Le Journal - 28/07/2023 - ROMORANTIN / Compte-à-rebours pour sauver 150 emplois chez Colonna

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ROMORANTIN / Compte-à-rebours pour sauver 150 emplois chez Colonna
PEDOPORNOGRAPHIE / Un policier de la bac au tribunal
HÔPITAL DE BLOIS / Des médecins de ville pour désengorger les urgences
INCENDIES / Comment prévenir les feux de récolte pendant les moissons ?
CHÂTEAU DE BEAUREGARD / Après 36 ans de restauration, le nouveau visage des 327 portraits

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Transcription
00:00 Générique
00:02 ...
00:09 -Bonsoir à tous.
00:10 Ravis de vous retrouver pour ce nouveau journal.
00:13 A la une de ce mercredi 28 juin, la consternation à Romorantin.
00:17 Après la perte d'un gros contrat, l'entreprise Colonna Facility,
00:21 deuxième employeur privé de la ville, pourrait supprimer
00:25 150 emplois, salariés et directions mobilisées.
00:28 Un policier de la BAC de Tours, à la barre du tribunal,
00:31 interpellé à la mi-mai, le fonctionnaire est jugé
00:34 pour détention d'images pédopornographiques.
00:37 Nous serons sur place.
00:38 Et puis, à l'hôpital de Blois, l'arrivée d'un centre de soins
00:42 non programmé, tenu par des médecins libéraux.
00:45 Elle sera opérationnelle à partir de juillet.
00:47 Objectif, désengorger les urgences.
00:50 Explication en fin de journal.
00:51 Il pèse lourd, très lourd, dans la balance,
00:56 150 emplois menacés à l'échelle d'une ville de 20 000 habitants
01:00 comme Romorantin.
01:01 Leur suppression serait un désastre social.
01:03 L'entreprise Colonna Facility, en grande difficulté,
01:07 n'a plus que quelques jours pour sauver
01:09 la moitié de ses effectifs.
01:11 Les détails avec Clémence Dosc.
01:13 -Depuis un an, Colonna tente de calmer la tempête en interne.
01:19 La résiliation d'un contrat menace la moitié des effectifs locaux.
01:23 Une décision unilatérale prise par les fournisseurs
01:26 Claizia et Malakoff Humanis.
01:28 Direction et collectif de salariés sont dans l'incompréhension,
01:31 d'autant plus qu'aucun soutien n'a été trouvé
01:34 auprès de plusieurs syndicats nationaux.
01:37 -Les organisations syndicales sont absentes.
01:39 Elles ne prennent pas la main, ne prennent pas position,
01:42 ne répondent pas aux interrogations
01:45 que posait le collectif de salariés dont je fais partie
01:48 sur cette résiliation incompréhensible.
01:50 Ceux qui veulent reprendre la main, c'est les organisations patronales.
01:55 -Prix compétitif, retour client positif,
01:57 la fin de ce contrat est injustifiée aux yeux de l'entreprise.
02:01 Colonna souhaiterait être consultée afin de défendre sa position
02:04 en jouant la carte de dynamisme local.
02:07 Certifié France Garantie,
02:08 avec des bureaux installés à deux pas du centre-ville,
02:12 Colonna hérite un bassin d'emploi.
02:14 La perte de 150 collaborateurs ne serait pas sans conséquence
02:17 sur l'attractivité du territoire.
02:20 -Nous sommes proches des écoles, des commerces.
02:22 Les commerces des restaurants se sont ouverts
02:25 grâce à notre implantation depuis plus de 15 ans.
02:28 Au niveau restaurateur, il risque d'y avoir des fermetures,
02:31 ce qui est paradoxal, car c'est nos clients,
02:34 et ça mettrait en difficulté des commerces.
02:36 Et puis, ça pourrait faire déménager des familles
02:39 et donc avoir aussi une influence sur l'immobilier.
02:42 -Élus locaux et maires de Romorantin
02:44 sont mobilisés aux côtés de l'entreprise
02:46 et se sont rapprochés des services de l'Etat.
