SP7: "Inédit un parcours d’obstacles écoresponsable et inclusif"

TL7 - Télévision Loire 7

L'histoire de l'UFOR, le rugby club d'Unieux.  Nous partons à la rencontre de l'UFOR, le club de rugby d'Unieux qui fête cette année ses 120 ans de création.  D'abord rattaché aux Aciéries de Firminy, puis au comité d'entreprise du Creusot, c'est au début des années 2000 que naît l'UFOR. Le club Unieux Firminy Ondaine Rugby joue ses matchs sur la pelouse du stade Pierre Poty.     Le mini-rêve Américain. Les chevaux miniatures constituent un type de chevaux que l'on trouve dans de nombreux pays, notamment en Europe et dans les Amériques. La désignation de « cheval miniature » est déterminée par la hauteur de l'animal, généralement inférieure à une fourchette de 86-97 cm selon le registre de race. Les chevaux miniatures sont de la taille des plus petits poneys, mais beaucoup conservent les caractéristiques morphologiques du cheval et sont considérés comme des « chevaux » par leurs registres respectifs. A la rencontre d'Angélique, du RANCH MONTANA, l'un des 50 éleveurs de la race en France.     Unieux en chapeau et santiags  les ligériens se mettent à l'heure Country. À Unieux, le groupe de Country "Arc-en-ciel" fait danser les ligériens au rythme de la musique Western.     Inédit un parcours d'obstacles écoresponsable et inclusif. Inédit en France et prochainement dans la Loire, David Deux est à l'origine du projet de création d'un parcours d'obstacles éco responsable et inclusif dans la commune de Cordelle. Le site sera composé de 20 ateliers emblématiques des parcours du combattant. Mais à leurs différences, certains obstacles de « Spart Xtrem » seront accessibles aux personnes à mobilité réduite.     Nicolas FAVRE, un passionné d'arbitrage. Nous évoquerons comment un arbitre prépare sa saison et comment il aborde les matchs. Portrait d'un jeune arbitre de 30 ans, Nicolas Favre, passionné par l'arbitrage.

Transcript

00:00 *Musique*

00:12 *Applaudissements*

00:18 Bonsoir à toutes et à tous !

00:19 Mais c'est mignon, elle est tombée dans les cordes !

00:21 C'est ce qu'on dit !

00:22 Ouais, c'est dans les cordes !

00:23 C'est pas lourd !

00:24 Le temps que tu te défasses, et tu reviendras à remplacer Katarina !

00:27 Ah, vas-y, va pas là !

00:28 Bonsoir à toutes et à tous, ravis de vous retrouver sur le plateau de Sourcette !

00:32 Qui a choisi la musique, là ?

00:33 C'est Lilian !

00:34 Non, mais j'ai bien fait le...

00:36 *Rires*

00:38 Ce soir, encore une émission, mais alors, incroyable !

00:41 D'ailleurs, je vous demanderais tout de suite de faire un tonnerre d'applaudissements

00:43 pour notre invité, David Dezoe !

00:45 Ancien instructeur, sergent instructeur !

00:48 On va parler de quoi avec vous ?

00:50 On va parler d'un parcours d'obstacle permanent

00:52 qui vient d'être inauguré il y a quelques jours à Cordel, dans le Hallward.

00:55 Il est écolo et ?

00:57 Il est éco-conçu, effectivement, il est inclusif, on prend tous les publics.

01:00 Exactement. À côté de vous, on pourrait l'appeler la Jessie !

01:02 *Applaudissements*

01:03 Comme dans Toy Story, notre spécialiste danse.

01:05 On a... On sent ce que ça peut donner.

01:08 Vous avez une petite idée ?

01:09 Euh, ouais, un condor ! Elle est là, un condor. C'est un condor, non.

01:12 Bon, très bien présenté. Du coup, on va parler...

01:15 Aujourd'hui, vous allez devoir enfiler les chantiags et les chapeaux de cow-boys

01:19 pour aller à Unieux, rencontrer le club de country, l'Arc-en-Ciel.

01:22 Voilà ! En face de vous !

01:24 Celui où on a créé son nom d'arrivée de stade, Adrien Confort !

01:29 *Applaudissements*

01:30 Bonsoir !

01:31 Bonsoir, Julien. Ce soir, on va parler d'arbitrage.

01:33 *Rires*

01:34 Oh, d'autres ?

01:35 Je suis désolé.

01:36 C'est vrai que tu tiens une crème sur les terrains.

01:37 Moi, sur les terrains, j'étais toujours une crème, mais non.

01:38 C'est vrai qu'on a besoin d'arbitres sur les terrains.

01:40 Oui, exactement.

01:41 Et les rencontrer, c'est très bien.

01:42 Celle qui voit comme le rêve américain, elle est là.

01:44 Le mini rêve américain !

01:45 Le mini rêve, voilà !

01:46 Oui !

01:47 Un mini rêve américain.

01:48 Puisqu'on est allé du côté d'Yssinjau à la rencontre d'une éleveuse de chevaux miniature américain.

01:53 Une première !

01:54 On l'applaudit d'un fort !

01:55 *Applaudissements*

01:57 Vous avez vu ?

01:58 On voyage !

01:59 On voyage !

02:00 Alors, on l'a dit, David II, vous êtes un ancien instructeur.

02:04 Vous avez fini quel grade ?

02:05 Alors, j'étais sergent, donc j'étais sous-officier d'actif dans l'armée de terre.

02:09 On a des images à l'appui.

02:11 Voilà, dans la branche 15, donc interarmes et sport.

02:15 Et votre spécialité, c'était ?

02:16 Le sport.

02:17 C'est pas mal.

02:18 Et surtout, c'est ça, l'armée c'est ça, c'est le parcours du combattant.

02:22 C'est ça.

02:23 Entre autres, l'instructeur sport encadre le parcours militaire, le parcours d'obstacle.

02:27 Vous avez fait ça combien de temps ?

02:29 Donc, j'ai fait 6 mois en école, ensuite 4 mois en unité, et je suis retourné en école, l'école interarmée des sports.

02:35 Adrien Ponçard, on se suit de quelques années.

02:38 Vous l'avez fait à l'armée ou vous avez été exempté ?

02:40 Non, j'ai fait à l'armée, j'ai fait un service civique.

02:42 *Rires*

02:43 Désolé.

02:44 Et le parcours militaire ?

02:45 Jamais.

02:46 T'aurais pu être bon, hein ?

02:47 J'aurais pu être bon.

02:48 J'aurais.

02:49 J'aurais.

02:50 J'aurais.

02:51 Bon, peut-être.

02:52 Du coup, une fois l'armée terminée, qu'est-ce qu'on fait ?

02:56 Vous avez quitté l'armée quand d'ailleurs ?

02:58 En 94.

02:59 94 ?

03:00 Donc après, un parcours un peu atypique, puis un retour au niveau du parcours d'obstacle, puisque la compétition.

03:09 C'est vous là ?

03:10 Les courses d'obstacle sont arrivées en 2010 en France.

03:13 Ouais, c'est ça, 2010.

03:14 Et moi, c'est un truc pour les enfants, et je suis un grand enfant, donc je me suis jeté dans la compète.

03:19 Et puis j'ai enchaîné plusieurs compètes.

03:22 Et aujourd'hui, déjà.

03:24 D'ailleurs, on a des chiffres, entre 2010 et 2015, 40 de... C'est facile, c'est comme la loi.

03:28 40 de compétition.

03:29 40 de course, oui.

03:30 Pas mal, ça.

03:31 Oui, j'ai pas fait exprès, effectivement.

03:33 *Rires*

03:34 Et voilà, de belles rencontres humaines, de belles expériences.

