je suis la baronne de Grazalema.
03:50 Je suis la baronne de Lujan.
03:52 Je suis la baronne de Lujan.
03:54 Je suis la baronne de Lujan.
03:56 Je suis la baronne de Lujan.
03:58 Vous vous connaissez ?
04:00 Pas vraiment.
04:01 Ne sois pas si discret, Alonso.
04:03 Ça fait combien de temps qu'on ne se voit pas ?
04:05 Je ne vous en rappelle pas, vraiment.
04:07 Pas vraiment.
04:08 Mon mari et moi nous avons connu
04:11 depuis que nous étions deux jeunes fous.
04:13 Beaucoup plus tôt que je me devienne
04:15 la baronne de Grazalema.
04:17 À l'époque, je m'appelais Elisa de la Vega.
04:20 À quelle âge avions-nous ?
04:24 20 ans ?
04:25 Oui, plus ou moins.
04:27 Vous connaissez mon frère, le capitaine de la mata ?
04:30 Non.
04:31 Nous n'avons pas eu le plaisir de nous présenter.
04:34 Enchantée, capitaine.
04:36 Le plaisir est mien.
04:38 Et nous avons-nous rencontré
04:40 à une autre occasion ?
04:42 Peut-être que vous m'avez vue
04:44 à une fête ou à une inauguration.
04:46 Je suis très prête à ne pas me perdre une.
04:49 La vérité est que
04:53 je me sentais plus comme une solitaire.
04:55 Même si vous ne me faites pas confiance.
04:57 Je suis sûre que c'est simplement
04:59 parce que c'est un homme très commun.
05:01 Ou peut-être que ça vous a l'air
05:03 parce que votre mari vous a parlé de moi.
05:05 Non.
05:08 Non, il ne m'a jamais parlé de vous.
05:10 Je le doute.
05:12 Parce qu'avant, nous étions très amis.
05:15 Tu te souviens de nos voyages
05:17 dans le parc de la Real ?
05:18 Tu étais le fils d'un marquès,
05:20 mais qui m'avait dit
05:21 que je finirais en tant que baronne ?
05:23 Elle était seulement une fille
05:25 qui rêvait et qui voulait
05:27 profiter de la vie.
05:29 Et je crois que nous la profitons.
05:31 Pourquoi ne pas passer au salon ?
05:35 Je suis sûre que vous êtes très fatiguée
05:37 après un voyage si long.
05:39 Par ici, s'il vous plaît.
05:42 Gregorio,
05:44 préparez un réfrigérateur
05:45 pour la madame baronne.
05:47 [Musique]
05:57 [Musique]
06:06 [Musique]
06:14 [Musique]
06:26 [Musique]
06:36 [Musique]
06:49 [Musique]
06:56 [Musique]
07:06 [Musique]
07:17 [Musique]
07:23 Je crois que c'était à la fête
07:29 du gant de Huelva.
07:30 Tu te souviens, Alonso ?
07:31 Non, c'est vrai.
07:32 Ça fait des années.
07:34 Je me souviens comme si c'était hier.
07:37 Son mari s'est engagé
07:39 à me donner un cheval.
07:41 Ah, oui ?
07:42 Il disait qu'il voulait
07:44 une jague jolie et jolie comme moi.
07:47 Bon, je ne sais pas maintenant,
07:50 mais à l'époque,
07:51 il avait tous ces détails
07:53 si généreux.
07:54 Non.
07:55 La générosité
07:57 n'est pas sa force.
07:58 Peut-être parce que
08:00 nous aimons son type, capitaine.
08:02 Où alliez-vous ?
08:05 Ah, oui,
08:06 à la fête du gant.
08:07 Nous allions dans la fête
08:09 quand Alonso a vu
08:11 une sanglée inglaise si belle.
08:13 Tu as approché le traiteur
08:15 et tu l'as acheté
08:16 sans même lui demander le prix.
08:18 Tu te souviens ?
08:19 Le traiteur ne nous donnait pas de crédit.
08:21 Mais Alonso ne gérait pas
08:23 les liquides qu'il aimait.
08:25 Et il lui a dit
08:26 de le tromper.
08:27 Son père allait le lendemain
08:29 le payer.
08:30 Vous vous imaginez ?
08:31 Comme si c'était
08:32 un cacahuètes de garras.
08:33 Bon, vous imaginez
08:34 ce que l'homme lui a dit.
08:36 Non.
08:37 Surprends-nous.
08:39 Bien que non, évidemment.
08:41 Il n'y avait pas de l'eau
08:43 qui sortait du cacahuètes.
08:45 Il y a longtemps.
08:48 Que se passe-t-il ?
08:50 Il a longtemps été enceint.
08:52 Oui, il m'a laissé.
08:54 Je le manque.
08:56 Il ne sait pas
08:58 combien il a de chance
08:59 de pouvoir s'amuser
09:00 avec son mari.
09:01 Oui, je sais.
09:02 Une chance.
09:03 Le garçon de Grazalema et moi
09:06 étions plus que mari et femme.
09:08 Nous étions amis,
09:09 compagnons, complices.
09:11 Nous aimions tous
09:12 voyager et tourner le monde.
09:14 Il était si généreux avec moi,
09:16 il ne me déchirait pas
09:17 de me voir heureux.
09:19 Avant, il n'était pas
09:21 si intéressé par les luxes.
09:22 Et je suis toujours
09:23 intéressée par Alonso.
09:24 Si je n'en ai pas,
09:25 je vis avec peu.
09:26 Mais si je l'ai,
09:27 je l'aime.
09:28 Personne n'a la peine
09:29 d'avoir un dessert.
09:30 Et en parlant de voyage,
09:33 pourquoi vous m'avez invité
09:34 à venir à la Promesa ?
09:35 J'ai très curieux.
09:37 Vous ne le savez pas ?
09:39 Je n'ai pas la meilleure idée.
09:42 Ce que je suppose que vous savez,
09:45 c'est que mon père,
09:46 le garçon de Linaja,
09:48 est mort il y a quelques semaines.
09:50 Oui.
09:52 Une terrible nouvelle.
09:54 Je vous remercie.
09:56 Je ne m'y attendais pas.
09:58 Vous aussi.
10:00 C'était une mort
10:01 qui nous a tous surpris.
10:03 Juan était un homme
10:05 si énervé,
10:07 si envieux de vivre.
10:09 Qui pouvait imaginer
10:10 qu'il...
10:12 Le garçon l'a mentionné
10:14 dans le testament.
10:16 Il le savait ?
10:18 Absolument.
10:28 Vraiment.
10:30 Comme il se pourrait,
10:31 nous avons beaucoup
10:32 à parler.
10:34 C'est pourquoi je vous invite
10:35 à la Promesa.
10:36 Ne me dites pas
10:37 que vous êtes surpris.
