LE JOURNAL DE LA QUOTIDIENNE : Le journal du jeudi 15 juin 2023

  • l’année dernière
Direction Rognac où les habitants ne peuvent toujours pas consommer l'eau du robinet à cause de la présence d'une bactérie.
La ville a réagit immédiatement en mettant en place un dispositif de distribution de bouteilles d'eau potable, 1 litre et demi d'eau est distribué par personne.

Même cas de figure à Vitrolles où l'eau est toujours impropre à la consommation. Dans l'attente d'une communication de l'agence régionale de santé concernant les résultats des analyses, la question se pose de savoir si des personnes ont déjà été contaminées par cette bactérie.


Dans cette édition on revient sur l'épisode d'averses qui s'est abattue dans le nord et l’est du département. Les conséquences commencent à se faire sentir dans les zones les plus touchées. A Sénas par exemple, certaines vignes étaient encore immergées d’une bonne trentaine de centimètres hier après-midi. Une nouvelle inquiétante pour les futures vendanges. Les récoltes ne sont pas encore perdues mais la situation reste sensible pour les vignes touchées.





Non à la disparition du Fret c'est en substance le message de l'inter-syndicale des cheminots de Miramas. Rassemblés ce matin devant la gare. Ils ont protestés contre le gouvernement français après le don de « Fret SNCF » à des entreprises privées et aux marchés financiers.





Après la philo hier pour les élèves de terminale, les lycéens de première ont commencé à plancher sur le bac de français ce jeudi. Stress et inquiétude pour les élèves, et les parents d'élèves du lycée Maurice Genevoix à Marignane. Ils dénoncent le manque de préparation des textes seulement 13 sur 20 ont pu être étudiés. Sonia ROUIS, Présidente de la Fédération des conseils de parents d'élèves (FCPE), du lycée Maurice Genevoix.



C'était l'invité sur Maritima Radio ce midi, la nouvelle commissaire de Martigues Charlotte Muninger. Interview durant laquelle elle s'est exprimée sur les renforts de police demandée par le maire de Port de Bouc et la lutte contre les trafics de stupéfiants.





On termine cette édition avec un RDV sortie, à martigues les pirates vont prendre d'assaut la place jean jaurés à ferrières. De 10h à 18h de nombreuses animations seront proposées pour les petits et pour les grands... l'occasion de plonger dans le monde de la piraterie le temps d'une journée ...

