DÉNONCIATION DE L'ABJECTION !
HOMMAGE AUX ENFANTS MARTYRS
Compte tenu des horreurs avérées qui altèrent notre monde et, notamment, le scandale factuel abject qui se déroule dans cette société rendue aveugle par un système parfaitement bien planifié depuis des décennies, je me trouve dans la triste obligation d’apporter ici une dénonciation explosive, avec des vidéos choques à l’appui, concernant l’horrible et extrême violence que des monstres inhumains osent, sans scrupules, faire subir à de très jeunes enfants !
Vous trouverez une série de 37 vidéos que j’ai glanées sur le Nett, afin de dénoncer au public ignorant l’immensité d’un tel phénomène horrible, dont la cruauté est inimaginable !
MERCI DE PARTAGER ! En cliquant sur le lien suivant : https://odysee.com/@Fr%C3%A8re-Ely%C3%B4n:0/D%C3%89NONCIATION-DE-L%27ABJECTION-!:7 ou https://crowdbunker.com/@dENONCIATIONDELABJECTION
Merci également de votre attention et que Dieu vous garde contre tout mal.
HOMMAGE AUX ENFANTS MARTYRS
Compte tenu des horreurs avérées qui altèrent notre monde et, notamment, le scandale factuel abject qui se déroule dans cette société rendue aveugle par un système parfaitement bien planifié depuis des décennies, je me trouve dans la triste obligation d’apporter ici une dénonciation explosive, avec des vidéos choques à l’appui, concernant l’horrible et extrême violence que des monstres inhumains osent, sans scrupules, faire subir à de très jeunes enfants !
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NewsTranscription
00:00 [Musique]
00:06 Madame, mademoiselle, messieurs, bonjour.
00:08 Le défi de la vérité de François reçoit aujourd'hui une personnalité du monde musulman.
00:14 Mourad Al-Atta, bonjour.
00:16 Bonjour.
00:17 Vous attaquez, vous, à la pédocriminalité et vous êtes, et une fois n'est pas coutume sur les plateaux de télévision, un parent plaignant.
00:24 Est-ce que vous pouvez nous dire exactement de quoi il s'agit ?
00:27 Dans le sens où mes enfants sont victimes d'un réseau que je peux qualifier de pédocriminel, voire pornographique, parce que les faits sont établis,
00:34 où mon ex-compagne, en lien avec des officiers de police, a participé à des partoos, en France et à l'étranger,
00:44 et à la suite de ça, via une audition de mes enfants, j'ai été amené à découvrir, malheureusement, comme beaucoup de parents plaignants,
00:54 parce que c'est un phénomène systémique, des falsifications d'enquêtes au sein de la police nationale, je parle d'une minorité de personnes,
01:01 des pactes de corruption entre des magistrats et des agents de police, voire des associations, et des falsifications de documents, bien sûr.
01:12 Est-ce que vous, c'est vraiment le problème principal en ce qui vous concerne ?
01:15 Bien sûr. C'est que des pièces ont disparu. Des pièces capitales.
01:18 Quelles pièces ?
01:19 Exemple, la pièce "Un rapport d'une conseillère ordinale" qui avait établi, parce qu'il avait reconnu que le médecin expert psychiatre choisi dans mon affaire,
01:29 le docteur Michel Dubec, apologiste du viol, avait reconnu que la juge d'affaires familiales lui avait téléphoné,
01:36 et que ça lui avait volontairement influencé dans son rapport, contre moi. Ce qui est extrêmement grave, d'abord de la part de cette magistrate,
01:42 qui s'appelle Géraldine Charles, je l'assume pleinement, et de la part de ce médecin. Bizarrement, au sein du CNOM, du Conseil National d'Ordre de Médecins,
01:49 le rapport a disparu. Autre chose qui a disparu, un élément essentiel...
01:53 Des passeports.
01:54 Des passeports. Alors il fallait prouver, d'après les dires, du petit voyage à l'étranger, qu'on a commencé à chercher,
02:01 et je me suis rendu moi-même, personnellement et physiquement, au sein de la préfecture de police de Paris,
02:06 le document qui disait, pour tous parents, qu'il était impératif qu'il y ait ma signature pour les changements de pièce d'identité, avait disparu.
02:14 Le préfet de police de l'époque, Del Puech, et je lui rends hommage, en avait fait état, et bizarrement, un vice-procureur s'est amusé à empêcher l'enquête.
