Le JT - 31/05/23 - Hôtel de ville, intersyndicale hospitalière, Clinatec

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Du haut de cette tour, près de 55 ans d'histoire nous contemple. Réalisée dans le cadre des jeux olympiques d'hiver, l'hôtel de ville de Grenoble bénéficie du label patrimoine du 20ème siècle et est désormais inscrit aux monuments historiques. Prouesse architectural il abrite aussi 8 œuvres d'art...Saint Egrève, Rives, Voiron, ou Grenoble...La mobilisation des agents hospitaliers dépasse les frontières de la métropole. Réunis pour la première fois en intersyndicale, ils réclament une meilleur prise en compte des patients et de meilleures conditions de travail pour permettre de recruter...Et puis Clinatec poursuit sa marche vers l'incroyable...Associée à des chercheurs et médecins suisses, l'équipe de Guillaume Charvet, invité du JT, est parvenue à faire remarcher un patient paraplégique, grâce à deux implants, un à la surface du cerveau, l'autre sur la moelle épinière.

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00:00 [Musique]
00:09 Du haut de cette tour, près de 55 ans d'histoire nous contemplent.
00:13 Réalisé dans le cadre des Jeux Olympiques d'hiver, l'hôtel de ville de Grenoble bénéficie du label patrimoine du XXe siècle et est désormais inscrit au monument historique.
00:21 Saint-Égreve-Riveron-Grenoble, la mobilisation des agents hospitaliers dépasse les frontières de la métropole.
00:26 Réuni pour la première fois en intersyndicale, il réclame une meilleure prise en compte des patients et de meilleures conditions de travail.
00:33 Et puis, Cleanatec poursuit sa marche vers l'incroyable.
00:36 Associé à des chercheurs et médecins suisses, l'équipe de Guillaume Charvet est parvenue à faire remarcher un patient paraplégique grâce à deux implants.
00:43 Un à la surface du cerveau, l'autre sur la moelle épinière.
00:47 Le chercheur grenoblois nous expliquera tout ça dans ce JT.
00:52 Bonsoir à tous, ravie de vous retrouver dans ce JT du mercredi 31 mai 2023.
00:57 Du lundi au vendredi à partir de 18h, l'essentiel de l'actualité du Grand Grenoble.
01:02 Un homme tué par balle cet après-midi a venu j'anne d'Arc dans le quartier de l'ABI à Grenoble.
01:09 Âgé de 43 ans, il a été mortellement blessé au cou.
01:12 Selon le Dauphiné libéré, la victime a été visée par un homme passager d'une trottinette conduite par un complice.
01:19 Les agresseurs ont pris la fuite.
01:21 Pour rencontrer ses élus, effectuer ses actes d'état civil, venir voter ou pour travailler,
01:28 l'hôtel de ville de Grenoble, c'est le lieu incontournable pour bon nombre de formalités administratives.
01:34 C'est aussi un lieu dont l'esthétique ne fait pas l'unanimité et une passoire énergétique.
01:40 Pourtant, c'est une véritable œuvre d'art qui mérite, selon la municipalité, d'être valorisée.
01:46 Fin janvier, l'hôtel de ville a été inscrit au monument historique.
01:50 Voici le reportage de Camille Avon.
01:52 On la surnomme la maison commune.
01:55 L'hôtel de ville est l'un des bâtiments phares de Grenoble.
01:58 C'est à l'occasion des Jeux olympiques d'hiver de 1968 que la ville décide de construire un nouvel hôtel de ville,
02:04 car l'ancien devenait trop petit.
02:06 Derrière ses 46 mètres de hauteur, Maurice Novarina, son architecte,
02:10 a voulu créer une opposition entre un socle horizontal et une tour de 12 étages.
02:14 À l'intérieur du bâtiment, l'organisation est aussi réfléchie.
02:17 Dès l'origine, c'est une intention très forte dans le programme architectural
02:22 que de dire que les élus sont au premier étage, juste au-dessus de là où s'exerce la vie publique.
02:27 Ils sont comme ça, dans une proximité quotidienne avec les citoyens.
02:31 Maurice Novarina décide d'utiliser uniquement 5 matériaux pour construire l'hôtel de ville.
02:36 Du béton, du verre, de l'aluminium, du marbre et du bois.
