Selon les informations du média Factuel, confirmées par la députée elle-même, et malgré son salaire de plus de 7.000 euros par mois, la député Insoumise Rachel Kéké occupe un logement social. L’élue Insoumise réside dans un 4 pièces d’un peu plus de 80m² à Chevilly-Larue, au sud de Paris, avec ses 4 enfants, âgés de 14 à 23 ans.
La députée du Val-de-Marne a indiqué payer un loyer situé entre « 800 euros et 1000 euros, selon les mois », en comptant le surloyer. Un loyer relativement peu élevé donc pour la femme politique qui touche 7 605,70 euros brut mensuel, soit un montant net d’environ 6 000 euros par mois.
« Mes enfants vont à l’école à Chevilly-Larue, c’était plus simple de garder ce logement social », a justifié Rachel Kéké, assurant chercher actuellement « un nouveau logement dans le privé pour cette année ».
À nos confrères, Rachel Kéké a expliqué avoir demandé à changer de logement à la suite de son élection, ce à quoi son bailleur lui aurait affirmé qu’elle pouvait continuer à occuper l’appartement, « à condition de payer un surloyer ».
La députée du Val-de-Marne a indiqué payer un loyer situé entre « 800 euros et 1000 euros, selon les mois », en comptant le surloyer. Un loyer relativement peu élevé donc pour la femme politique qui touche 7 605,70 euros brut mensuel, soit un montant net d’environ 6 000 euros par mois.
« Mes enfants vont à l’école à Chevilly-Larue, c’était plus simple de garder ce logement social », a justifié Rachel Kéké, assurant chercher actuellement « un nouveau logement dans le privé pour cette année ».
À nos confrères, Rachel Kéké a expliqué avoir demandé à changer de logement à la suite de son élection, ce à quoi son bailleur lui aurait affirmé qu’elle pouvait continuer à occuper l’appartement, « à condition de payer un surloyer ».
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00:00 en tant que tel un député qui a un logement social,
00:02 pour moi c'est contradictoire en tant que tel.
00:04 Le logement social, d'abord, il ne faudrait pas en abuser.
00:05 Si je peux me permettre, moi j'ai un réflexe assez nord-américain sur ça,
00:08 ça devrait être pour vraiment les désœuvrer.
00:10 - 2 423 000, pour aller dans votre sens, ménages,
00:14 en demande de logement social.
00:16 - Donc ça devrait être pour ceux qui en ont vraiment besoin.
00:18 J'ajoute que dans un pays qui peine à loger ses gens,
00:21 eh bien, ce serait peut-être une bonne idée de ne pas faire rentrer sans cesse
00:24 des nouvelles personnes qu'il faut loger,
00:26 il y a un lien soi-dit en passant entre les deux.
00:28 C'est-à-dire que vous ne pouvez pas avoir une crise du logement
00:30 et avoir une immigration massive.
00:31 Et si vous dites "j'aime pas la crise du logement"
00:34 et vous souhaitez l'immigration massive,
00:36 soit vous êtes incapable de compter,
00:37 soit vous êtes un imbécile ou un menteur, c'est tout à fait possible aussi.
00:40 Quoi qu'il en soit, dans cette histoire très particulière,
00:43 Mme Keké, en plus avec sa phrase, se fout de la gueule du monde,
00:45 il faut être honnête.
00:46 C'est-à-dire que les Français, moi, souveraine Keké,
00:49 eh bien, qu'on s'occupe de moi et qu'on me trouve le logement,
00:52 probablement aménagé si possible et déjà meublé,
00:55 et ensuite, ensuite, j'irai m'y installer.
00:57 Il y a des limites à ne pas comprendre sa propre fonction.
01:00 Et je pense que cette dame qui a inspiré
01:04 parce qu'elle incarnait l'ascenseur social,
01:06 aujourd'hui, condense en elle-même tous les travers des élites
01:10 qu'elle dénonçait encore hier.
01:11 [Musique]
01:15 [SILENCE]