02:22 Vous témoignez, en fait, sur ce problème majeur vécu véritablement de l'intérieur, qui concerne quand même 250 enfants par jour.
02:31 Par jour. Si on ajoute le nombre de tentatives d'agression, on est pratiquement à 400.
02:37 Les chiffres officiels en France, c'est 130 000 filles, à peu près, par an, et 35 000 garçons.
02:42 On est sûrs de chiffres complètement délirants, ce qui fait que malheureusement, notre pays, la France, est considérée comme étant pédolande à l'étranger,
02:50 puisque le problème n'est absolument pas résolu. On a eu récemment, sur les plateaux télé, énormément de débats pour traiter de la question,
02:59 et vous êtes le seul, aujourd'hui, je le dis face caméra, à avoir eu le courage de ne pas être un journaliste qui fait de l'influence, ni de la propagande,
03:07 mais un journaliste qui fait de l'information. C'est quand même incroyable que j'ai été...
03:11 Vous dites ça, mais on en parle quand même beaucoup sur les chaînes de télévision aujourd'hui, ce problème-là.
03:15 On ne parle pas du fond. Quand on écoute les chaînes de télévision aujourd'hui, on pense que le problème est résolu, qu'il est en cours de résolution, ce qui est absolument faux.
03:21 Donc c'est l'arbre qui cache la forêt.
03:22 Bien sûr. L'idéologie malveillante contre les enfants, aujourd'hui, se passe dans les tribunaux. 75% des affaires de viol sont classées sans suite.
03:31 Il n'y a que 0,4% d'affaires qui finissent par des condamnations aux assises. On est un des rares pays au monde où des plaines de criminels avérés prennent des plaines de prison exsurcis.
03:41 Mais Mourad, à la table, ça veut dire, derrière tout ça, que le problème, ce sont les réseaux, en quelque sorte, avec les enquêtes qui sont falsifiées aujourd'hui ?
03:49 Bravo, vous avez dit l'essentiel. Ce que personne ne veut traiter, c'est que le vrai problème aujourd'hui en France, il y a des cas particuliers et graves.
03:57 Mais en réalité, les cas d'inceste qui concernent en 92% les faits de viol et de pédocriminalité sont en général impliqués dans des réseaux pédocriminels.
04:07 Et ce sont des schémas systémiques. Moi, contrairement à beaucoup, je rencontre les parents plaignants. On a fait plusieurs manifestations à Paris.
04:13 J'aurais bien voulu que la presse, Le Point, Le Monde, qui, sans être venus, sans rencontrer les parents plaignants, ont osé dire que ces manifestations,
04:23 c'était "que à non", personne n'avait employé le terme, personne n'avait même montré une affiche dans ce sens.
04:28 C'est une insulte, un crachat à l'endroit de ces parents plaignants qui sont majoritairement des mamans, qui sont admirables, qui ont un courage incroyable,
04:37 parce que pour être confrontés à cette usure qu'appliquent contre elles des gens qui sont censés les protéger, c'est-à-dire la police,
04:45 les brigades de protection de la famille n'ont jamais arrêté le moindre réseau pédocriminel en France.
04:51 En gros, la plupart des magistrats, aujourd'hui, plaident sans suite. C'est cela ?
04:55 Attendez, le pire dans tout ça, c'est que des magistrats sont impliqués dans les réseaux pédocriminels.
05:00 Moi j'ai eu affaire au conseil supérieur de la magistrature, parce que des manquements graves et des violations déontologiques de Géraldine Charles,
05:08 avérées avec des preuves irréfutables, ils cherchent à la protéger. Mais c'est quoi le conseil supérieur de la magistrature ?
05:13 On a un type qui a été condamné pour détention d'image pédopornographique avec des enfants de moins de deux ans en train d'être violés.
05:22 On parle récemment d'un autre qui a été mis en examen. Celui-là est mis en examen pour quatre agressions sexuelles.
05:31 Vous voulez que ces types-là, qui sont amenés après à juger leur père sur des questions de réseau, fassent le travail ?
05:38 Mais vous plaisantez, ils massacrent bien au contraire la majorité des magistrats qui font le travail.
05:43 Donc c'est vous qui faites en quelque sorte le sale boulot, qui en plus allez sur les plateaux de télévision pour aller témoigner.
05:50 Mais vous risquez gros derrière tout ça, vous en avez conscience ?
