Pierre-Henri Bovis : «Je ne sais pas ce qui est dramatique ! Si c'est de voir des enfants faire ça ou des parents cautionner un truc pareil»

  • l’année dernière
L'avocat Pierre-Henri Bovis réagit suite aux débordements dans un lycée au Vésinet : «Je ne sais pas ce qui est dramatique ! Si c'est de voir des enfants faire ça ou des parents cautionner un truc pareil».
Transcript
00:00 50 secondes, le mot de la fin vous revient.
00:02 Les travaux d'intérêt généraux, ça c'est quelque chose qui revient souvent.
00:04 C'est quelque chose à préconiser dans ce genre d'exemple ?
00:06 Alors juste en 10 secondes, au vu de ce qui a été diffusé,
00:10 là, votre antenne, sur ce qui s'est passé dans les mortiers,
00:12 j'ai l'impression d'être dans le métaverse, clairement.
00:14 C'est vrai ?
00:15 Quand j'étais au collège-lycée,
00:18 c'est pas non plus il y a 50 ans, vous le voyez à mon âge.
00:21 Ah bon ?
00:21 Euh...
00:22 Vous ne me pliez pas à allumer un briquet dans la cour, quoi.
00:25 On jetait à l'arrière des boulettes de papier en classe, quoi.
00:27 Avec un stylo bille.
00:28 Avec un celui-là.
00:29 Là, on a franchi un gap énorme.
00:31 Il y a l'éducation nationale, évidemment, qui est à côté de la plaque.
00:33 Le rectorat, je sais pas, il fume de l'herbe, j'en sais rien.
00:36 Mais c'est hallucinant de voir un communiqué rédigé d'une telle manière.
00:40 Je ne sais même pas qui, en plus, a pu valider une telle communication.
00:43 Que quelqu'un l'écrive en étant à côté de ses pompes, pourquoi pas ?
00:46 Mais il y a quand même quelqu'un qui l'a validé aussi.
00:48 Donc je ne sais pas.
00:49 L'éducation nationale est complètement mise à part.
00:52 Très rapidement.
00:52 Les parents, pareil.
00:54 Les parents, effectivement, ont une responsabilité énorme.
00:57 Mais je ne sais pas, encore une fois, ce qui est le plus dramatique.
01:00 Si c'est de voir des enfants faire ça ou alors des parents cautionner.
01:03 Un truc pareil.
01:04 [Musique]
01:07 [Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org]

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