• il y a 2 ans
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Éducation
Transcription
00:00 Alors, je reviens à mon affaire et je vous dis que des leviers ont été pris contre les juifs, mais est-ce que vous savez, est-ce que vous savez qu'il était interdit de voler un juif ou de tuer un juif pour risquer la peine de mort ?
00:24 J'ai écrit là-dessus, par exemple, j'ai fait des évents en Ukraine, en France, pour les périodes, si un homme pénétrait, je prends l'exemple de la ville de Marimouda en Ukraine.
00:42 Un officier, c'est une juif, découvre un poste de radio, c'est interdit, et alors une dispute s'ensuit et l'allemand il met la ferme, si on peut dire, en tuant la juif.
01:04 Maintenant, il passe en cours martial, il est condamné à mort et il est fusillé. Expliquez-moi ce pas et j'ai un autre cas. C'était interdit, on n'avait pas le droit.
01:20 Oui, mais il faut savoir qu'il y a des choses très déconnantes, n'est-ce pas ? Par exemple, il y a l'Allemagne, comment ?
01:35 Mais je n'ai jamais dit cela, pourquoi ? Pourquoi déformez-vous ? Écoutez, il y a un public, deux autres publics, qui viennent en train de déformer le concours.
01:47 Nous, c'est le peuple français, les gars. Alors, vous êtes en train de déformer devant tout le monde les propos.
01:57 Oui, mais je ne pouvais pas vous déformer les propos. Est-ce que tu entends bien ces biens qu'il essaye d'affirmer ?
02:07 Non, alors ne dites pas que je l'ai dit. Vous avez l'air de vous étonner. Mais j'ai l'air, voilà. Vous faites attention, non pas à ce que je dis, mais à ce que j'ai l'air de dire. Alors faites attention à ce que je dis.
02:21 Écoutez, vous n'avez pas le droit de... Si, si, si. Par exemple, j'en ai le droit. Vous devez faire attention à ce que je dis et pas à ce que j'ai l'air de dire.
02:31 Bon, d'accord. Vous l'avez dit, l'air de dire. Voilà. Maintenant, vous pouvez continuer et si on vous dérange pas...
02:37 Alors, oui, oui, oui. Vous avez l'air d'avoir...
02:39 Au musée d'Auschwitz, ainsi, le bloc 5 présente ce que les historiens appellent "les preuves matérielles des crimes".
02:51 On y voit un tas de lunettes, des châles de prière, des prothèses, des valises, de la vaisselle en émail, des abysses et des affaires d'enfants.
03:20 Des chaussures. Une demoiselle déclare...
03:24 Je ne savais pas que les chambres à gaz, ça avait fait tant de morts. En fait, il y a plein de choses qu'on ne savait pas avant de venir.
03:30 On ne s'attendait pas à en voir autant et vraiment, c'est choquant. On n'a vu l'horreur en personne aujourd'hui.
03:35 Ce jeune ajoute...
03:37 Ça faisait aussi un peu peur parce qu'on voyait qu'il y avait vraiment beaucoup, beaucoup de monde. Il y avait une grande allée remplie de chaussures.
03:46 On se dit qu'il y a eu vraiment une grosse boucherie. On pourrait appeler ça une boucherie.
03:53 Mais ni l'un ni l'autre ne s'interrogent. D'un côté, on nous dit que les SS effacèrent minutieusement toutes les traces du meurtre de masse,
04:02 allant jusqu'à démonter les fours avant de dynamiter les crématoires.
04:07 Et de l'autre, on nous dit qu'ils abandonnèrent ces monceaux d'objets qui seraient des preuves.
04:13 C'est totalement contradictoire et cela devrait poser question.
04:17 Ces objets sont-ils des preuves incontestables qu'à Birkenau, les déportés inaptes au travail auraient été gazés ?
04:25 Non. Dans l'encyclopédie en 5 tomes publiée par le musée d'Auschwitz, je conseille la lecture de l'article consacré au pillage des biens appartenant aux déportés sélectionnés pour le travail.
04:37 On apprend que l'argent, les vêtements, les chaussures et les effets personnels des juifs admis à Auschwitz étaient saisis puis déposés avec ceux des non-juifs.
04:47 J'ajoute qu'en 1944, les juifs hongrois déportés arrivèrent chargés de bagages.
04:53 Or, ils n'étaient autorisés qu'à en conserver le minimum.
04:57 Le reste était entassé avant d'être transporté par camion jusqu'au secteur appelé Canada.
05:03 Ces juifs ont été admis au camp.