02:39 Un choix qui permet de créer une harmonie et une cohésion entre les différents espaces.
02:43 Pour ce qui est de l'intérieur, de nombreuses œuvres d'art sont exposées.
02:47 La plupart d'entre elles sont même créées sur mesure pour l'hôtel de ville.
02:50 C'est le cas de ces deux lustres en cristal de Murano dans le Hall d'Honneur
02:54 qui sont constitués d'un ensemble de tubes.
02:56 Un aménagement adapté qui se retrouve aussi dans le salon de réception.
03:00 L'œuvre qui se trouve derrière moi, c'est une œuvre de Pierre Sabatier
03:04 qui a été conçue spécifiquement pour cet espace.
03:07 Ici, il s'agit d'un mur en laiton qui prend l'intégralité du mur
03:12 avec une porte qui permet d'accéder à une antichambre
03:15 qui elle-même donne sur la salle du conseil.
03:17 Depuis janvier 2023, l'hôtel de ville de Grenoble est inscrit comme monument historique.
03:21 Aujourd'hui, la ville demande le classement du bâtiment.
03:24 Un événement qui pourrait permettre d'obtenir des subventions pour des travaux de rénovation.
03:28 On envisage un plan global de restauration de la totalité du bâtiment
03:33 qui va s'étaler sur plusieurs années, jusqu'en 2027-2028
03:38 et qui sera extrêmement ambitieux puisque le chiffrage global est en cours
03:42 mais on est à hauteur de 30 millions d'euros.
03:45 La ville veut également se tourner vers un bâtiment moins énergivore.
03:49 Améliorer effectivement les performances thermiques et énergétiques du bâtiment
03:53 en faisant une rénovation globale avec des isolants qui seront posés,
03:59 une amélioration de la VMC.
04:01 Si le bâtiment est classé, l'État pourra subventionner jusqu'à 50% des travaux
04:06 et le département jusqu'à 40%.
04:09 Dans les tuyaux également de la mairie, le classement du Palais des Sports
04:13 pourra à terme créer avec aussi la Tour Péret, un parcours patrimoine du XXe siècle
04:18 dans le parc Paul Mistral.
04:20 L'Union fait la force, fermeture de lits, déprogrammation, manque de personnel,
04:25 urgences ponctuellement fermées, plans blancs déclenchés aux urgences psychiatriques.
04:29 L'hôpital public est sous tension.
04:32 Les syndicats de 4 établissements de santé de l'agglomération et du CHU voire AUNE
04:36 ont décidé de s'unir dans l'espoir d'avoir plus de poids pour faire bouger les choses.
04:41 Pour eux, pour embaucher, il ne suffit pas d'organiser un job dating,
04:44 il faut surtout de meilleures conditions de travail.
04:47 C'était nécessaire de s'unir tous ensemble pour répondre à un problème majeur
04:54 et qu'on n'arrive pas à résoudre individuellement.
04:57 Il faut une prise de conscience politique, parce que c'est ça qui manque le plus.
05:02 C'est la prise de conscience politique que la situation est grave
05:05 et qu'elle ne nécessite pas de réarrangements, elle nécessite des moyens financiers.
05:10 Il faut donner l'envie aux professionnels qui ne travaillent plus dans l'hôpital public de revenir.
05:16 Les gens fuient par dizaines, par centaines, et on ferme des lits,
05:21 plus parce qu'on nous en donne l'ordre, plus parce que nos tutelles réclament des économies budgétaires,
05:26 mais parce qu'il n'y a plus assez de professionnels pour travailler.
05:29 La plupart des soignants, si vous les interrogez, ce n'est pas leur salaire dont ils vont vous parler,
05:33 ce n'est pas les 1,07 euros de nuit dont ils vont vous parler.
05:37 Ce qu'ils vont vous parler, ils vont dire qu'ils ne sont pas assez nombreux
05:39 pour prendre en charge les gens qui ont besoin.
05:41 Tout le monde veut faire un bon travail et on n'a plus les moyens de faire un bon travail.
05:46 La priorité c'est les urgences, l'accès aux soins quand non prévu.
05:50 On est quand même dans une situation dramatique depuis plus d'un an,
05:54 enfin on va faire les un an maintenant, où il n'y a plus aucun service d'urgence accessible la nuit,
05:58 sans être obligé de passer par le centre 15 et d'être trié.