05:53 Oui, mais en même temps je crois savoir que jusqu'à ce jour, on s'est bien gardé de porter plainte contre moi pour diffamation,
05:59 pour une raison très simple, je n'avance qu'avec des faits, qu'avec des preuves.
06:03 Et ce qui est très intéressant par exemple, moi j'ai une lecture différente de tout le monde puisque je suis sur un acteur du terrain.
06:10 Quand j'entends l'affaire dramatique et voire criminelle d'Olivier Duhamel, il y a deux questions que je me pose.
06:17 Bizarrement, on est déjà en train de parler des réseaux d'Olivier Duhamel, donc on s'éloigne du sujet.
06:22 Et on parle sans arrêt d'un sept alors que c'est...
06:24 Donc on parle de la personnalité de l'homme sans parler pour autant du fond de l'affaire et de ce que cela cache.
06:29 Et de l'aspect juridique surtout.
06:32 Merci. Il y a un aspect juridique. Comment se fait-il ?
06:36 Et je voudrais bien que les journalistes enquêtent.
06:38 Que ce jeune Victor, d'emprunt, et je félicite Camille pour le courage incroyable qu'elle a eu pour sortir cet ouvrage.
06:48 Il a été entendu par des policiers, déjà.
06:52 Comment ça se fait qu'il n'y a aucun magistrat ni policier qui a quand même voulu traiter de l'affaire ?
06:59 C'est arrivé dans les mains des magistrats bien avant qu'elle sorte son ouvrage.
07:03 On parle aujourd'hui d'omerta d'à peu près une centaine de personnes.
07:08 Mais attendez, on est dans un état.
07:10 Si on est encore dans un état de droit, toutes ces personnes doivent être poursuivies pour non-dénonciation de crime.
07:16 Quand Rémi Filippetti annonce qu'il a averti un tel ou un tel, mais il est sous le sceau de l'article 40 du code de procédure pénale,
07:23 qu'il l'a obligé à avertir le procureur de la République, et ce sans délai.
07:29 Donc tout ça est occulté.
07:31 C'est-à-dire tout l'aspect juridique, qui consiste à sauver l'enfant et à le protéger.
07:38 Bizarrement, on parle de plus en plus à question du non-consentement de l'enfant.
07:43 On ne rappelle pas que le mot "pédocriminel" et "pédophilie" n'est pas dans le code pénal.
07:48 C'est quand même des faits extrêmement lourds, graves, qui concernent directement la protection de l'enfance.
07:56 On est déjà parti sur les réseaux de pouvoir de la gauche morale, le BOBO.
08:02 Non, non, il ne faut pas oublier les victimes. Les victimes, il y en a beaucoup trop en France.
08:05 Il ne faut pas oublier qu'on parle beaucoup d'inceste aujourd'hui, mais on parle très peu de pédocriminalité.
08:10 Alors que c'est de la pédocriminalité. Parce que, encore une fois, on veut altérer, on veut adoucir.
08:17 Le mot "pédocriminel", c'est un mot qui choque, qui frappe, qui fait mal.
08:21 Or, aujourd'hui, à l'international, et j'en sais quelque chose, et je ne remercierai jamais assez Ivanka Trump et la cellule trafique humain du FBI,
08:29 qui a étendu, grâce à un décret du Président Trump, la poursuite des pédocriminels jusqu'à l'étranger en fonction de leurs biens.
08:38 D'où, vous pouvez vous poser, j'imagine, la question, l'affaire Epstein en France.
08:42 Comment ça se fait qu'aujourd'hui, il n'y a pas un journaliste qui enquête sur le...
08:45 - Un nuage ? - Merci, 22.
08:48 Comment ça se fait qu'aujourd'hui, on se garde bien d'enquêter sur les trois filles mineures françaises ?
08:54 Il y en a eu bien plus, concernant les victimes françaises, avenue Hoche.
08:59 Là, je parle de ces trois petites filles françaises de 12 ans, qui ont été amenées sur l'île d'Einstein, ou dans son temple dédié à Moloch.
09:07 Il y a organisé une orgie partout, ces petites ont été violées, sodomisées et torturées.
09:12 Comment elles ont pu quitter le territoire national, s'il n'y avait pas eu de complicité au sein de la préfecture de police de Paris ?
09:20 D'après vous, ça concerne la préfecture de police de Paris ou les hautes instances aujourd'hui qui nous dirigent ?
