« Démo - L'Escel, l'école de cyclisme ligérienne au service de l'olympisme »
Nous vous invitons à découvrir la poursuite en cyclisme et à sprinter comme des pros sur l'anneau Roger Rivière de Méons. Cette discipline exige concentration et force. Un grand merci à Philippe Pradier et Patrick Billet de l'Escel pour leur soutien et leurs conseils avisés.
« Basket - Un anniversaire inoubliable »
À l'occasion des 90 ans du club de Rozier-en-Donzy, nous recevons les équipes de France 3×3 pour une belle fête dans le village. D'anciens licenciés venus de toute la France se sont retrouvés pour célébrer l'événement comme il se doit.
« Équitation - Pas de pied, pas de cheval ! »
Comme le dit l'expression, pas de pied, pas de cheval ! Comme le dit l'expression, pas de pied, pas de cheval ! Mais savez-vous pourquoi nous ferrons les chevaux ? Dès que l'homme a domestiqué le cheval, la ferrure est apparue pour protéger ses sabots, essentiels à son travail sur divers terrains. Le maréchal-ferrant entretient les sabots et pose des ferrures adaptées à chaque cheval.
« Portrait de Sportif - Yanis Bouchou, le N°1 de la force athlétique »
Yanis Bouchou a débuté la force athlétique à l'Omnium Sportif Stéphanois, la plus vieille salle de sport de la Loire. Rapidement plongé dans la compétition et doté de grandes prédispositions, il intègre le groupe France. En moins de cinq ans, il s'illustre au plus haut niveau, devenant Champion de France, d'Europe et Vice-Champion du monde. Yanis détient aujourd'hui le record français avec un total de 810 kg soulevés sur les trois disciplines.
« SEAM – Dans le grand bain, une Jeune Fusion Prometteuse »
Fondée en 2021, la SEAM compte déjà près de 1600 licenciés en compétition et en loisir à la fin de la saison. Cette jeune fusion attire de nombreux adeptes et montre un fort potentiel de croissance dans le monde sportif.
Nous vous invitons à découvrir la poursuite en cyclisme et à sprinter comme des pros sur l'anneau Roger Rivière de Méons. Cette discipline exige concentration et force. Un grand merci à Philippe Pradier et Patrick Billet de l'Escel pour leur soutien et leurs conseils avisés.
« Basket - Un anniversaire inoubliable »
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« Équitation - Pas de pied, pas de cheval ! »
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« Portrait de Sportif - Yanis Bouchou, le N°1 de la force athlétique »
Yanis Bouchou a débuté la force athlétique à l'Omnium Sportif Stéphanois, la plus vieille salle de sport de la Loire. Rapidement plongé dans la compétition et doté de grandes prédispositions, il intègre le groupe France. En moins de cinq ans, il s'illustre au plus haut niveau, devenant Champion de France, d'Europe et Vice-Champion du monde. Yanis détient aujourd'hui le record français avec un total de 810 kg soulevés sur les trois disciplines.
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Fondée en 2021, la SEAM compte déjà près de 1600 licenciés en compétition et en loisir à la fin de la saison. Cette jeune fusion attire de nombreux adeptes et montre un fort potentiel de croissance dans le monde sportif.
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TVTranscription
00:00 *Musique*
00:18 O.R.M.L.
00:21 Santé tiède, santé tiède, santé tiède
00:24 Bonsoir, c'est Tastez Ravine et on se retrouve sur le plateau de Sportsnet
00:29 et en public comme chaque semaine.
00:31 Pour cette salle d'acuité sportive de votre département avec...
00:35 SIM !
00:36 *Applaudissements*
00:39 Au programme justement la présidente, elle est là, Jamila Contrino, je te dis bien.
00:44 Contrino.
00:45 Et Sam...
00:46 Sim.
00:47 Et c'est la fois Sim.
00:48 Ça a été un aquatique métropole.
00:50 C'est quoi ?
00:51 C'est une association, donc un club de sport natation.
00:54 Une fusion ?
00:55 Une fusion de deux clubs de Saint-Etienne, donc l'Axème, la Sémétar et le Saint-Etienne Natation.
01:01 Tout frais, ça date de ?
01:02 2022 et l'activité a commencé en septembre 2023.
01:06 Voilà, à côté de vous, on l'applaudit bien fort, Marielle Charbonne avec vous.
01:09 On va parler de toi Marielle.
01:10 *Applaudissements*
01:11 Vous avez mis cette chanson juste pour moi, je suis sûre Julien.
01:14 Oui.
01:15 Bien entendu, merci.
01:16 On va parler d'un métier dont je n'ai jamais parlé, qui est le métier de maréchal ferrant.
01:20 Je vais vous donner plein de trucs et astuces sur ce métier.
01:22 Incroyable.
01:23 En face de vous, l'homme le plus fort du monde dans le portrait de sportif, Léon Barne.
01:27 C'est moi, c'est moi, c'est moi, c'est sûr.
01:30 Ah, moi j'ai cru qu'il parlait de moi.
01:32 Non, il ne parlait de moi.
01:33 Il semblerait qu'il ne parle pas de moi.
01:34 Le portrait de la semaine, c'est Yanis Bouchoud.
01:36 Il va porter la flamme olympique dans 10 jours, mais pour ça, pour porter la flamme, il faut être bon.
01:40 Il faut être fort, il faut être costaud.
01:41 On va parler de force athlétique et c'est le meilleur français qu'on puisse avoir dans la loi.
01:45 Et vous, notre spécialiste basket est venu.
01:48 Allez, bonsoir.
01:50 Il y a du monde.
01:51 C'est plaisant.
01:52 On va parler des 90 ans du club de Rosier-En-Donger et on aura tout à l'heure le président,
01:58 Mickaël Verdier, qui sera avec nous.
02:00 Camila Contrino, Sim, je te dis bien, c'est tout frais.
02:04 Il y a deux ans, on ne vous a pas invité tout de suite parce qu'il fallait prendre un peu ses marques.
02:08 On va voir tout de suite des images.
02:11 On était obligé de faire cette fusion ?
02:14 Non, mais c'était une envie.
02:18 Je pense qu'à Saint-Etienne, il y a beaucoup de clubs de sport.
02:22 La natation, étant de la même fédération de natation, la fédération française de natation,
02:29 nous avons estimé qu'il serait bien qu'à Saint-Etienne, il n'y ait qu'un seul club de natation
02:35 pour les gens de Saint-Etienne, les Stéphanois et l'extérieur aussi.
02:39 On va voir les chiffres.
02:40 Lors de la fusion, c'était 1400.
02:42 Aujourd'hui, vous êtes à 1500.
02:44 Et on n'a pas fini, puisque je pense que d'ici fin juillet, fin août, nous monterons à 1550, 1600.
02:52 Ce n'est pas que des bébés nageurs.
02:53 Non.
02:54 Ça s'applaudit quand même.
02:56 Premier club sportif de la loi, il faut le savoir.
02:59 Ça dépend aussi parfois du nombre de licenciés par rapport aux résultats que feront nos athlètes françaises et françaises lors des JO.
03:07 Tout à fait. Ça joue beaucoup.
03:10 Mais nous ne faisons pas que de la compétition.
03:13 Nous avons aussi du loisir.
03:15 C'est très important aussi, puisque nous n'avons quand même qu'en compétiteur 200 adhérents.
03:21 Et tout le reste, c'est quand même du loisir.
03:23 Donc loisir adulte, aquagym, bike, nager forme santé.
03:29 À quoi vous donnez le nom ? Vous ne l'avez pas ?
03:30 Non.
03:31 Il y a encore un truc à lancer là.
03:33 Par contre, sur la partie compétition, le fait de faire une fusion comme ça, est-ce que ce n'est pas pour concurrencer le Nord de la Loire ?
03:40 Le Nord, tu comprends ? Jamila, c'est le Nord.
03:42 Non, même pas. Parce que moi, je suis... En tant que présidente, je pense qu'il faut qu'on s'entraide.
03:47 Tous les clubs de la Loire, moi, je suis pour qu'on s'entraide et on est tous là pour travailler ensemble.
03:53 Alors, on était un petit peu foufous, alors peut-être que ça m'a échappé.
03:56 Cette signature s'est faite au stade Geoffray-Guichard.
03:59 L'inauguration.
04:00 L'inauguration. Exactement, on va le voir.
04:02 En présence de Brigitte Masson qui adore la natation.
04:05 C'est un petit poisson dans l'eau, Brigitte.
04:08 Non, ça c'est Lucie.