02:49 Les salariés espèrent voir les choses bouger
02:52 d'ici les prochaines négociations début juillet.
02:54 Le contrat sera officiellement résilié
02:57 le 31 décembre 2023.
03:00 -Je vous le disais en titre,
03:01 un policier de la brigade anticriminalité
03:04 jugé en ce moment devant le tribunal de Tours.
03:07 Le fonctionnaire doit répondre
03:08 de détention d'image pédopornographique.
03:11 Sur place au palais de justice, on retrouve Faustine Huneau.
03:15 Faustine, bonsoir.
03:16 Le procureur, la procureure,
03:18 vient de donner ses réquisitions.
03:20 -Oui, Florent.
03:24 La procureure a requis pour le policier
03:26 18 mois d'emprisonnement avec sursis simples
03:28 et 5 ans de suivi socio-judiciaire assorti de soins.
03:32 Ce, après une heure de questions à la barre.
03:34 Face à la cour, c'était un policier qui semblait intimidé.
03:38 En réponse aux interventions musclées
03:39 de la présidente du tribunal et de la procureure,
03:42 il a donné des explications assez confuses.
03:44 "J'avais une curiosité malsaine
03:46 "me poussant à aller chercher tout ce que je pouvais", a-t-il dit.
03:49 "J'étais dans mon monde, pris dans ma consommation d'Internet.
03:52 "Je me sentais comme un hacker."
03:54 L'accusé a admis avoir commis les infractions
03:57 pour lesquelles il est jugé,
03:58 à savoir consultation, importation, détention
04:02 et diffusion d'images pédopornographiques
04:04 pendant plusieurs années, notamment via le Darknet
04:06 et des sites peer-to-peer.
04:08 Le profil de ce policier, un homme de 42 ans,
04:11 père de 2 enfants, collègue exemplaire,
04:13 qui admet avoir toujours consommé de la pornographie.
04:16 Parmi les fichiers retrouvés sur ses ordinateurs,
04:19 45 mettaient en scène des adultes,
04:21 200, des enfants, parfois en très bas âge,
04:24 ainsi que plusieurs milliers de fichiers du même type effacés.
04:29 "Je n'ai pas d'attirance pour les enfants", a-t-il pourtant assuré.
04:32 "J'ai honte, je ne payais pas,
04:34 "je n'avais pas l'impression d'alimenter quoi que ce soit",
04:36 c'est-à-dire un réseau d'exploitation sexuelle de mineurs.
04:40 L'examen psychologique a pourtant révélé, selon le psychiatre,
04:43 une addiction à la pédopornographie depuis de nombreuses années.
04:46 Le délibéré devrait être rendu d'une minute à l'autre.
04:50 -Merci, Faustine Huneau, en direct du tribunal judiciaire de Tours.
04:55 Et puis toujours à la rubrique judiciaire,
04:57 après deux ans d'enquête, deux hommes ont été interpellés à Tours
05:00 et mis en examen pour assassinat,
05:02 information de nos confrères de l'ANR.
05:04 Ils sont soupçonnés d'avoir tué un homme de 28 ans
05:07 dans le quartier de la Bergenerie durant l'été 2021.
05:10 La victime avait été retrouvée dans sa voiture,
05:12 le corps criblé de balles.
05:14 Un crime sur fond de règlement de compte lié au trafic de drogue.
05:17 Les deux suspects ont été placés en détention provisoire.
05:20 L'hôpital de Blois voit enfin le bout du tunnel.
05:26 Ce tunnel, c'est celui des urgences.
05:28 Le nombre de passages ayant en effet quasiment doublé
05:31 en un an, de 25 000 à 45 000,
05:33 ce sera bientôt fini.
05:35 À partir de juillet, des médecins de ville
05:37 prendront en charge les urgences non vitales
05:39 dans un local situé juste à côté.
05:41 Autre mesure, l'appel aux 15 obligatoires,
05:44 le soir, Romain Delville.