Vidéo publiée le : 15/06/2023 à 18:30:00

Lien vers l'émission Maritima TV sur Maritima.info :
http://www.maritima.info/tv/programmes/la-quotidienne-le-jt/16054/le-journal-du-jeudi-15-juin-2023.html
Transcript
00:00 *Musique*
00:20 Bonsoir à tous, soyez les bienvenus dans cette quotidienne sur Maritima TV.
00:25 Nous sommes le jeudi 15 juin au menu ce soir une invitée, c'est Laurence Cabrol,
00:31 directrice du Sémaphore à Portebouc, elle viendra nous parler de la grande soirée prévue demain,
00:36 une soirée de présentation de la nouvelle programmation du théâtre, le Sémaphore.
00:42 Mais avant et tout de suite, voici le journal préparé par la rédaction de Maritima.
00:47 Et on commence tout de suite avec l'actualité aujourd'hui, direction Rognac,
00:53 où les habitants ne peuvent toujours pas consommer l'eau du robinet à cause de la présence d'une bactérie.
00:59 La ville a réagi immédiatement en mettant en place un dispositif de distribution de bouteilles d'eau potable.
01:05 Un litre et demi d'eau est distribué par personne. Reportage signé Sandrine Calverac.
01:11 Nous nous sommes rendus à l'espace Saint-Jacques de Rognac,
01:15 où la distribution de bouteilles d'eau potable bat son plein.
01:18 La file d'attente ne désamplie pas, pour autant tout se passe dans le calme et la bonne humeur,
01:23 grâce à une organisation bien ficelée. Bénévoles, conseillers municipaux, tous,
01:28 se mobilisent pour offrir aux habitants le minimum vital. On écoute Stéphanie, mère de trois enfants.
01:35 "Sans eau, on n'a pas de vie. C'est très important, surtout dans cette période, c'est embêtant.
01:41 Vu qu'on ne trouve plus d'eau dans les magasins, on fait avec."
01:45 "Plus d'eau dans les magasins ?" "Non, ils sont en restriction.
01:48 Soit c'est la cohue, c'est hier, impossible de trouver de l'eau."
01:52 "Ici à Rognac ?" "A Rognac. Sur Vitrolles, c'était pareil, c'était presque limité."
01:58 Pour le moment, aucune perspective d'amélioration de la situation.
02:02 On fait le point avec Pierrette Bossy, conseillère municipale à la mairie de Rognac.
02:08 "Ca a démarré il y a déjà plus d'une semaine. On nous a prévenu un vendredi.
02:13 Et nous, nous sommes organisés pour distribuer de l'eau le samedi matin.
02:18 J'ai beaucoup d'espoir que ça s'arrête, mais je pense que malheureusement, nous sommes là pour encore quelques jours.
02:23 Comme toujours, au service de la population, pour essayer de leur apporter un peu d'eau tous les jours.
02:29 Même si je sais que ce n'est pas beaucoup, un litre et demi par jour.
02:32 Mais au moins, nous sommes là et nous continuerons à le faire tant que ce sera nécessaire."
02:37 Et de son côté, la ville de Vitrolles a aussi annoncé depuis ce matin la distribution de 20 000 bouteilles d'eau
02:44 distribuées par la Régie des eaux du Pays d'Aix.
02:47 Vitrolles, où on se rend tout de suite, et c'est le même cas de figure, l'eau est toujours impropre à la consommation.
02:54 Dans l'attente d'une communication de l'Agence régionale de santé de l'ARS concernant les résultats des analyses,
03:00 la question se pose de savoir si des personnes ont déjà été contaminées par cette bactérie
03:06 Michel Montagne s'est rendu au village santé pour prendre le pouls.
03:11 Au rez-de-chaussée du centre médical Vitrolles village santé, le docteur Pierre, médecin généraliste,
03:17 se veut à la fois vigilante et rassurante.
03:20 "Alors pour l'instant, pas d'afflux particulier en termes de symptômes qui pourraient être des douleurs abdominales,
03:26 des diarrhées, tout simplement parce que je pense qu'il y a aussi le temps d'incubation.
03:30 Mais effectivement, déjà aujourd'hui, j'ai eu des enfants avec des diarrhées, des douleurs abdominales.
03:36 Alors c'est difficile de savoir si c'est une gastroenterite virale ou bien le parasite.
03:42 Donc dans ce cas-là, je prêterai quand même un examen parasitologique d'aisselle,
03:48 mais plus à visée épidémiologique car finalement ça ne change pas en prise en charge thérapeutique."
03:54 "Pas d'inquiétude particulière ?"
03:56 "Non, si vous n'avez pas de problème de santé particulier, si vous n'êtes pas immunodéprimé, il n'y a pas de raison de s'inquiéter."
04:03 A l'étage au-dessus, le docteur Fabien Livrati, chirurgien dentiste,
