SI ON PARLAIT - 13/10/23 - Foot décalé, Escape game gourmand, chocolat fondu !

  • l’année dernière
Leur cœur bat pour le foot, et surtout pour le GF38 ! Passionnés, supporters, Kevin, Melvyn et “La Suède” ouvrent une fenêtre toute fraîche et décalée sur le ballon rond sur New's FM avec le Foot Time Show...
Avec de l'or au bout des doigts, ses gâteaux sont aussi bons que beaux, et en plus elle nous met en boîte avec un jeu à croquer... Valentina Brès, cheffe pâtissière et cake-designer, nous présente son Escape-Game “L'Héritage de Térésa”.
Et les bars à thème nous font voyager ce soir dans l'univers décadent du chocolat fondu... que notre journaliste Lina a testé pour vous (et un peu pour nous...).






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Transcription
00:00 -Avec Giltrinia Résidence, vous êtes confortablement installés
00:03 pour regarder "Si on parlait".
00:05 ...
00:08 Musique rythmée
00:11 ...
00:29 Bienvenue à tous.
00:30 Heureuse de vous retrouver pour sentir,
00:32 pour goûter cet enthousiasme qui fait battre le coeur
00:35 de notre bassin grenoblois.
00:37 Leur coeur, à eux, bat pour le foot
00:40 et surtout pour le GF38 passionné supporter.
00:43 Ils ouvrent une fenêtre toute fraîche
00:45 et décalés sur le ballon rond à la radio.
00:47 Avec de l'or au bout des doigts, ces gâteaux sont aussi bons que beaux.
00:51 Et en plus, elles nous mettent en boîte un jeu à croquer.
00:55 Et les barathèmes nous font voyager ce soir
00:57 vers des cadans du chocolat fondu que nous avons testés pour vous.
01:01 Et aussi pour nous, Lina. Bienvenue.
01:05 -Merci. Et surtout pour nous.
01:07 -C'est ça, madame chocolat, ce soir.
01:09 Tu nous diras tout sur ce bar à chocolat fondu
01:12 qui fête son premier anniversaire à Grenoble.
01:14 Et voilà, Valentina, quel bonheur de vous retrouver.
01:17 Bienvenue. -Bonjour.
01:19 -Valentina Bresse, vous êtes chef pâtissière, cake designer.
01:22 Et vous venez de créer le premier "Escape game"
01:25 qui se mange, qui se croque, qui se lèche,
01:28 qui se mange tout cru.
01:30 Vous allez voir ça.
01:31 Mais aussi pourvu de se tordre un peu les méninges.
01:35 -Exact. -Pour résoudre une énigme.
01:37 Et bienvenue, la Suède et Kevin.
01:40 C'est votre vrai nom ?
01:42 -Oui, bien sûr. Mes parents m'ont appelé la Suède dès que je suis né.
01:46 Bien entendu que non. C'est Guillaume.
01:48 -C'est Guillaume et Kevin.
01:50 Bienvenue à la télé.
01:51 Vous qui êtes des stars de la radio.
01:54 -Merci, c'est un grand mot.
01:56 -Regardez.
01:57 Si, si, si, c'est nous qui le disons.
02:00 On parle de notoriété locale et qui, chez nous, n'a pas de frontière.
02:04 Vous êtes des voix de News FM, nos amis 101.2,
02:07 la radio qui cultive de bonnes ondes.
02:09 News FM, il y a de la musique,
02:11 il y a des débats de société, du sport, bien sûr.
02:15 Et vous, votre émission s'appelle "Le Food Time Show".
02:18 Alors d'abord, pour planter le décor,
02:20 le GF38, le GF38 est une équipe de foot,
02:24 de Ligue 2, actuellement très bien placée.
02:26 Elle est toujours l'équipe invaincue.
02:28 Ca évoluera peut-être aussi, mais invaincue en Ligue 2,
02:31 c'est magnifique. Elle a connu la Ligue 1.
02:34 Elle joue au Stade des Alpes avec des joueurs talentueux
02:37 et on l'espère peut-être beaucoup plus.
02:39 Quant à vous, vous, vous êtes là, le Food Time Show.
02:42 C'est une radio associative, nous, News FM,
02:46 une passion des garçons qui s'y connaissent.
02:49 C'est donc une émission qui informe, qui débat, qui passionne.
02:52 C'est le lundi de...
02:54 - 20h30 à 22h. - À 22h.
02:57 Cette heure-ci, on est à la télé,
03:00 donc on vous écoute toujours en replay.
03:03 Et ça, c'est une histoire qui dure, déjà, Kevin.
03:07 C'est vous qui l'avez créée, cette émission ?
03:10 - Oui, avec Melvin, qui n'a pas pu être là.
03:13 - On embrasse Melvin. - On a une grosse pensée pour lui.
03:16 - C'est lui, Melvin. - C'est ça.
03:18 Ca, c'est Suet, ça, c'est moi.
03:20 - Il est là, Melvin, juste avant. - Voilà.
03:23 C'était une aventure qui a démarré à 3 ans.
03:25 J'aime bien dire, quand je raconte cette histoire,
03:28 que c'est une émission qui aurait dû durer que 2 mois,
03:31 parce qu'on a démarré sur une autre radio, RKS.
03:34 On devait, à la base, juste couvrir l'été
03:37 pour colmater un peu des trous qu'il y avait dans le programme.