03:38 Et puis il y a une discipline qui fait que derrière, j'ai eu ce projet de création de parcours.

03:43 Mais quelques podiums aussi, avant.

03:45 Oui, il y a eu quelques podiums.

03:47 Ah oui ? Bah dites-le.

03:48 Et un pied de podium.

03:49 Ah ouais, on peut frouster un peu du fion.

03:51 *Rires*

03:53 Quatrième plan, mais c'est joli, c'était quoi, Championnat d'Europe ?

03:55 Championnat d'Europe, oui.

03:56 Spartan Race en format beast, donc c'est de la longue distance.

03:59 C'est du plus long 15.000 marathons avec des obstacles.

04:02 Normal.

04:03 Et voilà, donc...

04:04 C'est combien de kilomètres ?

04:06 26.

04:07 Avec des obstacles, hein.

04:08 Oui, avec des obstacles.

04:09 Et de la boue.

04:10 Oui.

04:11 Il y en a une qui ne moufte pas, à côté, Catharina, le parcours du combattant, c'est votre truc ?

04:16 Bah j'adore l'acrobranche, je ne sais pas si la compte l'est.

04:18 *Rires*

04:19 J'aime bien les moindriers.

04:20 Mais voilà, je serais très partante pour essayer en tout cas.

04:22 Oh, dis pas ça, c'est vrai ?

04:23 Mais oui, carrément.

04:24 Tu rigoles ? Moi j'adore ça.

04:25 Allez, là c'est noté.

04:27 David, on la voit.

04:28 Alors justement, on en parle, l'inauguration avait eu lieu la semaine dernière.

04:32 Voilà.

04:33 Alors on se dit, encore un parcours en plus, parce qu'on avait nos amis les barjots extrêmes, pas loin.

04:39 Mais vous, ce n'est pas du tout sur le même registre.

04:42 C'est quoi le registre ?

04:43 Bah nous déjà, on est en éco-conception.

04:45 C'est quoi l'éco ?

04:46 Donc il n'y a pas de béton, il n'y a pas de plastique, il n'y a pas de pneus.

04:49 Alors on n'est pas parfait, on a un peu de quinquairie quand même, pour assembler les rondins.

04:53 Ah oui, c'est mieux.

04:54 Ah, vous ne faites pas des mortaises, tout ça ?

04:55 Ah, on y viendra.

04:56 *Rires*

04:57 On y viendra.

04:58 C'est-à-dire, charpentiel.

04:59 On y viendra.

05:00 Et ensuite, la deuxième particularité, c'est qu'on, effectivement, va accueillir tous les publics,

05:03 y compris en janvier 2024, on met en place une piste dédiée aux paraplégiques.

05:08 Les paraplégiques pourront faire quoi ?

05:10 Les personnes en fauteuil roulant auront une piste qui leur sera dédiée.

05:13 Mais ça va rouler, c'est de la pente, ça va se passer comme ça ?

05:15 Non, c'est un travail sur les bras, en fait.

05:17 Que sur les bras ?

05:18 L'obstacle le plus difficile pour vous, c'est lequel ?

05:20 Sur le parcours d'obstacles, il y a deux obstacles compliqués.

05:25 Ah bah on va voir le schéma, regardez.

05:26 La poutre, pas la poutre, la table irlandaise, pardon.

05:30 La table irlandaise ?

05:31 C'est quoi ça ?

05:32 Donc ça fait comme une planche de pompier, c'est une planche qui est à plus de 2 mètres,

05:35 et qu'on franchit par-dessus, et on se tracte avec les bras,

05:40 il y a une technique d'enroulement, parce que le principe c'est toujours de se préserver.

05:43 À la Ninja Warrior, quoi ?

05:44 Oui, alors elle n'existe pas au Ninja Warrior, mais ils pourraient la rajouter.

05:48 Ils pourraient la rajouter, éventuellement, oui.

05:51 Alors, on voit que ça a l'air libre, c'est du côté de Cortel ?

05:54 Oui.

05:55 Voilà, c'est pas du côté, c'est à Cortel.

05:57 C'est dans la commune de Cordel, oui.

05:58 Voilà, à Cordel.

05:59 Vous, plus il pleut, plus il y a de la boue, plus on aime ?

06:03 Oui, il vaut mieux prévoir cette tenue de rechange, effectivement.

06:06 Ah, Katharina, parce que je choisirais la météo, hein, le jour où...

06:08 C'est ça qui est une bataille.

06:09 Elle a dit "oui, oui", il ne fallait pas dire "oui, oui".

06:12 En fait, on a une fosse avec de l'eau, effectivement.

06:14 Ah oui ? C'est quoi cette fosse ?

06:16 Donc ça, c'est un obstacle mythique du parcours militaire,

06:18 où on a une fosse de 2 mètres.

06:20 Donc on a une course de 4 mètres, et on a ensuite notre sortie à 2 mètres.

06:24 Nous, on a fait une particularité sur cette fosse.

06:26 On peut...

06:27 On a créé deux oreilles pour justement la rendre accessible à des publics

06:30 un peu moins... avec une motricité un peu plus perturbée.

06:32 C'est dur, on le monte tout seul, ce truc ?

06:34 Ou il faut faire la cohésion ?

06:35 Ça peut se faire en cohésion, mais...

06:36 Ah, ça, je préfère la cohésion, moi.

06:37 En piste noire, on est seul.

06:38 Et vous, vous travaillez avec les militaires, justement,

06:41 qui viennent s'entraîner sur...

06:42 Alors, justement, on a les pompiers qui sont venus nous voir

06:44 et qui veulent se préparer, maintenir leurs conditions physiques.

06:48 Ah, ils aiment ça, les pompiers.

06:49 On a proposé au CIRFA, à la maison de Saint-Étienne, justement,

06:51 pour les petits recrues, de les préparer à l'entrée dans l'armée,

06:54 ce qui s'est passé pour moi à l'époque.

06:55 Ah, ben, ça peut être pas mal, ça.

06:57 C'est une piste.

06:58 Et le trou, il l'a fait tout à la mini-pelle, la main.

07:00 Ah, ben, c'est un vrai ou pas, là ?

07:01 Si on tombe dedans, nous, je le remonte pas.

07:03 On te retrouve.

07:04 On te retrouve un peu plus tard.

07:06 Et donc, du coup, ce parcours a été inauguré la semaine dernière.

07:11 Ouverture, vous avez dit, en 2024.

07:13 Quand exactement ? Premier trimestre ?

07:15 Alors, le parcours, la piste verte, bleue, rouge et noire,

07:17 le parcours classique pour les publics valides,

07:19 ouvre le 18 avec une session réservée aux médias.

07:23 Aux médias ?

07:24 Aux propriétaires.

07:26 Aux propriétaires, c'est pour nous.

07:28 Et le lendemain, on a notre premier groupe qui est réservé.

07:32 Vous êtes prêt ?

07:33 Oui, on est prêt.

07:34 Vous êtes combien d'instructeurs ?

07:35 Alors, pour l'instant, je suis tout seul.

07:36 Il y a un invité qui est pas loin.

07:38 Il est là !

07:39 Il a levé la main.

07:40 Peut-être venir aussi en coach supplémentaire.

07:43 Donc, déjà tout seul et puis après...

07:45 Et quand vous dites niveau rouge, bleu, noir, c'est comme le ski ?

07:48 Oui.

07:49 D'accord.

07:50 On prend le rouge ?

07:51 Le bleu ?

07:52 Le vert, le vert.

07:53 On y va doucement.

07:54 Faut connaître un peu le terrain.