06:02 Ça, ça devait être une solution temporaire.
06:04 On arrive au un an et il n'y a aucune solution, aucune perspective de changer ça.
06:08 La direction du CHU a prévu de faire un point de situation
06:12 et d'évoquer des perspectives devant la presse vendredi matin.
06:16 Le CHU, l'Université Grenoble-Alpes et le CEA, ce sont les piliers de Clinatec,
06:21 avec un lieu unique en France sur le polygone scientifique,
06:24 qui depuis plusieurs années travaille sur un programme cerveau-machine.
06:27 Aux côtés de chercheurs et médecins suisses de l'EPFL et du CHU de Lausanne,
06:31 Clinatec vient de publier un article dans Nature pour expliquer
06:35 comment ils sont parvenus à faire remarcher un homme paralysé depuis 12 ans.
06:40 On va en parler avec vous, Guillaume Charvet, bonsoir.
06:43 Vous êtes responsable de ce programme cerveau-machine à Clinatec.
06:48 Le système créé à Grenoble, on l'avait déjà vu il y a 3 ans, je crois,
06:53 c'était à peu près ça, lorsque vous aviez réussi à faire marcher un patient paralysé.
06:57 C'était là à l'aide d'un exosquelette. Est-ce que vous pouvez nous présenter cette technologie ?
07:02 Alors c'était effectivement en 2019 et on avait permis à un patient tétraplégique
07:06 de contrôler grâce à la mesure et de codage de son activité électrique cérébrale
07:11 un exosquelette 4 membres.
07:14 Le principe de la technologie, j'en ai amené une partie,
07:18 c'est-à-dire qu'on vient d'abord capter l'activité électrique cérébrale
07:23 à la surface du cerveau et plus précisément au niveau du cortex moteur.
07:27 C'est l'endroit où il y a l'activité correspondant à des tâches d'imagination de mouvements,
07:32 mouvements de bras ou de jambes, grâce en particulier à ce dispositif que vous voyez ici.
07:37 Il y a des électrodes qui sont ici, qui vont permettre de capter cette activité électrique
07:43 pour ensuite qu'on puisse la décoder.
07:46 Pour ça, on vient placer ces électrodes directement de la manière suivante sur le cortex
07:52 grâce à une craniotomie, donc on vient enlever un morceau d'os qui est remplacé par cet implant.
07:57 Les données sont ensuite transférées de manière sans fil vers un ordinateur
08:01 qui va les décoder en temps réel grâce à des algorithmes basés sur des méthodes d'intelligence artificielle
08:08 permettant ainsi de décoder les intentions de mouvements du patient.
08:11 On va voir quelques images de cet exosquelette réalisé il y a trois ans.
08:17 C'est la petite boîte crânienne, la fausse boîte crânienne que vous nous avez apportée avec ces implants.
08:24 Est-ce que d'autres patients bénéficiaient de cette technologie depuis trois ans et demi ?
08:30 D'autres patients sont effectivement impliqués sur cet essai clinique qui est réalisé à Clinathèque
08:36 avec le CHU de Grenoble et le CEA qui continuent à travailler sur cet essai clinique.
08:43 Alors ce nouveau patient, je crois que c'est un patient qui vient des Pays-Bas,
08:48 qui est paralysé depuis quelques années et qui a finalement pu bénéficier d'un nouveau programme
08:54 avec un implant qui est le même que celui dont avait bénéficié le jeune homme pour l'exosquelette ou ça a changé un petit peu ?
09:00 Alors effectivement, on a la même technologie en particulier d'implant.
09:03 On a travaillé en particulier sur l'optimisation des algorithmes,
09:06 cette fois-ci pour venir détecter les signaux et les intentions de mouvement, de marche,
09:10 et plus précisément du mouvement de la jambe droite ou de la jambe gauche.
09:14 Chez un patient qui est différent, puisque c'est un patient paraplégique,
09:17 et ça c'est un essai clinique qui est réalisé en particulier au CHU de Lausanne
09:23 dans le cadre d'une collaboration avec l'EPFL et le CEA.
09:27 Alors le CHU de Lausanne et l'EPFL ont donc développé un implant sur la moelle épinière et vous vous êtes associés.
