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L'interview Tac O Tac de Florence Aubenas. La journaliste se livre en réagissant à des mots qui font sens pour elle.

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Transcription
00:00 Je m'appelle Florence Aubenas et je vais répondre à une interview du TAC O TAC.
00:05 Ma maman de Jacques m'a appris à répondre à côté des questions, à être libre et à me soucier peu des convenances. Tu confirmes ?
00:18 Je confirme. Moi Florence m'a appris à trouver une fille qui me plaisait.
00:25 Parce que c'est très facile d'être une mère et d'aimer ses enfants, mais d'avoir des enfants qui vous conviennent, c'est tout à fait différent. Et Florence me convient plus que parfaitement.
00:34 Libération c'était l'endroit merveilleux. Ça symbolisait tout, ça symbolisait le journalisme, ça symbolisait la contre-culture, le contre-pouvoir. J'y ai tout appris.
00:51 Le Rwanda, mon premier grand reportage. La mère de tous mes grands reportages.
00:57 Être otage c'est être dans la main de quelqu'un et essayer quand même d'être libre.
01:06 Le plaisir.
01:09 Mon travail.
01:15 Être journaliste. On me demande souvent comment est-ce qu'on devient journaliste, qu'est-ce qu'on fait quand on est journaliste. En fait, moi c'est être journaliste qui m'a fait devenir ce que je suis.
01:27 Très banalement, le premier reportage, la première fois où j'ai interviewé des gens et où je me suis laissé happer par leur histoire qui m'a immédiatement conquise.
01:40 Oncle Liv, c'est l'arbitre des élégances, c'est l'oncle qui nous a montré comment vivre.
01:47 Jamais peur du monde.
01:50 Oh, j'ai déjà dit tellement de choses.
01:55 Moi je suis contente de t'avoir mis au monde et que tu m'ouvres le monde. Donc c'est un prêté, un rendu et un bonheur absolu.
02:06 Le soir. Repensons notre quotidien.
02:10 *Bruit de pet*
02:10 [SILENCE]

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