04:11 Seb, aujourd'hui, je pense qu'il est sous l'eau.
04:13 Non plus, Seb.
04:17 Après, on va y arriver.
04:19 Non, Seb, encore. Il va retrouver.
04:21 Geoffray-Guichard, voilà. C'est ça.
04:23 Mais il ne s'y connaît pas, Geoffray-Guichard, on pense pas.
04:26 C'est incroyable d'avoir ça, quand même.
04:28 Oui, oui, c'était une envie du club.
04:31 Donc, nous avons fait le...
04:33 Présence de Monsieur le maire.
04:35 Monsieur le maire, Monsieur Jean-Luc Manoudou,
04:37 puisque Monsieur Jean-Luc Manoudou est président de la Ligora Natation,
04:42 qui était présente chez nous.
04:44 Donc, oui, c'est un endroit mythique de Saint-Etienne.
04:48 Et on avait cette envie de...
04:50 Parce que bon, les nageurs sont aussi supporters des verts.
04:54 C'est pour ça que le petit logo est vert aussi.
04:56 Mais c'est quand même notre région aussi.
04:58 Oui, c'est vrai. On est très vert.
05:00 Surtout en ce moment, l'herbe est très verte, donc c'est parfait.
05:02 Donc, on a pris le vert un peu plus foncé,
05:04 mais c'était important de le faire dans ce lieu mythique,
05:07 parce que bon, on est aussi supporters de ce beau club.
05:11 Et donc, les nageurs sont supporters,
05:14 mais ils vont aussi au chaudron très souvent.
05:16 Mais on voit que le logo, il y a l'étendard de Saint-Etienne.
05:20 Le bleu blason, oui.
05:22 Le bleu blason, c'est ça.
05:23 On va revenir au bassin.
05:24 Quand même, cette piscine a été toute refaite.
05:26 La chaufferie est toute refaite.
05:27 Toute la chaufferie, oui.
05:28 Il y a trois bassins, si je ne me trompe pas.
05:30 Il y a la fosse, oui, le grand bassin et le petit bassin.
05:33 On va revenir sur la fosse.
05:34 Le bassin à 50 mètres, oui.
05:35 Alors, vous avez quoi ?
05:36 Vous avez la natation.
05:38 Oui, la natation course, donc avec des compétiteurs.
05:41 Et il se passe quoi dans la fosse ?
05:43 Vous avez mis des plongeurs.
05:44 Des écoles. Oui, non, alors pas des plongeurs,
05:46 puisque bon, le plongeon...
05:47 Ils vous nettoient comme ça, le carrelage.
05:49 Il y a la section plongeon, mais bon, c'est dans l'avenir.
05:52 On y pensera.
05:53 On y pense.
05:54 Mais vu qu'on débute, il faut prendre le temps déjà de prendre ses maths.
05:58 Là, on ne plonge pas pour le moment ?
05:59 Pour le moment, non.
06:00 Alors, ils s'amusent, ils peuvent plonger.
06:03 On a le droit.
06:04 On a le droit, mais il n'y a pas l'équipe cours.
06:07 Tout à fait.
06:08 Donc, ça viendra, mais bon...
06:09 C'est un objectif prochainement ou pas ?
06:11 Oui, dans quelques années, parce que bon, il faut aussi structurer le club,
06:15 budgétiser, parce que bon...
06:17 Il y a un emploi budgétaire.
06:18 Lilian Bard, la semaine prochaine, fait une athlète nigérienne qui est à Paris,
06:22 peut-être, je ne vais pas dévoiler, qui fait de la natation...
06:26 Natation synchronisée.
06:27 Je viens de lui apprendre.
06:29 Non, mais ne l'apprends pas, c'est juste qu'elle est actuellement en compétition.
06:32 Du coup, je ne peux pas l'annoncer officiellement.
06:35 On dit quoi ?
06:36 On ne dit plus natation synchronisée, on dit natation artistique.
06:40 Voilà, comme ça, moi, j'ai dit.
06:42 Et vous avez une équipe où de...
06:45 On a eu...
06:46 Avec le Saint-Etienne Natation.
06:48 Et écoutez, c'est encore un budget, donc très peu...
06:52 Moins de licenciés, donc salaire à payer.
06:55 Jamila, on parle de budget, mais quand on fait une fusion,
06:59 c'est pour mutualiser les moyens, alors moyens humains, bien sûr,
07:03 au niveau des coûts et tout, mais moyens financiers aussi, non ?
07:05 Oui, mais ce n'est pas évident.
07:07 Oui, c'est vraiment compliqué ?
07:10 Oui, oui, oui, on vit grâce aux subventions,
07:13 on vit grâce aux adhérents,
07:16 mais il faut savoir que le Saint-Etienne Aquatique Métropole,
07:20 aujourd'hui, a 17 salariés.
07:22 C'est énorme !
07:23 Dans 7 temps pleins, et tout le reste en temps partiel.
07:27 Donc c'est une grosse masse salariale.
07:30 Du coup, il faut prendre le temps de créer.
07:32 Donc elle tient les comptes, la présidente.
07:34 Depuis combien de temps ?
07:36 Depuis combien de temps ?
07:37 Présidente.
07:38 Oula, Saint-Etienne Aquatique Métropole, très récent,
07:41 et ancienne présidente du Saint-Etienne Natation depuis 2017.
07:46 Ah oui, ça fait un moment qu'on tient les comptes.
07:48 Oui, mais enfin j'ai des trésoriers pour ça, parce que je ne suis pas bonne, moi.
07:51 On va parler compétition.
07:55 On l'a vu tout à l'heure, celle qui dit "Donnez-moi un S, donnez-moi un E !"
08:00 Elle s'appelle comment ?
08:02 Lucie.
08:03 Lucie Olivier.
08:04 Voilà, on va voir une petite photo.
08:05 Spécialiste du 400 mètres, et pourquoi elle a une petite médaille autour du cou ?
08:08 Elle était championne de France au championnat de France junior,
08:11 donc du 404 nage.
08:13 Ah ouais, génial.
08:14 Vice-championne de France du 204 nage.
08:17 Bravo, Marlène.
08:19 Et podium aussi, elle nous a fait la totale.
08:23 Cette année, elle est bonne, elle est drôle.
08:25 Cette année, à ces championnats, elle a fait 3e aux 1500 nage-ligue.
08:28 Et un peu speaker, parce que c'est elle qui chauffe un peu le public.
08:31 Tout à fait.
08:32 Et sélectionnable pour les JO de Paris 2021.
08:34 Elle a fait 100 ans de qualification pour les championnats de France Elite,
08:38 qui ont lieu là, sous Peu, à Chartres.
08:42 Et elle est sélectionnée en équipe de France, donc elle part à Chypre.
08:46 Un petit sourire.
08:48 Bravo à toi.
08:50 Ah, tu ne t'y attendais pas.
08:52 Et ambianceuse, on l'a vu sur les images.
08:56 Elle doit savoir nager.
08:58 Les échéances, là ça y est, ça se tasse un petit peu.
09:01 On a une grosse avec les championnats de France Elite.
09:05 Nous amenons 3 nageurs.
09:07 Avec le minibus.
09:09 Et bien oui, la présidente aussi, donc, et l'entraîneur.
09:12 Faut bien payer le péage.
09:14 Voilà, tout à fait.
09:16 Moi je trouve que c'est pas mal, parce qu'en plus, nous sommes un club,
09:19 un des seuls clubs sur ces championnats de France,
09:22 qui emmenons des nageurs formés.
09:24 Pur cru.
09:26 Et ça c'est quand ?
09:28 Du 16 au 21 juin.
09:30 C'est pas fini la saison pour eux.
09:32 À Chartres.
09:33 Voilà, merci à vous.
09:35 Le Cym, vous restez avec nous.
09:37 On vous avait envoyé notre meilleur, meilleur chroniqueur.
09:40 Je sais pas si vous l'avez vu.
09:42 Je crois que c'est Fiston qui lui avait mis sa mètre dans la vue.
09:47 Je crois qu'il est juste là.
09:51 Fiston, il vous lève la main.
09:53 Vas-y, tu nages avec un bras au moins.
09:55 T'as pas tout donné.
09:57 Non mais il a rubé le défi.
09:59 Ah mais oui, ça fait super.
10:01 Eh bien Damien est du côté de Saint-Etienne,
10:05 toujours du côté de Roger Rivière,
10:07 et il va s'essayer au cyclisme.
10:09 Eh, al pesto, hein Damien ?
10:12 Vous êtes content de pêter un slip de bain ?
10:14 Il est où ?
