Arrestation de Juan Branco : Les nouvelles révélations d'Antoine Felix Diome

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Transcript
00:00 On ne peut pas le détourner, ne pas le relater.
00:06 C'est pourquoi les partis politiques ont dit que c'est ce qu'ils voulaient.
00:17 On peut y arriver, même les statues.
00:24 Il faut d'abord une déclaration et un enregistrement au niveau du ministère.
00:30 Il faut avoir des statues, même si elles sont modifiées.
00:35 Si les ministres de l'intérieur refusent,
00:39 ils ne vont pas accepter ces modifications.
00:44 C'est le motif de dissolution.
00:47 Si les ministres de l'intérieur acceptent ces modifications,
00:53 ils vont pouvoir se réunir et se réunir.
01:00 Les députés pourront se réunir.
01:04 Mais les partis politiques et les statues
01:10 doivent respecter la constitution, la souveraineté nationale
01:19 et la démocratie.
01:22 Mais on a une autre chose à dire, la modification de la loi de 81
01:28 dit que si les partis politiques trouvent que la liberté ou l'ordre public est en danger,
01:37 la sanction peut être détruite.
01:41 Mais qui peut être en danger ici au Sénégal?
01:45 En 2021, vous avez entendu comment les partis politiques et les bancaires
01:54 ont voté pour qu'ils soient détruits, détruits, tués et tués.
02:03 Ils ont oublié des manifestations, des détruits, des détruits aux édifices publics,
02:14 aux brigades de gendarmerie et aux commissariats de police.
02:21 Depuis le 1er et le 2ème juin, ils ont détruit l'université.
02:26 Ils ont pris des ambulances et des corbières pour l'amener.
02:32 Ce n'est pas le rôle du parti politique.
02:38 Mais ce qui est plus grave, c'est que le parti politique ait décidé de le faire comme Samuel Do.
02:49 Il va prendre les miennes et moi les autres.
02:53 Si vous voulez tuer vos parents.
02:55 Mais il n'est pas politique.
03:05 A partir de ce moment, en toute responsabilité,
03:09 et je vais en profiter pour répondre à une question,
03:12 l'inculpation de Ousmane Sonko n'a absolument rien à voir avec la dissolution du PASTEF.
03:20 Absolument rien à voir.
03:22 Parce que le parti politique, l'association,
03:27 les gens qui l'ont soutenu et ceux qui n'ont pas,
03:32 ont la présomption d'innocence.
03:35 Parce que c'est ce qui est leur droit.
03:39 Je vais en profiter pour répondre à une question.
03:48 Pour faire face à la question de la force de défense et de sécurité,
03:55 je vais répondre à la question de la police, de la gendarmerie et de l'armée.
03:58 (Applaudissements)
04:00 (...)
04:02 (...)
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04:46 (...)
04:48 Vous savez, il y a des gens qui ont l'habitude de se faire des choses
04:53 ou de se faire des choses qui ne sont pas de leur faute.
04:58 Que ce soit la police, la gendarmerie ou les travailleurs de l'état.
05:02 Il y a des choses qui sont de leur faute.
05:05 Je veux dire que les gens ne sont jamais allés dans un pays sans faute.
05:10 Sans faute, il n'y a pas de stabilité.
05:13 La faute n'est pas de la faute des gens.
05:17 La faute de la force de défense n'est pas de la faute des gens.
05:20 Mais si vous avez des amis qui vous demandent de venir
05:27 et que vous vous en prenez soin de vous,
05:31 vous n'avez pas de faute.
05:34 Je vous annonce que les avocats qui sont venus ici
05:40 ont parlé de nos institutions, de nos projets
05:46 et de notre avenir.
05:48 Je vous remercie de votre présence.
05:52 (Applaudissements)
05:55 Juan Branco, pour le nommer,
06:02 est en ce moment entre les mains de la BIP,
06:06 qui est une unité d'élite de la police.
06:09 Et je salue le professionnalisme, le courage,
06:15 le dévouement et l'engagement
06:18 de l'ensemble des forces de défense et de sécurité.
06:22 Mais j'accorderai une mention spéciale à l'ensemble de nos forces spéciales
06:26 qui travaillent de jour comme de nuit
06:28 pour nous permettre d'être en paix comme nous le sommes en ce moment.
06:32 Il y a des choses
06:41 qu'on peut parler de demain et de demain.
06:49 C'est le débat.
06:51 J'ai entendu beaucoup de choses de ces députés
06:58 qui veulent faire partie d'un parti.
07:01 Mais c'est l'esprit, la pensée, la mémoire et la conscience.
07:07 Et personne ne peut le défendre.
07:09 Je respecte ceux qui ont été ou sont dans le parti.
07:19 Je les respecte sans exception.
07:22 C'est ce que je veux respecter tous les sénégalais.
07:25 Je respecte les jeunes et les jeunes plus jeunes.
07:28 Mais il faut le défendre.
07:31 Il faut le défendre et nous devons le faire.
07:38 Car on ne peut pas être en paix avec ceux qui nous ont tués.
07:42 C'est ce que l'on appelle le dévouement.
07:48 Je comprends le projet de PASTEF mais pas les choses que vous nous avez dit.
07:55 Je vous parle de la comparaison et de l'analogie.
08:00 Je vous parle de la question de qui peut prendre le débat.
08:06 Ce n'est pas le débat qui le rend capable.
08:11 On a des manifestations et des jeunes qui veulent boire du cocktail Molotov.
08:17 Du café Touba.
08:19 On leur demande du café Touba.
08:25 Si on leur demande du cocktail Molotov, ils vont boire du café Touba.
08:33 On sait bien ce qu'est le café Touba.
08:43 On sait où se trouve le sérigne de Chagabon.
08:47 On sait aussi ce qu'on va boire.
08:51 Je ne veux pas entrer dans les bâtons arabes pour faire des histoires.
08:56 Mais on sait ce qu'il s'agit du café Touba.
09:02 On sait que c'est un café qui est très bon.
09:06 On ne peut pas le manger comme ça.

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