Attaque au couteau à Arras: des nouvelles rassurantes concernant l'état de santé des trois blessés

  • l’année dernière
Ce vendredi, un professeur a été tué dans son lycée à Arras. Deux autres personnes ont été blessées. Le suspect, âgé de 20 ans, a été interpellé. Il était fiché S et faisait l’objet d’un suivi actif récent de la DGSI. Il est actuellement en garde à vue, avec sept autres personnes. 
Transcript
00:00 - Oui, des nouvelles plutôt rassurantes concernant les états de santé.
00:03 En tout cas, si l'on se fie aux dernières prises de parole d'hier en fin de journée,
00:06 il y a d'abord cet agent de la région Hauts-de-France,
00:10 un manager des équipes techniques de la région au sein de cet établissement scolaire.
00:14 C'est lui qui a été le plus grièvement blessé.
00:17 Ça s'est passé dans la cour du collège lycée.
00:21 Il tentait de s'interposer entre l'assaillant et un autre agent qui était présent sur place.
00:26 Il a été grièvement blessé.
00:28 Les secours lorsqu'ils sont arrivés l'ont considéré comme étant en urgence absolue.
00:32 Il a pu être très rapidement pris en charge,
00:35 stabilisé d'abord sur place, puis pris en charge par les équipes médicales à l'hôpital.
00:39 Hier, Xavier Bertrand indiquait que ses jours n'étaient plus en danger.
00:43 Des nouvelles rassurantes aussi concernant l'autre blessé,
00:46 cet enseignant de sport qui lui a été agressé à l'extérieur du lycée,
00:50 probablement au tout début de cette attaque.
00:53 Pour lui aussi, il n'y a pas de pronostics vitals engagés.
00:56 On a appris hier soir lors de la conférence de presse du parquet national antiterroriste
01:00 qu'une troisième personne avait été blessée, probablement plus légèrement que les deux autres.
01:05 Il faut le dire, les informations concernant les états de santé nous parviennent au compte-goutte
01:09 parce qu'on l'a dit, on est dans une enquête pour terrorisme.
01:12 Les informations délivrées au public, même concernant l'état de santé des victimes,
01:17 font l'objet d'une analyse.
01:18 Elles sont sous-pesées par les enquêteurs et par les magistrats.

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