04:06 s'interroge sur le bon usage de l'eau au titre des soins prodigués.
04:10 Dans le doute, il a rehaussé son seuil de précaution.
04:13 "On a gardé en fait nous les recommandations lors du Covid, c'est-à-dire qu'on n'a plus de crachoirs dans le cabinet.
04:18 Notre eau est filtrée et elle est vaporisée lors des soins dentaires.
04:23 On demande strictement à nos patients de ne pas l'avaler et de faire un rinçage avec une solution antiseptique immédiatement après le soin.
04:30 Alors on a la chance d'avoir des fauteuils avec des irrigations indépendantes.
04:33 Donc on a en fait rempli les bouteilles d'eau des fauteuils pour éviter d'utiliser au maximum les solutions d'eau qui viennent de la commune.
04:40 Donc on utilise ces bouteilles d'eau au maximum.
04:43 Après, heureusement, on a un cabinet plutôt orienté sur la chirurgie et à ce moment-là,
04:48 c'est de l'eau stérile en fait, dans des poches stériles qui est complètement indépendante et des sérums physiologiques.
04:53 Pour l'instant, on arrive à gérer. On prévient quand même nos patients,
04:56 surtout des patients avec des états de santé à risque ou qui sont préoccupants,
05:01 qu'on a une infection dans laquelle on n'a pas de recommandation encore une fois de la part de nos autorités.
05:06 Donc si ce n'est pas des soins urgents, on essaie de différer ou de décaler si on est dans une situation à risque.
05:13 Mais on a connu bien pire déjà avec la situation Covid, donc on commence à être rôdé."
05:17 Et dans cette édition, on revient évidemment sur l'épisode d'Avers qui s'est abattu dans le nord et dans l'est de notre département.
05:24 Les conséquences commencent à se faire sentir dans les zones les plus touchées à Sénas.
05:29 Par exemple, certaines vignes étaient encore immergées d'une bonne trentaine de centimètres hier en fin de journée.
05:35 Une nouvelle inquiétante pour les futurs vendanges.
05:38 Regardez ce reportage signé Joe et Temple.
05:42 Les pieds embourbés et les bottes noyées sous 30 centimètres d'eau, Nicolas Mertz, propriétaire du domaine, peine à avancer dans ses vignes.
05:49 Le désarroi est total pour le jeune viticulteur qui a vu la pluie s'abattre sur ses cultures mardi soir.
05:54 "Ca s'est monté tout noir et d'un coup ça s'est mis à tomber très très fort et ça s'est pas arrêté pendant deux heures.
06:01 Et on a vu au fur et à mesure l'inondation, on n'est pas resté dehors regarder l'inondation,
06:06 mais on est ressorti vers 6h30 quand ça s'est un peu calmé.
06:09 Et on a vu la route tout à côté qui était toute inondée.
06:13 Et là on voit nos 30 ou 40 centimètres d'eau dans les vignes et l'impossibilité de travailler dans nos vignes."
06:18 Le pluviomètre de Nicolas a débordé pendant les intempéries.
06:21 Autour de lui, ses voisins évoquent 180 millimètres de précipitation par mètre carré, des chiffres impensables à cette période de l'année.
06:28 "Pour nous c'est totalement inédit parce que d'avoir 40 centimètres d'eau comme ça dans les vignes c'est quasiment impossible
06:33 parce que normalement c'est des terres qui sont assez drainantes.
06:35 L'eau elle draine très facilement et très vite à chaque fois qu'on prend de l'eau, on rentre dans les vignes très facilement le lendemain, voire le surlendemain.
06:42 Et c'est surtout ce qui est surprenant, c'est que là on est quasiment à 24h de l'orage, ça fait 24h que l'orage est tombé,
06:48 il y a toujours 30 ou 40 centimètres d'eau dans les vignes.
06:51 Donc on ne sait pas combien de temps ça va passer à donner.
06:54 Et quand on voit les mémoires d'anciens, c'était des événements qui arrivent normalement en septembre, octobre et pas forcément sous le mois de juin."
07:01 En plein mois de juin, synonyme de formation des premières grappes, cette catastrophe va à coup sûr retarder et handicaper la saison de Nicolas.
07:08 "Ça va amener beaucoup de repousse d'herbe en plus, ça va amener beaucoup plus de travail,
07:12 ça va nous empêcher de travailler aussi pendant une bonne semaine, voire dix jours, parce qu'on ne va pas pouvoir rentrer,
07:18 on ne peut rentrer avec aucune machine, on ne peut rentrer avec rien.
07:20 Et ça va rendre la vigne beaucoup plus sensible aux maladies cryptogamiques,
07:24 donc des choses comme des maladies qui peuvent détruire totalement une récolte.