10:16 Bonjour Julien, bonjour à tous.
10:18 On se retrouve aujourd'hui dans notre série "Parlons sport olympique" dans notre région.
10:22 Et c'est tout naturellement qu'on s'arrête aujourd'hui au Parc de Méon
10:25 pour évoquer le cyclisme, avec Patrick et l'Excel Saint-Etienne.
10:28 Merci de nous recevoir ici.
10:30 C'est avec plaisir.
10:32 Du coup, Patrick, comment se porte l'école aujourd'hui ?
10:35 Alors l'Excel, donc l'espace cycliste Saint-Etienne-Loire,
10:38 se porte très bien sportivement,
10:41 puisqu'on maintient un gros effectif de licenciés,
10:45 à savoir ces 200 licenciés,
10:47 et les compétiteurs sont de plus en plus performants.
10:49 C'est-à-dire qu'aujourd'hui, on tire plus par le haut.
10:52 Et donc, on parle forcément sport olympique,
10:55 et donc sport olympique en cyclisme, on pense forcément à Gianni Longo.
10:59 Est-ce qu'on a vraiment une chance de médaille ?
11:01 Alors cette année, oui, des chances de médaille,
11:04 puisque le cyclisme, ce n'est pas que la route.
11:06 Il y a le contre la monte, la piste, le BMX,
11:09 au-dessus de nos amis, le VTT.
11:11 Donc dans toutes ces disciplines, oui, on aura des médailles, c'est sûr,
11:14 mais elles vont être dures à chercher quand même.
11:16 Et donc du coup, on le voit aujourd'hui autour de la piste,
11:20 on a quand même pas mal de jeunes.
11:22 Est-ce que vous êtes toujours une terre de formation ?
11:25 Alors oui, exactement.
11:28 On a eu par le passé de très bons compétiteurs,
11:31 on en a encore une vraie génération de bons coureurs.
11:35 On a un coureur qui va intégrer le Pôle France Piste de l'Excel la saison prochaine.
11:40 On organise aussi des épreuves.
11:42 J'organise une épreuve depuis 17 ans à Saint-Etienne,
11:44 et on a de nombreux coureurs de jeunes qui vont participer aux Jeux Olympiques de Paris.
11:48 OK, et donc du coup, là, pour la démo, qu'est-ce que tu m'as prévu ?
11:52 Un départ, c'est ça, en 200 mètres ?
11:55 On est sur la piste, donc 10 pistes, 10 vitesses,
11:58 10 vitesses, 10 200 mètres lancés.
12:00 C'est le summum du sprint français.
12:04 Donc on va faire un petit 200 mètres lancés.
12:06 Vous l'avez vu, un beau programme.
12:08 J'ai mis mes petites lunettes quand même pour les moucherons,
12:10 et je vous dis à tout de suite.
12:15 Je ne sais pas s'il faut vraiment l'applaudir, Damien.
12:18 Je ne sais pas ce qu'il donne sur un vélo.
12:20 Il va relever le défi.
12:22 Qu'est-ce qu'il va faire, on ne sait pas.
12:24 Je crois que le record, il est en moins de 13,
12:27 peut-être même moins de 10 secondes, le record du 200 mètres.
12:29 Attends, je te sens un peu narquois.
12:31 Damien ne peut pas le faire ?
12:32 Non, ça veut dire que j'ai hâte de voir ce qu'il fait.
12:34 Tout le monde a hâte de voir ce qu'il fait.
12:36 Dans quelques instants, on va parler équitation,
12:38 forcément avec notre spécialiste, Marielle Charbon.
12:40 (Musique)
12:44 (Applaudissements)
12:46 Notre jolie jeune pose à nous, comment elle va ?
12:48 Ça va super bien.
12:50 Je vous amène avec moi du côté de Châteauneuf
12:52 pour découvrir un métier.
12:54 Un métier ?
12:55 Le métier de maréchal ferrant.
12:56 Ah, on n'avait jamais vu ça.
12:58 Exactement, et puis c'est vrai que sur le plateau,
13:00 on parle souvent des sportifs, des cavaliers, des entraîneurs,
13:02 mais peu des gens qui s'affairent autour des chevaux
13:04 pour les aider à bien former.
13:05 Il y a un jeu de mots ? Qui s'affaire ?
13:07 Oh, joli !
13:08 Ça m'est venu tout seul.
13:10 Il y a des formations pour devenir...
13:12 Oui, il y a des formations.
13:13 C'est vrai que pas très loin, dans la Loire, à Suril-Comte-Arles...
13:15 À la MFR, oui, tout à fait.
13:16 C'est un très, très vieux métier,
13:18 mais avant de vous le présenter, je voudrais vous poser une question.
13:20 Est-ce que vous savez déjà pourquoi on fait les chevaux ?
13:22 C'est un peu comme mettre un maillot de bain dans l'eau,
13:24 parce qu'il ne faut pas être tout nu.
13:26 Un peu, oui. C'est des chaussures, on va dire.
13:28 C'est pour les protéger. Il faut protéger les chevaux.
13:30 En fait, ça remonte à très, très loin, au Moyen-Âge.
13:32 Ah ouais ?
13:33 En fait, on a commencé à exploiter les chevaux, à les travailler,
13:35 et naturellement, la corne du cheval,
13:37 qui est comparée à l'ongle chez un homme,
13:40 s'use naturellement.
13:42 Sauf que quand on a commencé à exploiter les chevaux,
13:44 à les travailler...
13:45 Ils ont quatre ongles, c'est ça ?
13:46 Ils ont quatre ongles, oui.
13:47 Deux antérieurs, deux postérieurs, quatre sabots, on va dire.
13:49 Quatre sabots, c'est ça, ouais.
13:50 Et les sabots, ça pousse ?
13:51 Oui, tout à fait, comme l'ongle.
13:53 Exactement pareil.
13:54 Donc forcément, on a commencé à les travailler sur des sols
13:56 qui ne sont pas naturels pour eux,
13:58 avec une usure précoce de la corne.
14:00 Et donc, du coup, on a commencé à les serrer.
14:02 C'est un métier qui est extrêmement complexe
14:04 parce que le maréchal doit connaître l'anatomie
14:06 du membre du cheval,
14:08 puisqu'il travaille avec les vétérinaires
14:10 pour corriger des défauts d'aplomb,
14:11 ou voir des boîteries.
14:12 Donc ils font aussi de l'orthopédie, on peut dire ça.
14:15 Ah, ils arrivent à faire de l'orthopédie pour redresser ?
14:16 Oui, tout à fait.
14:17 Ils forgent aussi leur propre fer,
14:19 souvent, ou du moins, on appelle ça,
14:21 ils les tournent, en fait,
14:22 pour adapter le fer au sabot du cheval.
14:24 Je vois les images, en fait.
14:25 C'est une manicure, c'est une manicure.
14:27 C'est fini, parce qu'elle est finie,
14:29 il se fait les ongles pour regarder.
14:30 Le jali au salon, quoi.
14:31 C'est hyper satisfaisant, en plus, à regarder.
14:34 Je vous propose de regarder, souvent, sur les réseaux,
14:36 il y a des vidéos qui tournent sur la maréchalerie,
14:39 je vous propose de regarder parce que c'est hyper satisfaisant.
14:41 Voilà, et c'est un métier, surtout, qui est extrêmement physique
14:43 parce que le maréchal, c'est vrai qu'il a le dos courbé,
14:46 les genoux pliés, donc voilà.
14:47 Je vous propose de découvrir ce magnifique métier.
14:49 Il faut le tenir, les canards sont de 500 kg, voir plus.
14:51 Ils bougent pas, vous avez vu ?
14:52 Oui, c'est vrai.
14:53 Je pense qu'ils aiment ça.
14:54 Tout à fait, ça les soulage.
14:55 On découvre ce très beau métier qui date du Moyen-Âge.
14:59 Ça fait 31 ans que je suis à Montcombe.
15:08 Je suis arrivé dans ce métier en montant un cheval.
15:12 Alors, on s'occupe des pieds d'un cheval à partir de 6 mois
15:17 pour tout de suite une correction des aplomb.
15:19 Et après, c'est après le débourrage que nous commençons à les ferrer.
15:24 Le matin, je prépare le camion et c'est parti pour la tournée
15:30 dans différentes écuries ou particuliers.
15:34 Je m'installe chez les clients et suivant la pathologie du cheval,
15:38 on fait le ferrage qui convient au cheval.
15:42 Nous travaillons avec des vétérinaires qui nous orientent sur des ferrages
15:46 qui nous permettent de soigner la pathologie du cheval.
