À CHAUD
- Une boulangerie et une pharmacie stéphanoises participent à Octobre Rose à leur façon. La première propose des viennoiseries roses, et la pharmacie a réorganisé sa vitrine pour l'occasion.
- Les 148 salariés de ZF-PMK-Mécacentre se sont mis en grève. Ils dénoncent les conditions de départ, après la mise en cessation de paiement de l'entreprise.
- Jean-Marc Bélaiche est un pharmacien qui lance un cri d'alarme, au Chambon-Feugerolles. Il souhaite attirer deux médecins dans sa maison de santé, pour éviter un désert médical.
- Près de 150 AESH se sont rassemblés devant l'Inspection d'Académie de la Loire. Ils demandent l'augmentation des embauches, pour faire face aux besoins des élèves en situation de handicap ou en grandes difficultés.
- Et puis six élus de la majorité de Gaël Perdriau appellent le maire de Saint-Étienne à se mettre en retrait, comme il l'a fait à la Métropole, après le nouvel article publié dimanche, par Médiapart. Hier soir, 250 personnes ont appelé à la démission du maire, à l'appel des jeunes communistes de la Loire.
À DÉCOUVRIR
- La CAF a organisé un speed-dating, à l'occasion de la semaine de la sécurité sociale.
- Electro Dépôt et l'association du Cercle de Pan s'associent jusqu'au 15 octobre, pour diffuser des images d'animaux à adopter, sur les téléviseurs en vente dans le magasin.
- Et puis les Verts accueillent Dunkerque, ce mercredi. Ibrahima Wadji sera absent.
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00:00 *Générique*
00:15 Octobre Rose, c'est le mois dédié à la prévention contre le cancer du sein.
00:19 Il a débuté dimanche et de nombreuses animations sont prévues dans la Loire jusqu'au 31 octobre.
00:24 Et bien ce mardi, on s'est penché sur les initiatives privées pour soutenir ce dépistage,
00:28 notamment dans une boulangerie.
00:30 Le mouvement se durcit sur le site de ZF à Saint-Etienne.
00:33 Les 178 salariés de l'entreprise en cessation de paiement se sont donc mis en grève illimitée
00:38 car aucun repreneur n'a été trouvé.
00:40 Alors que l'audience devant le tribunal de commerce approche à grands pas,
00:43 on entendra la colère des syndicats dans ce JT.
00:46 Autre cri du cœur dans ce JT, celui d'un pharmacien du Chambon-Feujereul
00:49 qui cherche désespérément un médecin pour permettre à la nouvelle maison de santé de fonctionner normalement.
00:56 Il fustige notamment la mentalité des nouveaux médecins, vous l'entendrez.
00:59 Et puis on parlera d'une belle initiative à la fin de ce JT,
01:02 celle d'un grand magasin d'électricité Stéphanois et de l'association Le Cercle de Pans.
01:07 L'objectif, afficher les annonces des animaux à adopter sur les télés du magasin.
01:12 Une opération gagnant-gagnant, vous le verrez.
01:15 Bienvenue dans votre JT, je suis ravi de vous retrouver.
01:18 Vous connaissez désormais Octobre Rose,
01:21 cette campagne de dépistage du cancer du sein qui s'étend sur tout le mois d'octobre
01:25 et encourage les femmes à réaliser des mammographies.
01:27 Notamment, elle prend la forme de nombreuses animations comme la Saint-Héros
01:32 qui se déroulera le 15 octobre.
01:34 Une course dont les bénéfices seront versés à la Ligue contre le cancer.
01:37 Mais il y a aussi des initiatives privées comme chez cette boulangerie stéphanoise
01:41 où s'est rendue Marie-Lise Pariot pour TL7.
01:45 Une pâte à croissant, rose bonbon.
01:47 En l'honneur d'Octobre Rose et de la lutte contre le cancer du sein,
01:51 dans cette boulangerie, une recette spéciale a été créée,
01:54 des pains au chocolat et à la framboise.
01:57 C'est des nouvelles techniques et c'est très plaisant à faire,
02:03 à apprendre à faire, à maîtriser et après à transmettre aux jeunes apprentis et aux stagiaires.
02:12 Une vingtaine de viennoiseries roses sont cuites chaque jour.