10:38 Je vous en assure.
10:41 Vous vous sentez bien ?
10:44 Oui.
10:46 Beaucoup de nouvelles
10:48 en même temps.
10:50 Beaucoup d'émotions
10:53 dans un jour, je me fais peur.
10:55 Et vous avez fait
10:57 un voyage très long.
10:58 Pourquoi ne vous restez pas
10:59 quelques jours à la Promesa ?
11:01 Ainsi, nous aurons du temps
11:02 pour parler du sujet
11:04 qui nous intéresse.
11:05 La Baronesse a sûrement
11:07 d'autres plans
11:08 pour son accueil.
11:09 Non, je n'ai pas pensé
11:10 improviser.
11:12 Vous ne vous sentez pas
11:13 vraiment inquiète ?
11:14 Bien sûr que non.
11:16 Restez la nuit
11:17 et demain sera un autre jour.
11:19 Merci.
11:21 Je vous demande
11:22 de vous préparer
11:23 une chambre.
11:24 [Musique]
11:37 [Bruit de la porte]
11:39 [Bruits de la porte]
11:48 [Bruits de la porte]
11:49 Vous m'avez fait peur.
11:51 Non, non, pardon.
11:52 Je pensais que vous étiez seule.
11:54 Non, non, ne me le faites pas.
11:56 Je comprends que nous avons tous
11:57 le droit de nous relaxer
11:58 un peu quand on ne voit personne.
12:00 Je viens seulement vous remercier.
12:05 Moi ?
12:07 Oui, pour ce qui a été réglé
12:09 dans le voyage inattendu
12:10 de la Baronesse.
12:12 Ah, si tellement inattendu
12:14 que c'était de la nuit à la matinée.
12:16 Je n'ai plus l'âge
12:17 pour ces effets.
12:18 Elle sait qu'elle est très impulsive.
12:20 Je ne l'aurais pas dit mieux.
12:22 En son défense, je dirais
12:23 qu'elle n'aime pas
12:24 les vêtements ni les paraphernalies.
12:26 Si elle avait été avec la Sra. Leonore,
12:28 un autre gai aurait chanté.
12:29 Non, elle n'est pas là.
12:30 Je suis en train de fermer les sacs.
12:32 Ces vêtements, les démons les ont.
12:34 Non, et vous portez
12:35 beaucoup d'heures en pied.
12:38 Vous ne devriez pas vous réveiller.
12:40 Non, c'est tôt.
12:41 Les sirs ne sont pas encore
12:42 allés au lit.
12:43 Non, je suis sûr
12:44 qu'ils nous demanderont
12:45 de servir un espirituose,
12:47 mais je ne crois pas
12:48 qu'ils demandent leur présence
12:50 à cette heure.
12:51 Vous croyez ?
12:52 Non, et en plus,
12:53 il n'y a rien à faire.
12:54 Je ne peux pas faire
12:55 un vieux maître.
12:57 Je vous en prie,
12:59 je vais me reposer.
13:01 Euh...
13:02 Merci.
13:04 Excusez-moi, Sra. Pia.
13:08 Il faut préparer une chambre
13:09 pour la baronesse de Grazalema.
13:11 Maintenant ?
13:12 Oui.
13:13 Il va rester quelques jours
13:14 dans la promesse.
13:15 Si je le dis avant...
13:17 Euh...
13:18 Venez m'aider, Thérèse.
13:19 Nous préparons la chambre
13:20 pour les invités
13:21 de la galerie principale.
13:22 La prochaine est occupée
13:23 par M. Lorenz.
13:24 Non, la Sra. Marquesa
13:25 a insisté que nous ne l'ayons pas.
13:27 En fait, elle veut que nous
13:28 lui préparions
13:29 une chambre dans la galerie intérieure.
13:31 Mais êtes-vous sûre,
13:32 Sra. Villamine,
13:33 que ces chambres sont les pires,
13:35 sont petites, incommodes
13:36 et ne donnent pas le jardin ?
13:37 Oui, elle m'a aussi surpris.
13:39 C'est pourquoi j'ai demandé
13:40 quelques fois.
13:41 Et qu'a-t-elle dit ?
13:43 Elle a ajouté, en fait,
13:44 que nous lui préparions
13:45 une chambre dans la galerie.
13:46 Elle dit qu'elle ne veut pas
13:47 que nous ayons des traités
13:48 de favour avec cette Sra.
13:49 Dieu nous assiste.
13:50 Pourquoi a-t-elle dit ça ?
13:51 Pour peu que je connaisse
13:52 la Sra. Marquesa,
13:54 il va y avoir un choc
13:55 de l'automobile cette semaine.
13:56 En fait, un choc d'ego.
13:58 C'est ça.
13:59 Et selon ce que dit Thérèse,
14:00 je pense que ça arrive.
14:01 Pourquoi elle dit ça ?
14:02 Vous avez entendu le dit
14:03 que le feu
14:04 se bat avec le feu ?
14:05 Il va y avoir ici,
14:07 l'exemple vivant,
14:09 en regardant ces deux femmes
14:10 interactuelles.
14:11 On verra ce qui se passe.
14:12 Je vais avec les choses, d'accord ?
14:14 D'accord.
14:15 Il me semble que la Sra. Marquesa
14:22 est dans le palais.
14:24 Que Dieu nous pille, confessez-vous.
14:27 Et qui est cette femme ?
14:29 [musique]
14:32 [musique]
15:00 [musique]
15:03 [musique]
15:05 [musique]
15:06 [musique]
15:08 [musique]
15:10 [musique]
15:12 [musique]
15:14 [musique]
15:16 [musique]
15:18 [musique]
15:20 [musique]
15:22 [musique]
15:24 [musique]
15:26 [musique]
15:28 [musique]
15:30 [musique]
15:33 [musique]
15:34 [musique]
15:36 [musique]
15:38 [musique]
15:40 [musique]
15:42 [musique]
15:44 [musique]
15:46 [musique]
15:48 [musique]
15:50 [musique]
15:52 [musique]
15:54 [musique]
15:56 [musique]
15:58 [musique]
16:01 te pido disculpas
16:03 Por si sido demasiado brusco en la conversación y en las formas
16:07 te aseguro que no quería atacarte ni que te sintiés molesta usted ha salido de maravilla
16:13 Jimena está claro que habrá cosas que no te gusten en el futuro como habrá otras que no me gusten a mí pero
16:22 deberíamos poder hablarlo discutirlo
16:24 estas son las bases de una relación sana la discusión no la comunicación
16:29 la discussión
16:31 Escuche entiendo que quieras irte a la cama sin cenar pero
16:36 no deberíamos acostarnos enfadados nunca no está bien
16:41 Hay tantas cosas que no están bien Manuel
16:46 *Musique triste*
17:04 Jimena
17:06 Hablémoslo por favor
17:08 Mañana
17:11 Ahora no me apetece
17:14 *Musique triste*
17:28 Buenas noches
17:31 *Musique triste*
17:37 Buenas noches
17:39 *Musique triste*
17:55 *Musique triste*
18:23 *Rires*
18:25 *Rires*
18:27 Tu sais comment sont les hommes.