15:51 Alors, essentiellement, je fais du cheval de dressage et du cheval d'épic.
15:56 Pour la taille, c'est suivant le cheval.
15:59 Après, c'est en accord avec le vétérinaire.
16:03 Donc déjà, on regarde le marché, on regarde s'il n'y a pas de boiterie
16:08 et les défauts d'aplomb quand ils arrivent.
16:11 Nous déférons le cheval.
16:13 Après, c'est la partie du parage qui est assez délicate.
16:17 Nous choisissons le fer adapté au cheval.
16:21 Nous lui faisons une tournure.
16:24 Après, on pose à chaud et le brochage et le ripetage des clous.
16:30 Alors, ce n'est pas très compliqué.
16:32 Ce sont les propriétaires qui doivent l'éduquer déjà.
16:36 Et puis, surtout pour nous, avoir beaucoup de patience
16:40 et essayer de travailler un maximum dans le calme.
16:43 C'est un métier juste de passion, mais très physique.
16:49 Oui, j'ai eu suivi Diabolo St-Maurice,
16:52 qui a tourné sur les JO pendant quelques années.
16:56 C'était un très bon cheval de dressage.
16:58 - Les images sont impress... - C'est un métier ?
17:03 - Oui. - C'est trop beau !
17:04 Je vous ai apporté quelques exemples.
17:06 Justement, on a vu la dernière image de fer.
17:09 C'est un fer en acier.
17:12 C'est un fer qui se pose à chaud.
17:15 Le maréchal va venir chauffer le fer pour pouvoir modeler l'acier
17:18 et l'adapter au sabote du cheval.
17:20 - La morphologie, c'est ça ? - Jusqu'à 900°C.
17:23 Ça fait pas mal au cheval.
17:25 Si demain, on me pose quelque chose de 900°C sur l'ongle...
17:28 - Non, du tout. - C'est un gros ongle.
17:30 - Il ne bouge pas. - Oui, c'est un gros ongle.
17:32 Ce sont les fers en acier, les plus courants qu'on voit sur les chevaux.
17:36 J'ai amené également un fer en alu.
17:38 J'ai volontairement laissé les clous pour que vous puissiez voir la taille du clou.
17:41 Quand même, on enfonce... Voilà.
17:43 Les fers en alu, c'est pour les chevaux de sport.
17:45 - Souvent... - C'est ça qu'on a ?
17:47 Les chevaux de sport, les chevaux de course, ce sont des fers qui sont extrêmement légers.
17:50 Je vous ferai toucher par rapport à un...
17:52 Regarde, Jamila, on lui fait confiance.
17:54 Vous aussi, vous vous laissez pousser les ongles de doigt de pied ou pas ?
17:57 - Non. - Pour aller plus vite ?
17:58 - Non. - Non ?
17:59 - Non. - C'est pas ça.
18:01 Attends, parce que moi, j'ai un truc bizarre.
18:03 - Oui, alors ça, c'est de la corne. - Ça, c'est Fendi qui s'est coupé.
18:06 - Ça, c'est l'ongle. - Sans pourvoir.
18:08 - Sans ? - Sans pourvoir.
18:10 - Allez, sans, Julien. Mais plus près. - Oh, ça picote !
18:13 - C'est normal ? - Ça, c'est de la corne.
18:16 En fait, le sabot du cheval, pour revenir, c'est la deuxième phalange de l'homme.
18:21 - Lequel ? - Celle-ci.
18:23 C'est la deuxième phalange.
18:25 Et ça, c'est l'ongle qui vient dessus.
18:27 C'est de la kératine, et donc ça s'entretient.
18:30 J'ai amené un morceau parce que souvent, on voit...
18:32 - Je suis très content. - Il coupe, il rape.
18:34 Il n'y a pas de vaisseau sanguin, il n'y a pas d'irrigation,
18:36 - et il n'y a pas de terminaison nerveuse dedans. - Non, ça ressemble à un ongle.
18:38 - Donc ça ne me fait pas mal, quand on l'enlève. - Vous voulez que je le fasse suivre ?
18:41 Non, non, non, je ne veux pas.
18:43 - C'est vrai que... - Je vais faire un site avec Monique.
18:45 - S'il vous plaît. - On s'amène visuellement à se dire,
18:48 même s'il n'y a pas de terminaison nerveuse,
18:50 d'aller se mettre des grands clous dans le sabot.
18:53 On a quand même envie de se dire, ça fait mal au cheval.
18:55 C'est très technique, ce métier-là, parce qu'il suffit que le clou touche
18:58 une terminaison nerveuse ou quoi que ce soit.
19:00 Non, non, c'est vraiment un métier dingue.
19:02 Mais je trouve que le canasson a l'air de très bien le prendre, très heureux.
19:06 - C'est un soin pour eux. - On le change tous les combien ?
19:08 Alors, toutes les six semaines, généralement, en fonction de l'usure du fer.
19:11 C'est le maréchal qui le voit sur une ferrure, j'allais dire, classique.
19:15 Et puis, je voulais vous montrer une image de lipo-sandal.
19:19 - De ? - Lipo-sandal.
19:20 Mais bien sûr, on veut toujours voir une image de lipo-sandal.
19:23 C'est une petite chausson qu'on met aux chevaux qui ne sont pas ferrés.
19:27 Pourquoi il y a des chevaux qui ne sont pas ferrés ?
19:29 Alors, est-ce que vous savez pourquoi ?
19:30 Pourquoi il y a certains chevaux qui ne sont pas ferrés ?
19:32 Ils n'ont pas été sages ?
19:33 Parce qu'ils ne vont pas dans la rue.
19:35 Alors, oui, ça peut être effectivement ça.
19:38 Ou qu'ils ne portent pas de charge.
19:39 En fait, ce sont des chevaux qui sont au pré et volontairement,
19:42 on ne ferme pas notamment le postérieur des chevaux au pré,
19:44 parce que s'ils tapent un de ses congénères,
19:46 ça fait beaucoup plus mal avec un fer que sans.
19:48 Et donc, pour des chevaux qui vont continuer à travailler
19:50 sur des terrains un peu durs ou qui vont aller en promenade,
19:53 on met des lipo-sandales.
19:54 Pour éviter de les ferrer.
19:55 Et maintenant, regarde, t'as mis un lipo-sandale.
19:58 Toi, t'es montée en lipo-sandale.
20:00 Sur un fer comme ça en alu, notamment sur les chevaux de course,
20:04 ce sont les chevaux qui sont le plus spécifiques sur la ferrure,
20:07 ça va au gramme près, c'est-à-dire qu'on peut mettre
20:10 un certain poids à gauche, pas le même poids à droite.
20:13 L'entraîneur essaye le cheval, il fait réajuster au maréchal.
20:16 C'est très, très technique.
20:18 Il existe une centaine de fers à peu près à cheval.
20:21 Et vous avez pas pris n'importe qui, vous avez entendu quand même,
20:23 il a chaussé, on peut dire ça ?
20:25 Mes chevaux.
20:26 Ah oui, c'est sûr.
20:28 Mais des chevaux qui étaient aux Jeux olympiques.
20:29 Oui, tout à fait.
20:30 C'est très important tes chevaux, je suis d'accord.
20:31 Non, non, mais très sincèrement, moi qui suis propriétaire de cheval,
20:34 quand on a un bon maréchal, on le lâche pas.
20:35 On le garde.
20:36 On le lâche pas parce qu'il est capable de réajuster des aplomb,
20:39 il soigne aussi tout ce qui est abcès, boîterie.
20:41 C'est vraiment... On le lâche pas.
20:43 C'est un métier passion ou il y en a de moins en moins ?
20:45 Non, il y en a.
20:46 Vous avez vu, il a tout sur place.
20:47 Il y en a.
20:48 C'est vrai qu'en même temps, il peut pas dire "j'ai oublié un truc".
20:50 Il y en a.
20:51 Et c'est aussi des métiers qui reviennent un petit peu à la mode.
20:54 Alors pour ceux qui regardent sur des chaînes concurrentes,
20:57 il y a des émissions comme "Le meilleur forgeron", des choses comme ça,
21:01 où les gens forgent effectivement leurs lames.
21:03 Et c'est vrai que le métier de forgeron est aussi un métier du maréchal,
21:06 donc ça revient un petit peu à la mode.
21:08 Et non, pour l'instant, on en a, et heureusement.
21:10 Merci à vous, Mariette Charroix.
21:12 C'était vraiment très intéressant.
21:14 Et pas que d'habitude c'est pas intéressant, mais là c'était très intéressant.