07:56 Et cet homme, vous le voyez comme ça, il a un grand appétit.

07:59 On va voir la carte.

08:00 Perspective d'avenir 2024-2026, c'est faire des petits bébés ?

08:03 Oui, alors en fait...

08:04 Plein de petits bébés ?

08:05 Des franchises.

08:06 Voilà, dans ce concept d'éco-conception,

08:09 faire traverser la France à des gens de Brest qui viendraient à Cordelles,

08:12 c'est un peu déconnant.

08:13 C'est pas trop éco-responsable ?

08:14 Non.

08:15 Donc l'idée, effectivement, c'est qu'on puisse...

08:17 On a déjà des perches qui nous sont tendues en Normandie,

08:20 dans l'Allier, en Hauts-de-France, en Ile-de-France.

08:23 Déjà ?

08:24 Oui.

08:25 On vous donne le terrain ?

08:26 En fait, soit c'est de l'allocation, soit de l'achat.

08:29 Nous, on n'a pas vocation à acheter des bois,

08:31 parce que c'est quand même un bois à chaque fois qu'on est là.

08:33 Vous avez tort, il faut investir dans le bois, je pense.

08:35 Oui, c'est...

08:36 Pour l'instant, on investit dans les obstacles.

08:38 Oui, c'est...

08:39 Mais voilà, donc oui, c'est voué à se déployer.

08:43 Marielle, vous qui êtes chef d'entreprise,

08:45 est-ce qu'il y a un truc qui pourrait vous intéresser ?

08:47 Ah bah pour la cohésion d'équipe, je trouve que c'est top.

08:49 Ou sinon, vous les mettez tous dans un trou, on recouvre ?

08:51 Je pense que c'est mieux.

08:53 On n'a pas le droit de le faire en France.

08:55 Pour une équipe de foot, ça peut être très bien.

08:57 Une bonne cohésion de groupe.

08:58 Ah bah ouais, pour la cohésion d'équipe, c'est super.

09:00 Justement, on en parlait avec mon adjoint tout à l'heure.

09:02 Si on a des problèmes de résultats ensemble...

09:04 Direction Cordel.

09:05 Ça serait bien, ça serait une bonne idée.

09:06 Comment tu trouves la cohésion au sein de Sports7, ça va ou... ?

09:08 Elle est parfaite.

09:10 Bon bah, on peut la faire ensemble.

09:12 On peut la faire ensemble, hein, ça se dit.

09:14 Elle est là, elle est à côté de vous.

09:16 Vous êtes habillés à peu près pareil, les mêmes couleurs par rapport aux chapeaux.

09:19 Thème beige.

09:20 Non, surtout que je parlais blanc et noir.

09:22 Moi je veux le portail bleu.

09:23 Exactement. Est-ce que vous pratiquez la danse ?

09:25 Est-ce que c'est quelque chose ?

09:26 Ou vous êtes un peu comme moi, une petite dyslexie du corps ?

09:28 Non, j'aime bien danser, mais c'est vieux.

09:30 C'est vrai, voilà, après danser.

09:32 Allez, le temps de parler de country avec vous.

09:35 On lance une petite vidéo.

09:36 *Musique*

09:41 *Applaudissements*

09:43 Alors, décision.

09:45 *Applaudissements*

09:47 Et oui, alors j'ai enfilé mes plus belles bottes de cow-boy pour aller à Unieux.

09:51 C'est vraiment les vôtres ?

09:52 Oui, c'est vraiment les miennes.

09:53 Ok, d'accord, t'as ça en main là, tous les jours.

09:55 Je m'habille comme ça au couteau.

09:57 Donc pour aller à Unieux, rencontrer le club de country, l'arc-en-ciel qui existe depuis 2003.

10:03 Parce que le country est arrivé en France dans les années 90.

10:07 On dit le country, la country ?

10:09 La country.

10:10 La country, la country.

10:11 Donc pour moi, la country est arrivée dans les années 90.

10:14 Et la section...

10:15 Par qui, par quel biais ?

10:17 Et bien, alors, il y a eu une petite manifestation au niveau de...

10:21 En fait, c'est Lily West qui a eu l'influence.

10:24 C'est une Française musicienne et chanteuse passionnée de country.

10:30 Qui a lancé le truc.

10:31 Et c'est comme ça que...

10:33 Et c'est arrivé jusqu'à Unieux.

10:34 Exactement, c'est comme ça que la section a ouvert.

10:36 On a hâte de vous voir.

10:38 Oui, moi aussi.

10:39 Bonjour à tous, on se retrouve pour découvrir une nouvelle école de danse.

10:48 Et aujourd'hui, c'est la country qui est mise à l'honneur.

10:50 Regardez, je me suis mise en condition.

10:52 N'est-ce pas ?

10:53 Et on va aller tout de suite les rencontrer.

10:55 C'est parti !

10:57 Regardez comme il y a de l'ambiance !

11:00 C'est très explosif, encore une fois, très technique comme danse.

11:05 Mais c'est fait toujours dans la bonne humeur.

11:07 Dominique, le président de cette magnifique école de danse.

11:13 Qu'est-ce que vous pouvez nous dire sur votre école ?

11:15 En fait, c'est une section d'une association de danse.

11:19 Et on a eu l'occasion de faire un petit tour.

11:21 On a fait un petit tour de la salle de danse.

11:23 En fait, c'est une section d'une association beaucoup plus grande.

11:27 Il y a 400 adhérents à l'arc-en-ciel qui ont plus de 100 ans de vie.

11:32 Et nous, on danse depuis 2007.

11:36 Alors que la section a été créée en 2003.

11:39 C'était le début de la country sur la région.

11:42 Tous les clubs de la région ont commencé dans les années 2000.

11:46 On danse, on peut dire, presque depuis le début.

11:48 Et autre info insolite,

11:50 Dominique vient de me dire que les clubs de la région

11:53 ont eu le prix de la plus longue ligne jamais enregistrée

11:58 sur le cours Foriel que tout le monde connaît.

12:00 Oui, c'était en 2015.

12:02 Tous les clubs avaient pratiquement participé.

12:05 Et en 2025, ça sera les 10 ans du record.

12:09 En fait, c'était un record du monde.

12:12 On avait fait constater par huissier...

12:14 Impressionnant, dis-donc.

12:15 On avait fait constater par huissier

12:17 que c'était 598 danseurs le long du cours Foriel.

12:20 On allait pratiquement de la CCI jusqu'en haut du cours Foriel.

12:26 Écoutez, ce que j'en pense, c'est que cette danse

12:38 est vraiment hyper technique, très explosif.

12:40 Regardez, ça fait 20 secondes que j'essaie de suivre.

12:42 C'est vraiment pas évident.

12:43 Christian, je connais votre amour pour cette danse.

12:46 Alors, qu'est-ce qui vous passionne dans la country ?

12:48 C'est un état d'esprit.

12:50 C'est une musique très variée, avec plusieurs influences.

12:55 Donc, américaine, irlandaise, polonaise, africaine.

12:59 Tout le monde y reprend son compte.

13:02 Il y a de très belles mélodies, de très belles danses,

13:04 beaucoup de dynamisme.

13:06 Moi, je le vois sur la partie équitation.

13:13 Le western, ça explose.

13:14 À Équitalie, au Salon du Cheval, il y a une partie western

13:17 qu'il n'y avait pas il y a 2 ou 3 ans, ça explose.

13:19 Est-ce qu'il existe des festivals par ici, dans la région ?

13:23 Alors oui, on a la chance d'avoir le plus grand festival

13:26 de country de France, qui se trouve à moins de 50 km

13:29 de Saint-Etienne, à Craponne-sur-Arzon, en Haute-Loire.

