• l’année dernière
Les fissures concernent de plus en plus de particulier: en cause le phénomène de retrait-gonflement des sols argileux provoqué par la sècheresse. Problème, pour faire jouer les assurances il faut attendre que sa commune soit déclarée en état de catastrophe naturelle
et ca peut prendre beaucoup de temps.

Category

🗞
News
Transcription
00:00 - D'accord, elle est là ?
00:01 Impossible de passer à côté.
00:03 Elle traverse la maison de bas en haut.
00:07 Une fissure.
00:09 - Après l'été dernier, on a commencé à avoir le jour de la chambre de mon fils.
00:12 Ça continue à bouger, ça continue à s'écarter.
00:15 Conséquence de la canicule et de la sécheresse de l'été 2022.
00:19 Et il n'y a pas que les fissures.
00:21 - On a tout qui a bougé de 2 ou 3 centimètres.
00:23 Mais davantage, il y a presque 5 centimètres.
00:26 - La maison de Lucas a pourtant été rénovée il y a 7 ans.
00:30 Coût des travaux estimé 36 000 euros.
00:33 Trop cher pour le couple.
00:35 - Quand on a signé il y a 7 ans, jamais on se serait imaginé
00:38 qu'on se retrouve aujourd'hui à parler des fissures
00:41 et à attendre une seule décision.
00:43 Celle de passer en catastrophe naturelle.
00:45 - Sophie et Lucas ne sont pas les seuls concernés.
00:48 Dans la commune, 12 autres constructions connaissent des fissures.
00:52 La mairie en a constaté 2 sur ses bâtiments municipaux.
00:56 - Il est sûr que pour les propriétaires qui sont concernés,
00:58 c'est assez catastrophique.
01:00 Ça engendre des frais élevés qui ne sont pas pris en charge
01:04 par les assurances.
01:06 C'est même irréalisable pour certains.
01:10 - Le dossier est examiné par la préfecture depuis le 17 mai.

Recommandations