05:45 -Dès le 1er juillet,
05:48 une fois passé 20h, il faudra appeler le 15
05:51 avant de pouvoir accéder aux urgences de l'hôpital de Blois.
05:56 -Ce qui permettra aux régulateurs, en fonction du niveau de gravité,
05:59 de dire que ça peut attendre demain ou après-demain,
06:02 il y aura une réponse.
06:04 Et puis, si c'est une urgence vitale,
06:06 il y aura une prise en charge.
06:08 Donc c'est un changement assez profond
06:10 du mode de fonctionnement des urgences,
06:12 mais je pense que c'était important à un moment donné
06:15 où, vous le savez, la crise des urgences est profonde
06:18 et il faut qu'on apprenne tous à utiliser à bon escient
06:21 ces services des urgences.
06:23 -Autre changement de taille au sein des urgences de Blois,
06:26 l'installation d'un centre de soins non programmé
06:28 tenu par des médecins libéraux.
06:30 Il sera ouvert 6 jours sur 7,
06:33 jusque 20h en semaine,
06:34 jusque 13h le samedi,
06:36 et devra répondre aux urgences non vitales.
06:39 Pour accéder à cette médecine de garde,
06:42 il faudra appeler le 116 117.
06:45 -C'est une nouvelle offre qui complète celle préexistante.
06:49 Le fait de la faire dans les locaux de l'hôpital,
06:51 ça nous apporte des facilités d'organisation,
06:54 notamment en termes de gestion du matériel,
06:56 entretien des locaux, accès aux services de sécurité,
06:59 la proximité du service d'urgence si toutefois un patient
07:02 arrivait dans un état de santé plus grave
07:05 que ce qui avait été évalué au moment de la régulation.
07:09 -L'objectif affiché de ces deux nouveautés,
07:11 c'est de désengorger les urgences blésoises,
07:14 qui comptent 45 000 passages par an,
07:17 soit plus d'une centaine en moyenne chaque jour.
07:20 -Une exploitation agricole ravagée par les flammes,
07:24 ça s'est passé cette nuit près de Loches.
07:26 Le feu a brûlé 1 000 m2 de hangars,
07:29 contenant notamment du foin.
07:30 Une cinquantaine de sapeurs-pompiers
07:32 sont intervenus.
07:34 Ils sont toujours sur place pour vérifier
07:36 qu'il n'y ait pas de reprise.
07:38 L'un des propriétaires a été hospitalisé
07:40 pour des brûlures au 2e degré en tentant de sauver du matériel.
07:44 La piste d'un problème électrique est évoquée.
07:46 Voilà qui nous amène à ces feux de récolte quasi quotidiens.
07:50 Depuis une semaine environ, et le début des moissons,
07:53 les pompiers sont à pied d'oeuvre pour maîtriser ces incendies
07:56 qui se propagent souvent sur plusieurs hectares,
07:59 et comment les éviter ? On fait le point avec notre invité.
08:03 -Bonsoir, capitaine Olivier Brossard.
08:05 Vous êtes chef de colonne feu
08:07 au service départemental d'incendie et de secours.
08:09 Nous, journalistes, on reçoit des alertes quasiment tous les jours
08:13 pour des feux de récolte causés par les moissonneuses des agriculteurs.
08:17 Est-ce qu'il y a plus de feux que l'an dernier, à la même période ?
08:21 -A la même période, on pourrait dire qu'il y a un peu plus de feux
08:24 puisque la saison des moissons a commencé plus tôt.
08:27 Donc, effectivement, les moissons sont source de départs d'incendies,
08:31 mais pas que.
08:32 Proportionnellement, il n'y en a pas plus que l'an dernier.
08:36 -On est peut-être un peu plus tôt sur la période,
08:38 sachant qu'on a eu un mois de juin très chaud et sec.
08:41 -Vous êtes sur un rythme presque de routine,
08:45 d'année en année, il y a ces incendies de récolte.
08:50 On va prendre la journée de dimanche
08:52 pour se rendre compte de la tâche que ça représente pour vous.
08:55 15h43, on va voir la carte à Serrel, 4 hectares de feux.