03:41 On a été prolongés sur RKS
03:43 et on a rejoint News FM avec l'arrivée, notamment, de la Suède.
03:47 - De la Suède, c'est ça. Ou suédois.
03:50 - Oui, ça n'a pas d'importance.
03:52 - Et forcément, vous qui aimiez beaucoup le foot, tous les deux,
03:55 pourquoi faire une émission de foot ?
03:58 Il y a beaucoup de médias,
03:59 il y a beaucoup d'arénas, un petit peu d'échanges, de forums.
04:04 Vous, qu'est-ce que vous vouliez créer en plus ?
04:07 - Moi, j'avais envie...
04:08 Il n'y avait aucune émission sur l'EGF 38
04:11 dans laquelle je me reconnaissais,
04:13 sans critiquer ce qui avait été fait
04:15 ou ce qui est encore le cas sur d'autres chaînes ou radios.
04:19 Je trouvais que c'était des émissions qui parlaient peu des supporters
04:23 et notamment de la relation qu'ils pouvaient avoir avec le club.
04:27 J'avais envie de leur donner la parole.
04:29 Melvin, du coup, il m'a suivi tout de suite sur cette aventure.
04:33 Et puis, après, la Suède, quand il est revenu dans le bassin...
04:37 - De mon périple. - Voilà. On l'a recruté.
04:40 - Au Mans, c'était pas pour suivre l'équipe du Mans.
04:43 C'était pour des raisons professionnelles.
04:45 - Du tout. Grenoble a toujours été dans mon coeur.
04:49 - Pour des raisons personnelles, on était parti un peu
04:52 et on est revenu aux sources.
04:54 J'ai rejoint la team du "Foot Time Show"
04:57 pour, justement, essayer d'apporter, on va dire,
05:01 un petit peu ma noble expérience du football au niveau du club.
05:08 - On va en parler dans un instant.
05:10 D'abord, c'est très bien, le Mans.
05:12 - Oui, oui. - Si vous en direz une autre.
05:15 Le Mans, c'est très bien.
05:17 - De ce lien avec les supporters.
05:20 Les supporters dans le foot en France
05:23 n'ont pas toujours une bonne image, une image parfois excessive,
05:26 ce qui n'est pas le cas partout.
05:28 Ça peut aussi être le cas.
05:30 La passion n'a pas beaucoup de limites.
05:32 Mais le lien avec les supporters, c'est aussi ce qui fait
05:36 la place du foot dans une ville.
05:38 C'est cette histoire humaine qui lit.
05:40 - Pour moi, un club de foot sans supporters,
05:43 il ne peut pas exister de toute façon.
05:45 Les supporters font partie intégrante de l'histoire d'un club de foot.
05:49 C'est le cas avec le GF38, où on sait qu'il y a une histoire
05:52 avec les supporters, que ce soit les ultras ou même des supporters
05:55 qui vont simplement en famille ou entre amis
05:59 dans d'autres tribunes du Stade des Alpes.
06:01 Ils ont une histoire avec le GF38.
06:04 Pour moi, c'était important de créer une émission
06:07 qui fasse passerelle entre ce que montre le club
06:10 de manière institutionnelle ou sur le terrain
06:13 dans les gradins ou aussi derrière leur télé
06:16 ou derrière leur poste de radio pour ceux qui écoutent
06:20 les matchs en direct.
06:21 - Donc on échange, on parle, il peut vous contacter.
06:25 - On débat.
06:26 - Le tout avec beaucoup d'humour.
06:28 Parfois avec un esprit décalé, mais toujours sérieux.
06:31 C'est ce qui fait la force de l'émission aujourd'hui.
06:34 - C'est vrai.
06:36 - Il faut du respect aussi.
06:38 - Exactement.
06:39 Dans le respect, de façon décalée, humoristique.
06:42 On essaie vraiment de faire un petit mélange de tout ça
06:45 pour apporter une qualité à l'émission.
06:49 Il faut le préciser, on est quand même amateurs.
06:52 - Bénévoles.
06:53 - On est bénévoles.
06:54 - Et si on remonte un peu plus loin,
06:57 on va parler de cette noble expérience
07:01 qui est quand même assez sympa.
07:03 Où est-ce qu'on vous a connus, vous vous rappelez ?
07:06 Quand vous partagiez le GF38 La Pelouse
07:09 avec le Stade Lédi-Guerre, avec le FCG.
07:12 C'est vous ça ?
07:13 - Non !
07:14 - Je ne pense pas, parce que la personne que vous avez vue
07:17 était très belle.
07:18 - Ha ha ha !
07:19 - Et avait beaucoup de cheveux, plus que maintenant.
07:23 - Et ça c'était la montée en Ligue 1, vous êtes quelque part là derrière.
07:27 C'était ça les supporters.
07:29 C'est toujours ça d'ailleurs.
07:31 On peut les citer aussi, les Red Cow qui sont dans cette tribune ouest.
07:35 - Les Red Cow, les Diables Bleus, les indépendants
07:39 qui font partie de groupe et qui sont actifs dans le stade.
07:43 - Voilà, il y en a partout, ils ont toujours été là.
07:46 Il y avait ces images très joyeuses.
07:48 On est à Saint-Etienne.
07:49 - T'as l'air jeune !
07:51 - Ha ha ha !
07:52 - Ça fait bizarre.
07:53 - Ha ha !