09:25 Les deux. Les deux. Aujourd'hui, j'ai démontré qu'il se passait quelque chose d'extrêmement grave au niveau national,
09:34 puisque j'ai été amené à me rendre compte que dans ma propre affaire, il y avait des agents de la DGSI qui étaient intervenus pour couvrir,
09:44 parce que certains d'entre eux participaient, je parle d'une minorité de personnes.
09:48 Alors, on me dit "mais attends, c'est énorme, qu'est-ce que la DGSI fait là-dedans ? Vous plaisantez ou quoi ?"
09:52 En juin 2019, le commandant de la DGSI dans Ardennes, donc c'est quand même pas n'importe qui,
09:57 c'était le patron d'antiterrorisme dans une des zones françaises les plus criminogènes en termes de risque d'attentat.
10:04 Bien sûr, il a été attrapé. Pourquoi ? Et mis en examen pour viol sur mineur.
10:11 Et attendez, c'est là où j'en viens. Non seulement viol sur mineur, mais sur son ordinateur professionnel et privé,
10:20 on y a découvert plus de 10 000 vidéos et images pédopornographiques. Ce type était dans un réseau.
10:27 Et en plus, les Ardennes, ça vous appelle fournirait, ça rappelle beaucoup de mauvais souvenirs aux Français,
10:32 dans le cadre des luttes contre la pédocriminalité, il s'avère qu'aujourd'hui, on en a la preuve irréfutable
10:37 que des gens qui sont habilités secrets défense participent à l'orchestration des réseaux pédocriminels.
10:48 Donc ce que vous dites derrière tout ça, c'est qu'il y a une collusion aujourd'hui véritablement dans le système actuel
10:54 entre les magistrats, les policiers et aussi un peu une presse qui se veut partie prenante.
11:02 En tout cas, elle se veut moralisatrice. Moi, je la renvoie à cette presse-là, à la déclaration des devoirs et droits du journaliste
11:11 qui a été signée le 24 et le 25 novembre 1971 à Munich, qui rappelle bien aux journalistes la réalité de leur devoir
11:22 qui est de défendre la liberté de l'information.
11:25 Mais ne pas livrer leur source.
11:27 Mais c'est évident. Mais à partir du moment... Mais aussi, ils doivent défendre la liberté du commentaire et de la critique.
11:33 Vous voyez des débats aujourd'hui sur cette thématique ? Moi, je vais vous dire une chose.
11:40 On renvoie souvent aux parents plaignants le fait qu'ils soient dans l'émotion. Ce n'est pas mon cas.
11:47 J'ai appris à être très froid parce que c'est des sujets lourds.
11:53 Comment on peut faire abstraction ? Comment on peut faire un débat médiatique sans qu'il y ait de parents plaignants ?
11:59 Ces gens-là s'investissent d'un rôle. Mais comment ça ne voudrait pas aller à ma place ?
12:04 C'est moi qui suis allé dans les tribunaux. C'est moi qui ai vu des magistrates prendre des ordonnances alors qu'elles étaient incompétentes territorialement.
12:11 C'est moi qui ai vu des magistrates qui étaient en lien professionnel avec les avocats de l'autre partie.
12:15 C'est moi qui ai vu des magistrates téléphoner aux policières alors qu'ils n'avaient... Dans la loi, c'est interdit.
12:21 Pour demander un rapport qui contredisait un premier rapport avec l'aide d'une commissaire centrale.
12:28 C'est des faits extrêmement graves.
12:30 Mais vous avez quand même des personnalités politiques de premier plan. Je pense notamment à Elisabeth Guigou qui, elle, avait le pouvoir d'interférer dans la matière.
12:38 Oui. Mais alors Elisabeth Guigou, c'est marrant parce que tout à l'heure on a parlé de l'affaire Guy Georges.
12:43 Elle est intervenue à l'époque puisqu'on a eu deux êtres exceptionnels qui ont arrêté Guy Georges.
12:49 Il faut le rappeler parce que, encore une fois, je crois en nos institutions.
12:54 Guy Georges, le tueur des grand-mères.
12:56 Il est le tueur de jeunes femmes aussi. Il a 21 victimes, viols puis meurtres. D'accord ?
13:02 Il risque de sortir de prison bientôt, je crois.
13:04 Merci. Il pouvait être libéré à partir du mois de janvier, je crois.