13:32 Avec "On y va, je rentre", toutes les années.

13:35 S'il y a des épreuves de reining en équitation western,

13:41 ça serait bien qu'on puisse faire quelque chose ensemble

13:43 sur la danse.

13:44 Décidément, je m'engage à beaucoup de choses.

13:46 Tu dois te calmer, c'est le début.

13:48 Tu vas être full, tout le panique.

13:49 On n'a rien dit, rien.

13:50 Vous tous les deux, vous êtes un peu dans l'équitation.

13:52 Est-ce que la country, ça fait partie de votre quotidien ?

13:55 Vous aimez bien ça ou pas ?

13:57 Oui, c'est une musique qui est agréable à écouter.

13:59 Je ne peux pas dire que j'irais danser,

14:01 parce que je ne suis pas un fin danseur,

14:02 mais écouter cette musique...

14:03 On en sera à la fin, tous les deux.

14:04 On va essayer.

14:05 Avec plaisir.

14:06 Et toi, t'intéres ?

14:07 Moi, sur la partie équitation, j'ai eu la chance

14:09 d'essayer à ces lieux la dernière fois,

14:11 lors d'un reportage à TLC.

14:12 C'est une équitation qui est complètement différente

14:14 que l'équitation traditionnelle.

14:15 Ce n'est pas la même relation avec le cheval,

14:17 ça ne se manie pas pareil,

14:18 mais ça prend un essor, c'est incroyable.

14:20 Et ça prend un essor de dingue.

14:21 On a eu 2015 record du monde.

14:22 C'est ça, on n'a pas encore battu,

14:24 encore plus grande ligne.

14:25 Mais c'est vrai, c'est ce qui m'a le plus marquée,

14:27 c'est que vraiment, peu importe d'où l'on venait

14:30 ou notre niveau en danse,

14:31 vraiment, sur la piste,

14:32 on était tous des Ligériens unis par la danse

14:35 et la musique, vraiment.

14:36 Et puis le rire et la complicité étaient vraiment au rendez-vous.

14:39 Et la buvette.

14:40 Et la buvette aussi.

14:41 On vient de me dire dans l'oreillette

14:42 qu'il y a un canasson dans les loges, c'est le tien ?

14:45 Ah non, il est tout petit, vous ne le verrez pas.

14:46 Ah mais c'est le tien, c'est toi qui es venue en cheval ?

14:48 C'est ça, je l'ai garé devant, je ne l'ai pas.

14:50 Allez, démo tout à l'heure ?

14:52 Oui, absolument.

14:53 Donc tu te prépares, tu vas t'échauffer, c'est ça ?

14:54 Je vais me préparer, exactement.

14:55 Vous laissez la place à Lilian Lang, bien qu'elle...

14:57 Allez, on revient un peu avec du sport.

15:05 Quand on est militaire, on a un sergent-instructeur,

15:08 on dit "oui chef", "oui sergent", c'est ça ?

15:10 Et ça ne mouffe pas, on n'a pas le droit de papoter.

15:13 Ça peut mal se passer.

15:15 Ça peut mal se passer, comme dans le foot ?

15:16 Pareil.

15:17 Au boulot aussi.

15:18 On écoute.

15:19 Au boulot aussi, il faut me dire ça.

15:20 Oui, c'est ça.

15:21 Pareil.

15:22 On va parler arbitrage avec vous.

15:23 Oui, arbitrage.

15:24 On a rencontré ce week-end, j'étais voir Nicolas Fèvre.

15:26 Quel âge ?

15:27 30 ans.

15:28 30 ans, un passionné de football et d'arbitrage surtout.

15:31 Il a voulu suivre les traces de son papa.

15:33 On est où ? On se trouve où ?

15:34 A Saint-Victor-sur-Loire.

15:35 Saint-Victor.

15:36 Saint-Victor-sur-Loire, on s'est retrouvé ici,

15:38 on a un petit plateau de débutants,

15:39 il a supervisé un petit peu les jeunes qui arbitraient

15:42 et on a passé un agréable moment en sa compagnie.

15:44 Écoutez, on ouvre cette page.

15:46 Portrait, il s'appelle comment ?

15:47 Nicolas Fèvre.

15:48 Allez.

15:49 Cette passion, elle est venue de mon papa.

15:54 Il a été arbitre pendant de longues années,

15:56 j'allais le voir régulièrement.

15:58 Je voyais qu'il rentrait à la maison,

16:00 que moi je le voyais sur le terrain, il s'éclatait.

16:02 C'est à une époque où je n'avais plus de club

16:04 et je me suis dit pourquoi pas moi.

16:06 Donc j'ai fait la formation et je me suis lancé

16:08 et depuis j'apprécie vraiment faire ce que je fais.

16:11 Pour moi, il y en a quatre principales.

16:18 Je pense que c'est la condition physique,

16:20 le sang froid,

16:23 la communication

16:25 et le discernement.

16:28 C'est là où on parle de préparation d'avant-match.

16:31 Parce qu'on n'habite pas un match où il n'y a aucun enjeu

16:33 avec, comme tu dis, un premier contre un deuxième

16:36 ou un dernier contre un avant-dernier.

16:38 Je pense que c'est ce qui est le plus important.

16:40 Il faut essayer, c'est compliqué,

16:41 de faire abstraction de ce qui se passe sur le terrain

16:43 et surtout hors du terrain.

16:45 Et je pense que la communication pour les matchs

16:47 à haut risque, entre guillemets,

16:50 c'est la communication, bien parler aux joueurs

16:52 et être le plus courant possible.

16:54 Pour être crédible, pour dire "là, il y a faute"

16:57 et c'est indiscutable.

16:58 On est régulièrement contrôlé.

17:07 Comment ça se passe ces contrôles ?

17:09 Le personne, c'est un arbitre,

17:12 qui nous regarde avant, pendant et après le match.

17:15 Il y a une grille de notation

17:18 et on fait des notes.

17:20 On fait des notes,

17:21 il y a une grille de notation.

17:23 Et lui, il est là, il a ses grilles.

17:28 Il nous dit à la fin du match,

17:30 il nous montre ce qu'il faut améliorer,

17:32 ce qui a été bien

17:33 et ce qu'il faut garder pour la prochaine fois.

17:36 Au final, tous les arbitres quasiment ont été joueurs.

17:40 Ils sont joueurs, moi je suis joueur.

17:41 Je pense qu'évidemment, on a la même passion.

17:43 Et s'il n'y avait pas d'arbitre, il n'y avait pas de football.

17:45 S'il n'y avait pas d'arbitre, il n'y avait pas de foot, Marie.

17:48 Adrien, je suis fan de foot.

17:50 Je ne veux pas titiller,

17:51 mais sur les terrains,

17:52 tu es quand même une teigne, toi, par rapport à l'arbitrage.

17:54 Elle est gentille quand elle me dit "tu es bien".

17:56 Je suis une punaise.

17:57 Actuellement, on est en train de vivre le mondial de rugby.

18:00 Pourquoi on n'a pas autant de respect dans le football ?

18:03 Pourquoi on n'a pas le micro ici ?

18:05 Pourquoi on n'entend pas ce qui se passe ?

18:06 Ça arrive, le micro, tout doucement.

18:08 Ça ne mouve pas, ok.

18:09 Très bien, il y a un arbitre qui est là pour ça.

18:11 Au niveau du rugby, c'est un cul qui est tout petit.

18:13 Dès que les gars ont commencé le rugby,

18:14 on leur a appris le respect de l'arbitrage.

18:16 Le football, c'est le reflet de la société.