07:54 Ça remonte à plus de 15 ans.
07:56 - Oui.
07:58 - Vous étiez le capot, ce qu'on appelle, des supporters.
08:01 Non ? C'est ça qu'on dit ?
08:02 - Oui, c'est ça.
08:03 - Généralement, on ne regarde pas le match.
08:05 Vous, la preuve que si.
08:08 - Il y a à la fois le mégaphone, mais vous regardez ce qui se passe.
08:11 - C'est une belle expérience.
08:13 C'est une opportunité qui m'a été donnée à l'époque
08:16 par les anciens du groupe.
08:18 D'ailleurs, le groupe, les Red Cow, je remercie beaucoup.
08:22 C'est grâce à eux que je suis devenu la personne que je suis aujourd'hui.
08:26 Après, par rapport à ce que tu disais,
08:29 un capot, aujourd'hui, c'est celui qui gère la tribune.
08:32 Mais il a une façon de...
08:34 Comment dire ?
08:36 D'ambiancer.
08:37 C'est ça qu'on dit maintenant à la tribune.
08:39 Il doit garder un oeil sur le match aussi
08:41 pour être en mesure de lancer les bons champs au bon moment.
08:44 J'essayais de regarder un peu
08:47 et on voit un match différent sur le visage des gens.
08:50 Ça aussi, c'est quelque chose de très beau à faire
08:53 et de très beau à voir.
08:55 - Grenoble n'est pas nécessairement...
08:58 Ça va changer, on l'espère,
09:01 mais il n'est pas nécessairement connu pour son équipe de foot.
09:04 On parle beaucoup de rugby, de hockey, un peu partout en France.
09:07 Il a vraiment une belle histoire avec le ballon rond.
09:10 Il a aussi des figures de proue,
09:12 mais qu'on n'associe pas nécessairement à Grenoble.
09:16 Pourquoi ce ballon rond, vous avez-vous pratiqué ?
09:19 Vous deux ?
09:20 - Oui.
09:21 - Oui, alors moi, peut-être à un niveau beaucoup moins élevé que le tien.
09:25 Bien sûr, le foot, c'est une histoire de toujours.
09:29 Mon père est vice-président d'un club de foot amateur.
09:32 C'est une passion qui nous a portés à la maison,
09:35 mon frère et moi, on y a joué.
09:37 Alors moi, j'ai jamais été bon.
09:39 C'est peut-être pour ça que je fais de la radio aujourd'hui.
09:43 Mais oui, c'est une grosse histoire de passion et de pratique
09:46 à un niveau, on va dire, qui tient plus du loisir
09:49 que de la performance sportive.
09:51 - Et donc, vous croisez ces expériences et cette passion
09:54 pour cette émission qui est ouverte à tous, à tout le monde,
09:58 qui se veut vraiment participative.
10:00 C'est du partage, on parle de ce qu'on aime.
10:03 Vous ne vous sentez pas en flèche gratuitement non plus.
10:06 - Non, ce n'est pas le but de l'émission.
10:09 Justement, nous, on est là pour essayer que les auditeurs
10:13 et auditrices qui nous écoutent passent un bon moment
10:16 tout en analysant, en faisant des débriefs sur les matchs
10:19 à la fois de l'équipe première du GF38 qui est en Ligue 2,
10:22 mais également des féminines.
10:24 On décortique aussi les matchs de l'association.
10:28 Donc, on parle des U18 jusqu'aux U12.
10:30 Depuis cette année, on a la chance de pouvoir avoir
10:33 des matchs et même des éducateurs qui interviennent par téléphone
10:36 pour nous raconter comment ça s'est passé.
10:38 Donc, on a une vision beaucoup plus large
10:40 que du football professionnel qu'il y a au GF38.
10:44 On essaye aussi d'incorporer tous nos jeunes gros noblois
10:47 et jeunes gros nobloises au sein de cette émission.
10:50 C'est ce qu'on essaie de faire. On espère que ça continuera.
10:53 - On l'espère. Pour voir le ton, vous avez préparé un petit teaser
10:56 cette année, un teaser assez sympa. Vous en avez chaque année.
11:00 Celui-ci, on peut voir un petit extrait, ça va tout vous expliquer.
11:03 - Ça va ? Il est où, la Suède ?
11:05 - Oh, putain, ce gars-là, il est toujours en retard.
11:07 - Je l'appelle.
11:08 - Tu vois, là, c'est qui ? Tu vois, là, ça fait du bien.
11:12 (Tonnerre)
11:14 - Oui, allô ? Oh, putain, la Suède !
11:16 Comme d'hab, toujours en retard ! Ah, ben, je suis en retard.
11:19 (Musique)
11:22 (Musique)
11:26 (Musique)
11:29 (Musique)
11:32 (Musique)
11:35 (Musique)
11:38 - La Suède ? C'est à quelle heure, l'émission, déjà ?
11:42 - Oh, Brice ! T'inquiète pas, t'es pile à l'heure.
11:45 L'émission, elle commence à 20h30 sur le 101.2, comme d'hab.
11:48 - Au top. A tout de suite.
11:50 Le Full Time Show, c'est l'émission des Grenoblois.
11:53 Alors, restez à l'écoute, les narwals.
11:56 - Alors, déjà, c'est quoi, le coup d'envoi ? C'est ça ?
11:59 - C'est des Grenoblois. - Oui, c'est des Grenoblois.
