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00:00 a décidé d'encourager les clubs sportifs à accueillir des adhérents non binaires.
00:05 Ceux qui se définissent n'y exclusivement hommes ou femmes.
00:09 Et pour les associations tournées vers cette inclusion,
00:12 les subventions seront plus généreuses, annonce la mairie.
00:15 Sandrine Prioul, colère et polémique dans la capitale bretonne.
00:19 Au premier rang des opposants, un élu horizon bénévole du club de basket,
00:23 Charles Compagnon, ulcéré par cette idée d'avoir des adultes et des enfants non binaires,
00:28 inscrit sur la feuille de match.
00:29 Pour les mineurs, c'est un vrai danger.
00:31 Le petit Kevin que ses parents inscriront en non binaire,
00:33 s'il veut jouer au basket avec ses copains, il va jouer dans l'équipe garçon.
00:36 Donc il y a un risque qu'il se retrouve un peu exclu
00:38 parce qu'il est inscrit en non binaire, mais il va jouer avec des garçons.
00:41 Moins polémique, mais tout aussi perplexe, les dirigeants des clubs rennais de rugby.
00:46 Pour l'inclusion, il y a déjà la mixité jusqu'à 14 ans, explique Jean-Marc Trian.
00:50 Les garçons et les filles pratiquent ensemble, sans distinction.
00:53 Et puis après, le physique est différent.
00:55 Et donc on mettrait en danger les filles à pratiquer avec des garçons.
00:59 Donc si on a des sujets de pratiquants non binaires,
01:03 cette pratique, elle est difficile.
01:05 Ou alors, il faut que la Fédération française de rugby,
01:07 qui ne s'est pas positionnée sur ce sujet-là,
01:10 vienne nous dire qu'il y a une évolution de la pratique du rugby.
01:14 Et pour les subventions, les clubs avouent plus basiquement
01:16 qu'ils ont une autre priorité, l'état des vestiaires.
01:19 - Sandrine Prioulx pour Europe.

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