21:18 Toujours avec passion.
21:19 Oui, toujours avec passion.
21:20 Et le sourire.
21:21 Jamila, on apprend des choses ici dans cette émission.
21:23 Tout à fait.
21:24 Vous verrez plus pareil les canassons.
21:26 Mais vous voulez voir du vrai sport, quelque chose d'intéressant ?
21:29 Non, elle veut sentir de la corne.
21:31 Tiens, Jamila.
21:32 On passe aux choses sérieuses, là.
21:35 Je te flimpe en entif, Jamila.
21:37 Si vous avez un chien, Julien, les chouettes, les chiens,
21:39 ils ressemblent à un jet comme Jamila.
21:41 Les chiens, ils adorent ça.
21:43 De quoi ? T'as dit quoi ?
21:44 Les chiens adorent ça.
21:45 Pouky ?
21:46 Pour arranger.
21:48 Dans les grandes surfaces, vous achetez des fois des cornes de buffles.
21:51 Oui, mais enfin mon chien, je vais me retrouver dans le lit avec ça.
21:53 Non, non, ma femme va pas...
21:55 Arrêtez, Pouky, tu ne l'auras pas à la maison.
21:57 Bon, dans quelques instants, on va parler basket avec Epeini Demir.
22:00 J'ai entendu des gens dire "Ah yes !"
22:08 90 ans, Epeini.
22:10 Pas vous, hein.
22:11 Non, pas moi.
22:12 Ni nous deux.
22:13 Nous deux, non, pas encore.
22:14 Pas encore.
22:15 Presque, mais pas encore.
22:16 À trois.
22:17 À trois, on dépasse.
22:19 Je vais vous demander d'applaudir bien fort le président de Rosier en tant que Michael Rosier.
22:25 C'est le co-président.
22:29 Il est co-président du club, mais je viens de l'apprendre que son surnom, c'est un peu l'impulseur, le leader, l'autorité naturelle.
22:36 Oh !
22:37 Tu es qui, à disser ?
22:38 Tu as marqué ça, je suis sur le livret.
22:40 Donc, président, vous êtes fatigué quand même.
22:45 Oui, on m'a dit qu'en maquillage, c'était dur de...
22:48 Long, très long.
22:49 Très long.
22:50 Avant de parler de l'anniversaire, on va juste faire un petit point déjà sur le club de Rosier en Dosie.
22:54 Combien de licenciés ?
22:55 Entre 130 et 150 chaque année.
22:57 Alors, je pense que vous êtes à 10 % de la population du village, c'est ça ?
23:03 Oui, voilà. Sur un village de 1500 habitants environ, on est à 135, à 150, ça dépend.
23:09 Première association de Rosier en Dosie, on est d'accord.
23:12 Et ça va de baby-basket à senior.
23:14 On a toutes les catégories et on inclut également du loisir.
23:18 Du basket-loisir, tout à fait.
23:20 Vous avez des équipes...
23:21 Le loisir, c'est le vendredi soir avec la troisième mite.
23:23 Oui, c'est un peu comme les critériums au foot.
23:24 C'est pas mal.
23:25 Alors, ce qui est intéressant, c'est que vous avez aussi des équipes en CTC.
23:29 Il y a le club de Rosier en Dosie et en CTC avec les Enfants du Forêt.
23:32 C'est pas une fusion ?
23:35 Une coopération territoriale de club.
23:37 Ça change les ballons ?
23:38 Pas que les ballons. Les entraîneurs, tout.
23:42 Combien de bénévoles ? Parce que vous êtes venu en nombre ce soir, mais au niveau du club, combien de bénévoles ?
23:47 Au niveau du membre comité directeur, on est environ une quinzaine.
23:50 Mais il y a aussi pas mal de commissions derrière sur les manifestations, sur les partenaires, etc.
23:55 Donc, on est facilement 30, 40 bénévoles qui interviennent toute l'année ou sur des missions particulières.
24:01 C'est énorme, vous savez, par rapport au nombre de licenciés.
24:04 Avoir encore aujourd'hui, parce qu'on sait que le bénévolat, ça se perd un petit peu.
24:09 Mais non, on n'a pas de dossier.
24:12 Malheureusement, je dis bien.
24:13 Et d'avoir autant de bénévoles pour un club qui a 150 licenciés, on va dire, c'est top.
24:19 Je pense qu'on peut les applaudir.
24:20 On peut les applaudir parce que sans bénévoles, aujourd'hui, que ce soit au basket ou même à la gym, peut-être à la natation,
24:27 on peut être dans le domaine de dire sans bénévoles, on ne peut pas avancer.
24:31 On ne pourrait pas vivre.
24:32 Alors, 90 ans, on va avoir les images, beau gâteau d'anniversaire.
24:37 Je ne sais pas, on ne l'a pas goûté.
24:38 Il n'y en a plus.
24:40 Il n'y en a plus.
24:41 C'était un événement, alors, émotion, souvenirs.
24:45 C'est un gâteau d'anniversaire ou la tour de pise ?
24:46 Émotion, souvenirs.
24:48 Alors, je sais que vous avez plein d'anciens joueurs qui sont un peu partout dans la France, même de Nouvelle-Calédonie, qui sont venus pour l'occasion.
24:54 On a un jeune du club qui a profité, qui avait un autre événement et qui a profité, il est revenu à moi.
25:00 Il était encore avec nous ce week-end.
25:01 Il est dans l'avion, là, il est reparti.
25:03 Un ancien qui a été d'ailleurs Bépé Geps au club, donc il a participé au club.
25:07 Et forcément, il était très content de revenir ce week-end et participer à cette fête également, au même titre que d'autres joueurs qui habitent un peu de partout en France.
25:13 Vous êtes quand même dans le cercle très restreint des clubs de plus de 90 ans.
25:18 Oui, oui, effectivement.
25:19 Alors, on peut citer nos voisins de Fers, justement, nos partenaires qui ont 50 plus que nous.
25:23 Il y a eu Panissière, il y a eu Boin qui a fait ses 100 ans.
25:26 On est très, très peu, mais il y a quelques clubs.
25:29 Et tenir, parce qu'on dit, c'est un petit village, ça ne va pas tenir.
25:31 Et ça tient.
25:32 Oui, ça tient, effectivement.
25:33 C'est quoi le secret ?
25:34 La passion.
25:35 La passion.
25:36 Le sport.
25:37 Beaucoup.
25:38 Et puis, on y passe beaucoup de temps.
25:40 Et puis, je pense que le secret, ça reste la formation.
25:43 Si on fait la formation dès le plus jeune âge, on invite et on incite les gens à rester au club.
25:47 Quand on parle de 10% de la commune, c'est qu'on fait fidélisme.
25:51 On fidélise.
25:53 Oui, alors on fidélise.
25:54 Et puis, sinon, effectivement, FMD l'a dit, sur 90 ans, ça fait 30 ans qu'on se connaît très bien avec Fers.
26:01 On a commencé un partenariat gentiment et sûrement.
26:04 Un partenariat en 93 qui a continué après par une CTC, donc coopération territoriale de club, depuis 7-8 ans.
26:10 Donc, on a commencé petit à petit à réfléchir ensemble pour mettre une équipe technique ensemble,
26:15 de façon à faire une formation de qualité dès le plus jeune âge.
26:19 Alors, pour organiser un événement comme ce qui s'est passé ce week-end...
26:23 Il s'appuie sur sa femme.
26:25 Voilà.
26:26 Il s'appuie, pas que.
26:28 Mais notamment, il y avait un trio féminin.
26:31 On m'a parlé d'un trio féminin.
26:33 Et il y a Pascaline.
26:34 C'est bien ça ?
26:35 Elle est là, Pascaline.
26:36 Elle est là, Pascaline.
26:37 C'est elle qui a organisé, c'est Pascaline.
26:38 Elle fait partie des trois.
26:41 Donc, il y avait trois femmes qui ont, on va dire, qui vous ont coordonné un peu dans cette...
26:47 On va dire qu'en fait, notre club, notre comité directeur actuel ne pouvait pas organiser 90 ans
26:51 parce que c'était vraiment...
26:53 On voulait faire une grosse fête.
26:54 C'était trop.
26:55 Donc, on a parlé autour de nous et on a réussi à motiver.
26:58 On a une équipe de la commission des 90 ans.
27:01 C'est 14 personnes, plus des gens qui sont venus naiser.
27:03 Et sur les 14 personnes, 9 personnes sont des anciens du club,
27:06 qui n'ont même plus la licence au club,
27:08 qui ont joué comme Pascaline, comme ses copines, etc.
