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Transcription
00:00 Nous pouvons arrêter à tout moment pour que les choses ne se déroulent pas.
00:05 Car la décision du juge est visible.
00:10 Je partage un peu les mitigations dans le contexte.
00:20 Cette décision de justice prise il y a plusieurs jours,
00:27 elle aurait dû être mise en application depuis.
00:33 C'est pourquoi elle n'a pas été prise en application.
00:39 Pourquoi est-ce que vous ne pouvez pas le faire?
00:48 La décision de justice n'est pas encore actée.
00:54 Je vais vous poser une autre question.
00:58 Il y a eu deux procès.
01:01 Un de déformation et l'autre d'accusation.
01:07 Une plainte pour menace et viol.
01:10 Est-ce que vous pensez qu'il est normal
01:14 qu'on me dise que cette personne est accusée de...
01:18 Le tribunal dit que ce pour quoi il a été accusé n'existe pas.
01:24 Il n'y a pas de viol ni de menace de mort.
01:27 Que cherchez-vous?
01:30 Une corruption à la jeunesse.
01:36 Je ne sais pas si c'est "à" ou "de".
01:42 Je ne sais pas mais on a déjà vu beaucoup de choses sur ce sujet.
01:49 J'ai une question.
01:52 La logique qui nous a amené au début à faire des acteurs politiques
02:01 c'est l'injustice contre Karim Maysouad qui a fait un enrichissement illicite.
02:07 Le tribunal de Monaco a dit que vous n'avez pas de procédure et que vous devez faire un faillir.
02:15 Par conséquent,
02:16 le court de juge s'est déroulé.
02:19 La même chose qui s'est passé sur Khalifa Abou Kersale.
02:23 Vous n'avez pas respecté ses droits.
02:25 Ce Khalifa Abou Kersale qui était maire, député et qui jouait d'immunité parlementaire
02:32 a été arrêté par l'Assemblée nationale.
02:38 Il a été arrêté pour des raisons de justice.
02:45 Parfois, j'ai même pas envie de parler de ma déception contre quelqu'un.
02:51 J'ai même pas envie de parler de ça.
02:55 Je ne sais pas pourquoi il y a un candidat qui n'a pas de dignité.
03:01 Je sais qu'ils en ont, ils ont de hauts cadres d'une dignité extrême.
03:06 Mais malheureusement, ils ont accepté d'être dans un mur qui ne nous fait pas plaisir.
03:13 On ne peut pas se confondre avec eux.
03:20 Ce sont des gens qui ont pensé qu'ils feraient mieux dans un système sérieux.
03:26 C'est pour cette injustice qu'on est dans un cas difficile pour Ousmane Sonko.
03:35 Car il a été arrêté par le maire et par le Khalifa Abou Kersale.
03:40 Ils étaient dans une logique de ne pas se confondre avec eux.
03:48 Ils ont vu tout le fond.
03:50 Karim l'a vécu et il en a souffert.
03:52 Le Khalifa aussi.
03:54 Il disait qu'il allait laisser la justice faire son travail.
03:58 La justice a fait quoi?
03:59 L'inspection générale d'Etat a fait une enquête.
04:02 Elle a dit que Khalifa Abou Kersale fait partie des meilleurs maires.
04:06 Des meilleurs gestionnaires.
04:08 Ils ont dit que c'était une caisse d'avance.
04:10 Pourtant, vous êtes les meilleurs dans cette enquête.
04:16 Car certains d'entre eux étaient des cas sociaux.
04:19 Je n'ai pas envie d'utiliser le terme lâcheté.
04:26 Mais j'ai l'habitude de dire que c'est ce qui nous fait vivre.
04:30 Après, on a le cas d'Ousmane Sonko.
04:34 Sur le cas de Mbaye Ndiaye, il y a eu des déformations.
04:37 Car le rapport a été mis en place.
04:39 On a dû le faire.
04:43 Pourquoi vous dites que vous avez des preuves?
04:47 Ce n'est pas une question de preuves.
04:52 La question est que
04:56 on a vu quelqu'un agir de mauvaise façon.
05:03 Aba Abou Kert a dit dans un livre
05:09 que Mbaye Fall a fait des erreurs.
05:15 Il a dit que Mbaye Fall n'a pas parlé de ce livre.
05:22 Il a dit que ce n'était pas son intérêt.
05:26 Birame Sec fait un livre sur un festin de 36 milliards
05:31 et Mbaye Ndiaye dit que c'est pire et plus que cela.
