Un homme d'une vingtaine d'années armé d'un couteau a tué un enseignant et blessé grièvement deux autres personnes dans une cité scolaire d'Arras. Fiché S pour radicalisation, l'assaillant était sous surveillance de la DGSI et un de ses frères avait été interpellé et écroué à l'été 2019 "dans le cadre d'un projet d'attentat déjoué puis de faits d'apologie".
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00:00 connaissance de au moins huit gardes à vue en cours en ce moment dans cette affaire,
00:03 dont celle de la Sayan qui se déroulait au commissariat local d'Arras. On apprend ce soir
00:09 que le transfert d'une partie des gardes à vue, on ne sait pas combien sur ces huit,
00:13 mais d'une partie, mais en tout cas la Sayan compris, et bien ce transfert est en cours
00:18 entre Arras et le Valois-Péret où se trouvent bien évidemment les locaux des GSI ainsi que
00:26 ceux de la Zdat qui sont évidemment saisis de cette affaire et donc ils vont pouvoir interroger
00:34 ces suspects et ce suspect, cette Sayan, directement au siège de le Valois-Péret qui est évidemment le
00:41 siège dédié. Pourquoi vous dites non à Jean-Luc Brigade ? Si, au contraire, je dis que c'est une
00:44 procédure tout à fait normale. D'accord, ok, on est là dans le cadre et c'est ce que nous explique
00:48 Mathias Tesson. Par exemple, au commissariat d'Arras, vous pouvez avoir aussi des gardes à
00:51 vue de sécurité publique, des gardes à vue de police judiciaire. Là, en l'espèce,
00:55 le procureur général a saisi la Zdat. Oui, pourquoi ce transfert ? Parce que dans les locaux
01:04 initiaux du commissariat d'Arras, vous pouvez aller voir d'autres gardes à vue qui sont en cours sur
01:08 des affaires de sécurité publique à ce moment-là et donc le transfert à le Valois permet évidemment
01:13 de centraliser. Voilà pour l'enquête.