13:09 Voilà. Bravo au traitement qui est fait aux pédocriminels en France.
13:13 Mais je tiens un point sur un point important. Il a été arrêté par deux personnes exceptionnelles.
13:18 Je le rends hommage. Martine Montaigne, qui était à l'époque chef de la brigade criminelle, qui a mis un vrai travail d'enquêteur et de réseau.
13:25 Malheureusement, pourquoi c'est moins fait aujourd'hui ?
13:27 Et le juge Thiel, qui a rappelé que s'il y avait eu un suivi des empreintes génétiques, au bout du cinquième meurtre, il aurait pu être arrêté.
13:39 Il a fallu qu'on arrive à 21. Et c'est Guy Gou à l'époque, suite à l'injonction du juge Thiel, qui a décidé de le faire.
13:46 Mais là, Guy Gou, en l'occurrence, madame Guy Gou, s'il était au courant de quoi que ce soit, elle tombe sous le sceau de la tier 40. Je n'en sais rien.
13:53 En tout cas, elle a quitté son poste. Je ne vais pas l'incriminer dans ce sens.
13:57 Mais je tiens à dire que comment ça se fait qu'on avait avant une police, une justice qui était au service de la victime,
14:05 alors qu'aujourd'hui, on vit un scénario où le président de la République lui-même, dans un de ses discours récents, a parlé du primat de la victime.
14:12 Il veut quoi, le primat du bureau ? Aujourd'hui, on est dans une période littéralement inversée.
14:17 Et quand vous parlez avec des mamans plaignantes ou des enfants victimes, vous vous rendez compte que la première chose qui est faite par les magistrats et les policiers,
14:24 c'est de remettre en doute leurs paroles. Alors moi, je tiens à dire...
14:27 Vous employez ce chiffre que vous citez. 74% des cas aujourd'hui font l'objet de classements sans suite, ce qui paraît colossal.
14:36 Et comment voulez-vous qu'après, des gens aient le courage d'aller se confronter à la justice, puisque la justice est devenue l'injustice ?
14:43 Donc vous, Mourad El Attab, en gros et pour résumer, vous n'avez plus du tout confiance dans la justice de votre pays aujourd'hui.
14:49 À ce jour, je ne vous cacherai pas que je crois en certains magistrats, mais je ne crois plus en la justice telle qu'elle est aujourd'hui.
14:55 Mon avocate me conforte en me disant qu'il faut continuer à croire. On est sans arrêt dans des procédures qui usent.
15:02 Moi, j'ai rencontré une maman plaignante, 9 ans de procédure avant de revoir ses enfants.
15:06 Moi, en 4 ans, je n'ai vu mes enfants que 7 heures. L'homme qui vous parle en face de vous, si je ne pouvais pas acheter des photos de classe, je ne saurais même pas quoi ressemblent mes enfants.
15:15 J'ai l'autorité parentale conjointe, des magouilles à tout va. Vous savez que les associations qui sont choisies dans le cadre de la protection de l'enfance,
15:24 en l'occurrence l'ASE, l'Aide sociale à l'enfance, prend 10 milliards de budget d'euros par an. C'est plus que le ministère de la défense, plus que le ministère de la justice.
15:34 Le bilan est catastrophique. Et c'est le magazine Marie-Claire, à travers une de ses journalistes brillantes, Mme Durand, qui a fait un travail exceptionnel,
15:41 et votre confrère de Zones Interdites qui ont enquêté. On découvre que 40% des gamins qui sortent de là finissent SDF. 70% finissent sans diplôme.
15:51 On a découvert un réseau de prostitution de jeunes filles par les gens qui sont censés les couvrir, l'ASE. On y découvre des viols entre mineurs.
15:59 Mais attendez, vous plaisantez, c'est un business. Et sans parler de... Je me pose moi des questions de filières éventuelles d'enfants mineurs étrangers
16:10 qui passeraient par là. C'est le cas du dernier enfant, la pakistanaise. Enfin, "enfant".
16:15 On va pas trop venir dans les détails, peut-être.
16:17 Mais c'est très grave. C'est très grave ce qui se passe en France. C'est très grave. Parce que ça, c'est le réel. Mais ça, vous voyez, vous m'invitez parce que vous voulez le réel.
16:24 Au-delà de la pression, est-ce qu'il y a de l'intimidation ? Est-ce que vous, par rapport à tout ce que vous dites, vous faites l'objet vraiment d'intimidation particulière ?