02:15 Vendues 2 euros, la moitié de la recette est reversée à Saint-Etienne l'Institut du sein.
02:20 Une manière pour cette boulangerie de contribuer à la prévention à leur échelle.
02:25 Ça nous a toujours tenu à cœur de faire quelque chose par rapport au mois d'Octobre Rose.
02:33 On perpétue ça d'année en année.
02:37 C'est peut-être une petite goutte d'eau mais ça nous tient à cœur.
02:41 Le succès de ces viennoiseries a convaincu le boulanger d'en réaliser un peu plus pour les prochains jours.
02:48 Ici, pas de pâtisserie mais de la prévention.
02:51 La vitrine de cette pharmacie a été réalisée par une artiste locale.
02:55 Pendant le mois d'octobre, l'établissement a voulu insister sur le dépistage du cancer du sein
03:00 et la nécessité de répondre aux questions de toutes les femmes.
03:03 C'est très important de communiquer et pour Octobre Rose au mois d'octobre mais aussi toute l'année
03:09 parce que le nombre de cancers du sein est en augmentation chaque année.
03:13 On a beaucoup de cancers qui sont décelés plus tôt grâce au dépistage et grâce à l'autopalpation.
03:19 Donc il y a vraiment un message informatif à faire passer aux femmes.
03:22 Environ 60 000 cas de cancer du sein sont comptabilisés par an.
03:27 Un chiffre qui grandit avec l'augmentation des facteurs comme l'alcool et le tabagisme
03:31 mais aussi le nombre de plus en plus important de dépistages.
03:37 L'actus mardi, ce sont également les 178 salariés de ZFPWK Méca-Centre à Saint-Étienne
03:43 qui ont voté à l'unanimité la grève illimitée.
03:46 Cela fait suite à la récente annonce de liquidation de l'entreprise.
03:50 Ces derniers mois, l'espoir existait qu'un repreneur puisse sauver ses emplois.
03:54 Aujourd'hui, cet espoir est quasi nul et les salariés re-syndiqués négocient actuellement avec l'entreprise
03:59 pour une indemnité de départ mais la récente proposition n'est pas au goût des salariés
04:03 qui en demandent quasiment le triple.
04:05 Je vous propose d'écouter Nordin Aït Zouaoua, délégué syndical CGT, opérateur de production.
04:11 Il est au micro de Nathan Vaché.
04:13 C'est très dur, franchement.
04:14 C'était chaud depuis un petit moment.
04:16 Ils voulaient vraiment en découple, partir en grève.
04:18 Ça fait un petit moment qu'on les a calmés, on était en négo pour la supra-légale.
04:22 Donc au niveau de la supra-légale, ça fait un moment qu'on négocie, ça fait presque un mois.
04:25 On a eu une première proposition du groupe ZDF à 4 millions d'euros qu'on a refusée
04:30 parce que nous, les salariés, elle était minable, il faut dire les mots comme ils sont.
04:35 Et là, on a eu une offre aujourd'hui, une deuxième offre à 5 millions d'euros,
04:38 enfin un petit effort, alors que nos revendications à 40 000 euros par salarié
04:42 et 2 000 euros par net de présence, équivaut à 13,8 millions, donc ils sont loin du compte.
04:48 Donc là, aujourd'hui, les salariés ont décidé, la majorité absolue,
04:51 de partir en grève, illimitée, à partir d'aujourd'hui.
04:54 Donc occupation d'usines et grève.
04:55 La grève, c'est mettre la pression sur le groupe,
04:58 parce que le groupe nous a menacé que si on partait en grève,
05:01 ils arrêtaient les négociations sur la supra-légale.
05:03 Du coup, non, on n'est pas d'accord.
05:04 Nous, on est ouverts, on négocie, mais on a le droit, c'est notre droit, la grève,
05:07 c'est un droit, c'est pas la pression qui nous punit.
05:09 Voilà, ils veulent plus négocier parce qu'on se met en grève,
05:12 c'est un droit quand même, c'est quand même notre avenir, c'est important.
05:15 Et on prend la direction du Champ-Montfeuille, à présent,
05:19 où il risque bientôt d'y avoir une pénurie de médecins.
