André Ciccodicola : «Je trouve que c'était une opération de communication face à l'arrivée massive de 6.500 personnes sur l'île de Lampedusa mais cela ne règle pas les problèmes»

  • l’année dernière
L’éditorialiste à La Marseillaise André Ciccodicola, à propos de la conférence de presse à Lampedusa, dans Midi News week-end : «Je trouve que c'était une opération de communication face à l'arrivée massive de 6.500 personnes sur l'île de Lampedusa mais cela ne règle pas les problèmes» 

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00:00 - Quand on parle de couloir, ça veut dire qu'on décide d'organiser la question miracle.
00:04 - C'est ça, exactement.
00:05 - Et qu'on la laisse plus dans l'état de chaos et de la...
00:07 - Et une forme d'exode.
00:08 - Dans laquelle j'aime.
00:09 Mais c'est un couloir humanitaire dans un sens.
00:11 Dans quel sens ?
00:12 Dans le sens, comment ? Afrique, Asie, Amérique latine.
00:17 Parce que le problème que nous avons, il ne faut pas l'oublier,
00:19 il se pose aussi par rapport à l'Amérique latine et les Etats-Unis, etc.
00:23 Moi, ce qui m'a frappé dans cette conférence de presse,
00:28 c'est que, enfin bref, je trouve que c'était une opération de communication en réalité,
00:35 face à une grande émotion avec l'arrivée massive d'un seul coup de 6 500 personnes sur l'île de Lampedusa.
00:43 Mais ça ne règle pas les problèmes.
00:45 Nous avions là l'image de deux échecs,
00:48 à la fois l'échec italien, vous l'avez rappelé, par rapport aux promesses électorales,
00:52 mais aussi l'échec de l'Europe.
00:54 Et ça a été frappé.
00:58 Mme Van der Leyen nous propose la même chose de ce qui est appliqué et qui ne marche pas.
01:03 (Générique)

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