27:10 J'espère que vous les avez fessinées, du coup, hein ?
27:12 On en reparlera après, on va faire quelques réunions.
27:14 Donc, c'est beaucoup d'anciens qui sont revenus, de plusieurs générations.
27:18 Et comme tout, la mayonnaise a pris et puis on a fait ça.
27:22 Il y a eu quoi ? C'est quoi les manifestations ?
27:24 J'en vois des images.
27:25 Non, mais il y a eu des tournois...
27:26 Ils ont refait le sol.
27:27 Non, c'est un praticable spécial 3-3.
27:31 Mais il y a eu des tournois sur les équipes jeunes, on va dire.
27:35 Mais vous avez fait quelque chose d'énorme, quand même.
27:39 Vous faites venir 16 joueuses de l'équipe de France féminine 3-3.
27:44 3-3, U21 et U23 féminines.
27:46 Normal.
27:47 Carnet d'adresse, allô, au 4-11, tu viens, il y aura du gâteau.
27:50 C'est bien de le dire, parce que je pense qu'il ne faut pas oublier de remercier Joël Scamparin,
27:55 notre président de la Ligue Aurore, et Jean-François Bourgeon du comité de la Loire,
27:59 qui nous ont bien aidés, notamment dans ces prises de relations, pour faire ça, la première réunion.
28:04 16 joueuses !
28:05 Mais là, en plus, elles ne sont pas venues.
28:06 C'est pas qu'une deuxe.
28:07 Alors, c'est un match...
28:10 On va demander à Seb de mettre les images "équipe de France".
28:12 Il avait donné du gâteau à Seb, c'est ça ?
28:15 Il ne réalise plus, Seb.
28:16 Tournoi-exhibition, mais pas que.
28:18 Pas que, c'est un tournoi.
28:20 Ces filles-là sont venues pour 8 jours en région ronale,
28:22 elles ont commencé chez nous,
28:23 elles sont en voie ronde maintenant, jusqu'à cette fin de semaine,
28:26 où elles se réunissent, 8 filles de U21, 8 filles de U23.
28:30 Fin de cette semaine, il y en a 2 qui vont quitter la sélection,
28:34 et cette sélection qui va rester va aller jouer un tournoi qualificatif
28:38 pour les championnats du monde cet été.
28:39 Attendez, je vais demander, ça envoie du steak ?
28:41 Non, ça, c'est des annotations.
28:42 Ça envoie du steak un peu les féminines ou pas ?
28:47 Ça joue bien ?
28:48 - Noël. - Noël.
28:50 Elles ne sont pas données à 100%.
28:51 Ça dépend des âges.
28:52 Ça dépend des âges.
28:54 Honnêtement, on a vu un très beau spectacle.
28:57 Il ne faut pas oublier que ces filles...
29:00 En fait, il n'y a pas de championnat 3-3 toute la saison,
29:03 donc elles jouent dans des championnats 5-5.
29:05 Il y avait sur le terrain 2 filles.
29:07 Fendi, tu les connais.
29:09 Il y en a une qui est championne de France avec Villeneuve-D'Ascq, Aminata,
29:12 et il y a une qui est finaliste, Louise Bussière.
29:15 Oui, Aminata qui avait joué la finale de l'Euroleague.
29:18 La finale de l'Euroleague qui est née près de l'Euro.
29:20 On la voit dans les images derrière.
29:22 Donc on a eu du beau monde,
29:23 et on espère qu'elles aillent à l'Olympique du Monde.
29:26 Donc elles sont venues à Rosier.
29:28 Il y avait quoi d'autre comme fête ?
29:30 On a fait la fête du baby-basket le samedi matin.
29:32 On a fait un défilé dans le village avec une bandasse,
29:36 avec une traction pour emmener nos plus anciens devant.
29:39 Le village était en fête ?
29:42 On vise les 20% l'année prochaine.
29:45 C'est ça.
29:46 On est en train de recruter.
29:48 On voulait faire quelque chose qui nous ressemble,
29:50 c'est-à-dire quelque chose de convivial, amical,
29:52 et on voulait animer le village.
29:54 Et là aussi, il faut souligner et remercier la mairie.
29:56 Monsieur Lemaire est sympa.
29:57 Voilà, monsieur Lemaire est sympa.
29:58 Vous êtes venu les voir il n'y a pas très longtemps.
30:00 Il a été très sympa.
30:02 Il nous a soutenus parce que l'envie était d'animer le village tout un week-end.
30:06 Donc Paris a à peu près réussi.
30:08 Jean-François Bourgeon nous a dit qu'il n'y a pas de fausses notes.
30:11 Il y en a sûrement un petit peu, mais non, ça a très bien fonctionné.
30:13 On parle de la soirée guinguette aussi,
30:14 parce que Lilian aurait bien aimé.
30:15 Il adore animer la guinguette.
30:16 Très guinguette.
30:17 Très accordéon.
30:18 Elle était très bonne, très guinguette.
30:19 Donc notre trio féminin, accompagné des autres,
30:22 ont voulu que cette soirée soit guinguette
30:24 parce qu'on voulait faire quelque chose de convivial, amical, etc.
30:27 Avant de terminer, on en a parlé un off,
30:30 mais j'aimerais vraiment que vous dites ce soir...
30:32 Tu as un secret pour moi ?
30:33 Non, il y a une exclue.
30:34 C'est quoi l'exclue, Président ?
30:36 Alors l'exclue, c'est que...
30:37 On est invité pour les 91 ans.
30:39 Pourquoi pas ?
30:40 Pourquoi pas ?
30:41 Mais tu reçois l'année prochaine.
30:42 Tu refais, Président.
30:43 Mais pas que.
30:44 Ça va dans le sens de vous, Président.
30:46 Voilà, c'est qu'en fait, le club a 90 ans.
30:49 Au 1er juillet de l'année prochaine,
30:52 le plateau de Sportset s'est exclu également.
30:56 C'est qu'au 1er juillet, on fusionne avec Ferr.
30:59 Ça fait 30 ans qu'on travaille avec Ferr.
31:01 Vous avez bien l'emprunt, parce qu'avec tous ces...
31:02 Fusion.
31:03 Le CTC, fusion.
31:04 Voilà, parce que nous,
31:05 enfin quand on dit nous,
31:06 on en a parlé il n'y a pas longtemps,
31:07 vous savez qu'il y a l'union du côté d'André Zuboutéon
31:10 et de Saint-Chamond sur le SCAB,
31:12 la partie vraiment professionnelle.
31:13 Là, on ne parle pas d'union,
31:14 on parle pas d'union,
31:15 c'est une fusion complète des deux clubs.
31:17 En fait, ça fait 30 ans,
31:18 ce que je disais tout à l'heure
31:19 qu'on a commencé à travailler ensemble,
31:20 qu'on se connaît bien, qu'on se côtoie.
31:22 Vous allez vous marier, enfin.
31:23 On va se marier enfin, on a un cohabité.
31:26 Et petit à petit, quand on a vu,
31:28 ce que je explique,
31:29 c'est que vraiment c'est la formation
31:30 qui est notre maître mot en fait,
31:31 notre ligne conductrice.
31:32 Et c'est vraiment là qu'on s'est dit,
31:34 petit à petit, on avait mis des U13,
31:35 après des U11, des U9, des babi-basketteurs,
31:37 on a tout mis en commun.
31:38 Et en fait, au final,
31:39 il devient plus simple de le faire.
31:40 Même vos maillots étaient pareils.
31:42 On jouait tous les deux en vert.
31:44 Donc au 1er juillet prochain...
31:45 C'est officialisé et il y a une bringue.
31:47 C'est officialisé et il y aura peut-être une bringue.
31:49 Et ça s'appellera ?
31:50 Ça s'appellera officiellement ?
31:51 Donc, à Rosier en Rosier,
31:54 on est attaché au terme "Rosier".
31:55 À Feur, ils sont attachés au terme "Enfants du forêt".
31:57 "Enfants du forêt Rosier".
31:59 Ça sera les enfants du forêt de Feur-Rosier.
32:01 Tout le monde va jouer sur les couleurs de E-F-Feur-Rosier.
32:04 C'est long.
32:05 Imagine la carte d'identité.
32:06 E-F-Feur-Rosier, au 1er juillet prochain.
32:09 Officiellement à la rentrée.
32:10 Toutes les équipes, loisirs, jusqu'à la NMA,
32:12 ce sera E-F-Feur-Rosier.
32:14 Merci à vous pour l'expérience.