05:22 En 40 ans, la commune de Londennes est passée de 15 à 7 médecins libéraux.
05:26 Et la nouvelle maison de santé, ouverte en janvier dernier,
05:29 a peine encore à recruter.
05:30 Le pharmacien à l'origine du projet lance donc un cri du cœur.
05:34 Désormais, vous êtes justement avec nous, Jean-Marc Benes.
05:39 Aujourd'hui, combien de médecins manque-t-il au sein de votre maison de santé ?
05:43 Alors pour l'instant, il y a en effet quelques professionnels
05:48 qui ont commencé à exercer dans la maison de santé.
05:51 Il y a des ostéopathes, il y a des infirmiers,
05:54 mais on est constamment en recherche de médecins.
05:57 On a donc des possibilités d'avoir un cardiologue et un dentiste à titre de vacation.
06:03 Mais ce sont les médecins généralistes qui sont les plus importants
06:08 pour ce qui nous concerne, puisque le besoin de notre territoire
06:11 et de la ville en particulier, c'est d'avoir des médecins en renouvellement,
06:15 des médecins qui partent à la retraite.
06:17 Et aujourd'hui, on est en pénurie.
06:19 On est même carrément la tête dans le seau,
06:22 si on peut exprimer de cette façon la situation.
06:25 Et il nous reste, comme vous le disiez, 5 médecins libéraux dans la ville.
06:31 Deux sont en instance de partir dans les mois qui viennent.
06:35 Il ne restera plus que 3 médecins.
06:37 C'est-à-dire qu'on est en sous-densité depuis un certain temps,
06:41 démographiquement, médicalement,
06:44 et la population ne sait plus à qui s'adresser
06:47 par rapport à cette détresse qu'on sent de plus en plus naître
06:51 vis-à-vis de ceux qui n'ont pas de réponse médicale.
06:55 - Comment vous expliquez justement...
06:58 Comment vous expliquez que vous n'arriviez pas à attirer des médecins ?
07:03 - C'est ce que j'expliquais à votre journaliste.
07:06 C'est extrêmement complexe aujourd'hui d'expliquer une situation
07:10 qui devrait avoir une table ronde véritablement sur le sujet
07:16 plutôt que de l'expliquer comme ça de manière schématique.
07:19 Mais aujourd'hui, la société a évolué.
07:21 On sait qu'on ne peut pas remplacer un médecin traditionnel
07:25 des générations précédentes par un autre médecin
07:28 si jamais il souhaite s'installer.
07:30 C'est plutôt par deux médecins minimum qu'il faudra le faire
07:34 puisque le temps de travail est raccourci
07:37 parce que la volonté est d'équilibrer, bien entendu,
07:39 la vie professionnelle et la vie privée.
07:42 Ça, personne ne le reproche.
07:43 D'autre part, ce n'est plus le professionnel lui-même
07:46 qui décide de son installation, c'est le couple.
07:49 Parce que dans le couple, il y a aussi la femme ou l'homme
07:53 qui a un besoin d'installation professionnelle,
07:57 qui a un besoin aussi de maternité pour les femmes, etc.
08:00 qui fait que la décision se fait de manière unanime
08:07 dans le couple pour rien.
08:09 Après, il faut aussi aborder le sujet
08:15 sur l'aspect des services.
08:19 Si vous n'avez pas de théâtre ou de cinéma à proximité,
08:23 ça pose problème.
08:25 On ne peut pas non plus tous avoir
08:27 ce genre de services à disposition.
08:29 Mais je crois que la complexité, c'est plutôt le refus de la paperasse.
08:37 C'est aussi le refus à passer un temps non médical
08:42 vis-à-vis du patient parce que le patient délègue à son soignant,
08:48 délègue la possibilité de deviner sa pathologie.
08:53 Aujourd'hui, le temps médical est en raccourci,
08:57 on ne peut pas passer du temps à comprendre.
09:00 On va mettre l'expression du doliprane
09:04 parce qu'on n'a rien compris à ce qu'on vient de dire.
09:06 Il y a une mixité sociale qui fait que la compréhension
09:11 est extrêmement difficile vis-à-vis de gens
09:15 qui ont un problème de compréhension de la langue.