12:02 D'ailleurs, c'est bien de passer cette vidéo, de montrer qu'il n'y a pas que nous.
12:05 Il y a toute une équipe derrière. J'aime bien dire que c'est les "Tizavengers"
12:08 de la radio News FM qui parle du GF38.
12:13 Parce qu'on a effectivement Melvin, du coup, qui a monté l'émission avec moi
12:18 et qui a été, justement, éducateur au GF38,
12:21 et même joueur quand il était plus jeune.
12:24 Il y a, du coup, la Suède. Il y a Malek Sherat, qui est quand même un ancien joueur professionnel,
12:27 au GF38, à Nice, international algérien.
12:30 Samir Sherat, qui est un boxeur, champion de France.
12:34 Il y a Ziad Benelac, qui est arbitre aussi. Donc, il y a vraiment de tout.
12:37 - Christophe Fontaine, qui est un supporter aussi depuis quasiment 20 ans.
12:41 Donc, voilà, on a vraiment un panaché dans notre équipe
12:44 qui fait aussi la qualité de l'émission aujourd'hui.
12:47 On peut se permettre, aujourd'hui, avec notre équipe, d'avoir un certain sérieux.
12:54 - Avec des sacrés guests aussi. On a vu Célim Bengriba.
12:57 - Célim Bengriba, oui. - Sur cette émission.
13:00 En tout cas, on encourage chacun des fervents supporters.
13:04 On sait que vous êtes tellement supporters, que vous avez été capables de retrouver la date de ce maillot-là,
13:08 que notre réélecteur en chef Thibault garde soigneusement.
13:13 Alors, peut-être pas la date, mais si.
13:16 - Je disais que c'était de l'époque à Sergio Roraz, parce que, pour ceux qui s'en souviennent,
13:19 Sergio Roraz, d'ailleurs, personne qu'on a eu dans l'émission,
13:22 qui est un joueur argentin, qui a fait les beaux jours de Grenoble.
13:26 - Exactement. Il y a 18 ans. - Oui. Voilà.
13:29 - C'est à peu près ça. Et moi, attention, ça va aller très vite,
13:32 je n'ai qu'un mot à vous dire.
13:34 - J'ai qu'un mot à dire. Wow.
13:37 - Hein ? Hein ? Voilà. Wow. Et bien plus encore.
13:40 Non, sérieusement, vous l'aviez connu comme ça, aussi, Olivier Géroux,
13:44 pour ceux qui ne l'ont pas reconnu. Voilà, ça fait partie aussi de votre histoire.
13:48 Vous étiez en bord de pelouse, toujours déjà très fervent.
13:53 Comment, suite voix, vous avez vécu ça, cette histoire-là,
13:58 quand on a connu Olivier comme ça ? - Avec Olivier ?
14:00 - Oui. - Olivier, moi, j'ai eu la chance de jouer avec lui
14:04 en sélection départementale. - Il était gardien, déjà ?
14:07 - Non, il n'était pas gardien. - On revoit ce petit expérience.
14:10 - C'est très bien. On peut le dire. Bon, forcément, je n'ai plus de nouvelles, forcément.
14:14 Mais du coup, voilà, c'était déjà un très bon joueur, à l'époque.
14:17 - C'était où ? À quelle... - En sélection départementale.
14:21 Lui, il était déjà titulaire. Moi, je rentrais à la 75e.
14:24 Mais du coup, voilà... - Ça lui est arrivé de rentrer à la 85e ?
14:29 - On peut le dire. On se voyait un peu en boîte de nuit, aussi, le week-end.
14:32 - Il n'a pas eu du ballon, mais bon. Lui, il a réussi.
14:34 Lui, il a réussi, et pas moi. - Réussi différemment, ailleurs.
14:39 Mais il garde bien les pieds sur terre. - Oui, non, mais c'est une très belle...
14:42 Moi, c'est quelqu'un que j'apprécie beaucoup.
14:44 Je trouve que la carrière qu'il a eue, il la doit qu'à lui-même.
14:47 C'est une belle chose. Il a beaucoup travaillé en ce sens.
14:51 - C'est Grenoblois qui véhiculent une belle image de la ville,
14:54 en dehors des frontières de la France. - Exactement.
14:56 Et rendre hommage à tous les Grenoblois qui remplissent le stade avec beaucoup de ferveur.
15:00 Et si le GF continue comme ça, ça va faire bien plaisir à beaucoup de monde.
15:05 Et enfin, Grenoble sera aussi connu, bien sûr, pour son équipe de foot en Ligue 1.
15:09 C'est tout ce qu'on leur souhaite, et ce qu'on vous souhaite aussi,
15:13 pour garder ce ton toujours aussi léger. Merci à vous.
15:16 C'est très léger, aussi, ce croc à côté.
15:19 - Ça relève d'une sacrée magie, d'une alchimie, même. - C'est devant vous.
15:23 Musique dynamique
15:26 ...
15:31 - Qu'est-ce que c'est beau, Valentina. Je peux en avoir un.
15:34 Regardez, parce que c'est très important. On en parle de plus en plus.
15:37 On dit de tout ce qui est instagrammable, mais c'est aussi télégrenoblable.
15:42 Regardez un peu comme c'est beau, ce que fait Valentina.
15:45 Une petite palette à peindre soi-même, aussi. C'est un biscuit à peindre.
