LE JOURNAL DE LA QUOTIDIENNE : Le journal du mercredi 28 juin 2023

Maritima Médias

l’année dernière

Plan Marseille en Grand : Emmanuel Macron s'est rendu à la gare maritime où il a évoqué devant les élus locaux l'avenir du grand port maritime de Marseille-Fos.

Emmanuel Macron entame son dernier jour de visite à Marseille, dans le 10ème arrondissement, cité Benza. Le président a évoqué la question des copropriétés dégradées, dont les appartements sont pour la plupart tenus par des marchands de sommeil.

A Berre L'Etang, un nouveau centre médical va ouvrir ses portes. Pour faire face au désert médical, la municipalité a vendu un terrain à un investisseur privé qui a déjà créé plusieurs centres médicaux dans le département.

Arcelor Mittal. Une réunion se tenait ce matin entre les représentants des salariés et la direction. Elle devait être une avancée dans le dossier mais il faudra finalement attendre demain pour être fixé.

Le concert de la chanteuse Margot Simone au piano bar le Rendez-Vous à Croix-Sainte a eu lieu hier soir. C'était la première fois que l'artiste se produisait dans sa ville natale. ...

Vidéo publiée le : 28/06/2023 à 18:31:00

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00:00 *Générique*

00:20 Bonsoir à tous et bienvenue dans ce journal préparé par la rédaction.

00:24 Nous sommes le mercredi 28 juin.

00:26 A la une ce soir nous reviendrons sur les annonces fortes d'Emmanuel Macron à Marseille ce matin,

00:31 dans le cadre de son plan "Marseille en grand".

00:34 C'est le dernier jour du déplacement du Président de la République dans la cité phocéenne.

00:38 Hervé Ricot est en plateau avec nous, il nous en dira plus.

00:42 Et puis c'est un dossier que l'on suit de près à Maritima.

00:45 On vous donnera des nouvelles d'ArcelorMittal.

00:48 On terminera ce journal en musique avec le concert de Margot Simon,

00:52 une artiste martégale à l'avenir prometteur. Place au journal de la rédaction.

00:57 Emmanuel Macron entame son dernier jour de visite à Marseille,

01:00 dans le dixième arrondissement cité "Benza".

01:03 Le Président doit évoquer la question des copropriétés dégradées,

01:07 dont les appartements sont pour la plupart tenus par des marchands de sommeil.

01:11 Un sujet crucial pour le maire Benoît Payan,

01:13 qui fait de la lutte contre l'habitat indigne son fer de lance depuis les municipales 2020.

01:19 On peut trouver aujourd'hui des appartements à Marseille à 15 000 euros.

01:24 On trouve ça et ça existe. Et ça, ça ne peut pas aller.

01:28 Vous comprenez bien que ces gens-là profitent d'ailleurs spécifiquement du système qui est mis en place.

01:33 C'est un effet pervers. Ils ont des loyers garantis par la CAF.

01:37 Ils font des surloyers. Il faut que vous imaginez qu'on a des appartements qui coûtent 15 000 euros,

01:42 qui font 60 mètres carrés, et on a des loyers à 800 euros.

01:48 Est-ce que vous imaginez ce que ça veut dire ?

01:51 Est-ce que vous imaginez la rentabilité de ces voyous et ce qu'ils sont capables de faire ?

01:56 Donc il faut une loi pour les arrêter aujourd'hui.

01:59 En plus de coûter cher, ces appartements sont laissés en décrépitude par les propriétaires et les bailleurs.

02:05 Écoutez le témoignage de Boukoussa, qui espère voir le passage du président changer son quotidien.

02:11 Moi, par exemple, chez moi, c'est impossible, c'est inhabitable.

02:15 C'est-à-dire qu'on n'est six personnes, on vit dans un appartement étroit, c'est petit,

02:20 l'état de l'appartement n'est pas rénové.

02:23 Moi, je suis électricien, j'ai été obligé d'intervenir chez moi pour dépanner, pour rénover.