09:18 Et toutes ces choses font qu'on peut rajouter à cela
09:23 un gros sujet, c'est l'incivilité.
09:26 Et l'incivilité d'une frange très faible de la population,
09:30 très faible, mais qui fait que la volonté à vouloir s'installer
09:36 fuit par le fait de tous ces abords que je viens de citer.
09:41 Merci beaucoup Jean-Marc Bénès d'être intervenu dans notre suite.
09:44 Et je rappelle que vous êtes pharmacien au Chambon-Feudrelle
09:47 et que vous recherchez un médecin pour votre maison de santé.
09:51 Et puis ce matin, ce sont les AESH qui ont exprimé leur colère.
09:54 Une cinquantaine de personnes s'est rassemblée devant les locaux
09:57 de l'inspection d'Académie de la Loire pour ces travailleurs
10:00 qui accompagnent les élèves en situation de handicap,
10:02 notamment dans les classes, un accompagnement de plusieurs heures
10:06 par semaine qui garantit une inclusion scolaire forte pour ces élèves.
10:09 Mais les besoins sont de plus en plus nombreux
10:11 et les effectifs d'AESH ne peuvent plus suivre.
10:14 Je vous propose d'écouter Pierre Higonin, enseignant d'Histoire-Géo à Saint-Etienne.
10:18 Nous ce qu'on revendique, pour moi étant enseignant,
10:22 c'est qu'il soit beaucoup plus nombreux dans les établissements scolaires.
10:25 Et aussi bien sûr pour eux qu'il y ait une plus grande reconnaissance de leur travail.
10:31 Ce sont des personnes qui ne sont pas très bien payées pour un total de 26 heures
10:36 qu'ils effectuent dans les établissements scolaires.
10:37 Donc il faudrait qu'il y ait une plus grande reconnaissance au niveau financier
10:42 et puis que leur nombre soit plus important dans les établissements
10:44 pour accompagner bien mieux les élèves.
10:47 Tout le monde essaye de faire des efforts dans les établissements,
10:49 les enseignants, les camarades, ce sont des élèves
10:52 qui sont souvent très bien acceptés par les autres élèves,
10:54 mais malheureusement qui sont de moins en moins accompagnés par des adultes.
10:58 On se retrouve souvent dans les classes avec trois élèves qui doivent être accompagnés
11:02 et avec un seul AESH et très souvent même ils ne sont plus accompagnés du tout,
11:06 c'est-à-dire qu'ils viennent en classe,
11:07 mais il n'y a aucun adulte pour les accompagner.
11:10 Hier soir, 250 manifestants se sont rassemblés place de l'hôtel de ville à Saint-Etienne
11:16 pour réclamer la démission de Gaël Perdriot.
11:18 Au lendemain des nouvelles révélations de Mediapart,
11:20 ce sont les jeunes communistes de la Loire qui ont organisé ce rassemblement.
11:24 Ils ont déployé plusieurs banderoles ciblant le maire de Saint-Etienne,
11:27 même si la dernière vidéo met en cause son ancien directeur de cabinet,
11:30 elle communiquant Gilles Rossary l'anglais et non pas directement Gaël Perdriot.
11:34 Par ailleurs, une nouvelle pétition a été lancée sur le site mesopinions.com
11:38 pour demander la révocation de Gaël Perdriot par la Première ministre.
11:42 Et ce mardi, ce sont six élus de la majorité de Gaël Perdriot
11:45 qui l'appellent à se mettre en retrait,
11:47 une procédure qu'ils ont déjà mis en place à la métropole,
11:52 mais pas à la ville de Saint-Etienne.
11:54 C'est une demande qui avait été formulée par Paul Corrieras,
11:56 Claude Léodier, Jacques Guarinos, Jacques Frommala, Alain Schneider
12:01 et Nicole Peslon, l'adjointe actuelle à la tranquillité publique
12:04 et la propreté qui fait la différence entre mise en retrait et démission écoutée.
12:09 L'affaire, la deuxième affaire, entre guillemets si affaire il y a,
12:14 ne concerne pas en direct Gaël Perdriot, si on veut être complètement objectif.
12:21 Certes, ce sont plus poches collaborateurs,
12:23 donc il n'y a pas non plus d'élément plus aggravant
12:25 qui pourrait aller plus loin et demander une démission.