07:27 On va voir les conditions de la semaine prochaine, ça va être essentiel, il ne faut pas qu'il re-de la pluie, sinon là ça va commencer à devenir très compliqué."
07:35 Le viticulteur compte désormais sur sa dernière option, le mistral, pour l'aider à sécher ses sols
07:40 et ainsi pouvoir reprendre son travail dans l'espoir de réaliser une bonne vendange.
07:45 Alors pour l'heure, les récoltes ne sont pas encore perdues,
07:48 mais la situation reste sensible pour les vignes qui sont touchées par les averses.
07:53 Et une bonne nouvelle à présent dans ce journal, les averses qui n'ont pas d'impact sur la qualité des eaux de baignade.
08:00 Pour le moment, dans les temps de baire, toutes les plages sont donc ouvertes et autorisées à la baignade.
08:06 Nom à la disparition du fret, c'est en substance le message de l'intersyndicale des cheminots de Miramas.
08:16 Rassemblés ce matin devant la gare, ils ont protesté, notamment contre le gouvernement français,
08:22 après le don de fret SNCF à des entreprises privées et aux mains des marchés financiers.
08:28 Baptiste Lhon était sur place, regardez.
08:30 Ils étaient nombreux devant la gare de Miramas pour dénoncer la liquidation de fret SNCF par le gouvernement français.
08:37 Accusé par la commission européenne d'avoir investi dans cette filiale,
08:40 le principe de concurrence libre et non faussée n'a donc pas été respecté.
08:44 Pour François Tégédor, secrétaire régional CGT des cheminots de PACA,
08:48 beaucoup de cheminots répondent à l'appel lors de ces rassemblements qui ne sont pas seulement régionaux.
08:53 On est extrêmement satisfaits. Il y a aussi un rassemblement au niveau national
08:57 qui est organisé contre une nouvelle filiale qui s'appelle GIE.
09:03 Et aujourd'hui, nous ici, localement, pour dénoncer les effets de la liquidation de fret SNCF,
09:08 on est satisfaits parce qu'on n'attendait pas autant de monde.
09:11 C'est une période où il y a déjà des congés et donc du coup, on ne pensait pas qu'il y ait autant de monde.
09:18 Et donc, on est très satisfaits du monde qui est venu pour s'opposer à la liquidation de fret SNCF.
09:24 Fumigène à la main, les communistes des Boudjourones écrivent sur le sol leur mécontentement
09:29 et appellent le gouvernement à revenir à la raison en mettant les moyens nécessaires
09:33 pour répondre à la nécessité d'un report modal de la route vers le rail.
09:37 Pour Natacha Mallet, secrétaire au bureau exécutif de la Fédération des Boudjourones,
09:42 des initiatives ont été prises pour faire face à cette décision du gouvernement français.
09:47 Et vous avez donc un appel national qui a été lancé avec les organisations syndicales,
09:51 différents partis politiques progressistes, dont le parti communiste, des associations.
09:55 Alors, c'est une action qui, du coup, permet aussi de populariser vis-à-vis des citoyennes et des citoyennes de cette commune
10:01 et plus largement au niveau de l'ensemble de la nation et de montrer qu'en fait,
10:05 il y a des choix libéraux qui sont opérés au niveau de la Commission européenne,
10:08 on a des choix libéraux qui sont opérés par le gouvernement français.
10:11 Et donc la direction de la SNCF, en fait, répond à ces dogmes libéraux.
10:15 De plus, au moment où les questions environnementales sont dans tous les sujets d'actualité,
10:19 les cheminots constatent un véritable non-sens suite aux décisions prises lors du G7 2023
10:25 quant à la nécessité de réduire les gaz à effet de serre.
10:28 Et moins d'une semaine, quelques jours seulement après son installation,
10:33 un des deux radars du pont autoroutier de Martigues, celui dans le sens Marseillefoss,
10:37 a déjà été incendié. Prudence puisque la vitesse reste toujours limitée à 50 km/h.
10:43 Pour rappel, des travaux sont en cours et les voies de circulation sont réduites.
10:48 Ce radar devrait être remplacé dans les jours qui viennent.
10:52 Et après la philo pour les élèves de Terminal hier,
10:58 les lycéens de première ont commencé à plancher sur le bac de français.
11:02 Ce matin, stress et inquiétude pour les élèves et les parents,
11:06 notamment du lycée Maurice-Genevois du côté de Marignane.
11:09 Ils dénoncent le manque de préparation des textes.
11:12 Seulement 13 textes sur 20 ont pu être étudiés cette année.