02:29 Comme ça, il n'y a pas de risque de prendre le courant.

02:33 Même dans les parties communes, les électricités, elles datent de 1960.

02:39 C'est pour ça, des fois, il y a des feux, des fois, les pompiers, ils viennent pour éteindre le feu.

02:46 Alors que normalement, ça ne devrait pas se passer comme ça.

02:49 Normalement, ça devrait être rénové, changer, ça fait longtemps.

02:52 Vous vous sentez un petit peu abandonné, j'imagine ?

02:54 Oui, exactement. Moi, ça fait presque huit ans que je vis ici.

02:59 On est coupé de la ville, du monde, on n'a rien du tout.

03:05 Des propos recueillis par Kassandre Amourou.

03:08 Emmanuel Macron s'est également rendu sur la gare maritime,

03:11 où il a évoqué devant les élus locaux l'avenir du grand port maritime de Marseille-Fos.

03:17 Que faut-il retenir de l'intervention du président de la République ?

03:20 Et a-t-il convaincu Hervé Récaud ?

03:22 Alors, il y a quelques minutes, Sandrine, j'ai demandé à un maire de l'Ouest de l'Étan

03:27 s'il était convaincu par la prestation du président de la République.

03:31 Et ce maire m'a répondu, on ne va pas dire que c'est négatif,

03:35 on se retrouve dans la même situation qu'à la création de la zone de Fos,

03:39 il y a plusieurs dizaines d'années,

03:41 beaucoup de projets industriels, mais pas d'infrastructures pour circuler

03:46 et pour transporter les produits.

03:48 Alors, Emmanuel Macron a évoqué le développement des industries,

03:51 des infrastructures logistiques et de transports qui vont avec.

03:55 Que demandent les maires de la région ?

03:57 Alors, le président a même évoqué l'installation de mini centrales nucléaires,

04:02 car le bassin de Fos aura besoin de beaucoup plus d'électricité

04:06 pour produire propre par de la décarbonation.

04:09 Le président a aussi évoqué l'éolien et le solaire.

04:13 Mais les maires de la région, la rédaction de Maritima l'a contacté plusieurs,

04:16 eh bien ces maires, Sandrine, ils demandent des choses finalement très simples.

04:21 Il faut inventer un établissement public ou une structure

04:24 qui permette d'aller vite dans l'aménagement de la partie publique.

04:29 Il faut des voies de chemin de fer pour transporter des marchandises au départ de Fos.

04:34 Il faut des routes plus larges ou des prolongements autoroutiers

04:38 pour permettre aux salariés d'aller travailler dans de bonnes conditions,

04:42 aller au travail en voiture, mais pourquoi pas en transport en commun.

04:46 Et les maires de l'Ouest de l'Étan ont pu prendre la parole ?

04:49 Est-ce qu'ils ont pu faire des propositions concrètes ?

04:51 Alors, Gabi Charou, le maire de Martigues, est intervenu pour faire plusieurs propositions.

04:55 Il n'a pas été le seul. La création d'un établissement public

04:59 chargé de gérer le développement économique, en gros, entre Port-Saint-Louis et Martigues,

05:04 une loi d'exception ou des décrets pour aller vite dans ces aménagements

05:09 et surtout un engagement financier de l'État et de la région pour construire.

05:15 René Rémondi, le maire de Fos, veut croire à la création d'un groupe d'élus et d'industriels

05:21 pour faire monter la pression sur l'État, État qui devra prendre des mesures d'urgence

05:25 et trouver les financements. Le maire de Fos qui nous a dit au micro-maritima

05:30 "Nous, ce qu'il nous faut, c'est l'aménagement des zones industrielles,

05:34 on n'a pas grand-chose pour l'instant". René Rémondi qui nous rappelle

05:38 que le premier débat public avait eu lieu en 2004 à Fos

05:42 sur déjà un projet d'extension industrielle. C'était Fos de Zixel.

05:47 En 2004, les gens faisaient remonter que les routes n'étaient pas à la hauteur.