05:06 Elles n'ont pu conserver qu'un strict minimum, un pot émaillé, une bouteille, une timbale.
05:12 Toutes leurs affaires, sacs, valises, vêtements, effets personnels et chaussures, vont se retrouver au Canada.
05:21 Pourtant, ces juifs n'ont pas été tués. Un certain nombre d'ailleurs survivra.
05:26 La guide d'Auschwitz trompe donc ces jeunes lorsqu'elle explique...
05:30 40 000 paires de chaussures, c'est comme assassiner 40 000 personnes.
05:35 Alors ces chaussures représentent 5 jours de ces génocides. 5 jours.
05:43 L'historien Henri Amouroux a coutume de dire que sur le chapitre de la seconde guerre mondiale, on a menti, beaucoup menti.
05:53 On ne peut que l'approuver.
05:55 Et les chambres à gaz constituent un exemple de ces mensonges.
05:59 Je prendrai un exemple reconnu de mensonge, c'est celui de la chambre à gaz de Dachau.
06:05 Voici par exemple une photographie très connue qui a circulé dans le monde entier et qui représente un soldat américain devant la prétendue chambre à gaz de Dachau.
06:17 En réalité, il s'agit d'une chambre à gaz de désinfection.
06:21 Cette photo est à peu près aussi connue.
06:26 Elle représente des officiels américains consternés en train de visiter ce que l'on appelle la chambre à gaz de Dachau, sur laquelle, je le répète, il y a eu de très nombreux témoignages.
06:38 Et bien aujourd'hui, que voyons-nous ?
06:41 Aujourd'hui, et depuis 1960, on reconnaît qu'il n'y a jamais eu de chambre à gaz à Dachau.
06:48 Voici l'inscription officielle en 5 langues telles qu'elle peut se lire aujourd'hui.
06:54 Je lis la version française.
06:56 Pour Dachau, chambre à gaz, chambre de douche, camouflé, ne fut jamais utilisée.
07:05 Autrement dit, il n'y a jamais eu de gazage.
07:08 Ce qui est intéressant, c'est que les personnes officielles de Dachau se permettent d'appeler cette pièce chambre à gaz.
07:18 Ils n'ont aucune raison de le faire.
07:20 Et, si j'aurais posé la question, je leur ai dit, de quel droit pouvez-vous baptiser de chambre à gaz une pièce qui n'a jamais été utilisée en tant que telle ?
07:31 Une pièce dont vous nous dites qu'elle a été commencée en 1942 et non terminée en 1945.
07:38 Comment peut-on savoir qu'une pièce qui n'est pas terminée est destinée à devenir, une fois terminée, une chose que l'on n'a jamais vue dans sa vie ?
07:46 Eh bien, bien entendu, je n'ai jamais eu de réponse sur ce point-là.
07:50 Voilà donc un exemple de mensonge et de mensonge officiel.
07:56 Mais on pourrait multiplier les exemples de supercherie.
08:00 Voici un exemple.
08:02 Regardez bien cette double photo.
08:05 En haut, des hommes, dont on ne saurait dire d'ailleurs s'ils ont été photographiés dans un camp allemand ou ailleurs.
08:12 Et en bas, les mêmes, mais avec à leurs pieds des cadavres accumulés.
08:18 On a trouvé que cela ne faisait pas assez, alors on en a ajouté.
08:23 Voici une photo qui figure aujourd'hui dans un manuel d'histoire distribué aux enfants de France et qui est censé représenter une chambre à gaz.
08:33 Vous en réfléchissez un instant.
08:35 Il s'agit tout simplement d'une salle de bain.
08:38 Il y a des vitres dans une chambre à gaz. Vous ne risqueriez pas d'avoir des vitres.
08:42 Il suffirait de les briser et tout serait fini.
08:45 Je suis prêt à croire que les nazis ont voulu conserver les déportés susceptibles de travailler pour eux.
08:52 Cependant, la Shoah concerne avant tout les juifs déclarés inaptes au travail.
08:57 Ceux-là étaient exterminés immédiatement dans les chambres à gaz.
09:01 À l'appui de cette réponse, vous invoquerez par exemple l'ouvrage d'Hann Greenberg sur la Shoah.
09:07 Il commence avec ces photos prises à Auschwitz par les SS lors de la déportation des juifs hongrois.
09:13 On lit "Jugés inaptes au travail, les vieillards, les malades, les femmes arrivées avec des petits-enfants prennent la route des crématoires 2 et 3 dont on distingue la haute cheminée derrière les wagons.