11:17 Sonia Rouis est présidente de la Fédération des conseils des parents d'élèves, la FCPE,
11:22 du lycée Maurice-Genevois. Elle répond à Laurence Durandot.
11:26 On est inquiets pour deux raisons.
11:29 La première, c'est qu'il y a un problème à niveau national.
11:32 C'est pour ça qu'on interpelle le lycée, parce qu'il y a une pénurie de professeurs.
11:36 Les remplacements, c'est une erreur de casting.
11:39 On a l'impression que c'est pris à la légère et on ne comprend pas.
11:42 C'est un service public et les enfants doivent être accompagnés.
11:46 Ça n'en préjudice les enfants qui ne sont pas bons en français,
11:49 qui n'ont pas la même chance que les autres. Ce n'est pas égalitaire.
11:52 Ça rajoute du stress pour les enfants qui se débrouillent bien.
11:55 On leur demande d'être autonomes, mais comment des enfants de 17 ans
11:58 qui passent pour la première fois une épreuve de baccalauréat français,
12:02 mais en plus de ça, avec le nouveau système de parcours sup',
12:05 les enfants se mettent une pression qui n'a pas lieu d'être.
12:09 Pour cela, on tire la sonnette d'alarme.
12:12 On ouvre aussi une brèche pour les élèves qui sont en seconde
12:15 et qui vont arriver l'année prochaine.
12:17 La professeure va-t-elle reprendre de son congé maternité ?
12:21 Va-t-elle être remplacée ? Donc forcément, pour toutes ces raisons-là,
12:25 on en colère et on veut le faire savoir.
12:28 Et puis c'était notre invitée sur Maritima Radio ce midi,
12:32 la nouvelle commissaire de Martigues, Charlotte Muninger.
12:36 Interview durant laquelle elle s'est exprimée sur les renforts de police
12:41 demandés par le maire de Porteboucq, mais aussi sur la lutte
12:44 contre le trafic de stupéfiants dans cette ville.
12:47 Je vous propose de l'écouter.
12:49 Avec le maire de Porteboucq, effectivement, dès mon arrivée,
12:52 on s'est rencontrés, on a échangé, dans de très bonnes conditions.
12:56 Il réclame des renforts. C'est ce qui est arrivé.
12:59 On a eu des renforts pas mal l'année dernière.
13:01 On a un chiffre précis ?
13:03 On était sur 12 fonctionnaires qui sont arrivés déjà.
13:06 J'étais pas encore arrivée sur Martigues.
13:08 Et là, en septembre, on va avoir des fonctionnaires supplémentaires,
13:11 des policiers de terrain, qui pourront aller travailler sur Porteboucq,
13:16 sur les cités sensibles de Porteboucq.
13:18 Mais à force de travail au quotidien, de présence sur la voie publique,
13:23 d'opérations coup de poing, on arrive à faire de belles choses
13:27 et à faire de belles affaires avec de grosses saisies de stupéfiants.
13:30 C'est un travail de longue haleine.
13:31 C'est un travail de longue haleine, un travail de voie publique
13:33 et un travail judiciaire derrière, où il y a des enquêtes
13:35 qui ne sont pas forcément vues, mais qui permettent
13:37 de démanteler des trafics en profondeur.
13:39 Le trafic de stupéfiants, effectivement, c'est une des priorités,
13:42 mais comme on le disait, la sécurité publique,
13:45 les priorités sont nombreuses et multiples.
13:48 Donc il y a le trafic de stupéfiants, mais on sait que la population
13:51 est également très sensible au cambriolage et aux violences conjugales.
13:54 Donc tout est important.
13:56 Une interview réalisée par Manuel Danlois.
14:00 Et puis, selon nos confrères de la Provence,
14:03 le président de la République, Emmanuel Macron,
14:06 a prévu une visite à Marseille.
14:08 Ça sera du 26 au 28 juin prochain.
14:10 Objectif, lancer l'étape 2 du plan Marseille en grand.
14:15 Marie Thima sera évidemment sur place pour vous faire vivre
14:18 cette visite présidentielle.
14:20 Et puis on termine ce journal et cette édition
14:23 avec un rendez-vous sorti à Martigues.
14:25 Les pirates vont prendre d'assaut la place Jean Jaurès
14:28 du côté de Ferrière, de 10h à 18h.
14:31 De nombreuses animations seront proposées pour les petits et pour les grands.
14:35 L'occasion de plonger dans le monde de la piraterie,
14:38 le temps d'une journée, je vous le rappelle,
14:40 c'est ce samedi du côté de la place Jean Jaurès de 10h à 18h.
14:45 Voilà, c'est la fin de cette édition.
14:47 Je vous propose de jeter un coup d'œil à la météo pour la journée de demain.
14:50 [Musique]

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