Gérard Leclerc revient sur un moment de sa carrière qui l'a confronté à Edwy Plenel.
Catégorie
🗞
NewsTranscription
00:00 Moi, le seul journaliste qui m'est attaqué
00:03 véritablement de façon violente, c'est Edouid Plenel.
00:06 Ah bon ?
00:07 Exactement. Quand j'ai été nommé président de la chaîne parlementaire,
00:10 je courais, je faisais mon jogging comme tous les matins et je tombe,
00:13 j'écoute la radio et je tombe sur Edouid Plenel et qui dit
00:17 Nicolas Sarkozy fait ce qu'il veut, il est en train de menacer la liberté de la presse.
00:20 La preuve, il vient de nommer Gérard Leclerc président de la chaîne parlementaire.
00:25 C'est une décision du président de la République,
00:28 ce qui est quand même pour un journaliste est l'une des pires choses
00:30 qu'on puisse vous dire, c'est à dire que vous êtes un espèce de jouet, etc.
00:34 Donc, vous voyez que je n'ai aucune,
00:36 j'ai aucune raison d'être sympathique avec Edouid Plenel.
00:39 Je l'ai appelé, j'ai dit qu'est ce que vous avez dit ?
00:42 Pourquoi vous avez dit ça ?
00:43 Et là dessus, il est parti en me disant oui, enfin, je ne sais pas pour vous,
00:46 mais vous savez très bien que c'est comme ça que ça se passe,
00:48 que c'est Nicolas Sarkozy, etc.
00:51 Donc, pour vous dire, je n'aurais pas raconté cette histoire là
00:54 si vous n'aviez pas insinué que j'avais de la, une certaine, voilà.
00:59 Je vous recompte l'aisance.
01:01 Alors, je vous recompte l'aisance.
01:01 Je vais marcher à la bâtoir en chantant des cantiques.
01:04 Ce n'est pas mon genre.
01:05 Non.
01:05 [Musique]
01:08 [Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org]