09:34 Exactement, l'objectif c'était d'associer nos deux technologies,
09:37 cette technologie d'interface seromachine dont on avait montré l'efficacité en 2019
09:43 et également l'équipe de Grégoire Courtine et Jocelyne Bloch
09:46 avaient montré l'efficacité d'une technologie de stimulation de la moelle épinière
09:50 permettant de réactiver les muscles des jambes.
09:53 L'objectif était d'associer les deux pour permettre justement à ce patient paraplégique
09:58 de contrôler grâce à son activité cérébrale directement la stimulation appliquée au niveau de sa moelle épinière.
10:04 Il a juste besoin de penser à la marche, entre guillemets juste.
10:08 Oui, juste, c'est-à-dire qu'en fait le patient on va l'entraîner à réaliser des tâches mentales.
10:14 Par exemple, je pense à lever la jambe droite, lever la jambe gauche
10:17 et derrière on a des algorithmes basés sur des méthodes d'intelligence artificielle
10:21 qui vont être capables d'aller chercher cette information précise au niveau du cerveau
10:26 pour en extraire des prédictions de mouvements.
10:30 Par exemple, pour le patient, l'objectif c'est qu'on arrive à savoir
10:33 quand le patient souhaite activer le mouvement de sa jambe droite ou de sa jambe gauche
10:38 mais également on veut pouvoir détecter l'amplitude du mouvement, c'est-à-dire la hauteur des pas.
10:43 Et ça c'est très important en particulier pour que le patient puisse avoir un contrôle plus naturel
10:48 puisqu'il va pouvoir gérer la hauteur des pas, par exemple aller grâce à ça
10:51 sur des environnements plus complexes en extérieur, pouvoir monter des rampes
10:56 voire même monter des marges escaliers.
10:58 Est-ce que vous avez été surpris un petit peu du résultat, ce que vous attendiez aussi bien ?
11:04 Alors on était très satisfait de ce résultat, on était surtout satisfait de la rapidité
11:09 à laquelle il a pu avoir le contrôle de ses propres jambes
11:14 puisque à peine deux jours après les chirurgies, on a pu créer un premier modèle de décodage
11:19 qui lui a permis de contrôler tout de suite un avatar sur un écran d'ordinateur.
11:23 Et quelques semaines plus tard, on a pu connecter les deux systèmes ensemble
11:26 et le patient a pu contrôler à nouveau la marche de ses propres jambes
11:30 grâce à son activité cérébrale et ça, ça a été très rapide.
11:34 Et le cerveau n'avait pas oublié comment marcher ?
11:37 Visiblement non.
11:39 Ça veut dire que voilà, exactement.
11:41 C'est comme quand on fait du vélo, on n'oublie pas.
11:43 Sûrement.
11:44 Donc là, ça se passait très bien.
11:46 Qu'est-ce qui reste à améliorer peut-être pour ce patient ?
11:49 Parce qu'on est passé de l'exosquelette, là on voit qu'il a un déambulateur
11:52 et que même il arrive presque à marcher avec une canne en se tenant à une rambarde.
11:56 Qu'est-ce qu'on pourrait faire mieux ?
11:58 Alors aujourd'hui, cette technologie, on a, les équipes en particulier de PFI du CERN
12:02 ont beaucoup travaillé pour réduire la taille et qu'elle soit intégrée
12:06 et embarquée sur un simple déambulateur.
12:08 Donc le patient aujourd'hui, il utilise cette technologie chez lui depuis plusieurs mois
12:12 pour réaliser des tâches de la vie quotidienne.
12:14 Donc ça, c'est déjà une avancée énorme.
12:16 C'est la première fois qu'il y a une interface cerveau-malle épinéaire
12:18 utilisée par un patient dans le cadre de sa vie quotidienne et non pas qu'en laboratoire.
12:22 Maintenant, l'objectif, c'est d'arriver à réduire encore la taille de ce système-là
12:25 pour passer, tout à l'heure je parlais d'un ordinateur qui vient décoder les signaux,
12:28 passer cet ordinateur-là à une simple puce électronique
12:32 et ça, en particulier, des compétences à Grenoble dans le domaine de la microélectronique
12:36 avec des équipes de chercheurs qui sont capables de développer des puces électroniques
12:39 qui vont permettre de réduire la taille
12:41 et on espère pouvoir embarquer le système, pourquoi pas, à la ceinture dans quelques années.
