• l’année dernière
Sébastien Chenu, vice-président du Rassemblement National, était l’invité du Face à Face sur BFMTV - RMC.

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Transcription
00:00 - Non, vous savez, même quand on n'entend rien avec eux, on est déçus.
00:02 Oui, d'accord, le départ de Papendiaï, c'est bien, mais c'est vraiment un coup d'épée dans l'eau, ce remaniement.
00:08 Papendiaï était en situation d'échec, c'était un ministre que nous avons beaucoup combattu,
00:12 parce qu'il était wokiste, parce qu'il a eu des propos sur la France,
00:16 il y a eu des écrits même sur la France, qui étaient absolument insupportables.
00:19 Donc, OK, bonne nouvelle, bon débarras.
00:21 - Ce choix de mettre un homme qui défend l'indigénisme, le racialisme et le wokisme à la tête de l'éducation nationale,
00:27 c'est un choix terrifiant pour les parents et grands-parents que nous sommes, c'est ce qu'elle écrivait l'an dernier lors de sa nomination.
00:32 Mais en un an, l'école n'est pas devenue le temple du wokisme, du racialisme et de l'indigénisme ?
00:37 - Non, mais Papendiaï a abandonné les principaux de collège aux problématiques de port de Habaïa,
00:45 parce qu'il n'avait pas le courage de s'attaquer à l'antrisme de l'islamisme.
00:49 Papendiaï a été incapable de nouer une relation de confiance avec les enseignants, avec les familles.
00:53 Il a été aussi incapable de travailler sur toutes les problématiques de harcèlement scolaire.
00:57 Moi, j'ai déposé une proposition de loi d'ailleurs en ce sens. Papendiaï ne s'est pas attaqué à tout ça.
01:02 En plus d'être idéologiquement quelqu'un de très marqué, d'un déconstructeur absolu, il a été une nullité affligeante.
01:09 Donc, oui, bon débarras.

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