15:49 - Voilà, on utilise le pinceau, un petit peu d'eau, et on peint un merenguini.
15:54 C'est un petit personnage inventé par Lis Berfini, du Fil du Dédale,
15:58 qui joue au foot, du coup.
16:00 - Mais alors, ça, c'est... Oh ! C'est pour... Je peux ?
16:03 - Oui, parce que je vous l'ai apporté à tous. Je vous le donnerai après.
16:07 Un petit ballon de foot pour eux, comme ça, si vous vous ennuyez,
16:10 vous pouvez peindre votre biscuit. - On va le garder.
16:13 On va le montrer à l'émission. - Ça, c'est...
16:16 - Vous pouvez, bien sûr, le manger. - C'est Valentina.
16:19 Vous voyez, toujours une idée, toujours une pensée pour l'autre,
16:23 toujours une imagination sans borne. Un grand, grand talent
16:26 de cake designer, d'artiste aussi, de designer et de chef pâtissière.
16:30 Valentina, vous êtes ce qu'on appelle "cake designer",
16:33 c'est-à-dire vous faites des gâteaux de fête,
16:36 vous faites des produits de fête à croquer,
16:40 et c'est un métier qui s'est beaucoup développé, dernièrement ?
16:43 - Oui, en fait, on demande de plus en plus de gâteaux à thème
16:46 pour faire plaisir à ses invités,
16:49 mais en même temps, communiquer aussi à travers le dessert,
16:52 soit à travers la forme, la décoration,
16:56 ou à travers la recette qu'on a choisie.
16:59 Et voilà, c'est là que j'interviens. - Et oui, vous aviez commencé
17:02 cette jolie carrière, ce beau métier, déjà bien avant
17:05 que les réseaux sociaux entrent en jeu,
17:08 vous exerciez avec beaucoup de passion sans nécessairement vous exposer.
17:12 - Tout d'un coup, ça fait pas très jeune !
17:15 - Alors, non ! On parle d'il y a 6-7 ans.
17:18 - Oui, ça fait mon entreprise.
17:21 Elle a 12 ans, elle a un peu plus de 12 ans maintenant.
17:24 Mais ce travail de dessert, le "cake design",
17:28 je le connais depuis toujours parce que, chez moi, en Roumanie...
17:31 - Vous êtes de Transylvanie. - Je suis de Transylvanie, oui.
17:34 Chez moi, en Roumanie, en Transylvanie,
17:37 la maman d'une de mes copines, elle était pâtissière,
17:41 elle faisait des grosses pièces somptueuses pour des mariages.
17:44 Et puis moi, j'aimais bien coller mon nez contre sa vidrine
17:47 de temps à autre et me donner une petite fleur en sucre.
17:50 C'était mignon. J'ai adoré. C'était trop bon.
17:53 - Avec un univers très créatif, vous aviez toujours voulu faire ça
17:56 ou votre histoire vous a menée vers des chemins...
18:00 - Non, pas du tout. Quand j'étais jeune, je voulais être vétérinaire.
18:03 Mais c'était pas possible d'être fille vétérinaire en Roumanie
18:06 il y a 35 ans en arrière, 30 ans en arrière.
18:09 C'était pas possible. Alors j'ai choisi la physique
18:12 et j'ai fait un doctorat en physique ici à l'Université de Grenoble
18:16 au CNRS. Et voilà.
18:19 Après la physique, j'ai fait la pâtisserie.
18:22 - En physique, on apprend l'alchimie.
18:25 On parlait des réseaux sociaux, mais aujourd'hui, on vous retrouve
18:28 aussi sur les réseaux sociaux. Avec vous-être, restez vous-même.
18:32 Vous n'allez pas coller au mode, vous restez dans votre univers.
18:35 On peut voir ici, ça, c'est votre page Instagram
18:38 "Jolie entreprise". Et vous vous adaptez, bien sûr, aux autres,
18:41 au thème "cet automne". L'automne, c'est toujours Halloween aussi.
18:44 Vous vous régalez, vous qui venez de Transylvanie.
18:48 - Pour Halloween, oui.
18:51 C'est un thème que j'aime beaucoup.
18:54 C'est un thème qui nous permet de se faire un tout petit peu peur,
18:57 mais pas trop, de partager ça avec les enfants.
19:00 C'est rigolo. Je fais beaucoup d'ateliers en ce moment,
19:04 en plus des gâteaux. Même les adultes, ils aiment bien venir
19:07 et appliquer des gâteaux sur ce thème-là.
19:10 - Ce sont des véritables oeuvres. Et tout se mange, tout est comestible.
19:13 On parle beaucoup des colorants. Il y a les pro-colorants, anti-ici.
19:16 Tout se mange.
19:20 Et vous, c'est avec, comme on dit, avec parcimonie.
19:23 Ça ne déborde pas de pâte à sucre.
19:26 - Alors, effectivement, je colore uniquement aux surfaces.
19:29 Je ne colore pas dans la masse. Je refuse de faire des gâteaux
19:32 arc-en-ciel, par exemple, qui sont colorés dans l'intérieur.
19:36 - C'est pas très délicat.
19:39 - J'ai décoré à l'extérieur, oui, avec beaucoup de colorants,
19:42 mais en mettant par touches.
19:45 - Et ce sont des petites oeuvres.
19:48 Et votre métier vous a tout naturellement guidée vers cette petite boite
19:52 qui est ici, puisque la gourmandise est toujours une surprise.