05:35 Il a mis 49 milliards sur les 29 milliards de produits.
05:42 Il y a eu deux cas de déformations.
05:52 - Qu'est-ce qui se passe alors? - On veut liquider quelqu'un.
05:56 Il n'y a pas à chercher de midi à 14h.
05:59 C'est un acteur politique qu'il faut massacrer à côté.
06:05 Malheureusement, celui-là résiste.
06:07 Et dans sa résistance, il a le soutien populaire.
06:11 Il a fait une erreur de double.
06:17 Mais il n'a pas pris le prix.
06:19 Si le journal l'a dit, je ne sais pas si c'est le cas.
06:25 Si c'est rendu effectif, Dieu m'en prie.
06:29 Comme l'a dit Cheikh, les cas de déformations sont toujours là.
06:37 On a vu le procès de déformations contre Mbaye Ndiaye.
06:44 On a vu qu'il y a eu des cas de déformations.
06:47 Est-ce que nous pouvons arrêter l'investiture?
06:52 On a interdit l'investiture de la France 24.
06:57 Si Kenty n'a pas déposé sa candidature, il peut se mettre en chaos au Sénégal.
07:03 Il peut se modifier et avoir des problèmes à l'ordre public.
07:06 - Pouvez-vous nous rappeler les paroles de Cheikh? - Oui.
07:10 Je suis en état de droit actuellement.
07:16 Il m'a dit qu'il avait vu une émission de Alain Tintin sur le canal Info de Toudoun.
07:21 - Le canal Info? - Oui.
07:24 Il avait dit une phrase très importante.
07:29 "Le WAD est un bâtisseur d'infrastructures et un démolisseur d'institutions."
07:34 Il a dit que si on investit partout sur le plan matériel
07:40 on pourra parler de la réduction des taxes.
07:44 C'est très cher.
07:46 Mais sur le plan matériel, il y a un bilan positif en attendant de juger
07:51 le bilan financier.
07:54 Ou le montage financier, le PRT, etc.
07:58 Mais sur le plan institutionnel, il faut accepter qu'il y a beaucoup de quac.
08:03 Si on ne peut pas faire ça, on va se faire enrouler.
08:07 Si on a des problèmes comme la charte africaine des droits de l'homme et du peuple
08:18 si on a des problèmes avec la justice, on doit avoir une défense forte.
08:24 Mais avec le problème du prodat, on a vu que
08:28 il y a deux avocats qui ont été empêchés d'accéder au tribunal.
08:36 D'abord, l'extérieur et l'avocat.
08:40 - Je voulais le nom. - Juan Blanco.
08:42 Oui mais au Sénégal, on dirait qu'il est le maître phare.
08:48 Mais aujourd'hui, on a empêché un peu sa défense.
08:55 On a fait un appel à la maître-sœur et à d'autres qui ont été empêchés.
08:59 Si on avait été dans le cas de l'adhésar, c'était la même chose.
09:03 On a interviewé France 24 mais on ne pouvait pas l'empêcher de parler.
09:08 On ne pouvait pas dire que c'était une personne qui pouvait ou pas parler.
09:13 Dans sa communication, Ousmane Sengur répondait.
09:17 On ne pouvait pas le persécuter et l'accueillir.
09:24 La persécution ne permettait pas de le barricader.
09:28 C'est la réalité des faits.
09:34 On sait que Ousmane Sengur a déjà beaucoup rejeté.
09:37 Il est allé en réunion mais je crois qu'il va sortir de la situation.
09:47 Il a déjà eu des moments plus graves que ça.
09:52 Il n'a pas reçu de réunion en un ou deux jours.
09:57 Il a eu des moments de déjeuner très déterminés.
10:11 Il a fait tout pour organiser les élections.
10:13 Le président Lari est prêt à sortir de la situation.
10:17 Il n'a pas reçu de réunion.
10:22 On ne peut pas prendre un plan B sur le camp de Pastef.
10:29 On a déjà interrogé Ousmane Sengur et il a dit qu'il pouvait le faire à tout moment.
10:37 On a aussi interdit l'investiturement au Sénégal.
10:42 Il y a des plans et Dieu a les plans.
10:54 Nous avons nos plans et Dieu a les plans.
10:58 Le problème c'est que nous ne pouvons pas faire de plan B.
11:02 Je suis en train de voir une image qui montre un siège de la paire.
11:18 - Vous savez ce qu'il s'est passé? - Présentement.
11:21 Il faut peut-être vérifier ce qui se passe au siège de la paire.