32:16 Un grand bravo pour cet événement extraordinaire que vous avez fait
32:22 et à tous vos bénévoles et ceux qui vous ont suivi.
32:24 Vous me donnez le nom de Pascaline, son numéro,
32:26 parce que pour organiser quelques petites fêtes au sein de Sportsnet,
32:28 on aime bien.
32:29 C'est la reine de l'organisation.
32:31 C'est la reine de l'organisation.
32:33 On va faire un parlons-club l'année prochaine.
32:35 Un parlons-club.
32:36 Juste avant, Jamila, on n'en a pas parlé
32:39 parce qu'on était un peu perturbés
32:40 par Seb qui a passé tous les magnétos.
32:42 C'est la Saint-Seb aujourd'hui.
32:44 Vous parlez des jeunes qui ne s'engagent pas assez.
32:46 C'est faux, Jamila.
32:48 - Oui. - Dites-le.
32:49 C'est faux.
32:50 Je n'ai pas dit "y a des jeunes".
32:51 J'ai dit "y a moins de bénévoles".
32:52 C'est faux.
32:53 Alors, c'est faux.
32:54 Si.
32:55 Non.
32:56 Merci, Jamila.
32:57 Il faut être honnête.
32:58 La relève est là, il faut dire.
32:59 Il faut vraiment batailler en bataille.
33:02 C'est vrai, on le sent, ça.
33:03 Du coup, avec la fusion, on a beaucoup de bénévoles.
33:07 Parce qu'en effet, le bénévolat est tellement important.
33:10 Puisque nous, le club est géré, quand même,
33:12 un club de 1 500 adhérents.
33:14 Le comité directeur, ce ne sont que des bénévoles.
33:17 Donc, on est une quinzaine aussi.
33:19 Et toutes les personnes qui sont à côté, qui nous aident,
33:22 puisqu'on a des officiels aussi bénévoles
33:24 qui sont là pour les compétitions.
33:26 S'il n'y avait pas d'officiel, pas de compétition.
33:28 Et on a un groupe de jeunes passionnés.
33:32 Spontanément, passionnés, qui sont venus vous voir.
33:34 Pas passionnés, qui sont venus voir le comité
33:37 et qui nous ont demandé, ils avaient une idée,
33:40 de créer une association caricative.
33:42 On va voir des images, oui.
33:44 Au sein du club.
33:45 Et donc, leur association s'appelle le "Sims engage".
33:48 Donc, c'est des jeunes passionnés.
33:51 Donc, bien sûr, tout de suite, on est parti.
33:55 Et ils font quoi ?
33:56 Parce que c'est tout jeune, c'est tout récent, c'est ça ?
33:58 Oui, c'est tout récent.
33:59 Donc, ces jeunes, en fait, ils veulent participer
34:01 à toutes les manifestations, Octobre Rose, Téléthon,
34:05 MycoVC12, enfin, aider toutes les associations.
34:09 Tu vois, Féné, il faut croire à la jeunesse.
34:11 C'est top.
34:12 Alors, franchement, je tiens à les remercier,
34:15 tous ces jeunes, je ne sais pas s'ils sont dans le public.
34:17 On peut les applaudir, les jeunes.
34:19 Bravo !
34:21 En plus, pour la bonne cause.
34:24 Il y a bien plus de famille que la présidente.
34:27 Quoi ?
34:28 En plus, pour la bonne cause, donc vraiment, chapeau.
34:31 Non, mais c'est vrai qu'on a vraiment des jeunes passionnés.
34:34 Tous ces jeunes, ils sont là, ils sont toujours présents.
34:36 Alors, ils nagent.
34:37 Il faut savoir qu'ils nagent quand même deux fois par jour,
34:40 parce que c'est dix entraînements par semaine.
34:42 Mais ils sont là quand on a les événements,
34:44 comme le meeting, on a organisé il n'y a pas longtemps,
34:46 le meeting, un gros meeting,
34:48 où on a eu toutes les clubs de toute la France.
34:50 Et tous ces jeunes étaient là pour aider.
34:52 C'est beau d'être passionné par le sport, mais aussi par le club.
34:55 Bénévolent, voilà.
34:56 Parce qu'ils sentent bien.
34:57 Oubliez pas qu'il y a Pascaline qui peut vous organiser
34:59 les trois ans du club.
35:00 Petite parenthèse, la soirée Ginguette notamment a été organisée.
35:06 On a eu l'aide du club des jeunes du village.
35:08 Donc des jeunes de 17, 18 et 19 ans.
35:11 Ils se sont engagés et ils ont dit "on veut bien vous aider".
35:14 Et ils étaient 12, 13 personnes.
35:16 Je vous les remercie à nouveau parce que c'était très important.
35:19 On sera à Ginguette.
35:20 On sera à Ginguette.
35:21 Ce soir-là, ils ont travaillé.
35:23 Ils nous ont de l'argent pour qu'on s'amuse.
35:26 Merci à vous, Michael Verdier.
35:29 On peut l'applaudir bien fort.
35:30 Dans quelques instants, le portrait sportif de Lille-en-Barde.
35:34 Merci.
35:35 Lille-en-Barde, écoutez-moi bien.
35:42 Jamila, vous allez décider.
35:43 841 kilos, ce n'est pas...
35:46 Mon poids.
35:47 Plus de 800 kilos, ce n'est pas mon poids, non.
35:50 Autour de la table, personne.
35:52 Le portrait de la semaine, on va aller à la rencontre de Yanis Bouchou.
35:55 Il est dans une salle.
35:57 On va parler de force athlétique.
35:59 Il s'entraîne dans une salle la plus ancienne de Saint-Etienne.
36:02 La plus ancienne.
36:03 On parle à l'Omnium Sport.
36:04 On est en face du lycée Saint-Paul.
36:06 C'est ça, oui.
36:07 C'est incroyable.
36:08 Cette salle, je ne la connaissais pas.
36:10 Tu arrives, tu ouvres 29 portes.
36:12 Tu descends au niveau -54.
36:15 Et là, tu rentres dans une salle où tu te dis "Qu'est-ce qui se passe ? Je suis où ?"
36:19 Je suis revenu en l'an 40.
36:21 Ceux qui sont là, ils ont une âme de battant, une âme de guerrier.
36:25 J'aime ces gymnases qui ont l'odeur.
36:28 Yanis Bouchou, qui est en force athlétique.
36:31 On parle de trois disciplines.
36:33 On est en développé couché, en squat et en soulevé de terre.
36:38 Sur ces trois disciplines-là, l'entreprent en compte.
36:41 Il y a Maria Charrois qui arrive.
36:42 On avait reçu quelqu'un qui faisait la...
36:45 L'homme le plus fort du monde.
36:46 Oui, exactement.
36:47 Il était tout seul dans sa cathéorie.
36:49 Il est tout seul dans sa catégorie.
36:52 Il n'est pas le plus fort du monde, il est le plus fort de France.
36:55 Le plus de 800 kg, il n'y a que lui qui l'a en France.
37:00 Il faut savoir que j'ai fait sa rencontre il n'y a pas très longtemps.
37:04 Sa carrière n'a pas débuté il n'y a pas si longtemps que ça.
37:07 Il a une carrière professionnelle en face.
37:10 À la fois, ce monsieur représente l'équipe de France en force athlétique.
37:15 En plus de ça, il est en train de préparer son doctorat.
37:17 Oh, magnifique !
37:19 Juste ça.
37:20 Donc bon, on va aller à sa rencontre.
37:22 On va revenir juste après sur La Flamme Olympique, sur plein de belles choses.
37:26 Ah, parce qu'il est porteur de la flamme ?
37:27 Il est porteur de la flamme.
37:28 Donc on va parler de lui juste en retour sujet.
37:30 Mais pour le moment, je vous envoie du côté de l'omnium sport,
37:34 dans cette salle incroyable, à la découverte de Yanis Bouchou.
37:38 Bouchou Yanis, 28 ans, force athlétique.
37:43 Yanis Bouchou, 28 ans, force athlétique.
37:46 Alors j'ai commencé de mon côté en 2016 à pratiquer la force athlétique en salle de sport.
37:59 À l'omnium sportive Stéphanois, je cherchais une manière un peu objectif de réaliser ce que j'appréciais,
38:04 c'est-à-dire soulever lourd.
38:06 J'ai commencé à faire les mouvements de la force athlétique,
38:08 que sont le squat, le développé couché et le soulevé de terre.
38:10 Et j'ai commencé les compétitions en octobre 2017.
38:13 Donc 2021, championnat de France que je remporte.