12:28 Il n'y a pas quelque chose de plus grave encore.
12:31 On verra, je crois qu'il ne faut jamais penser à plus grave.
12:36 Espérons qu'on en restera là.
12:37 Ce n'est jamais une décision simple,
12:39 parce que ça crée une situation quand même compliquée et ambiguë.
12:44 Mais je dirais que moi ce qui l'importe,
12:48 c'est que je puisse m'exprimer par rapport à des faits
12:51 et surtout par rapport à des mentalités
12:55 dans lesquelles je ne me reconnais absolument pas.
12:58 Et donc je trouve qu'il est de mon devoir de dire
13:00 que tous les élus ne partagent pas et ne cautionnent pas ce genre de débat.
13:04 C'est ça qui est important.
13:06 Des propos recueillis par Nathan Vacher.
13:08 Allez, restez bien avec nous, dans un instant,
13:10 on prend la direction du magasin ElectroDépôt,
13:12 où les écrans de TV en vente affichent des messages
13:16 pour encourager l'adoption des animaux.
13:18 Une initiative en collaboration avec l'association du Cercle de Pants,
13:21 vous le verrez.
13:23 Mais d'abord, cette première semaine d'octobre,
13:25 c'est celle de l'emploi et de la sécurité sociale.
13:27 La CAF et la CPAM de la Loire
13:29 ont donc organisé leur premier forum de l'emploi ce mardi.
13:32 On pouvait retrouver des renseignements sur les différents métiers,
13:36 des deux structures ou bien participer à un job dating.
13:39 Et vous allez le voir, les métiers de la sécurité sociale
13:41 semblent intéressés.
13:42 Sur place, Céline Hercia.
13:44 Il y avait du monde ce matin devant la CAF de Saint-Étienne.
13:47 Tous ont répondu à l'invitation du premier forum de l'emploi
13:50 organisé par la CAF et la CPAM.
13:53 Certains venaient pour se renseigner sur les différents métiers
13:56 de la sécurité sociale.
13:57 Pour cela, les agents eux-mêmes ont pris de leur temps
13:59 pour expliquer leurs fonctions,
14:01 des métiers finalement peu connus.
14:02 Nous pouvons avoir parfois des difficultés
14:05 à trouver des candidats adaptés
14:07 et aussi peut-être parce que les gens ne connaissent pas
14:09 notre institution ou connaissent mal.
14:11 On voit une vieille dame pleine de poussière
14:15 et ce qu'on souhaite justement, c'est dépoussiérer cette image
14:18 et montrer que nous avons des emplois attrayants,
14:21 des environnements de travail qui sont agréables,
14:23 des organisations qui sont adaptées au monde d'aujourd'hui
14:27 et donc par ce biais-là pouvoir recruter des personnes
14:30 qui souhaiteraient rejoindre la sécurité sociale
14:33 et la CAF plus particulièrement.
14:35 Autre particularité du forum,
14:36 la possibilité de passer un entretien avec des recruteurs.
14:40 Certains demandeurs d'emploi semblaient très motivés
14:42 pour intégrer l'équipe.
14:43 Vraiment quelque chose qui a du sens,
14:45 qui soit valorisant.
14:47 C'est important parce qu'une entreprise,
14:49 on y est quand même au minimum 35 heures ou plus.
14:53 Si on n'a pas un minimum de satisfaction personnelle
14:55 dans le travail qu'on fait,
14:57 ça va se sentir au bout de quelques mois
14:58 ou au bout de quelques années.
14:59 Je l'ai déjà eu pour différents anciens travails
15:03 et je ne veux pas revivre ça.
15:04 Des entretiens qui devraient permettre à la CAF et à la CPAM
15:07 de pourvoir de futurs postes.
15:09 Nous avons des postes à pourvoir sur des emplois de téléconseiller
15:13 et de conseiller d'assurance maladie en accueil.
15:16 Néanmoins, d'autres postes seront ouverts en CDI
15:20 environ une quarantaine sur l'année prochaine, l'année 2024.
15:23 Nous commençons d'ores et déjà à reprendre des CV
15:27 et engager des échanges avec des futurs candidats.
15:30 Du côté de la CAF, il faut aussi garder un œil ouvert.