11:28 - On va le vérifier. - Il se passe des choses.
11:33 Dieu a les plans.
11:38 Le président Salle a dit que ce n'était pas une erreur de la commune.
11:51 Il a dit qu'il allait organiser les parties pour avoir un numéro 2, 3 ou 4.
11:59 Il a dit qu'il allait organiser une hiérarchisation pour avoir une image figée.
12:08 Le Sénégalais a dit qu'il s'en est organisé.
12:11 Un parti dont la vente des cartes de MAM a été arrêtée en 2013.
12:20 Il y a un candidat qui a été arrêté et qui a été arrêté.
12:30 Il faut vérifier cette image et on verra ce qui se passe au siège de la paire.
12:35 Le plan B sur le cas Ousmane Sonko...
12:44 Je pense que toute organisation doit y réfléchir.
12:51 Même si tu n'as pas de plan B, tu dois y réfléchir.
12:55 Tu dois y réfléchir car tu es là.
12:58 Tu dois y réfléchir car tu es là.
13:03 Mais aussi, je ne suis pas là pour ça.
13:11 Si je suis là, on va s'en occuper.
13:14 On va s'occuper de tout ça et on a payé les pauvres.
13:20 On va s'occuper pour imposer un plan B.
13:26 Mais tu peux pas abandonner le plan A.
13:30 Ce qui est plus difficile pour toi est le plan A.
13:35 Ce qui est plus difficile pour toi est le plan A.
13:39 Ils n'ont pas voulu de Ousmane Sonko et des autres à la députation
13:44 mais ils ont eu du savoir-faire.
13:48 C'est-à-dire qu'ils ont calculé très bien.
13:52 Les gens en parlant de politique,
13:54 ils sont très prudents.
14:02 Ils sont prudents.
14:05 Les lords anglais, ils parlent de la Bible.
14:09 Joe Biden, Buffalo, c'est la Bible.
14:13 Ils parlent de la Bible, j'en suis sûr.
14:17 Si les chinois étaient là, je ne pourrais pas croire en eux.
14:24 C'est comme ça.
14:26 Pourquoi les Sénégalais ne croient pas en les?
14:30 Pourquoi les chinois ne croient pas en les?
14:36 C'est parce qu'ils croient en laïcité.
14:40 "Le pays est laïc" c'est fou.
14:44 Si les gens croient en laïcité,
14:48 c'est parce qu'ils croient en laïcité.
14:52 Je ne suis pas un chinois, je suis un chinois.
14:59 Je prie pour la paix.
15:02 Mais est-ce qu'aujourd'hui,
15:05 le fait que je dise que le niveau de la paix est bon
15:12 et que ce qu'on fait ne l'est pas, c'est pour quoi?
15:15 Parce qu'ils croient que Buffalo va détruire nos affaires.
15:18 Ils détruisent nos contrats et nos affaires.
15:21 Beaucoup de gens de Sénégal veulent qu'Ousmane Sogne soit là.
15:24 Mais ils ne le sont pas.
15:26 Parce que Sénégal a beaucoup de durs, de deals et de trucs.
15:31 Aujourd'hui, la direction territoriale
15:36 ne veut pas que Ousmane Sogne soit là.
15:40 Il y a trop de privilèges.
15:43 Vous êtes préfet, gouverneur, vous avez des avantages.
15:46 Tous ces avantages coûtent cher au Sénégalais.
15:49 Vous êtes affecté à la paix.
15:53 Il faut avoir des avantages pour avoir la paix.
15:56 Mais c'est pas juste les autorités qui font ça.
15:59 Il faut avoir la paix, les droits, les droits de l'homme.
16:02 Il faut structurer tous ces avantages.
16:04 Il faut faire en sorte que les gens aient des avantages.
16:09 C'est le même groupuscule.
16:11 Le groupuscule de 60 ans est fonctionné.
16:14 Le groupuscule est le système.
16:18 C'est le système qui nous a appelé anti-système.
16:21 Il reste à savoir entre le système et l'anti-système.
16:24 Il y a de bons entre les deux.
16:29 Il y a de mauvais entre les deux.
16:32 Il faut avoir le pour et le contre.
16:36 Il faut vérifier les cons.
16:41 C'est très important mais on peut le reprocher.
16:47 Il y a des discours de violence qui se propagent.
16:53 C'est pourquoi on laisse la pression.
16:58 - La résistance est là. - Ce sont des réactions.
17:04 Il y a des discours de programme.

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