19:55 Hein, Lina ?
19:58 La vie est comme une boîte de chocolat.
20:01 - On ne sait jamais sur quoi on va tomber.
20:05 - Et la pâtisserie, la gourmandise,
20:08 c'est comme une boîte d'escape game désormais.
20:11 Vous avez eu une petite idée avec des spécialistes,
20:14 créateurs de jeux, de créer une boîte à manger.
20:17 - Voilà, c'est parti d'une rencontre avec Lis Berfini,
20:20 qui, elle aussi, elle a eu un autre parcours
20:24 avant de devenir la prêtresse de l'escape game.
20:27 Et elle m'a fait remarquer que la nourriture,
20:30 on la partage, on la partage pendant des moments joyeux
20:33 et surtout, il y a pas mal de moments en France
20:36 où on joue comme la galette des rois.
20:40 A la limite, c'est comme un jeu. On va chercher la fève.
20:43 Le mardi gras, non, les chandelures,
20:46 quand on fait les crêpes, on va sauter les crêpes
20:49 avec la monnaie d'or dans la main.
20:52 Il y a aussi la fondue, où on va donner des gâches
20:56 à ceux qui vont laisser l'heure. Donc c'est parti de là.
20:59 Elle m'a dit qu'il faut absolument qu'on fasse quelque chose ensemble
21:02 et j'ai fait plein de contraintes.
21:05 On a travaillé des mois et des mois parce que c'était beaucoup
21:08 de contraintes et on a réussi à faire cette boîte
21:12 où il y a beaucoup de gourmandises à partager,
21:15 beaucoup d'énigmes à résoudre qui ne sont pas toujours très faciles.
21:18 Il faut faire tout, croquer, emboîter, lécher, déguster,
21:21 renifler, enfin, toucher.
21:24 À la fin, tout se mange.
21:28 - C'est-à-dire qu'il y a une énigme à résoudre
21:31 et que... - Les énigmes, ce sont les gourmandises.
21:34 Toutes les énigmes sont... On supporte les gourmandises.
21:37 On achète cette boîte, on l'ouvre
21:40 et ensuite... Si vous voulez, je peux l'ouvrir.
21:44 - Oui. - Pendant qu'on parle...
21:47 - On ne va pas résoudre l'énigme. - Non, c'est juste pour ouvrir le cou.
21:50 - On est juste là pour manger les gâteaux.
21:53 - L'histoire commence au décès de Thérésa Van Blyn
21:56 qui va laisser par testament son entreprise de gourmandises
22:00 à celle qui résoudra la métro en route.
22:03 - C'était un peu une Willy Wonka. - Oui.
22:06 - Oui, un peu. Sa petite fabrique de gourmandises à elle.
22:09 - Voilà. Elle a commencé à ouvrir les Meringuinis
22:12 qui sont des petits personnages un peu facétieux
22:16 qui font aussi faire travailler ensemble.
22:19 Il faut amener la paix sociale. Donc on était très actuels.
22:22 Et voilà, ça se présente comme ça.
22:25 Je veux juste vous montrer ce qu'on peut montrer.
22:29 - Avec le testament, vous allez avoir aussi le livret de Thérésa.
22:32 Il y a eu des choses qui se sont passées.
22:35 Elle a pris plein de notes et elle a expliqué plein de choses.
22:38 Mais malheureusement, il y a eu des accidents.
22:41 Quand on est un peu pressé dans la cuisine, on fait aussi des bêtises.
22:44 - C'est comme les recettes de Mercotte. Il manquait un truc à tous les coups.
22:48 - On va évoluer dans cet univers.
22:51 Je vais juste, furtivement, vous montrer quelques gourmandises.
22:54 - Ça y est, le petit cache.
22:57 - Ça se conserve bien quand même. Ce sont des produits secs.
23:00 - C'était une des contraintes.
23:04 Il fallait que la boîte, les impressions, les gourmandises,
23:07 la conception soient grenobloises, que ça se conserve
23:10 2 semaines, voire 2 mois, 3 mois minimum.
23:13 Et que ça puisse être envoyé par la poste
23:16 parce qu'on a des demandes loin.
23:20 Et que ça puisse tenir au choc, que ça ne se casse pas.
23:23 Et si jamais ça se casse, on trouve une solution
23:26 et on peut croquer un biscuit qui est parti.
23:29 - Il y a les formes, les gouilles...
23:32 - Elisa déborde d'imagination. Elle m'a proposé tellement des idées.
23:36 Des fois, je me disais comment on va mettre ça en comestible.
23:39 On a réussi, on a beaucoup bossé.
23:42 J'espère que vous allez adorer parce que nous, on s'éclate tous les jours.
23:45 - Rien que sur le principe, c'est absolument génial.
23:48 Rien que "Diavo et français", c'est magnifique.
23:52 - Elle a fait de la recherche.
23:55 - Elle a fait de la recherche depuis 10 ans.
23:58 - Oui, on a dit à partir de 10 ans, quand les enfants sont un peu près seuls.
24:01 Mais il faut quand même pouvoir un peu lire
24:04 et avoir aussi la patience de ne pas tout de suite croquer les choses.
24:08 - Si on est un peu trop petit, on peut faire foirer l'énigme.
24:11 - On a eu ça.
24:14 - En plus, il faut réfléchir.
24:17 Ce n'est pas juste la forme.