18:29 Et comment sont-ils ?
18:30 Ben sans pétardes.
18:33 Et même si le marquès aimait beaucoup Madame Carmen,
18:39 il n'était pas déçu de Madame Elisa de la Vega,
18:41 qui était une femme très jolie.
18:43 Elle se laissait aimer.
18:45 Elle était une femme attractive, très attractive.
18:48 Allez à Monsieur Marquès.
18:50 Monsieur, il était très jeune,
18:52 et je dis que peu d'hommes auraient résisté à son enchant.
18:56 Elle était vraiment jolie.
18:57 Et c'est vrai qu'elle l'est toujours.
18:58 Oui, mais on sait que dans ces âges,
19:01 la carne est faible et le coeur ne l'écoute pas.
19:04 Le coeur ne l'écoute pas, mais rien.
19:06 On l'écoute dans d'autres parties du corps,
19:09 ce que nous allons mieux pas mentionner.
19:10 Madame Martínez.
19:11 Est-ce que je mens ?
19:12 Il ne faut pas être si explicite.
19:14 Nous avons déjà peiné les cannes, Monsieur Baeza.
19:17 Ne me viens pas avec des remis.
19:18 Le cas est que cette fille avait une...
19:22 grâce naturelle, mais la famille n'avait pas de titre ni de fortune.
19:27 Oui, mais ils avaient un peu d'argent,
19:29 parce qu'elle était une fille de très bon statut et de bonne éducation.
19:32 Oui, elle avait une très bonne éducation et de très bons modèles.
19:36 C'est normal qu'elle soit une garçonneuse.
19:39 Et surtout, elle a commencé par la fête des Marquès.
19:42 Oui, maintenant que tu le dis, elle a apporté des manières.
19:45 Bon, au final, grâce à Dieu,
19:47 le monsieur s'est marié à Madame Carmen et il était très heureux avec elle.
19:51 Et Madame Carmen est morte,
19:53 et le Marquès s'est marié en seconde nourse avec Madame Cruz,
19:57 qui est... - Qui est aussi...
19:58 C'est ce que je voulais dire, non ?
20:00 Oui, plus ou moins.
20:01 Bon, de toute façon, ces frictions sont des traits du passé.
20:04 Je ne serais pas si sûre, Monsieur Baeza,
20:07 que vous n'étiez pas là-haut,
20:08 et que les poignets volaient.
20:10 Je m'en rappelle.
20:12 Sinon, pourquoi donner à la marquésse
20:14 la dernière chambre de l'intérieur,
20:17 qui est la chambre sombre, étroite, fièvre...
20:19 Bon, c'est son problème.
20:21 Et ça, nous, ça ne nous intéresse pas.
20:24 Madame Vidamil,
20:25 je vous en prie, ne prenez pas la main sur ce sujet avec vos collègues.
20:29 Pourquoi me prendre, Monsieur Baeza ?
20:31 Je suis une tombe.
20:32 [Musique]
20:39 [Musique]
21:05 [Musique]
21:34 [Musique]
21:44 [Musique]
21:54 [Musique]
22:20 [Musique]
22:24 Merci beaucoup, Romulo.
22:26 [Musique]
22:44 Madame Darre a dit que vous vous en prenez soin.
22:46 Elle veut que la chambre reste comme elle l'était le plus tôt possible.
22:48 [Musique]
22:53 [Musique]
23:06 Qu'est-ce que tu fais ?
23:07 [Musique]
23:09 Je change les fleurs.
23:10 [Musique]
23:11 C'est un jour magnifique.
23:12 [Musique]
23:14 Et qui le dit ?
23:15 [Musique]
23:16 C'est moi, Madame.
23:17 Et ses yeux quand il s'en va.
23:19 La dîner a été bien ?
23:21 Je suppose que c'est pour ça qu'elle est si fatiguée.
23:23 Madame Simona veut savoir si elle a aimé ses viandes.
23:26 Non, ça n'a pas été bien.
23:28 En fait, c'était un complot.
23:30 Le monsieur n'a pas aimé la nourriture ?
23:33 Ce n'est pas ça, Thérèse.
23:34 Tu ne te rends pas compte de rien.
23:36 Pardonne-moi, Madame, je ne voulais pas te faire mal.
23:39 Bien, tu l'as fait.
23:41 Pourquoi tu me demandes tant ?
23:44 Tu veux continuer à raconter ce qui s'est passé ?
23:47 Tu veux que tout le monde sache de mes trifoules avec mon mari ?
23:51 Bien sûr que non, Madame.
23:54 Je ne me préoccupais que de vous.
23:55 Ce n'est pas ce que je pensais.
23:57 Alors, ce n'est pas comme tu l'as espéré.
24:01 Non, Thérèse.
24:02 Rien n'est comme je l'ai espéré.
24:04 Mais tu ne veux pas que je le partage avec toi, une dame ?
24:10 Bien sûr que non, Madame.
24:12 Comme tu veux.
24:14 Quel vêtement tu veux ?
24:16 Ils sont tous planchés.
24:18 Tu sais quoi ?
24:21 Je n'en veux pas.
24:23 Comment ?
24:24 Je ne me lève pas encore.
24:27 Mais Madame, il est très tard.
24:28 Tu ne peux pas retourner à ta chambre.
24:30 Pourquoi pas ?
24:32 Que vais-je dire si je me demandent ?
24:35 Bien, dis-moi que je me sens mal.
24:38 Tu as mal à la tripe ?
24:39 Tu veux que je te prépare un médicament ?
24:40 Non, je n'en veux rien.
24:41 Je veux juste que tu me laisses en paix.
24:43 Mais Madame, je peux t'aider.
24:45 Thérèse, vas-y.
24:46 Comment veux-je ?
24:49 Madame, elle se sent bien ?
25:02 Que fais-tu encore ici ?
25:03 Je t'ai dit de partir.
25:04 Va !
25:05 Va !
25:06 Tu es en avant de cinq siècles, mon ami.
25:25 Don Manuel.
25:31 Que se passe-t-il ?
25:34 C'est Madame Jiména.
25:35 Va, Thérèse. Que se passe-t-il ?
25:38 Je l'ai réveillée et elle ne voulait pas se lever.
25:41 Elle ne se sentait pas bien.
25:42 Mais quand je suis sortie, elle a commencé à vomir.
25:43 Comment ?
25:44 Je me suis fait mal, monsieur.
