Pour Jordan Bardella, président du Rassemblement national et député européen revient sur les arrivées de migrants qui ont doublé en Italie: "je ne suis pas l'avocat de Giorgia Meloni"
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00:00 -Des côtes lygiennes ou des côtes tunisiennes ?
00:01 -C'est ce qu'on entendait pendant la campagne présidentielle de Georgia Melanie.
00:04 Aujourd'hui, un... -Législatif ?
00:06 -Non, non, non. Oui, vous avez raison.
00:08 Présidente du Conseil, un, aujourd'hui, elle est obligée d'en appeler à l'Union européenne,
00:12 deux, elle promettait la fin de l'immigration.
00:14 Les arrivées ont doublé par rapport à l'année dernière.
00:16 Qu'est-ce qui nous dit que si vous étiez au pouvoir,
00:19 vous réussiriez à mettre en œuvre ces promesses ?
00:22 -Eh bien, essayez, Monsieur Duhamel.
00:23 -Essayez très bien. -La force de l'exemple ne l'est pas, franchement.
00:26 -Je doute, à titre personnel, que vous souhaitiez essayer, mais...
00:29 -C'est pas le sujet, Jordan Bardel. -Pardonnez-moi, je ne suis pas d'abord un.
00:32 L'avocat de Mme Mélanie, il y a dans son gouvernement
00:35 une coalition avec nos alliés, de la Lega de Madelon Samina,
00:38 qui je siège au Parlement européen,
00:40 et qui, lorsque lui était ministre de l'Intérieur en Italie,
00:43 a fait chuter de manière significative le taux d'arrivée des migrants sur les côtes italiennes.
00:48 -Il y avait beaucoup moins d'entrées, beaucoup moins d'arrivées sur les côtes italiennes.
00:51 -Vous avez raison, et merci de me permettre de rappeler que,
00:53 Là, les images qui apparaissent derrière vous, ce n'est que le début du commencement.