09:26 Ils marchent environ 200 mètres avant de pénétrer dans la cour du crématoire.
09:31 Puis ils empruntent un escalier d'une dizaine de marches et entrent dans la salle de déshabillage, dernière étape avant la chambre à gaz.
09:39 Épuisés par le voyage, ébêtés par l'extrême rapidité des opérations, sans forces et sans armes, ils ne sont plus en mesure de se révolter.
09:49 D'autres doivent marcher 700 mètres le long de la Lagerstrasse A en direction des crématoires 4 et 5.
09:57 Avant d'être gazés, ils attendent, des heures parfois, dans le bois de boulot tout proche, le Birkenwald.
10:04 Les enfants pleurent, réclament de l'eau, certains adultes s'interrogent anxieusement sur le nuage de fumée qui les entoure, sur l'odeur pestilentielle qui se répand, mais il n'y a aucune fuite possible.
10:16 Vous ajouterez, madame, que de nombreux témoignages confirment et complètent cette description photographique, à commencer par celui de Simone Veil.
10:25 L'ennui est que Simone Veil n'est pas un témoin oculaire des chambres à gaz homicides.
10:30 Les derniers survivants, nous avons le droit, et même le devoir, de vous mettre en garde et de vous demander que le plus jamais ça de nos camarades devienne réalité.
10:45 Racontait l'horreur des camps de la mort le devoir de toute une vie pour Simone Veil.
10:50 Elle, l'ancienne déportée, la rescapée, devenue la conscience de toute une nation.
10:56 Mars 1944, à Nice, elle s'appelle alors Simone Jacob.
11:02 Au lendemain de son bac, elle est arrêtée parce que juive.
11:07 Direction le camp de Drancy, puis Auschwitz-Birkenau, camp d'extermination nazi.
11:13 Son père, sa mère et son frère, déportés eux aussi, ne reviendront jamais.
11:19 Celles qui avaient été séparées de leur père, de leurs enfants ou de leurs parents, on demandait "Où sont-ils ?"
11:27 On disait "Regardez, regardez, ça y est, vous voyez la chambre à gaz est là, vous voyez la fumée, c'est déjà eux qui brûlent."
11:36 Comme tant d'autres, je pense à Denise Holstein, Ginette Kolinka, Simone Veil n'a fait qu'entendre les racontards morbides que les anciens déportés débitaient au nouveau venu.
11:46 Mais elle n'a jamais vu une chambre à gaz.
11:49 Plus grave, Simone Veil est un faux témoin.
11:52 En 2004 par exemple, elle prétendit que pendant l'année 1944 à Birkenau, elle n'avait jamais vu le ciel.
12:00 C'était à cause du crématoire, de la fumée noire en suspension.
12:05 Le journaliste qui a recueilli ces propos renchérit "Simone Veil ne se souvient pas avoir vu le soleil en 1944.
12:13 La fumée noire des fours crématoires obscurcissait le ciel."
12:17 Or, voici une photographie aérienne de Birkenau prise le 31 mai 1944.
12:23 Les deux grands crématoires sont entourés.
12:26 Aucune fumée ne sort des cheminées et le ciel reste parfaitement dégagé.
12:31 Même remarque sur cette photo du 23 août.
12:34 Si l'on accepte ce panache de fumée blanche, le ciel est visible de tous les endroits du camp.
12:40 Il en va de même à la date du 13 septembre.
12:43 Bref, Simone Veil a menti au journaliste de Paris Match.
12:47 Elle a menti de façon éhontée.
12:49 Ce n'est donc pas un témoin fiable.
12:52 Si vous lui faites confiance, madame, c'est parce que vous n'avez pas pris la peine d'étudier objectivement le dossier.
12:58 J'en termine avec la photo de madame Simone Veil.
13:02 Et pourquoi ? Ce n'est pas que je veuille m'en prendre à elle spécialement.
13:06 Tout le monde sait qu'elle a été déportée à Auschwitz et qu'elle y a souffert.
13:11 Mais voici qui est très intéressant.
13:14 Figurez-vous que madame Simone Veil est née Simone Jacob.
13:19 Elle est née le 13 juillet 1927.
13:22 Or, officiellement, cette Simone Jacob, née le 13 juillet 1927 à Nice,
13:29 a été enregistrée comme gazée le 16 avril 1944 à Auschwitz.
13:37 Madame Simone Veil n'a pas été gazée.
13:40 Elle vit.
13:42 Elle fait partie de ceux qui prétendent qu'il y avait des chambres à gaz à Auschwitz.