05:52 En 2024, 20 ans après, on en est au même point avec beaucoup plus de camions

05:58 sur un réseau désormais saturé. En clair, ça suffit.

06:02 En clair, malgré la présence du chef de l'État à Marseille, il manque encore beaucoup d'argent.

06:07 En termes de développement économique, oui, c'est une certitude.

06:11 Les projets privés sont là, les emplois de demain sont là,

06:15 mais il faut, Sandrine, des voies de circulation.

06:18 Le contournement de Martigues-Port-de-Bouc, en gros, c'est 180 millions.

06:21 La liaison Fos-Salon estimait à peu près 500 millions d'euros.

06:26 Presque 700 millions d'euros nécessaires pour aller au bout de ces deux projets.

06:31 Et aujourd'hui, la région et l'État estiment qu'ils font déjà un gros effort

06:36 en mettant 90 millions d'euros sur la table. Le compte n'y est pas.

06:41 Et les élus locaux l'ont quand même fait savoir au chef de l'État.

06:44 Merci beaucoup Hervé Récaud. Retrouvez dès demain dans la matinale radio

06:48 les réactions de Gabi Charou et René Rémondi, maires de Martigues et de Fos.

06:53 À Berlétan, un nouveau centre médical va ouvrir ses portes pour faire face au désert médical.

06:59 La municipalité a vendu un terrain à un investisseur privé

07:03 qui a déjà créé plusieurs centres médicaux dans le département.

07:07 Peut-être l'écho d'une réussite là ou d'autres villes.

07:10 Peine à trouver de nouveaux médecins. Un reportage signé Rémi Reponti.

07:14 Situés sur un rond-point trépassant de l'avenue Henri Vallon,

07:21 les anciens terrains de tennis des industries voisines accueilleront bientôt

07:25 un centre médical ouvert 7 jours sur 7 avec des horaires élargis.

07:30 Un véritable remède au désert médical de la ville pour Mario Martinet, le maire de Berlétan.

07:36 C'est un désert médical avec des médecins qui sont partis récemment,

07:39 trois médecins qui sont partis à la retraite dont le mien, il est parti à la retraite.

07:43 Donc on est beaucoup de bairois qui sont à la recherche de médecins. C'est compliqué.

07:49 Alors ce qui est envisagé c'est 4 cabinets, ils vont débuter certainement avec très peu de médecins.

07:57 Ils vont voir s'il y a une patientèle ou pas et en fonction de la patientèle,

08:01 ils augmenteront le nombre de médecins.

08:03 Le centre s'assiste en ce moment à des départs en retraite massifs de médecins,

08:06 16 000 prévus pour cette année 2023 alors que depuis 2019, il en partait 4000 par an.

08:12 Le docteur Anthony Soto est à l'initiative du projet de ce nouveau centre médical.

08:17 C'est un cabinet ouvert 7 jours sur 7 de 9h à 22h.

08:21 C'est un cabinet conventionné secteur 1, ça veut dire que c'est remboursé à la Sécurité,

08:26 remboursé à 100% par la Sécurité.

08:29 C'est ouvert à tous pour les personnes avec l'ACMU, les ALD, les ACS, c'est ouvert à tous, sans rendez-vous.

08:35 Cette colocation de médecins libéraux associés permettra la mise en commun des moyens

08:40 comme de traiter certaines urgences.

08:43 Notre dada c'est de pouvoir faire tout ce qui est perfusion, des sutures, des aérosols,

08:47 gérer des crises d'asthme.

08:49 On a un appareil pour faire des électrocardiogrammes même si on n'est pas cardiologue

08:54 et après tout ce qui est pansement, brûlure et soins de premier recours.

08:58 La population de Berlétan est invitée à la pause de la première pierre, le samedi 7 juillet à 18h.

09:04 Ouverture du centre espéré pour la fin de l'année.

09:08 Des nouvelles d'ArcelorMittal.

09:10 Une réunion se tenait ce matin entre les représentants des salariés et la direction.