38:16 J'enchaîne ensuite avec les championnats d'Europe universitaire que je remporte également.
38:19 Et je fais mes tout premiers championnats du monde en septembre 2021,
38:23 où je finis deuxième, donc vice-champion du monde.
38:25 Et j'ai enchaîné avec les championnats d'Europe en 2021,
38:28 où j'ai fait premier, donc champion d'Europe.
38:30 Je suis actuellement, parmi les Français, le meilleur Français de ce sport.
38:35 À l'heure actuelle, je parle à l'heure actuelle,
38:37 c'est un moment T, la meilleure performance de l'histoire de ce sport.
38:40 Il faut additionner le meilleur squat, le meilleur développé couché et le meilleur soulevé de terre.
38:44 Et donc j'ai réalisé un total de 810 kg, donc 280 au squat, 190 kg au développé couché
38:49 et 340 au soulevé de terre, qui est un record de France que je détiens actuellement.
38:52 Je détiens également le record de France au total.
38:54 Je suis doctorant, donc je fais une thèse en science,
38:59 pas une thèse en médecine, je fais une thèse en science.
39:01 Donc ça fait des journées un petit peu rallongées, j'ai envie de dire,
39:03 parfois, entre l'entraînement et la thèse.
39:05 Mais ça ne me ralentira pas dans l'atteinte de mes objectifs sportifs, ça, il faut en être rassuré.
39:09 Avec un athlète et d'autres accompagnants, on est parti sur le lieu de compétition.
39:18 On était déjà d'une part en retard pour la pesée
39:20 et on avait loué une voiture pour faire un déplacement,
39:22 mais on fait un accident en cours de route.
39:25 Donc il y a le stress de la compétition et le stress de cet événement-là,
39:28 mais au final, on a plutôt bien géré, c'est plutôt bien terminé pour moi.
39:31 J'ai cette photo-là des championnats du monde 2023,
39:35 où je termine mon dernier soulevé de terre à Malte.
39:37 Donc c'était le dernier championnat du monde.
39:39 Pas spécialement, moi, je n'ai pas forcément de musique,
39:44 je n'ai pas forcément de rituels ou autre.
39:46 On va dire que les habitudes que j'ai à l'entraînement
39:48 sont les habitudes que j'ai en compétition, donc voilà.
39:50 Mais rien de particulier en soi, rien de bien spécial.
39:53 À court terme, on prépare les championnats du monde qui sont là dans quelques mois.
39:58 L'objectif, il est clair, c'est de faire un podium pour ces championnats du monde
40:01 qui sont qualificatifs pour les World Games.
40:03 Et on a une compétition qu'on appelle Sheffield
40:06 qui rassemble surtout les 11 et les 12 meilleures femmes et meilleurs hommes de ce sport.
40:10 Donc c'est vraiment l'objectif que je construis sur le long terme,
40:13 en plus de la régularité que je souhaite maintenir.
40:15 C'est énorme !
40:17 Franchement, moi, je l'applaudis parce que ce qu'il fait, c'est incroyable.
40:20 Ah bah ouais !
40:21 On disait, il est dur, mais je le dis fort comme un turc.
40:24 Franchement, c'est incroyable.
40:26 Moi, je l'applaudis fort comme un turc.
40:28 Franchement, j'ai les homoplabes qui finissent dans les genoux.
40:30 C'est obligé qu'il y ait du sang.
40:32 Tu peux rappeler le poids de la dernière image qu'il soulève ?
40:34 Alors, non, j'ai pas le...
40:36 Juste, je le cumule légère, on est à plus de 800 kilos.
40:38 Après, je sais que là, en entraînement, quand je suis allé le voir,
40:41 son objectif, c'était de dépasser ce jour-là les 225.
40:44 Juste en squats, du coup.
40:46 225, c'est incroyable.
40:48 Donc normalement, effectivement, il va porter la flamme olympique la semaine prochaine.
40:52 Je vous rappelle, c'est samedi 22 à Saint-Etienne que la flamme olympique
40:56 arrivera du côté du sage Geoffroy Guichard.
40:58 Donc normalement, on devrait avoir Yannis qui porte la flamme et il le mérite.
41:02 Et non Yacine.
41:04 De quoi ?
41:06 Yacine, non, ne la portera pas.
41:08 Le mérite pas, lui.
41:10 Si, peut-être, mais en tout cas, il ne la portera pas.
41:14 Bon, en tout cas, Yacine, Yannis...
41:16 Merci, Julien, pour le virage.
41:18 On lui souhaite le meilleur.
41:20 Vous avez compris que c'était quelqu'un d'assidu, de droit, à la fois le pro, à la fois le perso.
41:25 Il le dit, il est en train de préparer une belle thèse pour son doctorat.
41:29 Et puis, on espère de beaux résultats à venir.
41:32 Un doctorat ?
41:34 Un doctorat. Alors, je n'ai pas la qualification du doctorat.
41:36 Tout ce que je sais, c'est que sa thèse porte sur le travail de nuit,
41:39 l'influence du travail de nuit sur l'homme.
41:41 Incroyable. Il a retenu ça.
41:43 Quel cerveau vous avez.
41:44 Moi, j'ai comme ça.
41:46 Merci à vous, Lilian Marle.
41:49 On me crie dans l'oreillette, je suis prêt, je suis prêt.
41:52 Je ne sais pas ce qu'il fait, parce que j'entends "Je suis prêt".
41:56 Je crois qu'il est en train de tourner autour de la piste, c'est ça, Damien ?
41:58 Damien, c'est d'où ? Vous êtes avec nous ou pas ?
42:00 Damien ? Ah.
42:02 Bon, ça y est, les amis, j'ai mis mon petit casque, mes petites lunettes pour les moumous.
42:05 Je vais pouvoir fronter, finalement, tout ça.
42:08 Toi, tu es quand même un peu l'élite, ici, du club.
42:11 Ça ne va pas à tout le monde, Damien.
42:12 Bon, écoute, je te propose de démarrer.
42:14 Ça va, merci.
42:15 Allez, c'est parti.
42:16 Il est parti, la guide, d'abord.
42:19 Ça va à personne.
42:20 Donc, du coup, le pignon fixe, pas évident.
42:22 Vélo de piste, ça veut dire pas de frein, pas de rouler.
42:25 Donc, toujours sujet de pédaler.
42:26 Et puis, un braquet assez important.
42:28 Il est au courant qu'il n'y a pas de frein ?
42:29 Damien, il a un plateau de 5 ans devant et un pignon de 14 ailleurs, pour les connaisseurs.
42:33 Il faut déjà enrée.
42:35 Tu t'arrêtes, on va être trompés, d'ailleurs, je crois.
42:36 Il n'y a pas de possibilité de changer de vitesse, là.
42:38 Non, tu décélères.
42:39 En rétro, tu peux en freiner, mais pas d'un coup.
42:41 Donc là, il y a un max de vitesse.
42:43 C'est un 200 mètres.
42:44 Il ne reste plus qu'un tour.
42:45 Il est top.
42:47 Ça va, il n'est pas si loin.
42:48 En temps normal, une compétition où il y aura la cloche, la ligne d'arrivée, il vient de franchir la ligne.
42:51 Ça ne sert à rien, c'est avant la cloche.
42:52 Je pense qu'il n'est pas si loin parce qu'il l'attend.
42:54 La cloche qui n'a pas le dernier tour.
42:55 Oui.
42:56 Ils ont déjà gagné le tournoi.
42:57 J'ai cru reconnaître, quand même, celui qui l'accompagne.
43:01 Et il a gagné il y a trois semaines.
43:04 Premier tournoi, quarte finale.
43:05 Et alors, il est où, Damien ?
43:06 Il se débrouille bien.
43:10 Il est normalement top.
43:13 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
43:16 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
43:19 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
43:20 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
43:21 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
43:22 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
43:23 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
43:24 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
43:25 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
43:26 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
43:27 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
43:28 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
43:29 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
43:30 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
43:36 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
43:37 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
43:38 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
43:39 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
43:40 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
43:41 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
43:42 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
43:43 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
43:44 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
43:45 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
43:46 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
43:47 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
43:48 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
43:49 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
44:12 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
44:19 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
44:20 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
44:21 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
44:22 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
44:23 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
44:24 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
44:25 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
44:26 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
44:27 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
44:28 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
44:29 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
44:30 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
44:31 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
44:32 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
44:53 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
45:17 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
45:24 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
45:29 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
45:33 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
45:37 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
45:41 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
45:45 C'est rare qu'on le fasse des compliments.
45:49 *Musique*