12:45 Oui, c'est ça, c'est l'objectif, ces quelques années où on vise un peu loin,
12:48 c'est de la recherche fondamentale quand même.
12:50 Voilà, c'est la recherche appliquée, mais c'est vrai que ça prend du temps la recherche
12:52 et il va falloir encore également démontrer l'efficacité de ce système-là
12:56 sur d'autres patients avant de pouvoir élargir.
12:58 Voilà, c'est ça, d'autres patients pourraient en bénéficier ?
13:01 Est-ce qu'il y a déjà... vous avez des contacts avec d'autres patients, peut-être en Isère ?
13:06 Alors, pour l'instant, l'objectif, c'est de pouvoir démontrer
13:09 et reproduire ces résultats avec d'autres patients paraplégiques,
13:12 mais également, on a pour objectif de pouvoir utiliser ces technologies
13:16 sur d'autres applications, d'autres indications,
13:19 comme la restauration du membre supérieur chez des patients tétraplégiques.
13:22 Cette fois-ci, on viendrait placer le stimulateur au niveau des vertèbres cervicales
13:26 et les implants plutôt au niveau de la zone correspondant au mouvement des bras et des mains.
13:31 Et donc, on a obtenu très récemment les autorisations des autorités cliniques suisses
13:37 pour pouvoir démarrer un essai clinique permettant de recruter de nouveaux patients,
13:41 cette fois-ci, tétraplégiques.
13:42 Et vous revenez quand, alors, nous voir ?
13:44 Il faut nous laisser le temps de réaliser les essais cliniques
13:48 et on espère venir vous voir rapidement.
13:50 À ClinAtec, vous travaillez sur d'autres projets également ?
13:53 Oui, il y a d'autres projets, en particulier dans le domaine de la photobiomodulation
13:57 pour, en particulier, la maladie de Parkinson.
14:00 Donc, alors, expliquez-nous un petit peu, parce que la photo,
14:03 c'est avec une histoire de lumière, je crois ?
14:05 Le principe est effectivement d'illuminer et d'apporter de la lumière
14:11 qui va avoir un effet neuroprotecteur permettant d'éviter la dégénérescence
14:15 des neurones dopaminergiques dans le cas de la maladie de Parkinson.
14:18 Et on a développé également un implant et une technologie
14:21 qui permettra, on l'espère, de démontrer cela.
14:23 Merci beaucoup, Guillaume Charvet, d'être venu nous expliquer tout ça. Merci.
14:27 Après marcher, la prochaine étape, ce sera peut-être faire du vélo.
14:31 C'est la grande passion des Hollandais qui se donnent rendez-vous, comme chaque année jeudi,
14:35 pour l'Alpe du Zest. On attend jusqu'à 5000 coureurs.
14:38 Une compétition caritative qui consiste à effectuer la montée des fameux 21 virages,
14:43 une fois, deux fois ou plus, pour les meilleurs.
14:46 Seuls ou à plusieurs, certains peuvent le faire en courant s'ils préfèrent.
14:50 Premier départ à 4h du matin de Bourdoison.
14:52 Les fonds récoltés sont reversés à l'organisme de lutte contre le cancer aux Pays-Bas.
14:57 L'Harmonica fait son show avec une journée régionale de l'Harmonica,
15:02 samedi au bord du lac de Charavigne.
15:04 Précédé jeudi soir d'un concert jam blues de Rachel Plass à la Grange Michel-Agière,
15:10 avec aussi Berfoutiano, que l'on connaît bien ici.
15:13 Vous pourrez aussi rencontrer Rachel Plass à 16h chez Berthé Musique.
15:17 Auteur, compositeur, interprète, c'est une référence du genre.
15:21 Un tour de l'actu dans une heure et en replay sur telegrenoble.net.
15:25 De la folk acoustique mais aussi du rock électrique.
15:28 Pour se quitter avec H Burns qui sera au concert jeudi soir à la Belle Électrique à Grenoble.
15:33 Une soirée où vous retrouverez également Elysian Fields et la sublime voix de Jennifer Charles.
15:38 Excellente soirée à tous.
15:40 [Musique]

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