09:15 Elle devait être une avancée dans le dossier mais il faudra finalement attendre demain pour être fixée.

09:21 Joey Temple nous explique ce qu'il s'est passé concrètement aujourd'hui.

09:25 En fin de matinée, pendant plus de deux heures, le comité social et économique d'Arcelor s'est réuni.

09:31 La direction a présenté aux représentants des salariés son plan d'action avec quelques nouvelles modifications

09:36 pour tenter d'obtenir le consensus de tous les syndicats.

09:40 Mais au moment de donner leur avis, les organisations syndicales se sont unanimement abstenues

09:44 en demandant un délai de réflexion supplémentaire.

09:47 En cause, la direction a envoyé le nouveau plan d'action à 21h hier soir,

09:51 bien trop tard au goût des syndicats pour pouvoir se prononcer sur le sujet dès aujourd'hui.

09:55 Le vote a donc été repoussé à 13h30 demain.

09:59 Pour rappel, seule la CGT s'était opposée lors de la consultation pour la première version du plan.

10:04 Dans une autre réunion plus tôt ce matin, Arcelor a détaillé à ses salariés le planning de mise à l'arrêt de la série.

10:10 D'après une source syndicale, des commandes ont été passées par Arcelor

10:13 pour recevoir le matériel nécessaire à la suspension de l'activité.

10:17 Le gérant industriel a réaffirmé que 6 à 8 semaines étaient nécessaires pour faire les choses correctement,

10:22 ne prendre aucun risque environnemental et éviter d'endommager les installations.

10:27 L'inspection du travail n'a pour le moment pas communiqué de nouveaux éléments sur ces décisions.

10:32 Maritime a continué évidemment de vous tenir au courant de l'évolution de ce dossier.

10:37 Un nouveau contingent de sapeurs-pompiers a embarqué dans la matinée à l'aéroport de Marignane.

10:43 Il s'agit de la relève du premier détachement venu en renfort pour combattre les feux de forêt au Canada.

10:49 Baptiste Long s'est entretenu avec le directeur départemental adjoint des services incendie Pierre Bépois.

10:57 On a notamment 120 personnes avec 44 sapeurs-sauveteurs de l'unité d'intervention et d'instruction de la sécurité civile de nos gens de retrouve.

11:09 Et pour le reste des sapeurs-pompiers civils issus de zones de défense et de sécurité différentes,

11:15 dont 46 sapeurs-pompiers de la zone de défense et de sécurité sud.

11:19 Ce sont majoritairement des sapeurs-pompiers de la zone sud,

11:23 mais nous avons au moment où je vous parle 6 sapeurs-pompiers 13, donc 6 sapeurs-pompiers des Bouches du Rhône

11:29 et un collègue du bataillon de marins-pompiers de Marseille qui font partie du contingent de sapeurs-pompiers de la zone sud.

11:36 Mais je précise qu'on a bien avec nous 4 autres zones de défense et de sécurité qui nous accompagnent en plus des sapeurs-sauveteurs.

11:43 Ça vient de tout le département, je n'ai pas l'affectation précise des 6 collègues buco-rhodaniens dont je fais partie en tant qu'adjoint au chef de détachement.

11:52 Ce qui est le cas d'ailleurs de l'ensemble des collègues qui viennent d'autres zones de défense ou d'autres départements.

11:58 Ce n'est pas des villes en particulier.

12:01 Vendredi prochain, la préfecture des Bouches du Rhône organise un exercice de gestion de crise qui simulera la rupture du barrage de Bimon situé au pied de la Sainte-Victoire suite à une crue exceptionnelle.

12:14 S'agissant d'un exercice, aucune réaction n'est attendue de la part de la population.

12:19 Le déroulé de l'exercice avec Noren Werfeli.

12:22 Comme tous les barrages de plus de 20 mètres et de capacité supérieure à 15 hectomètres cubes, le barrage de Bimon est soumis à un plan particulier d'intervention, le fameux PPI.