24:20 Il y a beaucoup d'indices qui peuvent se cacher
24:24 et qui peuvent se faire croquer.
24:27 - Est-ce qu'on peut jouer plusieurs fois ?
24:30 Est-ce qu'elle va évoluer, cette boîte ?
24:33 - Dans une autre boîte, on en a un qui peut parler.
24:36 Mais quand vous allez finir cette boîte,
24:40 si vous souhaitez, vous pouvez commander le kit de remplissage
24:43 qui arrive avec une jolie fiche qui vous explique comment remonter la boîte.
24:46 Vous la fermez et vous l'offrez.
24:49 - Et elle circule.
24:53 - C'est un bon produit.
24:56 - C'est un bon produit.
24:59 - Il faut en prendre soin.
25:02 Quand on lèche, on a les doigts tout collants.
25:05 - On est des gens civilisés.
25:08 - Vous n'êtes pas venus manger chez moi.
25:12 On fait attention, on se tient bien.
25:15 Entre amis, c'est à peu près une heure
25:18 et entre une et cinq personnes.
25:21 - On a mis ce qu'il faut pour que cinq personnes puissent prendre un bon goûter.
25:24 - 3, 4, 5...
25:28 C'est magnifique.
25:31 On a encore une heure devant nous.
25:34 Ne pas se précipiter.
25:37 Avec des futures histoires, vous y réfléchirez plus tôt.
25:40 Vous avez déjà du boulot.
25:44 Ça cartonne, sans mauvais jumeau, avec la boîte.
25:47 - On s'attendait.
25:50 - C'est une découverte.
25:53 - C'est un grand gâteau à étage.
25:56 - C'est dans mon nouvel local.
26:00 C'est un local qui m'appartient.
26:03 - Ce n'est pas un vrai gâteau.
26:06 - C'est une pièce d'exposition pour le salon du mariage.
26:09 - C'est un vrai?
26:12 - C'est une pièce d'exposition.
26:16 Une fois exposée, on ne peut pas le manger.
26:19 - C'est exactement comme ça.
26:22 - On dit que ça se présente comme ça.
26:25 - C'est votre nouvel atelier.
26:28 Vous aviez votre propre laboratoire.
26:32 Vous êtes installée à Sainte-Egreve.
26:35 - J'ai toujours été à Sainte-Egreve.
26:38 Le laboratoire m'appartient.
26:41 J'ai acheté le local.
26:44 - Beaucoup de travail.
26:48 - Je remercie le Pantan.
26:51 J'ai une jolie déventure.
26:54 Avant, les gens ne pouvaient pas me voir travailler.
26:57 Maintenant, ils me voient travailler.
27:00 J'adore ça.
27:04 Ça me permet d'échanger avec les gens du quartier.
27:07 - On peut aussi venir toquer à la porte.
27:10 - Oui.
27:13 Au jour le jour, j'ai de la biscuiterie sèche.
27:17 J'ai des jeux sur place.
27:20 On me trouve sur le marché.
27:23 Pour les gâteaux, les ateliers, les animations, etc.,
27:26 c'est sur commande.
27:29 - Sur votre site Internet.
27:32 - Sur Facebook, Instagram, par mail.
27:36 - Pour Halloween, vous avez des bijoux.
27:39 On peut commander tout ça à la demande.
27:42 J'aimerais une araignée.
27:45 - C'est à 100 % personnalisable.
27:48 Même pour la recette, si vous avez des problèmes alimentaires,
27:52 des évictions alimentaires ou des régimes particuliers,
27:55 ça peut s'adapter à tous les régimes.
27:58 - La petite citrouille, c'est quel budget ?
28:01 - Pour les sablés décorés, ça dépend.
28:04 Si c'est pâte à sucre ou glace royale,
28:08 c'est à partir de 2 euros la pièce.
28:11 - D'accord.
28:14 - Pour un beau cake design ou à 2 étages ?
28:17 - Pour un 2 étages, il faut être 26.
28:20 - Ça va.
28:24 - 26 par gourmand.
28:27 - 26 petits mangeurs.
28:30 - On est à peu près 12.
28:33 - On va s'arranger.
28:36 Un grand bravo à vous, Valentina.
28:40 Offrez-nous autant de boîtes que vous voudrez.
28:43 - Merci.
28:46 - Je veux bien garder le gâteau.
28:49 - On y va ?
28:52 - Allez !
28:56 ...
28:59 - C'est chaud, le chocolat, toujours.
29:02 - C'était du chocolat chaud.
29:05 - Mais pas du chocolat chaud qui se boit.
29:08 - Justement, Lina, qui est née dans les années 90,
29:12 Valentina, les 80...
29:15 - 70 ?
29:18 - C'est pas vrai !
29:21 - Les années 70 !
29:24 - Valentina, vous vous rappelez de ça ?
29:28 - De quoi ?
29:31 - Cette pub date de 1977.
29:34 C'est resté à vie.
29:37 On a tous été hypnotisés.
29:41 On est certain.
29:44 Elle est restée très longtemps.
29:47 - Elle tournait jusqu'à 1984.
29:50 - Ça me dit quelque chose.
29:53 - Lina ?
29:56 - Ça n'a pas changé depuis cette pub.
30:00 Le chocolat, c'est toujours universel.
30:03 Avec toi, Lucille, on a testé le bar à chocolat
30:06 le 17-10.
