Une jeune femme brésilienne a porté plainte pour "viol en réunion" sur le Champs-de-Mars à Paris. Pour Aurélie Veron, conseiller de Paris, les abords de la Tour Eiffel de Paris sont "une zone de non-droit pour les femmes".
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00:00 Première solution déjà ce sont des caméras de vidéoprotection qui couvrent les 25 hectares avec des grands angles,
00:04 une intelligence artificielle qui permet de suivre les badauds,
00:08 les femmes en particulier pour suivre leur trajectoire et voir s'il se passe un incident. Aujourd'hui vous arrivez à détecter sur des grandes surfaces comme ça
00:14 des incidents qui permettent d'intervenir rapidement.
00:17 Ensuite vous avez la police municipale qui veut aussi passer la nuit.
00:20 J'ai demandé plusieurs fois au conseil de Paris combien de policiers municipaux sont présents la nuit sur les sites touristiques.
00:25 Je n'ai jamais eu de réponse, ça serait intéressant que la mairie de Paris réponde et éventuellement déploie une stratégie
00:30 de présence sur les lieux touristiques comme le champ de mars.
00:32 Troisièmement une solution à court terme qu'on a proposé qui n'est pas onéreuse mais qui répond au problème ce sont des grilles.
00:38 Les tuileries ont les leurs, le champ de mars pourrait demain avoir des grilles qui la nuit permettent de fermer ses 25 hectares
00:43 pour éviter d'avoir des bandes, des prédateurs sexuels qui chassent les femmes touristes. C'est une zone de non droit pour les femmes,
00:50 ce sont les touristes étrangères qui retournent dans leur pays avec cette image dramatique du pays.
00:54 je crois qu'on ne peut pas rester les bras ballants et attendre que le prochain viol arrive.