25:46 Je ne sais pas ce qui lui est arrivé, mais elle ne se sent pas bien.
25:49 Madame Jiména, je suis en arrière.
25:51 Je veux que tu me laisses ici.
25:52 Je suis en arrière.
25:53 Je veux que tu me laisses ici.
25:54 Je suis en arrière.
25:55 Je veux que tu me laisses ici.
25:56 Je suis en arrière.
25:57 Je veux que tu me laisses ici.
25:58 Je suis en arrière.
25:59 Je veux que tu me laisses ici.
26:00 Je suis en arrière.
26:01 Je veux que tu me laisses ici.
26:02 Je suis en arrière.
26:03 Je veux que tu me laisses ici.
26:04 Je veux que tu me laisses ici.
26:05 Je veux que tu me laisses ici.
26:06 Je veux que tu me laisses ici.
26:07 Je veux que tu me laisses ici.
26:08 Je veux que tu me laisses ici.
26:09 Je veux que tu me laisses ici.
26:10 Je veux que tu me laisses ici.
26:12 Je suis prêt.
26:13 J'ai parlé avec les mecs
26:14 et ils sont en train de préparer les escopettes
26:16 pour que vous puissiez les vérifier.
26:18 Tu vas te mettre comme ça ?
26:21 Comme ça ? Comment ?
26:23 Tu ne vas pas te mettre en robe de chasse ?
26:26 Et pourquoi j'aurais dû faire une idiotie comme ça ?
26:30 Parce que vous m'avez promis
26:33 que nous allions chasser des lièvres et des oiseaux.
26:35 Que je t'ai promis ?
26:39 Oui. Tu ne te souviens pas ?
26:41 Non.
26:43 Quand c'est arrivé ?
26:45 C'était l'autre jour.
26:47 Tu parlais de l'importance
26:49 de connaître la gestion d'un arme.
26:51 Et tu m'as dit que tu m'en montrerais.
26:53 Nous allions commencer avec quelque chose de petit,
26:55 comme des oiseaux.
26:56 C'est ce que je t'ai dit.
26:57 Je ne me souviens pas, mon fils.
27:01 En tout cas,
27:02 ce n'est pas un bon moment.
27:05 C'est un bon moment.
27:06 Tu vas bien ?
27:20 Mon amour, qu'est-ce qui se passe ?
27:33 Qu'est-ce qui se passe ?
27:34 Rien ne se passe.
27:35 Je suis bien.
27:36 Monsieur,
27:37 j'ai vu vous vomir avec mes propres yeux.
27:39 Ce n'est rien.
27:40 Je n'ai juste besoin de me reposer.
27:43 Mais je crois que je peux...
27:45 Thérésa,
27:46 merci beaucoup.
27:48 Mais laissez-nous seuls, s'il vous plaît.
27:51 Vous êtes sûr, monsieur ?
27:52 Oui.
27:53 Il ne faudra pas.
27:54 Merci.
27:57 J'ai vu vous vomir.
27:58 Et ce n'est pas le résultat du fatigue.
27:59 Est-ce que vous avez mal assis ?
28:04 Vous avez mal à la tripe ?
28:05 Vous n'avez jamais mangé à la dîner.
28:08 C'est pour ce qui s'est passé hier, non ?
28:09 Vous êtes toujours en colère ?
28:12 Manuel, laissez-moi.
28:16 S'il vous plaît.
28:18 Gimena, nous devons rester en paix.
28:19 Nous devons rester en paix.
28:21 Nous devons rester en paix.
28:23 Nous devons rester en paix.
28:25 Nous devons rester en paix.
28:27 Nous devons rester en paix.
28:29 Nous devons rester en paix.
28:31 Nous devons rester en paix.
28:33 Nous devons rester en paix.
28:36 Gimena, nous devons...
28:37 Que tu partes.
28:38 Je veux juste me reposer.
28:42 Seul ça.
28:44 D'accord.
28:52 D'accord, comme tu veux.
28:57 Je vais me reposer.
28:58 Combien de temps tu es là ?
29:26 Je regardais ce livre.
29:27 Tu connais ?
29:29 Martina, qu'est-ce que c'est ?
29:33 Un livre avec des illustrations.
29:35 Tu ne le vois pas ?
29:37 Regarde. Regarde cette position.
29:39 Tu n'en penses pas incroyable ?
29:40 Tu ne devrais pas voir ça.
29:42 D'où as-tu pris ça ?
29:43 De la bibliothèque.
29:45 J'y ai toujours été.
29:46 Comment sais-tu que ça était là ?
29:48 Parce que, quand on était petits,
29:50 Leonor et moi, on s'éloignait et on jouait.
29:52 Attends.
29:55 Leonor savait que ça était là ?
29:56 Bien sûr.
29:57 Elle m'a montré la première fois.
29:59 On aimait se cacher et regarder les illustrations.
30:02 Et ça, c'est mauvais.
30:05 Et qui dit ça ?
30:07 Je le dis.
30:09 Tu as eu la mauvaise idée.
30:10 Curro, on n'est plus des enfants.
30:13 Ni Leonor, ni moi, et bien sûr, toi non plus.
30:17 On ne doit pas faire tout ce qu'on est dit, et bien sûr...
30:20 ...
30:21 ... on ne devrait pas laisser que les plus grands nous parlent ainsi.
30:27 Tu as entendu, non ?
30:31 Tu as entendu la conversation avec mon père.
30:33 Je pensais que je ne te traitais pas ainsi.
30:38 Que vous étiez mieux.
30:40 En réalité, on est mieux.
30:42 Tu ne l'as pas vu ?
30:44 Il ne m'insulte plus.
30:49 Tu devrais demander qu'il te traite bien.
30:51 Mais il ne me traite pas mal.
30:53 Il a changé.
30:54 Tu penses ?
30:56 Oui.
30:58 On a...
31:01 ... parlé et...
31:04 ... on a reçu un accord.
31:06 Quel accord, Curro ?
31:08 Il m'a promis que...
31:11 ... il me respecterait.
31:13 Et que...
31:16 ... je ne me mettrai plus jamais la main dessus.
31:18 C'est bien.
31:22 Mais il y a des mots qui font plus mal que quelques coups, non ?
31:27 Oui.
31:30 Je te dis aussi que, peu importe la volonté que je mette,
31:34 parfois, il y a des choses qui nous arrangent de la nuit à la matinée.
31:39 Tu sais que je suis là pour tout ce que tu as besoin, non ?
31:42 Oui.
31:45 Si il pleut,
31:50 si il sonne,
31:52 ou si des gants tombent dessus.
31:54 Je te le dis.
31:56 Je te le dis.
31:58 Je te le dis.
32:00 Je te le dis.
32:02 Je te le dis.
32:04 Je te le dis.
32:07 Je te le dis.
32:08 Si tu as besoin de moi, je serai là.