18:18 Toi, tu étais bien élevé, tu étais quand même une petite puce.

18:21 Une petite punaise, pardon.

18:23 Après, tu as la gagne.

18:25 Et je dois être honnête, je suis un mauvais perdant.

18:28 Moi aussi.

18:29 Et un mauvais joueur, même.

18:31 Moi aussi.

18:32 Si l'arbitre, il siffle, ça ne sert à rien.

18:36 Après, il n'y a pas la même relation.

18:38 J'ai toujours même voulu savoir

18:40 ce que peut bien dire à la fois le joueur et à la fois l'arbitre.

18:42 Si l'arbitre a sifflé,

18:43 qu'est-ce que peut très bien lui dire le joueur ?

18:45 À part "j'ai rien fait".

18:46 Oui, mais ça, c'est...

18:47 On peut dire 90 fois par match, il va dire "j'ai rien fait".

18:50 Mais tu vas le dire une fois, deux fois,

18:52 peut-être que la troisième fois, il va changer.

18:54 Ah, tu crois ?

18:55 Il va venir dans ton sens.

18:56 Il va peut-être dire "je te promets, j'ai rien fait".

18:59 Ça marchait comme ça, Serge l'instructeur.

19:01 "Je vous promets, j'ai rien fait, Serge l'instructeur."

19:03 C'est incroyable.

19:04 Je ne recommencerai pas.

19:05 C'est vrai que le foot, c'est complètement...

19:07 Par rapport au rugby, c'est une aberration.

19:09 Même moi qui est fan de foot,

19:11 quand je regarde un match de rugby, je me régale.

19:13 Et même au basket, ça râle un peu,

19:15 mais ça dure cinq secondes.

19:17 - Encore. - Non !

19:18 Oh, d'accord.

19:19 En plus, maintenant, ce qu'il y a de grave dans le football,

19:22 c'est quand les joueurs parlent aux arbitres,

19:24 ils sont tous comme ça.

19:26 Ah oui, ça, c'est un peu...

19:27 Je ne vois pas pourquoi on se cache.

19:29 C'est là quelque chose d'immobile.

19:30 Avant, les arbitres étaient...

19:32 On ne pouvait pas les toucher.

19:34 On ne pouvait pas...

19:35 Maintenant, il y a les images, il y a...

19:37 J'aime bien ça, le lundi, on voit un peu le résumé.

19:40 Un petit peu le résumé des matchs, oui.

19:41 Ça libère un peu plus la parole.

19:43 Ça va se détendre un peu, non ?

19:45 Ça va se détendre, mais c'est quand même très compliqué.

19:47 On va revenir sur notre Nicolas, c'est ça ?

19:49 - Nicolas, oui. - Notre Nico.

19:51 - 30 ans. - 30 ans.

19:53 Il doit être costaud, quand même.

19:54 C'est un vrai passionné, on le sent.

19:55 C'est un passionné. En plus, c'est un joueur de foot.

19:57 - Ancien joueur de foot. Gardien ? - Gardien.

19:59 Gardien, il était au centre de formation de l'SS.

20:01 Maintenant, il joue à l'étranger, donc R2, Régional 2,

20:03 à un bon niveau.

20:04 Et il était en équipe de France Militaire,

20:06 parce qu'il était militaire, lui aussi.

20:08 Vous avez tous les sujets sur votre jour, David.

20:10 C'est un vrai passionné. Il a suivi les traces de son papa.

20:13 J'aurais pu faire de même, parce que mon papa est arbitre aussi.

20:16 - Ah, ben alors, non. - Non, non, non.

20:18 Honnêtement, être arbitre, c'est hyper compliqué, maintenant.

20:20 Vous avez vu sa philosophie, quand même.

20:22 Il veut... Il travaille sa VMA.

20:24 - Il veut être au plus proche de l'action. - De l'action, oui.

20:27 C'est bien ça, ou il faut prendre du recul, des fois ?

20:29 Non, il faut toujours être auprès de l'action.

20:31 Au plus près de l'action, parce que quand on est...

20:33 On voit un petit peu sur les images-là,

20:34 quand on est loin de l'action, pour juger,

20:36 c'est hyper compliqué.

20:38 En plus, là, à ce niveau-là,

20:40 c'était un match de Coupe Gambardella, samedi,

20:42 il était seul comme arbitre.

20:44 - Ah, mince, il était pas... Ah, ouais ? - Non, quand c'est les premiers tours...

20:47 Et vu qu'on a... Justement, par rapport à ce problème

20:49 de respect de l'arbitrage, on a de moins en moins d'arbitres.

20:51 Justement, comment on séduit ?

20:53 C'est là, le problème.

20:55 Comment on donne envie aux jeunes, aujourd'hui,

20:57 de faire de leur...

20:59 On leur fait passer des... Alors, ils passent des diplômes.

21:01 On leur fait passer des diplômes.

21:02 Les clubs ont besoin de beaucoup d'arbitres, en fait.

21:04 - T'as un arbitre dans un club... - T'as une amende.

21:06 T'as une amende et t'as pas le droit de muter.

21:08 Plus t'as d'arbitre, plus t'as des mutés.

21:10 Donc, voilà, ils sont là dans la... Ah, mais oui, c'est mal.

21:12 Donc, on essaye de former les jeunes pour ça.

21:14 Après, il faut être honnête, hein.

21:16 Un jeune arbitre, tu peux commencer à arbitrer à 16 ans.

21:18 Un arbitre qui va aller faire un match à Rouen,

21:20 il va toucher 70 euros.

21:22 Et c'est pas... Pour un jeune, c'est pas négligeable.

21:25 Donc, il y a beaucoup...

21:27 Le football attire l'arbitre...

21:29 - Je vais arrêter de faire Sports7. - Par rapport...

21:31 - Il va falloir l'arbitrer des matchs. - Et leur avis sur la VAR ?

21:34 - Dimanche matin... - Leur avis sur la VAR ?

21:36 À ce niveau-là, on n'en parle pas trop.

21:38 - Déjà en Ligue 2, il n'y en a pas... - En Ligue 2, il n'y a pas de VAR.

21:40 - Bientôt ! - Bientôt.

21:42 - Ils vont des pizzas, pour le moment. - C'est souvent que...

21:44 Après, moi, j'ai mon avis sur la VAR.

21:46 - Ah oui, toi, t'aimes pas ça. - Non, moi, j'aime pas du tout.

21:48 - T'es bien à France, je trouve. - Je suis bien à France.

21:50 - La VAR, ça... - C'est pas mal, le rugby.

21:52 - Ça dure 15 secondes. - Oui, c'est vrai.

21:54 Au foot, t'attends 6 minutes pour avoir une réponse.

21:56 Écoutez, c'est un très joli portrait de votre part.

21:58 - Merci à vous. - C'est gentil.

21:59 À quelques instants, on va parler de quoi ?

22:01 L'Amérique. L'Amérique.

22:03 - Les chevaux miniatures américains. - Des petits polets.

22:05 - Des tout petits. - C'est un oualet.

22:07 Ce ne sont pas des mini-polets.

22:09 - Ce ne sont pas des mini-polets. - Non, le jingle est arrivé parfaitement.

22:15 On va tout de suite mettre les bases, parce que...

22:17 - Voilà. - Moi, j'avais ce mot-là. Même toi, t'avais ce mot-là.

22:19 - Ah oui, je crois que d'ailleurs... - C'est une race à part entière,

22:22 le cheval miniature, notamment le cheval miniature américain.

22:25 Ça fait 7 ans que j'anime cette chronique.

22:27 Ça fait 7 ans que je cherche des éleveurs de chevaux miniatures.