13:46 Elle reconnaît n'avoir rien vu de tel.
13:49 Mais elle certifie que les chambres à gaz ont existé.
13:52 Je dis, moi, qu'il s'agit d'un acte de foi religieuse et que cela n'a rien de scientifique.
13:58 Et c'est ainsi qu'on nous a inventé d'innombrables faux gazés.
14:03 Il y a une question qui revient lorsqu'on évoque la persécution des révisionnistes auprès de gens bienveillants.
14:10 Ils se demandent s'il vaut la peine d'y consacrer sa vie.
14:15 Qu'est-ce que vous pouvez leur répondre ?
14:17 Ma réponse est très simple.
14:20 C'est qu'aujourd'hui, l'Holocauste permet de rejeter automatiquement toute société d'ordre.
14:32 Avec le fameux argument "on sait où ça a mené".
14:35 Je ne dis pas que ça cause le rejet d'une société d'ordre.
14:41 Mais en tous les cas, ça la justifie.
14:43 Les gens disent qu'on ne veut pas de société d'ordre.
14:46 Pourquoi ? On sait où ça a mené.
14:48 Vous avez beau parler des réussites sociales, du bien commun,
14:54 à chaque fois les gens disent "on sait où ça a mené".
14:58 Nous sommes dans une société très individualiste,
15:04 qui privilégie les biens particuliers par rapport aux biens communs.
15:08 Et toute cette société est justifiée par le fait que
15:13 la démocratie n'est pas très bon comme système, mais c'est le moins mauvais
15:16 parce que le marxisme, on a vu où ça a mené, c'est pas génial.
15:19 Et puis surtout, le nationalisme, on sait où ça mène.
15:23 Donc, tant que le révisionnisme n'aura pas triomphé,
15:27 il y aura un verrou et ce verrou fermera toute possibilité.
15:33 Les gens vont voir de la misère tous les jours,
15:36 ils ne donneront pas les moyens de la supprimer.
15:38 Absolument pas, parce qu'ils diront d'abord, on reste très individuel,
15:41 du moment que moi je m'en sors, que je tiens mon épingle du jeu, c'est déjà pas mal.
15:45 Et puis surtout, ils veulent rester dans, ils veulent,
15:49 ils voudraient corriger les défauts d'un système en restant dans ce système,
15:52 au motif que, si ce n'est pas ce système-là,
15:55 les autres systèmes amèneront, et notamment les systèmes nationalistes,
15:59 amèneront au crime absolu.
16:01 Donc, on est bloqué.
16:03 Et moi, personnellement, voilà, je leur ai dit,
16:05 je n'avais pas absolument aucun intérêt pour l'histoire,
16:07 enfin aucun intérêt, pas plus que quelqu'un,
16:09 que un citoyen lambda.
16:11 Mais à chaque fois que je disais,
16:13 ne vous pensez pas qu'il faudrait quand même revenir à des sociétés
16:16 plus d'ordre, plus organique, etc.
16:19 C'était toujours, mais t'es fou,
16:21 tu veux revenir à ces camps de concentration ?
16:25 Et c'est comme ça, au bout d'un moment, je me suis dit, mais on ne peut pas en sortir.
16:27 À chaque fois, aucune discussion n'est possible,
16:30 parce que, on arrive au point Godwin,
16:33 voilà, on ne peut pas, il ne faut plus tout ça,
16:35 parce qu'on arrive aux camps de concentration.
16:37 Et c'est à ce moment-là que,
16:39 quand j'ai découvert un peu par hasard, grâce à un libraire, le révisionnisme,
16:42 je me suis engouffré dans la brèche.
16:44 Parce que j'ai dit, mais oui, moi j'ai été vachement gêné,
16:46 je me suis dit, mais non, on pourra refaire du nationalisme
16:49 sans exterminer quiconque.
16:51 Mais c'était très très difficile.
16:53 Alors le jour où j'ai appris en plus qu'il y avait du révisionnisme,
16:56 je me suis engouffré dans la brèche.
16:58 Bon, Flavu l'a récupéré déjà, tiens les micros.
17:08 Il m'a donné beaucoup de fil à retordre,
17:10 vraiment résistant et bonne puissance.
17:12 C'est difficile.
17:14 Respect à lui, énormément.
17:16 Et libéré Vincent Reynoir.
17:18 Je ne connais pas trop Vincent,
17:20 mais je pense que c'est quelqu'un qui est assez proche.
17:23 (Bruit de bruit de micro qui s'écrase)
17:25 (Bruit de micro qui s'écrase)
17:27 [SILENCE]

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