32:11 La mère qui t'a amenée, Mme Pia,
32:19 comment a-t-elle pu coucher quelque chose comme ça ?
32:21 Quelle gorgeuse !
32:22 Tu me le dis ?
32:23 Tu es comme un tonnerre.
32:24 Pardon.
32:25 Ne t'en fais pas, Maria, c'est vrai.
32:28 Je ne sais pas comment elle a pu coucher ça.
32:31 Je ne m'y avais même pas rendu compte.
32:33 C'était pas facile, je m'imagine.
32:35 La barrière était plus grande et...
32:37 et la fille était plus petite.
32:39 C'est normal, les gants.
32:41 Je ne sais pas comment elle a pu se tenir en place.
32:44 Je ne sais pas si les froids étaient du froid du père
32:46 ou de la pression de tout ça.
32:48 Je viens de me rendre compte de quelque chose.
33:00 De quoi ?
33:01 L'autre jour, Mme Petra m'a dit quelque chose
33:04 et je ne comprends pas à quoi elle parlait.
33:07 En revenant de lui,
33:09 qu'est-ce qu'elle t'a dit ?
33:10 Je me demande si elle voulait être la doncelle personnelle.
33:12 Et je me dis que c'est la doncelle personnelle de Mme Marquesa.
33:15 Je lui aurais déjà raconté de mon embarrassement
33:18 et je verrais comment me mettre des patates dans la rue.
33:21 Elle se voyait avec le costume de la femme de la porte
33:23 et le poste de doncelle vacante.
33:24 Ce poste n'est pas une bénédiction.
33:26 C'est plutôt un caramel envenimé.
33:28 En tout cas, personne ne l'a encore laissé sortir.
33:31 Mme Pia.
33:32 Oui, Mme Pia. Encore.
33:34 Mais tout peut arriver.
33:35 Je ne crois pas que la Marquesa, en savant ce qu'elle sait,
33:37 ne se laisse faire.
33:39 Des choses plus étranges se sont vues dans cette maison.
33:41 Et pour montrer que Lopez, Simone et Candela...
33:43 C'est vrai.
33:45 Il y a beaucoup de lili-lili et peu de laranla.
33:47 C'est un miracle.
33:49 Je pensais que je les mettrais tous dans la rue.
33:51 Nous pensons tous, Mme Pia,
33:53 que pendant un moment, nous passons un calvario-tos
33:55 pour que ça ne soit rien.
33:57 Alors, vous restez ainsi et que ce soit ce que vous devez.
34:00 Oui, parce que je n'ai jamais pensé à me faire enfoirer.
34:03 Et pas du tout à l'avoir.
34:05 Et regardez-moi maintenant.
34:07 Belle comme un Saint-Louis.
34:09 Je ne sais pas ce que je vais faire.
34:11 Mais je vais avoir ce bébé.
34:13 Et je ferai tout ce que je peux.
34:15 Pour qu'il soit bien.
34:16 Amène ça.
34:18 Mme Pia, je peux ?
34:21 Oui, bien sûr.
34:23 Qu'est-ce que c'est ?
34:27 Une éclatée.
34:29 C'est un peu bizarre.
34:31 Je veux qu'il sache qu'il peut compter sur moi pour tout ce qu'il a besoin.
34:34 Et avec moi aussi.
34:36 Même si on ne va pas se faire la tortue.
34:38 S'il le faut.
34:39 S'il le faut et de Don Gregorio.
34:40 On a parlé de ça il y a peu.
34:42 Quelle surprise.
34:44 Encore ?
34:46 Oui.
34:48 Maria, où vas-tu avec ta tête de pauvre ?
35:05 Maria ?
35:08 Lope, je ne t'avais pas vue.
35:11 Je ne suis pas petit.
35:12 Où vas-tu ? T'es si déçue.
35:14 J'ai mis la main sur la troupe, Mme Pia.
35:17 Et j'ai vu un bébé.
35:20 Vraiment ?
35:21 Vraiment.
35:23 J'ai senti avec cette main.
35:25 C'était impressionnant.
35:27 C'est curieux. Comment peut-on avoir un bébé ?
35:31 C'est ce que je pensais ce matin.
35:34 Je suis si heureuse de penser qu'on va avoir un bébé ici.
35:38 J'aime bien te voir.
35:39 Heureuse et non triste comme ces semaines.
35:42 C'est vrai.
35:44 Par ailleurs, sais-tu si Mme Martina sait de nouveau de...
35:49 Sonono.
35:51 Elle ne m'en a pas encore dit.
35:54 Et regarde, elle m'a rencontré aujourd'hui.
35:56 C'est parce qu'elle ne sait rien.
35:58 Elle ne veut pas me le dire.
36:00 Pourquoi ?
36:01 Elle sait, pour ne pas faire de mauvaises nouvelles.
36:04 Je ne vois pas la Mme capable de faire ça.
36:07 Je suis sûr qu'elle te le dirait.
36:10 Je suppose.
36:12 Hé, Lope.
36:18 Je ne te l'ai pas dit l'autre jour,
36:20 mais...
36:22 Merci beaucoup.
36:25 Pourquoi ?
36:27 Parce que tu m'as mis autant d'amour
36:30 et que je voulais que ça me soit bien.
36:33 C'est pour ça.
36:35 Ce n'est rien.
36:36 Bien sûr que c'est.
36:38 Tu m'as pris ton temps pour me dire des choses jolies,
36:41 pour m'encourager.
36:43 Et tu sais quoi ?
36:48 Tu l'as réussi.
36:50 Vraiment ?
36:52 Vraiment.
36:53 Et en plus, je n'avais pas le corps pour rien,
36:56 et j'ai fini en mangeant un morceau.
36:59 Pour l'almour.
37:01 Je suis content que ce soit ainsi.
37:05 Tu es toujours très amoureux de moi, Lope.
37:08 Et tu as beaucoup de patience avec moi.
37:11 Et c'est de être un bon ami.
37:13 Et je sais que, récemment, ne pas avoir de nouvelles de Salvador,
37:16 me fait très nerveuse.
37:19 Et que parfois, je suis difficile à traiter.
37:22 Comment vas-tu être difficile à traiter, Maria ?
37:24 Oui, je suis difficile à traiter.
37:26 Non.
37:27 Oui, et que, souvent, je perds les nerfs.
37:29 C'est normal.
37:30 Tu n'as pas de nouvelles de Salvador.
37:32 Beaucoup ne se leveraient pas de la chambre.
37:34 Tu avances comme une courageuse.
37:36 C'est ce qu'on dit.
37:37 Mais si la plupart du temps, je passe le temps en peur,
37:40 ce qui se passe, c'est que tu me vois comme un bon oeil.
37:43 Pourquoi il fait si mal ici ?
37:52 Le poisson est frais.