22:30 Donc j'ai été obligée de m'expatrier un petit peu,

22:32 parce que dans la Loire, il n'y en a pas.

22:34 Je suis allée en Haute-Loire du côté d'Issinjau, au rancement.

22:36 - Ça a coté. - Ça a coté.

22:38 Et puis en même temps, pour aller chercher la race.

22:40 - C'est pas très loin de Craponne, Craponne, Coterie. - Oui, c'est vrai.

22:42 - Coterie, Cordel, Cordel, David. - C'est parfait.

22:44 C'est Porter Horse, mini chevaux américains. Parfait.

22:47 Donc Angélique Soulier...

22:48 On va voir des images, parce qu'on va voir...

22:50 - Ce n'est pas un poney, ce que vous allez voir. - Non.

22:53 - Oh ! Ouais ! - Non.

22:55 Julien, non. Je suis désolée, Julien. Non.

22:57 - OK. - Alors, le cheval miniature,

23:00 là notamment, américain, n'est pas un Shetland.

23:03 C'est pas les petits poneys qu'on retrouve dans les centres-équelles

23:05 sur lesquels vous faites monter vos enfants le mercredi après-midi

23:08 ou le samedi après-midi.

23:09 C'est une race à part entière, qui est reconnue par les haras nationaux

23:12 - et par les F2. - C'est des chevaux bébés.

23:14 - Des bébés-chevaux. - C'est des chevaux miniatures,

23:16 qui ont les mêmes caractéristiques qu'un cheval.

23:18 Là, les chevaux qu'on voit à l'écran, ils ne diront pas plus.

23:21 Non. Donc, le standard de la race, c'est 89 cm au garrot.

23:26 En sachant que là, donc, Gold, c'est l'étalon d'Angélique.

23:29 Lui, il fait 85 cm.

23:31 Et il saute jusqu'à 1,10 m.

23:33 Donc, je vous laisse voir le ratio par rapport à un cheval.

23:35 Même Lignon, il n'arrive pas à sauter à 1,10 m.

23:37 Ça, c'est sûr.

23:38 Je suis tombée, en fait, sur un article.

23:40 Donc, ils ne sont que 50 éleveurs en France.

23:42 C'est pour ça que j'ai été obligée d'aller chercher un petit peu plus loin.

23:44 Et sur cet article, j'ai vu qu'il y avait un concours

23:47 - de chevaux miniatures. - Non, mais vous ne justifiez pas.

23:49 Je n'embrousserai pas les frais de déplacement.

23:50 Bien tenté.

23:51 Donc, Orange, Montana, Haït-Saint-Jean.

23:54 Et je me suis posé la question, je pense que de nombreuses personnes se posent,

23:56 c'est un cheval miniature, en fait, ça sert à quoi ?

23:58 - Est-ce que c'est sérieux ? - Ah, on peut le dire ou pas ?

24:00 Oui, non, mais c'est vrai. On s'interroge.

24:02 David, il me disait, je peux le dire. Oui, dites-le.

24:04 Est-ce que ça se travaille ? Il y a des concours. Qu'est-ce qu'ils font en concours ?

24:07 On doit en avoir un dans le salon.

24:09 - Alors, non. - Sur le pain brise de la voiture.

24:11 Non. Je pose les bases.

24:13 - Au niveau de transport. - Ah, c'est tout petit.

24:15 - C'est tout petit. - Encore, 4L, c'est tout.

24:17 - C'est tout petit. - Salut, chasse-landoins.

24:19 Alors, je pose les bases. Le cheval miniature n'est pas un jouet.

24:22 Ce n'est pas un chien qu'on offre et qu'on met dans un salon.

24:24 D'ailleurs, on n'offre aucun animal.

24:26 C'est un choix, c'est réfléchi, voilà.

24:29 Mais ça a des besoins d'équité.

24:31 Ça voit le maréchal Ferrand, ça a une alimentation qui est adaptée.

24:34 Et donc Angélique, elle est tombée dedans en 2016,

24:37 sur le salon d'Equita Lyon, où elle a acquis son cheval miniature gold.

24:42 Et donc, je vous propose de regarder son reportage

24:44 d'une éleveuse passionnée dans un monde miniature.

24:47 C'est une structure qui est ouverte maintenant en 2007

24:57 en tant qu'écurie de propriétaire et de pension au début.

25:00 Et qui, depuis 2016, s'est reconvertie, si on peut dire ça comme ça,

25:04 avec mon arrivée, en élevage.

25:06 Donc, on élève du quattro, ce qu'on voit derrière nous,

25:09 sur des lignées de reining principalement, et du miniature américain.

25:12 Le cheval miniature américain est un cheval miniature

25:15 et pas un poney ou un animal atteint d'une anisme.

25:18 Le cheval miniature a pour objectif de ressembler à un grand cheval

25:21 de type de sel, dans un modèle plus réduit

25:25 qui ne doit pas dépasser 86 cm au dernier crin,

25:28 soit 89 cm au garrot au sec.

25:30 Donc, en conservant des pattes fines, donc peu d'os,

25:32 des articulations fines, une tête courte et arabisée,

25:35 avec des allures amples et pas rétrécies.

25:37 À l'heure actuelle, on a 4 à 5 concours de chevaux miniatures en France.

25:43 Donc, des concours d'élevage avec des épreuves de modèle et allure,

25:46 des épreuves d'attelage,

25:48 et des épreuves de saut en main,

25:51 de trail en main, de longue graine,

25:54 de liberté. Le liberté est une épreuve où on regarde les chevaux évoluer

25:57 dans un rond de longe, en liberté, aux 3 allures,

26:00 où on note les allures du cheval et son rappel.

26:03 Répandre le cheval miniature, car c'est des petits chevaux quand même hors normes,

26:06 avec des capacités physiques plutôt impressionnantes,

26:09 et surtout un mental d'exception.

26:11 C'est-à-dire que le cheval miniature est idéal déjà en médiation animale,

26:13 que ce soit en Ehpad ou en IME,

26:15 car ça n'a pas le caractère têtu, coquin, gourmand du Shetland.

26:19 Le plus important à dire dans cette race, souvent, quand on nous rencontre,

26:22 c'est que le cheval miniature, c'est un poney nain. Alors non, c'est pas un poney,

26:25 parce qu'il n'a pas de sang-poney, ce n'est pas un poney parce qu'il n'a pas la morphologie

26:28 et le caractère du poney, et il n'est pas nain parce que le nanisme

26:31 est une maladie dégénérative et génétique,

26:34 qui cause de graves malformations et une réduction de l'espérance de vie.

26:37 Nous, les premiers individus sont arrivés à la fin du XXe siècle,

26:41 et il a fallu les faire importer avant de lancer l'élevage,

26:44 donc on a peu d'individus.

26:47 Le cheval miniature américain, ou n'importe quel cheval miniature en règle générale,

26:50 c'est pas des jouets, ce sont des chevaux qui ont des besoins de chevaux.

26:53 Donc, les vaccins, les congénères, le terrain, le besoin de courir,

26:57 c'est ni plus ni moins un cheval. Je dirais peut-être plus facile à mener,

27:02 tout simplement parce qu'il est de petite taille.

27:05 Donc, pour les enfants, etc., c'est plus simple qu'un gros,

27:08 ça fait peut-être aussi un peu moins peur au début pour les premières approches.

27:11 Trop mignon, David !

27:17 Le petit, il est marrant.

27:18 Le petit, le quel ? L'élian ?

27:19 Vous pouvez le caresser, faites gaffe, il est mort.

27:22 C'est des doudous, en fait.

27:23 Ouais, c'est vraiment super chou.

27:26 Ça se monte pas ?