15:33 Des recrutements d'agents d'accueil sont organisés tous les trimestres.
15:37 Je vous le disais il y a quelques secondes,
15:38 l'association stéphanoise de défense des animaux et de l'environnement,
15:41 le Cercle de Pans, vient de s'associer avec un grand magasin d'électricité
15:45 à Saint-Etienne.
15:46 Le but, diffuser des annonces sur les téléviseurs du magasin
15:49 pour encourager les clients à adopter des chiens et des chats
15:52 recueillis par l'association.
15:54 Colin Sabatier s'est rendu sur place pour Tl7.
15:56 À Saint-Etienne, un magasin de bricolage s'est engagé en faveur de la cause animale.
16:01 Victoria, gérante de l'association Le Cercle de Pans, développe sa démarche.
16:05 Le souci aujourd'hui c'est qu'il y a des millions d'animaux qui sont maltraités,
16:09 il y en a énormément qui sont abandonnés.
16:11 Donc on va récupérer des animaux abandonnés, maltraités,
16:14 on les place en sécurité.
16:15 L'enseigne et l'association ont décidé de se prêter main forte
16:18 en affichant le contact de l'association sur les écrans disponibles à la vente.
16:22 Nous, notre but c'est de toucher un maximum de personnes,
16:24 il y a beaucoup de clients chaque jour qui voient les vidéos qui sont diffusées
16:28 et ça permet de multiplier les chances de trouver des familles d'accueil,
16:32 notamment pour les animaux qui sont en attente de sauvetage.
16:34 Denis Bloquet, directeur du magasin, décrit une coopération
16:38 s'inscrivant dans des valeurs communes.
16:40 Aujourd'hui on est 95 magasins en France,
16:42 chaque magasin a une association locale qu'il choisit.
16:45 Aujourd'hui ça fait partie de nos valeurs, c'est dans notre concept, dans notre ADN
16:49 et on est très fiers de pouvoir aider Victoria sur son association.
16:52 Une démarche loin de rendre les clients indifférents.
16:55 Surtout les interactions avec les clients qui sont intéressantes,
16:57 surtout avec les enfants, quand on voit les télés avec les coulières,
17:00 les petits chats, c'est toujours sympa de voir ça.
17:03 Ça peut déclencher même un peu de bonne humeur dans le magasin, c'est toujours sympa.
17:07 Questionnement c'est surtout où est-ce qu'on peut les voir,
17:09 comment on peut rentrer en contact avec le cercle de paon.
17:13 On espère que justement les animaux qui sont présentés sur les vidéos
17:16 soient adoptés le plus rapidement possible.
17:18 Une chose est certaine, nos petites bêtes à poils ont besoin de vous.
17:23 Et puis en foot, l'ASS s'apprête à retrouver le chaudron
17:26 plus d'un mois après le dernier match à domicile.
17:29 Les Verts accueilleront Dunkerque ce mercredi à 18h45.
17:33 Ce sera une nouvelle fois sans Ibrahim Awadji.
17:35 L'attaquant sénégalais des Verts blessé à la cheville depuis le 12 août dernier à Rhodes.
17:39 Ce sera également sans les deux Cops.
17:40 Suspendu deux matchs après les déportements survenus en parkage stéphanois
17:44 lors de ce même déplacement à Rhodes.
17:47 Voilà, c'est la fin de votre JT.
17:48 L'actu à retenir ce mardi, ce sont ces six élus de la majorité à Saint-Etienne
17:52 qui demandent la mise en retrait de Gaël Pedrillo
17:54 après le nouvel article publié par Mediapart dimanche.
17:57 Paul Corrieras, Claude Liojier, Jacques Guarinos, Jacques Frommala,
18:01 Alain Schneider et Nicole Peslon réitèrent donc la demande qu'ils avaient formulée il y a un an
18:06 et précisent bien qu'il s'agit d'une demande de mise en retrait et non de démission
18:10 du maire de Saint-Etienne.
18:11 L'actu revient chaque soir de la semaine du lundi au vendredi à 19h, 20h30 et 22h30
18:17 mais aussi sur les réseaux sociaux de TL7 en continu.
18:19 Merci de votre fidélité.
18:20 [Musique]