37:55 Et si je continue d'amuser, il va arrêter d'être frais.
38:03 C'est bizarre, ce Lope, parfois.
38:05 C'est bizarre.
38:06 Tu es ici.
38:17 Et où veux-tu que tu sois ?
38:19 Je ne sors pas de la salle de couture.
38:21 Et ça ?
38:22 Les cabrioles de la Sra. Martina, dans l'hivernaire.
38:25 Tout le lit est rempli de trous.
38:27 Qu'est-ce qui se passe ?
38:29 Tu vois, c'est que...
38:31 récemment, je me suis fait un truc.
38:34 Quoi ?
38:36 Ce que tu m'as dit, que tu voulais partir de la promesse.
38:40 Et qu'est-ce qui se passe avec ça ?
38:42 Tu m'as dit que c'était de ma faute.
38:45 Que tu n'avais pas envie de continuer de te rencontrer chez moi.
38:47 Et ?
38:48 Comment "et" ?
38:49 Ce n'est pas agréable de savoir que tu es comme ça à cause de moi.
38:51 Ce n'est pas de ta faute, Mauro.
38:52 C'est de la situation qui est la qu'est.
38:54 Donc ne penses pas à ça.
38:57 Je sais, mais tu m'as aussi dit quelque chose qui me fait penser.
39:00 Quoi ?
39:01 Tu m'as dit que tu n'étais pas le seul qui souffrait de l'amour.
39:06 Pourquoi tout ça, Mauro ?
39:08 On a déjà parlé de ça et c'est déjà fini.
39:11 Non, ce n'est pas fini.
39:12 Je ne peux pas savoir que tu souffres de ma faute.
39:14 C'est ce qu'il y a. Ne penses pas à ça.
39:16 Comment tu veux que je ne pense pas ?
39:18 Je ne sais pas, Thérésa. Il y a quelque chose qu'on peut faire pour calmer la situation.
39:21 Non, Mauro. Il ne peut rien être fait.
39:23 Thérésa...
39:24 Non.
39:25 Tu ne peux rien faire.
39:27 La seule façon de oublier tout ça serait de ne plus te voir.
39:31 Pourquoi ne penses-tu pas que j'ai envoyé la demande à ma maison précédente ?
39:34 Mais ils ne m'ont pas accepté. C'est ce qu'il y a.
39:37 Non, ce n'est pas ce qu'il y a. Il y a toujours plus d'options.
39:39 Non, il n'y a pas plus d'options.
39:41 Et beaucoup moins pour les pauvres comme nous.
39:43 La seule option est de nous en tenir et de continuer à travailler.
39:46 Ou penses-tu qu'on peut partir et mettre la terre entre nous, comme l'a fait la petite dame, Léonore ?
39:53 Je suis désolé.
39:54 Ne le sois pas si mal, ce n'est pas si grave.
39:57 C'est juste un mal d'amour.
39:59 Personne n'a mort de ça.
40:01 Avant ou après, ça va se passer.
40:03 Je ne suis pas si clair.
40:05 Alors parle pour toi.
40:07 Parce que je pense que je vais le suivre.
40:09 Ce n'est pas la première fois ni la dernière.
40:11 Et maintenant, si tu m'excuses, j'ai beaucoup à faire.
40:13 Je vais te dire que je ne crois pas une seule mot sur ton embarrassé.
40:15 Quoi ? Exactement ?
40:16 Tu le sais parfaitement.
40:18 Le fait que le Seigneur Castillo soit le père de cette petite fille,
40:21 c'est un fait.
40:23 Et que tu ne le sais pas, c'est un fait.
40:25 Tu ne sais pas ce que je veux dire.
40:27 Je ne sais pas ce que tu veux dire.
40:29 Je ne sais pas ce que tu veux dire.
40:31 Je ne sais pas ce que tu veux dire.
40:33 Je ne sais pas ce que tu veux dire.
40:35 Je ne sais pas ce que tu veux dire.
40:37 Je ne sais pas ce que tu veux dire.
40:39 Je ne sais pas ce que tu veux dire.
40:42 Le Seigneur Castillo est le père de cette petite fille qui se crée dans son esprit.
40:44 Attention, Doña Petra.
40:46 Je ne vais pas te permettre de parler mal de mon fils.
40:48 Que Don Gregorio soit le père, personne ne le croit.
40:52 Tu sais ce qui se passe, monsieur Arcos ?
40:55 Que ce que tu crois ou que je ne crois pas, ça me donne exactement la même chose.
40:59 Parce que vous n'êtes personne dans cette maison.
41:01 Seule une simple dame qui a gagné la confiance de la madame Marquesa.
41:06 Mais rien d'autre.
41:08 Vous ne la considérez pas.
41:10 Ce n'est pas vrai.
41:11 Vous croyez que ce n'est pas vrai.
41:13 Et que vous la mettriez en prison, n'est-ce pas ?
41:16 C'est pour ça qu'elle est en colère.
41:18 Elle a été humiliée, emprisonnée, frappée.
41:21 Regardez ce que vous me donnez.
41:24 C'est une foule.
41:26 Il ne peut pas que tout s'en sorte bien.
41:28 Il ne peut pas que vous ne payiez pas pour votre indécence.
41:31 Qu'est-ce qui se passe ?
41:34 Rien, elle s'en va.
41:36 Ou a-t-elle quelque chose à ajouter, monsieur Arcos ?
41:40 Ce que vous faites, c'est immoral.
41:43 Parlez-en bien, monsieur Arcos.
41:46 Vous avez quelque chose à nous dire, ou vous parlez sans sens ?
41:50 Dieu les regarde.
41:55 Et ils ne peuvent pas lui faire confiance.
41:58 Ils se feront tous brûler dans l'enfer.
42:00 Vous allez bien ?
42:06 C'est insupportable de vivre avec cette femme.
42:10 Si elle se met à agir, elle va se faire encore plus.
42:14 Nous n'avons plus qu'à agir.
42:18 Et à maintenir la version que nous lui avons donnée.
42:22 De l'inverse, tout ce que nous avons fait n'a pas de sens.
42:37 Oh mon Dieu !
42:39 Il manque un peu d'ail pour le pil pil.
42:42 Si je ne le met pas, il va se brûler et je vais devoir retirer l'huile, l'ail et tout.
42:47 Non, parce que c'est tard.
42:49 Non, parce que tu vas voir la pâte à l'ail.
42:52 Lope, dis à Candela de mettre un peu d'ail.
42:57 Dis-moi Lope.
42:59 Que je demande à Madame Simona de mettre un peu d'ail pour son pil pil.
43:04 Allez, les ajus !
43:05 Madame Candela, s'il vous plaît, l'huile se brûle.
43:07 Elles seront là.
43:09 Ils sont très fins pour le pil pil. Ils vont se faire.