27:27 Alors, jusqu'à 30 kilos, il supporte à peu près, mais non, ça se monte pas.

27:30 Il les utilise beaucoup dans les Ehpad, comme le dit Angélique,

27:33 dans la médiation animale.

27:35 Après, elle fait du spectacle, elle aussi, avec son étalon.

27:39 C'est incroyable !

27:40 Ça arrive sur le tas.

27:42 C'est la hauteur à 1m10 ?

27:45 C'est 2m20 en longueur, son cheval-là.

27:49 Regardez ça !

27:51 Ils sont très reconnus, réputés, renommés, donc, outre-Atlantique, aux Etats-Unis,

27:57 où là, ils les exploitent, ils valorisent la race depuis le début du XXe siècle.

28:01 En France, pour vous dire le retard que l'on a sur la race,

28:04 c'est seulement en 2015 que le ministère de l'Agriculture a agréé, j'allais dire, cette nouvelle race.

28:10 Donc, on a beaucoup de retard là-dessus.

28:12 Et donc, ce sont des éleveurs passionnés qui valorisent.

28:14 Donc là, ils en ont beaucoup, là.

28:16 Ils en ont de plus en plus, du coup, forcément.

28:18 Ils en ont de plus en plus, soit 50 éleveurs en France.

28:20 Donc, ils se battent un petit peu.

28:21 Adrien, vous voyez l'intérêt d'avoir ça, vous qui faites un peu d'équitation ?

28:25 Je ne fais pas d'équitation.

28:26 Moi, j'ai des chevaux.

28:28 Mais moi, j'avais une question, c'est au niveau de l'espace.

28:30 Parce que nous, un cheval, c'est 1 hectare.

28:32 1,500 m2.

28:34 Et là, c'est 1,500 m2 pour...

28:36 D'accord.

28:37 Alors, on n'a pas envie de...

28:38 Mais pour les enfants, je vous invite vraiment à les rencontrer,

28:42 parce qu'à côté de ça, il y a une ferme pédagogique.

28:44 Il y a un mini Zébu.

28:46 J'ai jamais vu un Zébu miniature.

28:47 Et tu sais ce qu'il dit, le Zébu ?

28:48 Non.

28:49 Car Zébu, c'est Zébu, ça.

28:51 Je trouve ce qu'il y a de bien, c'est qu'au niveau des...

28:54 On a un public participatif.

28:56 Ah, je vois que tu as un public qui est à ma cause.

28:58 Il ne faut pas me suivre.

29:00 De faire participer les IME, des trucs...

29:01 Oui, ça, c'est bien, ça.

29:02 C'est super bien.

29:03 Il ne s'est pas bêtis beaucoup, parce qu'il peut y avoir la peur de l'animal, aussi.

29:06 Parce que des chevaux, c'est des animaux qui sont imposants.

29:09 Donc là, c'est vrai que tout de suite, ça rassure.

29:10 Même les enfants.

29:12 Je vois au niveau des enfants, parce que j'ai ma fille qui est considérée comme ça,

29:15 comme enfant handicapée.

29:16 Au niveau des chevaux, il s'épanouit énormément.

29:18 Il s'élibère, il parle.

29:20 C'est vraiment bien.

29:21 Le cheval le sent.

29:22 La médiation animale, on en parle souvent sur le plateau.

29:25 Ça se développe énormément.

29:27 Sans plus attendre, merci à vous, Marielle.

29:29 On peut l'applaudir, parce que ce petit moment,

29:31 on vous le souhaite une toute nouvelle chronique.

29:34 Parce que si vous avez suivi, on se dit "Mais pourquoi Lilian est-il là ?"

29:37 On se pose la question, n'est-ce pas, monsieur ?

29:40 Dites-le, pourquoi Lilian est-il là ?

29:42 Eh ouais, vous le saurez après le générique.

29:44 Le gigueul, pardon.

29:45 Alors, pourquoi Lilian est-il là ?

29:51 Mais vous savez pas pourquoi je viens deux semaines de suite ?

29:53 Ah bah non !

29:54 C'est incroyable !

29:55 Pour lancer la toute nouvelle chronique qui va s'appeler "Parlons Club".

29:59 Tout simplement, on va aller à la rencontre de nos clubs ligériens

30:03 dans tous les sports, dans n'importe quelle discipline,

30:05 pour connaître l'histoire, l'historique du club.

30:08 Donc pourquoi ils se jouent sur ce terrain-là,

30:10 quels résultats ils ont eu pendant leurs dernières années,

30:14 quand est-ce que le club est né,

30:16 et on débute, forcément, on est en période de Coupe du Monde

30:19 et de Mondial de Rugby.

30:20 Ah c'est malin, ça !

30:21 Avec un sujet rugby,

30:24 où on part du côté d'Ugneux.

30:27 Il se passe des choses à Ugneux, il n'y a pas que la country.

30:31 À l'Ufort.

30:32 Pardon ?

30:33 Ufort.

30:34 Ouais, bien sûr.

30:35 Très bien.

30:36 Pourquoi Ufort ?

30:37 Le club de l'Ufort s'appelle Ufort.

30:39 Tu veux qu'on te pose la question, s'il vous plaît ?

30:41 Pourquoi Ufort ?

30:42 Alors ça, on va le savoir dans le sujet,

30:44 mais depuis combien de temps ?

30:46 Pourquoi ?

30:47 Il y a eu plein de péripéties, c'est un club qui a plus de 120 ans,

30:49 mais pour ça, du coup, il faut apprendre à le connaître,

30:51 et c'est dans "Talc", la toute nouvelle chronique "Parlons Club".

30:57 En 1903, c'est le début du rugby dans la vallée de Londres et à Ugneux.

31:01 C'est, après Saint-Étienne, le plus ancien club du département de la Loire.

31:05 Il faudra attendre un an pour voir la structuration officielle du club en 1904,

31:10 qui était à l'époque composé d'une bande de potes qui travaillaient essentiellement dans les Assyries,

31:15 d'où le nom USAF, l'Union Sportive des Assyries de Firmini.

31:19 De toute son histoire, le club a toujours joué en vert et blanc.

31:23 Sauf une année, en 1945.

31:26 Et oui, à la fin de la guerre mondiale, les joueurs avaient décidé de jouer tout en noir.

31:30 En 1966, le club devient l'O.C.O. Firmini,

31:34 et est financé par le comité inter-entreprise Creusot-Loire,

31:38 qui dépose le bilan à la fin des années 70.

31:40 Bon, à partir des années 2000, Michael, je te laisse prendre le relais.

31:44 Nous sommes repartis début des années 2000 avec l'Ufort.

31:48 Ça a été la création de l'Ufort, qui depuis a bien grandi, a eu des hauts et des bas.

31:53 Notamment dans les années 2000, l'Ufort a eu trois titres de champion du Lyonnais consécutifs.

31:59 Mais alors toi, Michael, tu fais un peu partie des murs.

32:01 C'est quoi ton histoire avec le club ?

32:03 J'ai un copain qui joue au rugby, et donc j'étais minime.

32:07 Il m'a dit "Viens faire un entraînement". Je suis venu faire un entraînement.

32:10 Le samedi d'après, je jouais parce qu'il manquait du monde.

32:13 Et depuis, je suis resté.

32:14 Donc depuis l'âge de 12 ans, je joue au rugby à Unieux.

32:18 J'ai gravé tous les échelons. J'ai joué en cadet, en junior.

32:22 En senior, en équipe 1.

32:24 J'ai fait partie de l'équipe qui a eu sa première montée en fédéral 3 en 1991.

32:31 On était une bonne bande de copains.