16:33 Alors, moi, on a trois tentatives de défraction, deux tentatives d'agression. Je me suis battu deux fois avec des inconnus, dont une fois j'ai filmé.
16:41 Le même vice-procureur, je le cite, François Bonnecarrère, s'amusait à tout classer sans suite.
16:45 Ce François Bonnecarrère est allé jusqu'à empêcher un procès-verbal de réquisition qui était fait par une procureure en charge de la protection des mineurs.
16:56 Donc, vous voyez que le délire va très loin. Ce sont des gens qui, lorsqu'ils décident de servir un réseau pornographique ou pédocriminel, ne s'appliquent pas eux-mêmes leurs propres codes de déontologie.
17:07 C'est pourquoi, moi, personnellement, au regard de toutes les affaires que j'ai entendues, j'embrasse de tout cœur toutes ces mamans qui se battent avec un courage sans nom. Ce sont des vraies guerrières.
17:17 Moi, je demande la modification de l'ordonnance de 1958 dans les yeux. Je veux qu'il y soit inscrit la responsabilité pénale de nos magistrats, avec un jury populaire composé pour moitié de policiers, de gendarmes et de militaires.
17:30 Mais aussi, pour ne pas qu'ils soient trompés, je demande à ce que dans le code de déontologie des avocats, si un avocat cherche à tromper ce qu'on appelle la religion du juge, il soit poursuivi pour parjure.
17:40 Parce que malheureusement, dans mon affaire, une avocate présente des attestations qui n'ont aucune valeur juridique dans ses conclusions, même pas signées, et c'est validé par les juges.
17:49 Donc, pas de correctionnel, mais véritablement du pénal aujourd'hui. C'est ce que vous revendiquez.
17:53 Alors, autre point que vous évoquez, comment ça se fait que la loi Schiappa, depuis qu'ils se sont "amusés", parce que c'est pas drôle pour les enfants, on a transformé les viols pour enfants en termes d'agressions sexuelles.
18:06 Et vous savez pourquoi ? Parce que viol, c'était les assises. Et pour désengorger, soi-disant, les assises, on a dit, maintenant un enfant, s'il est victime, c'est une agression sexuelle.
18:14 Donc déjà, c'est moins de 10 ans.
18:15 C'est ce que nous a expliqué Karl Zero, qu'on a eu il y a quelques jours sur cette antenne. Karl Zero, avec qui vous devez travailler, du reste ?
18:21 Bien sûr, mais moi, je félicite tous ces lanceurs d'alerte. Moi, je n'ai jamais... L'essentiel pour moi, ce n'est pas ce que j'incarne en tant que messager ou Karl Zero, c'est le message.
18:34 Aujourd'hui, les enfants de France sont en danger en France, parce qu'en réalité, ce qui compte, et vous l'avez mis le doigt là-dessus, et personne n'en parle aujourd'hui, ce sont les réseaux pédocriminels.
18:42 Ils sont systémiques. C'est toujours les mêmes scénarios. Falsification d'enquête de la police, des magistrats qui classent sans suite ou qui s'amusent à écarter le parent plaignant,
18:54 se servent d'un expert psychiatre, souvent bidon, parce que là, c'est pas Perrone et Raoult, d'accord ? Des toccards qui vont s'amuser à faire des faux.
19:04 Vous savez qu'aujourd'hui, en France, on enlève des enfants à leur maman parce que c'est soi-disant trop fusionnel ? Pourquoi la même Azeu n'est pas partie chez M. Duhamel quand il tapissait son mur des fesses et des seins de ses beaux-enfants ?
19:20 Pourquoi l'Azeu n'y est pas allée, là ?
19:22 Alors peut-être effectivement une dernière question dans ce monde si glauque. C'est vrai que les gens qui nous regardent doivent se dire dans quel monde vit-on aujourd'hui ?
19:32 France vit-on.
19:33 Ouais, dans quelle France vit-on. Peut-être une toute dernière question. Vous dites qu'il y a aussi derrière l'arbre qui cache la forêt, il y a une volonté derrière vous de récupération à la fois politique et religieuse.
19:47 Qu'est-ce que vous entendez par cela ?
19:48 Deux choses. Je vous renvoie d'abord à une lettre remarquable, une lettre ouverte, qu'a fait une association qui s'appelle RedFamily.fr, qui ont déjà fait plus de 600 envois mail au président de la République et qui racontent dans le détail.