43:22 Lope, dis à Candela de couper d'autres plus gros.
43:25 Madame Candela, me dit Madame Simona...
43:27 Dis à Simona qu'elles sont bien.
43:29 Madame Simona, me dit Candela...
43:32 Madame Candela, qu'est-ce qu'elle sait ?
43:33 Qu'ils sont trop fins.
43:35 Madame Candela, me dit Madame Simona...
43:37 Dis à Simona qu'elle n'a pas l'idée de faire un pil pil.
43:39 Que la grâce est dans...
43:41 Regarde, je le fais.
43:43 S'il vous plaît.
43:46 Merci.
43:48 C'est bon.
43:50 Je vais aller me coucher.
43:51 [Musique]
44:19 [Musique]
44:27 [Musique]
44:55 C'est la mère de la veille.
44:56 Elle peut être entendu.
44:58 Elle ne va pas nous entendre.
45:00 Elle est sortie avec le cavalier pour aller faire une voie.
45:02 Et malheureusement, parce qu'elle ne le supportait plus.
45:04 Que pensais-tu ?
45:06 Que je n'allais pas me rappeler de son nom ?
45:08 C'est trop bien, Cruz.
45:10 A juger par son attitude ce soir, qui dirait ?
45:14 Alonso, ça. Alonso, l'autre.
45:16 Cette femme m'a manqué du respect de manière inacceptable.
45:19 Elle se souvient seulement des anciens temps.
45:22 Elle savait parfaitement ce qu'elle faisait et l'appréciait.
45:25 C'est bien.
45:27 Supposons qu'elle l'a fait de manière intentionnelle pour te faire mal.
45:30 Que voulais-tu que je fasse ?
45:32 Arrêter-le et ne pas lui suivre le jeu.
45:35 Je ne lui ai pas suivi le jeu.
45:37 Alonso, cette femme a essayé de te cacher avant son premier mariage.
45:40 Et maintenant, elle veut faire la même chose.
45:43 Chérie, je suis marié à toi.
45:48 Et ça ne va pas changer.
45:51 Ça fait longtemps que je ne la voyais pas. Je t'en prie.
45:53 Et maintenant, elle est devenue une femme de mariage.
45:56 Cette femme est une troupeuse.
45:58 Tout d'abord toi, et ensuite mon père.
46:00 Je ne te le dénies pas.
46:02 Je ne sais pas comment elle s'est amusée avec le mariage.
46:04 Mais je suis sûr que ce n'est pas le résultat de la chance.
46:06 Les chances n'existent pas.
46:08 Non, bien sûr que non. Et ça, je n'aime pas.
46:10 Mais tu n'as pas répondu à ma question.
46:12 Pourquoi as-tu invité la promesse ?
46:14 Parce que je préfère avoir mes ennemis près.
46:17 Et cette femme s'est juste transformée en ça.
46:20 C'est ça.
46:21 Vous allez bien ?
46:31 Oui, oui.
46:33 C'est juste du fatigue.
46:36 C'est le cas du père, je comprends.
46:38 C'est le cas du père, les préoccupations de la maison,
46:41 et les menaces de Doña Petra.
46:44 Vu comme ça, ce qui est étrange, c'est que vous restez en place.
46:49 Cette femme est une arpille. C'est mauvais jusqu'à dire "c'est assez".
46:51 Bienvenue à la promesse.
46:53 Doña Petra est une institution ici.
46:56 Elle a gagné la confiance de la seigneure marquèse, et oui,
46:59 il faut être très prudent avec elle.
47:01 Surtout vous.
47:03 Vous avez une spécialité.
47:05 Vous voulez mon emploi, je vous l'ai déjà dit.
47:07 Et cette fois, grâce à vous, vous ne l'aurez pas.
47:10 Moi, c'est que... ça me fait mal.
47:12 Merci.
47:15 La prochaine fois qu'elle vienne vous faire mal,
47:18 on verra si elle a peur.
47:20 Bon, c'est la seule qui n'a pas cru que...
47:23 que vous étiez le père de la créature.
47:26 Les autres l'ont cru à pieds joints.
47:28 Vous devriez admettre que la histoire est solide.
47:31 Oui, mon visite au palais du roi de Castilla n'a pas été une coïncidence,
47:35 mais c'est devenu une quartada parfaite.
47:37 Tout s'est bien réglé.
47:39 Mais...
47:41 Quoi ?
47:44 Il ne doit pas continuer si il ne veut pas.
47:46 Il ne doit pas prendre soin d'un bébé qui n'est pas son.
47:49 Vous savez quoi, Mme Adarre ?
47:54 Quand je pense à ma vie,
47:58 je ne me souviens pas de la même chose.
48:02 Ne me dis pas ça.
48:05 C'est la vérité.
48:06 Toute ma vie, j'ai travaillé de soleil à soleil.
48:13 Sans plus de temps.
48:14 Je n'ai même pas pu sauver mon frère.
48:19 Donc, grâce à vous,
48:22 je peux faire quelque chose qui a vraiment de la sensibilité.
48:27 Pour moi ?
48:30 Pour vous et pour le bébé qui t'attend.
48:32 Que sera-t-il sans un père ?
48:35 Un bastard, le fils d'une mère solitaire,
48:38 a toutes les chances de perdre dans ce monde.
48:40 Oui, je sais.
48:42 Je sais.
48:43 Alors, laissez-moi faire quelque chose de bon, Mme Adarre.
48:49 Même si c'est seulement une fois.
48:52 Je ne sais pas.
48:55 La vie peut m'avoir amené jusqu'ici
48:59 pour vous aider.
49:03 Merci.
49:06 Monsieur Castillo,
49:11 si tout ça va bien,
49:12 je ne peux pas dire que vous n'avez pas sauvé personne.
49:15 Parce que vous avez sauvé
49:17 vos vies.
49:20 Bon.
49:27 Allons-y.
49:29 Oui.
49:31 Les marquises nous attendent.
49:32 Oui.
49:33 Oui.
49:34 Il t'a dit où il allait ?
49:55 Non.
49:57 Il a simplement pris un des camions et il est parti.
49:59 Sans demander de permis.
50:01 Il aime bien se déplacer.
50:02 Avec un peu de chance, on ne le voit pas jusqu'à la nuit.
50:04 Je suis déjà claire
50:06 de son amour pour les camions.
50:08 Avec cette anecdote du "caballito confié".
50:10 Ce sont des choses de la jeunesse.
50:12 Oui.
50:13 Des absurdités.
50:14 Je n'ai jamais dit mieux.
50:15 Il avait un peu plus de 20 ans.
50:17 Il était jeune, impulsif.
50:19 Et stupide.
50:20 Oui, un peu stupide aussi.
50:21 Tu n'as pas fait de stupides avec 20 ans ?