08:59 16h27 à Semblancet, des hectares également.
09:02 16h47, Saint-Antoine-du-Rocher,
09:04 18 hectares, 19h15, Neuville-le-Roi.
09:08 Comment ça se passe ?
09:09 Quand c'est comme ça, avez-vous les moyens d'intervenir
09:13 et d'être partout à la fois ?
09:14 -D'être partout à la fois, non, mais l'OSDIS est bien équipé.
09:18 On a plus d'une cinquantaine de véhicules répartis
09:21 sur le département.
09:22 Sur ces feux, en particulier, on peut avoir quatre,
09:25 voire huit véhicules.
09:27 Quand tout a lieu dans le nord du département,
09:29 la couverture opérationnelle est amoindrie,
09:32 mais on envoie des messages de prévention,
09:34 notamment aux agriculteurs,
09:36 en leur demandant de faire attention sur ces secteurs,
09:39 car les sapeurs-pompiers sont déjà mobilisés.
09:42 -Parfois, ces incendies sont proches des habitations.
09:45 On va regarder les images.
09:46 Quand vous intervenez, c'est votre priorité
09:49 sécuriser les habitations ?
09:51 -Alors oui, notre priorité, ça reste tout le temps les personnes.
09:55 Donc sécuriser les habitations.
09:56 D'ailleurs, je lance un appel à débroussailler
09:59 50 mètres autour de sa maison quand on habite
10:02 à proximité d'un bois ou d'une forêt, c'est nécessaire,
10:05 puisque dans tous les cas, quand le terrain est débroussaillé,
10:08 la maison ne brûle pas.
10:10 La maison reste le meilleur moyen de protection.
10:13 -Une sorte de pare-feu. -C'est ça.
10:15 Il faut débroussailler autour de chez soi.
10:17 -Ces incendies se déclenchent
10:19 à cause d'étincelles causées par un choc entre la machine
10:22 et une pierre ou une pièce de métal.
10:25 Il n'y a pas de fatalité,
10:26 il y a des bonnes pratiques qui permettent de réduire les risques.
10:30 -Les agriculteurs connaissent ces bonnes pratiques.
10:33 C'est nettoyer le matériel, relever la hauteur de coupe.
10:37 C'est également avoir des appareils agricoles
10:40 comme des cover crops ou des citernes à eau
10:42 à proximité immédiate du champ.
10:44 Ca permet de faire la part du feu,
10:46 c'est-à-dire détruire la végétation ou d'éteindre.
10:49 -Un mot sur les feux de forêt.
10:51 Est-ce que vous êtes préparé à ce qu'on appelle les méga-feux,
10:55 comme au Canada, où pour l'instant,
10:57 on est sur une situation relativement maîtrisée ?
11:00 -On est sur une situation qu'on ne connaît pas encore très bien,
11:04 puisqu'en fait, dans le Nord de la France,
11:07 ce sont des situations nouvelles.
11:09 Malgré tout, on se prépare,
11:10 on augmente le nombre d'achats des véhicules.
11:13 On avait parlé la dernière fois du déploiement en 2024
11:16 d'un système de vidéosurveillance.
11:18 On continue de se former,
11:20 on continue d'avoir des actions de prévention
11:22 pour éviter le départ de feux.
11:24 La prévention reste le meilleur remède.
11:27 -Pour l'instant, il n'y a pas d'alerte particulière
11:30 pour la forêt ?
11:31 -Non, effectivement.
11:32 On a deux niveaux de danger au niveau météo.
11:35 C'est plutôt la végétation basse, les cultures soumises au danger.
11:38 Pour l'instant, le niveau de risque dans les forêts
11:41 reste acceptable.
11:42 -Un dernier mot, rapidement, s'il vous plaît.
11:45 Au Canada, on en parlait, l'un de vos collègues
11:48 vient de partir, où il y a 244 feux hors de contrôle.
11:51 Quelle va être sa mission ?