20:03 Ils ont fait un travail super, ce qui se passe réellement en France et à la fin, en partie, mon affaire.
20:09 Moi, je dis une chose, c'est que des journalistes comme vous font le travail. Nexus l'avait fait dès 2014 en interrogeant Jean-Pierre Mocchi.
20:16 Jean-Pierre Mocchi, à l'époque, le réalisateur Jean-Pierre Mocchi, dont le film "Les balais et Carlotte", sorti en 2004, a été interdit en salles, disait que si on ne faisait rien aujourd'hui au niveau législateur, c'est que dans les réseaux pédocriminels, il y avait des hommes politiques et des juges.
20:30 Donc, ce n'est pas moi qui l'invente. Emmanuel Macron fait une erreur stratégique monumentale parce qu'il est dans la stratégie, il n'est pas dans l'empathie.
20:38 Emmanuel Macron est au courant de mon affaire. Il est au courant des agents de la DGSI mouillés gravement dans le réseau pédocriminel où sont tombés mes enfants.
20:46 Et pourquoi il n'agit pas ?
20:48 Alors, il va être obligé d'agir parce que moi, je vais sortir prochainement un ouvrage qui répond totalement à votre question, qui est une synthèse actualisée et une approchante complète de la question terroriste en France, puisqu'il est question de la DGSI.
21:01 Alors, je vous le montre. C'est un scoop.
21:03 On aime bien les scoops ici. Allez-y, montrez-le devant la caméra.
21:08 Macron, la haine de l'islam, pourquoi il se trompe de cible ?
21:12 Emmanuel Macron, je lui dis publiquement, cher monsieur le président, vous faites preuve pour l'instant d'une grave incompétence et d'une grave irresponsabilité.
21:24 Pas devant moi, devant la France entière et devant les enfants de France.
21:28 Il se sert aujourd'hui, lui et son gouvernement, pour tout détruire jusqu'à nos libertés, jusqu'au droit sur nos enfants, d'un prétexte de soi-disant danger islamiste sur le territoire.
21:42 Danger sanitaire en l'occurrence.
21:45 Il est aussi sanitaire.
21:47 Mais surtout sanitaire.
21:48 C'est une dictature sanitaire aujourd'hui, ce n'est même plus un danger.
21:51 Mais qu'est-ce qu'il fait, monsieur Emmanuel Macron ?
21:53 Il se sert de cette thématique pour revenir sur tous les droits des Français.
21:57 La sécurité, l'éducation et maintenant la santé.
22:01 Alors je l'invite très fortement à devenir président de la République pour tous les Français.
22:07 Apprendre à protéger d'abord les enfants parce que c'est l'avenir.
22:11 Et il faut qu'il sache une chose, c'est que je ne le lâcherai pas.
22:14 J'irai jusqu'au bout.
22:15 Et il n'est pas bon pour lui, aujourd'hui, de se positionner du côté des agresseurs, des corrupteurs, des falsificateurs d'enquête, même si parmi eux il y a des magistrats, honte à eux.
22:26 Et c'est pour ça que je vous donne un point très important.
22:29 Aujourd'hui, la France n'est plus un État de droit depuis qu'Emmanuel Valls avait signé ce fameux décret mettant l'autorité judiciaire sous le contrôle du politique.
22:38 Et aujourd'hui, nous avons une justice politique.
22:40 Je voudrais que nos magistrats s'appliquent à juger en droit et non pas en opportunité, surtout pour nos enfants.
22:48 Merci beaucoup, Mourad, à la table d'être venu sur ce plateau.
22:51 Vous représentez, vous, à peu près 700 000 musulmans en France.
22:55 Donc vous avez un pouvoir d'influence.
22:56 Réel.
22:57 Et un pouvoir médiatique aussi, on l'a vu à travers cette émission.
22:59 En tout cas, merci d'être venu.
23:00 C'est moi qui vous remercie.
23:01 Merci aux téléspectateurs de pouvoir réagir immédiatement sur notre invité, Mourad, à la table, sur ce qu'il vient de dire, sur le contenu de son intervention, véritablement.
23:10 Est-ce que vous avez été choqué ? Est-ce que pour vous, c'est une évidence par rapport à ce défi de la vérité enregistré pour le compte de François ?
23:19 Merci beaucoup et à très bientôt. Au revoir.
23:22 [Musique]