50:24 Les femmes ne sont pas permis de faire des choses.
50:26 Que veux-tu que je te dise ?
50:28 On était à la fête de la gueule de Huelva et...
50:30 Je veux que tu me donnes plus d'explications, Alonso.
50:32 Ne me racontes plus cette anecdote, pour Dieu.
50:34 Garde-moi le supplice.
50:36 Je sais que je m'amuse un peu que tu te fasses envie.
50:42 Mais tu dois te cacher devant les enfants.
50:46 Je te le dis parce que j'ai demandé de noter à M. Castillo et à Mme Darré.
50:51 Nous devons penser à ce que nous faisons avec eux.
50:53 C'est une autre histoire.
50:54 Ils croient que nous allons manger ces fiches de menthe.
50:59 Tu ne crois pas à l'histoire qu'ils nous ont racontée ?
51:01 Pas une seule parole.
51:02 Qui croirait que Gregorio et Pia avaient un roman ?
51:05 Pour moi, tout a du sens.
51:07 Pardon ?
51:08 Oui, maintenant je comprends pourquoi M. Castillo a laissé un bon travail
51:12 comme celui qu'il avait chez le duc de Castellanos
51:15 et a accepté un temps réel ici, dans la promesse.
51:17 Et pourquoi a-t-il fait cela, selon toi ?
51:19 Pour l'amour.
51:20 Alonso, s'il te plaît.
51:22 Pour être proche de la femme aimée et de son fils futur.
51:25 Personne ne croit ça, mon amour.
51:27 En tout cas, il nous convient de croire en eux.
51:29 Sinon, nous devrons les faire partir.
51:31 Et nous ne pouvons pas laisser le service de la promesse sans un coup de main, non ?
51:35 Je te donne raison.
51:37 Nous ne pouvons pas permettre ça.
51:38 Mais je ne suis pas aussi crédule que toi.
51:41 Avec le permis des Messieurs.
51:52 Je vous ai appelé parce que nous avons déjà pris une décision concernant vous.
51:55 Nous avons pensé à ce que nous avons été informés.
51:57 Et ma femme et moi pensons que le meilleur est que vous deux vous mariez.
52:01 Comme vous le comprenez, nous ne pouvons pas permettre que deux membres de notre service
52:06 gardent une relation si immorale sous notre toit.
52:09 Alors ?
52:14 Nous avons décidé de vous marier.
52:17 Vous avez été la première à nous demander de nous marier.
52:20 Alors ?
52:21 Vous êtes prêts à vous marier ?
52:24 Euh...
52:27 Oui, dans quelques mois, quand le bébé sera né.
52:31 Non, nous n'avons pas bien compris.
52:33 Nous ne pouvons pas attendre tant. Il doit être immédiat.
52:36 Pardonnez-moi, comment ?
52:40 Vous vous marierez cette semaine.
52:45 [Musique]
53:00 Si ce que vous cherchez, madame, c'est de l'information sur la seigneure Jimena,
53:06 je vous recommande de parler avec elle ou avec Don Manuel, son cousin.
53:09 Mais aucun d'entre vous va vouloir confirmer mes suspicions.
53:12 Il me semble que Jimena s'est rendue compte que Catalina arrange l'aéronave et a discuté avec elle.
53:16 Mais Jimena ne m'avait rien dit.
53:18 Et pourquoi ?
53:19 Je ne sais pas. Et c'est ce qui m'inquiète.
53:21 Tu ne crois pas que Lope est très bizarre ?
53:23 A quoi tu parles exactement ?
53:24 Je parle de son compréhension, son amour, son parlement.
53:28 Et d'autres jours, il est moustique, il m'évite, ou il me répond avec oui ou non,
53:33 ou il ne me répond pas.
53:34 Tu te souviens que j'avais beaucoup de livres et de revues d'aviation, non ?
53:39 C'est vrai, une vraie pile.
53:41 Et c'est vrai que je les ai tous éclatés.
53:44 Il me semble que vous aviez une relation étroite avec mon père.
53:47 C'était un homme exceptionnel.
53:49 C'était au milieu du Méditerranée, où nous nous connaissons, dans un crucer.
53:54 Et qu'est-ce que m'a laissé exactement mon cher Juan en héritage ?
53:59 Elle était très amoureuse du marquès, quand elle était jeune.
54:03 C'est-à-dire qu'elle était une chasseuse de fortunes, depuis sa plus jolie jeunesse.
54:07 Je ne sais pas ce qu'elle était, mais c'est vrai qu'elle n'est pas très amoureuse.
54:12 Je ne laisserais pas les yeux sur cette chasseuse.
54:15 L'ultime que j'imaginais, c'est un épisode de jealousie de ta part.
54:18 Je ne suis pas en jealousie, je t'ouvre les yeux.
54:20 Je les ai très ouvert. Que veux-tu que je fasse ?
54:23 C'est de ma faute que j'ai les yeux sur cette femme.
54:25 Tu l'as invitée à rester dans la promesse pendant le temps que je le souhaiterais.
54:28 Je sais que tu es fier de la façon dont une femme se regarde sur toi, et plus à ta âge.
54:32 Ce que je suis en train de faire, c'est de me faire un café.
54:35 Mais j'espère que vous avez compassion pour la dame Pia.
54:37 - Comment ça s'est passé avec les marquises ?
54:39 - Bien, bien.
54:41 - Mais vous vous êtes fait partir ? - Non.
54:43 - Alors pourquoi cette tête de funéraire ?
54:46 - Disons que les marquises nous ont donné une condition pour continuer à travailler au palais.
54:53 - Arrêtez de vous suspendre, madame Pia, s'il vous plaît.
54:55 - C'est vrai que vous êtes le père de l'enfant qui attend la dame Darre ?
54:59 - Je ne sais pas comment vous avez l'intention de me faire tomber dans mon bureau avec ces airs, monsieur Balthazar.
55:03 - Vous insistez à me sortir de mes chambres, de façon à ce que je revienne à vos travaux avant de me désoliver encore plus.
55:10 - Vous avez l'air fatiguée.
55:12 - Je ne pourrai pas me reposer jusqu'à ce que je ne vous raconte ce que j'ai vu, père.
55:14 - Ne m'assoiez pas.
55:16 - Je ne le prétends pas, mais si vous me racontez la vérité sans acides,
55:18 cette finca est une hérétie envenommée, père.
55:21 - Il y a beaucoup de choses qui ne me correspondent pas sur ce sujet.
55:25 - L'autre personne qui sait toute la vérité, c'est cette femme.
55:28 - Elle va nous raconter tout ce que nous savons.
55:33 - Ça sent très mauvais.
55:35 - Pire que ça.
55:37 - Ça sent très mauvais.
55:40 Sous-titrage Société Radio-Canada
55:42 ...

Recommandations