30:09 Ouvert par Vanessa et Emma.
30:12 Elles proposent plusieurs types de chocolat.
30:16 Il y en a pour tous les goûts.
30:19 - Rue Lédiguer.
30:22 - Oui.
30:25 Il y a du noir à 80 %, pour ceux qui aiment l'amertume,
30:28 boisé, grué-grillé.
30:32 Ensuite, du noir plus doux.
30:35 Plusieurs chocolats noirs plus doux.
30:38 Du chocolat au lait et du Dulcey.
30:41 - Du Dulcey.
30:44 C'est tout la même marque.
30:48 C'est Valrhona.
30:51 Il n'y a que du Valrhona avec une ou deux exceptions.
30:54 Ce n'est pas du local.
30:57 - C'est ce que tu as remarqué.
31:00 - Bona, un fabricant de chocolat,
31:04 il n'y en a pas beaucoup en France.
31:07 - Les gens ne connaissent pas les rues.
31:10 Ils peuvent venir déguster dans ce bar.
31:13 - Exact.
31:16 On choisit un chocolat.
31:20 On peut choisir l'accompagnement.
31:23 C'est des crêpes, des gaufres, des fruits, des bonbons.
31:26 - Des pancakes.
31:29 - Tout est fait maison.
31:32 Les crêpes, les gaufres et les pancakes sont faits maison.
31:36 On peut même prendre un cookie avec du chocolat.
31:39 Ça doit être hyper gourmand.
31:42 - Et des glaces pendant l'été.
31:45 - Des glaces qu'on prend dans le chocolat fondu
31:48 et qui figent et qui rend la glace bien moelleuse.
31:52 - Exact.
31:55 On peut toujours rajouter du gourmandise.
31:58 Du spéculoos, des cacahuètes, des noisettes.
32:01 - Des toppings.
32:05 - Tu as testé.
32:08 Tu as choisi la fondue au chocolat.
32:11 - On voulait tester plusieurs chocolats.
32:14 On peut choisir une fondue seule ou à plusieurs.
32:17 C'est plus sympa à plusieurs.
32:20 Si on fait tomber le fruit, on a un gage.
32:24 Si on veut goûter plusieurs chocolats,
32:27 elle propose des petits shots.
32:30 Ils ne sont pas chers.
32:33 On peut goûter plusieurs chocolats.
32:36 - C'est sympa pour une dégustation.
32:40 Il ne reste plus grand-chose.
32:43 - On a flouté ces images.
32:46 - Je n'ai pas fait exprès.
32:49 - Ça t'a plu.
32:52 - Tu n'aimes pas trop le chocolat noir ?
32:56 - Depuis que je suis petite, je n'ai jamais aimé le chocolat noir.
32:59 Il faut que je m'éduque.
33:02 - C'est un coup de coeur pour le dulcet.
33:05 Il est biscuité et pointe de sel.
33:08 On sentait bien le biscuit.
33:12 C'est hyper gourmand.
33:15 - Il n'y a pas d'arôme biscuit.
33:18 C'est du chocolat blanc trop cuit.
33:21 C'était parti d'une petite boulette.
33:24 On peut juste tester différents chocolats.
33:28 Ou on peut commander un produit
33:31 qui est un peu plus gourmand.
33:34 - Le badigeonnet.
33:37 - Il y a du caramelia, du caramel beurre salé,
33:40 du givara, du chocolat au lait.
33:44 Il y a plusieurs sortes.
33:47 Elles font aussi du salé.
33:50 On peut y aller pour tout le repas.
33:53 Il y a trois fromages, saumon, épinards, pizza, chorizo.
33:56 - On peut y déjeuner
34:00 et manger du chocolat fondu.
34:03 - Elles travaillent beaucoup.
34:06 Ca a bien marché en un an.
34:09 - Oui.
34:12 Elles ont eu beaucoup de succès.
34:16 Au début, elles n'attendaient pas.
34:19 - Bien sûr.
34:22 - Elles ont eu un an au mois de septembre.
34:25 - Très abordable pour tout le monde.
34:29 - Ca marche bien pour les jeunes.
34:32 - Oui.
34:35 - Il y a une ambiance "friends".
34:38 - Oui.
34:41 Il y a un étage, une terrasse, l'accueil.
34:44 - Le bar à chocolat fondu...
34:48 - Je recommande.
34:51 - En même temps, c'est du chocolat.
34:54 - Ca marche bien.
34:57 - Le seul hic, c'est peut-être le fait de ne pas utiliser du chocolat local.
35:01 Mais ça reste super bon.
35:05 - C'est une question.
35:08 - Ca marche bien.
35:11 - Il n'y a pas que de la bière locale.
35:14 - Il y en a aussi.
35:17 - Elles font des chocolats spéciaux.
35:21 Elles ont fait un chocolat spécial pour Octobre Rose.
35:24 Avec d'autres goûts et couleurs.
35:27 - Merci beaucoup.
35:30 On va attaquer ce qui est sur le plateau.
35:33 Merci de votre fidélité.
35:37 Le lundi de 20h30 à 22h.
35:40 C'est très frais et sympa.
35:43 Bon succès à vous.
35:46 On se retrouve très vite.
35:49 Au revoir.
35:53 ...
35:56 ...
36:00 - Vous avez profité de "Si on parlait"...
36:03 ...avec Gilles Trignan Résidence.
36:06 ♪ ♪ ♪

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