Karine Lacombe, « 3 enfants de 3 pères différents » : ses rares confidences sur sa...
Karine Lacombe figure parmi les professionnels de la santé qui prennent régulièrement la parole sur la crise sanitaire de Covid-19. Pendant plusieurs mois, l'infectiologue a d'ailleurs insisté, sur les plateaux de télévision, sur l'importance d'un troisième confinement en France. Aujourd'hui, Karine Lacombe est cheffe de service des maladies infectieuses à l'hôpital Saint-Antoine. Un poste à haute responsabilité qu'elle doit à une carrière professionnelle rythmée par des sacrifices, et non pas des moindres. "J’ai sacrifié la stabilité de ma vie de couple", confie Karine Lacombe à Madame Figaro."J’ai eu trois enfants de trois pères différents", poursuit-elle, "et je suis séparée du père de ma dernière fille. Il est difficile de trouver un compagnon de vie quand on a du caractère". Un constat amer qui n'empêche pas Karine Lacombe d'encourager les femmes à s'imposer dans le milieu médical. Un secteur qu'elle définit comme étant "très féminisé et très macho". Pour cause, malgré "70 % de femmes inscrites en deuxième année de médecine, 18 % seulement sont en haut de la pyramide". De plus, selon les affirmations de la chercheuse, "70 % des articles sur le Covid ont été signés en premier par les hommes, les femmes ont travaillé dans l’ombre". Karine Lacombe ne s'en cache pas, elle a dû parcourir un chemin semé d'embuches pour espérer être prise au sérieux. "Il m’a fallu au cours de ma carrière surmonter nombre de freins pour m’imposer. Aujourd’hui encore, quand je vais voir mes malades, j’entends régulièrement, «C’est vous, l’infirmière ?". La mère de famille encourage donc la gente féminine à "s'imposer" et "occuper l'espace".
Karine Lacombe figure parmi les professionnels de la santé qui prennent régulièrement la parole sur la crise sanitaire de Covid-19. Pendant plusieurs mois, l'infectiologue a d'ailleurs insisté, sur les plateaux de télévision, sur l'importance d'un troisième confinement en France. Aujourd'hui, Karine Lacombe est cheffe de service des maladies infectieuses à l'hôpital Saint-Antoine. Un poste à haute responsabilité qu'elle doit à une carrière professionnelle rythmée par des sacrifices, et non pas des moindres. "J’ai sacrifié la stabilité de ma vie de couple", confie Karine Lacombe à Madame Figaro."J’ai eu trois enfants de trois pères différents", poursuit-elle, "et je suis séparée du père de ma dernière fille. Il est difficile de trouver un compagnon de vie quand on a du caractère". Un constat amer qui n'empêche pas Karine Lacombe d'encourager les femmes à s'imposer dans le milieu médical. Un secteur qu'elle définit comme étant "très féminisé et très macho". Pour cause, malgré "70 % de femmes inscrites en deuxième année de médecine, 18 % seulement sont en haut de la pyramide". De plus, selon les affirmations de la chercheuse, "70 % des articles sur le Covid ont été signés en premier par les hommes, les femmes ont travaillé dans l’ombre". Karine Lacombe ne s'en cache pas, elle a dû parcourir un chemin semé d'embuches pour espérer être prise au sérieux. "Il m’a fallu au cours de ma carrière surmonter nombre de freins pour m’imposer. Aujourd’hui encore, quand je vais voir mes malades, j’entends régulièrement, «C’est vous, l’infirmière ?". La mère de famille encourage donc la gente féminine à "s'imposer" et "occuper l'espace".
Category
🗞
NewsTranscription
00:00 [Musique]
00:02 [Musique]
00:04 ♪ ♪ ♪
00:27 ♪ ♪ ♪
00:53 ♪ ♪ ♪
00:58 ♪ ♪ ♪
01:03 ♪ ♪ ♪
01:08 ♪ ♪ ♪
01:13 ♪ ♪ ♪
01:18 ♪ ♪ ♪
01:23 ♪ ♪ ♪
01:28 ♪ ♪ ♪
01:33 ♪ ♪ ♪
01:38 ♪ ♪ ♪
01:43 ♪ ♪ ♪
01:48 ♪ ♪ ♪
01:53 ♪ ♪ ♪
01:58 ♪ ♪ ♪
02:03 ♪ ♪ ♪
02:08 ♪ ♪ ♪
02:13 ♪ ♪ ♪
02:18 ♪ ♪ ♪
02:23 ♪ ♪ ♪
02:28 ♪ ♪ ♪
02:33 ♪ ♪ ♪
02:38 ♪ ♪ ♪
02:43 ♪ ♪ ♪
02:48 ♪ ♪ ♪
02:53 ♪ ♪ ♪
02:58 ♪ ♪ ♪
03:03 ♪ ♪ ♪
03:08 ♪ ♪ ♪
03:13 ♪ ♪ ♪
03:18 ♪ ♪ ♪