11:52 -En fait, notre collègue,
11:54 sapeur-pompier professionnel de Tours,
11:56 est parti avec 120 autres sapeurs-pompiers militaires
11:59 ou civils dans le cadre d'un dispositif national.
12:02 Leurs missions sont des missions de déforestage,
12:05 d'alimentation, de traitement des lisières
12:07 ou alors pour les plus spécialisés de feux tactiques,
12:10 c'est-à-dire allumer des contrefeux.
12:12 -Merci beaucoup, capitaine Olivier Bossard.
12:15 Vous êtes venu ce soir.
12:16 A l'occasion de la sortie du dernier rapport
12:19 de l'Observatoire des inégalités, basé à Tours,
12:21 TVTourVal-de-Loire vous donne rendez-vous demain
12:24 à 19h dans l'émission "Un mois dans les médias".
12:27 L'année 2023 marquée par un contexte paradoxal,
12:29 d'un côté, une amélioration de l'emploi,
12:32 et de l'autre, une inflation record.
12:34 Anne Brunner, directrice des études de l'Observatoire des inégalités,
12:38 sera notre invitée.
12:39 Demain, si la question vous intéresse,
12:41 un débat est organisé sur le sujet.
12:43 Jeunesse Habitat aux 16 rues, Bernard Palissy à Tours,
12:46 rendez-vous à 18h30.
12:48 Allez, on prend la direction de Cellette
12:51 et son château de Beauregard,
12:53 un édifice connu pour ses 327 portraits
12:56 qui y sont accrochés.
12:57 Ils représentent 15 règnes, de Philippe VI à Louis XIII,
13:00 36 ans maintenant,
13:02 et qu'ils étaient en restauration.
13:04 La voilà, qui touche à sa fin.
13:06 Voyez ce reportage d'Hélène Chapelet.
13:08 -Dans l'histoire du château de Beauregard,
13:11 le 28 juin 2023 est une nouvelle date clé.
13:14 Elle marque la fin de la restauration
13:17 des 327 portraits de la Galerie des Illustres.
13:20 37 ans que le chantier est lancé.
13:23 Pour la dernière fois ce mercredi,
13:25 les 12 photos encore restantes ont été retirées
13:27 pour que les vraies oeuvres puissent réintégrer leur place
13:30 sur le mur.
13:32 Un ensemble classé et qui a traversé quatre siècles
13:35 grâce à l'investissement
13:36 de ses différents propriétaires successifs.
13:39 -Vous avez chanté que mes parents
13:41 ont commencé en 86.
13:42 Ma mère a continué ensuite
13:44 et puis j'ai repris avec ma femme il y a une dizaine d'années.
13:47 Donc on a enfin bouclé cette restauration.
13:51 C'est à la fois quelque chose d'insoulageant,
13:56 c'est aussi quelque chose qui a...
14:00 C'est le travail d'une vie.
14:02 -Cette incroyable galerie de portraits,
14:04 c'est un peu le gratin dénotable du passé.
14:07 On y retrouve tous les grands hommes et 21 femmes
14:09 qui ont marqué l'histoire de France entre 1300 et 1600.
14:12 Un ensemble inédit,
14:14 composé de tableaux peints entre 1617 et 1638.
14:19 -C'est une des seules galeries de portraits de grands hommes
14:23 du XVIIe siècle encore en place.
14:26 On peut se mettre ici, dans la galerie,
14:28 et passer des jours et des jours à regarder chaque personnage
14:32 et à réfléchir sur
14:35 quelle a été l'importance de ce personnage dans l'histoire
14:38 et ce qu'il nous raconte aujourd'hui.
14:40 C'est un livre d'histoire.
14:42 -Pour découvrir cet ensemble unique,
14:44 direction Cellette et le château de Beauregard,
14:46 le site est ouvert tous les jours de juillet et d'août,
14:49 de 10h à 18h30.
14:52 -Et c'est la fin de ce journal.
14:53 Merci à vous de l'avoir suivi.
14:55 Très bonne soirée. A demain.
14:57 SOUS-TITRAGE : RED BEE MEDIA
15:00 ...

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