12:35 Ce plan organise la réponse des pouvoirs publics et de l'exploitant, ici la Société du Canal de Provence, à une situation d'urgence comme une rupture du barrage.

12:47 Une situation qui, si elle venait à avoir lieu, concernerait les communes d'Aix-en-Provence, de Vingt-à-Brin, de Velo, de Koudoux, de Far-les-Oliviers et même de Berlétan.

12:58 Concrètement, cet exercice permet de tester les actions de protection des personnes prévues dans ce plan particulier d'intervention, mais aussi de tester l'alerte et l'information à la population.

13:11 Dans le cadre de cet exercice, les sirènes d'alerte et de l'exploitant FR Alert seront réellement déclenchées au début et à la fin de l'exercice pour simuler la mise en œuvre de cette procédure.

13:24 Aucune action particulière n'est attendue de la part de la population concernée. Il est aussi important de ne pas encombrer les lignes des forces de l'ordre et de secours pendant la durée de l'exercice.

13:38 Et puis en bref, sur le Viaduc, en direction de l'A55, un radar autonome brûlé a été remplacé aujourd'hui.

13:45 C'est l'étroitesse des voies génératrices d'accident qui a poussé la sécurité routière à mettre en place ce dispositif.

13:52 On vous le rappelle, la limitation de vitesse sur le Viaduc est de 50 km/h.

13:57 Et puis aujourd'hui, c'est le grand jour, c'est le jour J, les soldes d'été ont commencé. Le pouvoir d'achat reste le sujet de nombreuses tensions pour les Français en ce contexte inflationniste.

14:09 Selon un sondage IFOP pour Spartoo, 27% des Français annoncent renoncer aux soldes contre 17% en 2021.

14:18 Au total, 60% des sondés entendent renoncer ou du moins consacrer un budget moins élevé à leur achat. Le chiffre monte même à 66% chez les moins de 35 ans.

14:31 Les soldes d'été s'achèveront le 25 juillet prochain.

14:35 Et puis du sport avec la ronde vénitienne qui se déroulait hier après-midi dans le centre-ville.

14:41 Le Lyonnais Julien Marin a remporté ce mardi soir la 21e édition, une épreuve élite et open organisée par Martigues Sports Cyclisme.

14:50 Après 78 km de course, Julien Marin a devancé Julien Durbeson et le martégal Albin Bedini.

14:58 Et du football avec le FC Martigues qui reprend déjà l'entraînement. C'est prévu lundi prochain, début du championnat le 11 août.

15:08 Le FCM a prévu 6 rencontres de préparation, 2 matchs contre des ligues 2, Ajaccio et Rodèze.

15:15 Première occasion de voir à domicile ce nouveau FCM.

15:18 Ça se passera le samedi 22 juillet, Martigues Nîmes au stade Francis Turcan.

15:24 Et puis de la musique avec un concert hier soir de la chanteuse Margot Simon au Piano Bar, le rendez-vous à Croix-Sainte.

15:31 C'était la première fois que l'artiste se produisait dans sa ville natale et l'on n'espère pas la dernière.

15:37 Notre reporter Cyriel Blazikowski était sur place.

15:40 Elle était angélique dans sa robe blanche plongée dans le halo bleu des projecteurs.

15:51 La chanteuse Margot Simon, accompagnée de son groupe, a enflammé son public hier soir.

15:56 La salle intimiste du rendez-vous était pleine.

15:59 Ils ont joué les premiers titres de la chanteuse telle que Belladonna ou Bikini Queen Icon.

16:25 Mais le groupe en a également profité pour faire découvrir aux Martégaux les nouveaux morceaux de Margot Simon qui sortiront avec son prochain album.

16:33 L'artiste martégale à l'avenir prometteur prépare déjà son nouvel album "Les plus beaux jours de ma vie".

16:42 Il sortira en 2024, on vous tient au courant évidemment.

16:45 Et c'est la fin de cette édition. Merci de l'avoir suivie. Tout de suite, la météo.

16:50 [Musique]