32:33 Après, je suis passé dirigeant, bien entendu, naturellement.

32:36 J'ai joué avec les anciens aussi.

32:37 Et maintenant, je suis passé président depuis cette année.

32:40 Et bien félicitations ! Longue vie au club de l'Ufort, sur la pelouse, du stade Pierre Potty à Unieux.

32:46 Pierre Potty, qui est, je vous le rappelle, l'ancien médecin de l'AS Saint-Etienne.

32:49 A très bientôt !

32:51 - Il y a un truc. - Jamy ! On va t'appeler Jamy.

32:55 - Alors, Jamy ? - Très stylé, le béret.

32:58 - Ah ouais, les bretelles ! - Bon, du coup, vous l'avez compris.

33:01 On va à la rencontre de nos clubs.

33:04 Et là, on en sait mieux, tout de suite.

33:05 - Du fort. - Sur l'Ufort.

33:06 Qu'est-ce qui s'est passé ? Pourquoi ils ont changé de nom ? Ils sont là depuis 120 ans.

33:10 - Marie-Anne m'a fait... - Vous n'avez pas parlé de moi, parce que moi, j'ai fait un entraînement avec mon corps.

33:13 - C'est pas vrai. - Elle était pas sûre. Elle m'a dit "J'ai reconnu..."

33:16 J'ai mangé des cacahuètes dans ce club house.

33:19 - Que des cacahuètes ? - C'est pas un entretien.

33:22 - Que manger des cacahuètes ? - Et bu de la bière.

33:25 - Ah, à consommer avec modération. - C'est en alternance, vous le comprendrez, avec...

33:31 - Le portrait de sportif. - Exactement.

33:33 - Et la semaine prochaine, ça sera ? - On va parler tir à l'arc.

33:36 - Comme il imite trop bien. - Le tir à l'arc, oui.

33:39 - David, juste avant de mettre une petite virgule, ça s'appelle la Spar ?

33:46 - Spar Extreme. - Et ouais, regardez.

33:48 - Vous pouvez bomber le torse, regardez le panneau derrière.

33:51 On peut applaudir. C'est du côté de Corbelle.

33:54 Ça y est, c'est ouvert officiellement. On peut venir s'inscrire.

33:58 - Comment ça se passe ? - Pour l'instant, il y a un numéro.

34:01 - Dédié aux réservations. - Qui répond derrière au téléphone ?

34:04 - C'est vous, madame. - Il manque la boucle d'oreille.

34:08 - Les sessions, c'est jusqu'à combien de personnes ?

34:11 - Pour les valides, c'est un coach pour 12.

34:13 - Ah oui. - Et pour les publics fragiles, c'est au cas par cas.

34:16 - Ça peut être 2 cadres pour une personne en fauteuil roulant.

34:19 Donc là, c'est vraiment sur mesure.

34:22 - Les nombres de pertes, parce que nous, on a le BAFA tous les deux.

34:24 - 30 % classique. - Si on n'est pas sportif,

34:27 on peut venir aussi pour passer un bon moment.

34:29 - C'est ludique ou pas ? - C'est le vert, le rouge et le noir.

34:31 Il y en a vraiment pour tous les niveaux, toutes les capacités.

34:33 - Vous comptez combien de temps ? - C'est 1h30.

34:35 - 1h30, la session. - Et c'est tous les jours ?

34:37 - C'est 7/7. - Ah.

34:39 - Parce que dans ma tête, c'était que les week-ends.

34:40 Mais en fait, non, on vient quand on veut.

34:42 - 7/7. - Eh bien, parfait.

34:43 - C'est facile. Quoi ? - Toute l'année, 7/7.

34:46 - C'est clair ? - Oui.

34:47 - Bon, David, pour finir cette émission, vous allez danser avec moi.

34:51 On va essayer. On va se mettre au fond.

34:53 Vous savez, c'est comme les mauvais élèves.

34:54 - Un peu tenté. - C'est la démo avec Katharina.

34:57 - Katharina, vous nous l'avez promis, la danse.

35:04 - J'ai longtemps attendu, Julien.

35:06 Bon, c'est le moment où vous êtes censés venir participer, là.

35:10 - Ah non, déjà, il y a un interview. - Il y a un interview.

35:12 - Attendez, il faut qu'on s'échauffe. Il ne faut pas nous prêter.

35:14 - Non, on n'est pas dedans.

35:15 - Alors déjà, pour apprendre la contrerie, il faut savoir que dans les musiques de contrerie,

35:19 elles ont un lexique de pas commun qui sont en 8 ans, qui composent un mur.

35:24 - Un mur. - Dans la contrerie, on fait entre 2 et 4 murs.

35:28 Donc là, qu'est-ce qu'on peut apprendre comme pas de base ?

35:30 - Oui. - Un pas chassé, par exemple.

35:33 - Un pas chassé, par exemple. Montrez-nous à quoi ça ressemble.

35:35 - Ouais, allez-y. Un pas chassé, c'est facile, ça.

35:38 - Ça va être dans vos cordes.

35:40 - Attendez, il y a un pas chassé, mais il y a un truc avec le pied, là.

35:42 - Oui. - Non ?

35:43 - Ce n'est pas qu'un pas chassé. - Ah, l'autre, c'est un pas chassé.

35:45 Remets-toi à côté. Donne-lui le micro.

35:47 Elle essaie de nous piéger. Redonne le micro. Comment elle s'appelle ?

35:51 - Émilie. - Alors, en fait, c'est un pas chassé.

35:55 Et ce qu'on appelle un backrock, c'est-à-dire qu'on va mettre le pied en arrière.

35:59 On va faire une bascule. - On l'a vu avec David qui a un backrock.

36:02 - Bon, ben, on y va. Allez, ben, on y va.

36:05 - On y va. - On regarde et après, on essaye ou on voulait faire quoi ?

36:08 On y va, alors ? - On y va et après, on essaye tous ensemble.

36:11 - Oui, moi, ça va. - On va regarder ?

36:13 - On va juste avoir regardé. - Allez, vas-y. Allez, on y va.

36:16 - Attention. Et c'est toi qui fais le décompte. Vas-y, c'est fait.

36:18 - Je me recule, je me recule. Je me suis fait tirer.

36:20 - On y va. - On y va.

36:22 [Musique]

36:45 - Il y a des... - C'est pas mal, il faut se lever.

36:48 [Musique]

37:15 - Tu lui as donné quoi comme rôle ? - En fait, c'est une danseuse assez compliquée.

37:19 Donc, il va commencer et... - Il faut se retourner.

37:23 - Alors, c'est vrai que quand on a vu le reportage de Katharina,

37:27 c'était un peu sur l'esprit Charleston. - À droite.

37:30 - À droite, Katharina. - Il y a plusieurs styles, en fait, dans le Charleston.

37:33 - Et il y a un truc qui bouge. Ça bouge pas mal, ça.

37:36 - Ça bouge pas mal. - Mais moi, je crois que là, c'est une tri, oui.

37:39 On met des petits doigts comme ça sur le tric et on danse.

37:42 - Eh, cowboy, eh, comme ça. - On peut refaire.

37:45 - On peut. - Lydian veut y aller, lui.

37:48 - Écoutez, le temps de dire au revoir. On y va. On regarde la prochaine.

37:51 Merci d'avoir suivi ce numéro de Sportset. On peut le retrouver, vous savez, sur toutes les boxes.

37:56 Et on se retrouve la semaine prochaine, ici même. Et on finit en country.

38:00 À droite. Hop, hop.

38:02 [Musique]

38:04 - Hey, Charleston. - Wouh.

38:06 [Musique]

38:23 *Musique*

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