Vendredi dernier, avant la victoire de l’équipe de France aux Pays-Bas en éliminatoires de l’Euro 2024, Jean-Clair Todibo avait été surpris en train de rire pendant la minute de silence en l’honneur des victimes du conflit entre Israël et Gaza ainsi que l’enseignant assassiné à Arras. Depuis, le défenseur de Nice était la cible de vives critiques.
Et alors que le conseil de l’éthique de la Fédération française de football lui avait demandé des explications, il s’est présenté spontanément, ce lundi, en conférence de presse, à la veille du match amical contre l’Ecosse, pour présenter ses excuses et donner sa version des faits.
Le joueur, notamment passé par Toulouse ou encore Barcelone, a notamment évoqué un «rire nerveux».
«J’ai eu un rire nerveux par rapport à cette minute de silence, mais en aucun cas je ne me suis moqué de la situation actuelle. Le contexte était particulier, on était au milieu des supporteurs adverses qui avaient fait certaines blagues et j’ai eu ce rire nerveux qui est sorti. Je tenais à m’excuser auprès de toutes les personnes qui j’ai pu offenser, c’est la moindre des choses. Qu’il n’y ait pas de méprise là-dessus», a assuré l’international tricolore.
Jean-Clair Todibo est d’autant plus affecté par l’ampleur de la polémique car certains ont estimé qu’il s’était moqué du professeur tué lors de l’attentat à Arras alors que sa mère travaille pour l'Education nationale depuis une vingtaine d'années. «Je suis touché parce que ça entache l’éducation que ma mère m’a donnée.
Et alors que le conseil de l’éthique de la Fédération française de football lui avait demandé des explications, il s’est présenté spontanément, ce lundi, en conférence de presse, à la veille du match amical contre l’Ecosse, pour présenter ses excuses et donner sa version des faits.
Le joueur, notamment passé par Toulouse ou encore Barcelone, a notamment évoqué un «rire nerveux».
«J’ai eu un rire nerveux par rapport à cette minute de silence, mais en aucun cas je ne me suis moqué de la situation actuelle. Le contexte était particulier, on était au milieu des supporteurs adverses qui avaient fait certaines blagues et j’ai eu ce rire nerveux qui est sorti. Je tenais à m’excuser auprès de toutes les personnes qui j’ai pu offenser, c’est la moindre des choses. Qu’il n’y ait pas de méprise là-dessus», a assuré l’international tricolore.
Jean-Clair Todibo est d’autant plus affecté par l’ampleur de la polémique car certains ont estimé qu’il s’était moqué du professeur tué lors de l’attentat à Arras alors que sa mère travaille pour l'Education nationale depuis une vingtaine d'années. «Je suis touché parce que ça entache l’éducation que ma mère m’a donnée.
Category
📺
TVTranscription
00:00 Malheureusement, aujourd'hui, l'interprétation de la situation est assez folle.
00:06 Je ne pense pas être un garçon irrespectueux vis-à-vis de ce genre de choses-là.
00:12 Le cas était grave.
00:14 Pour vous dire que j'avais eu un rire nerveux pendant cette minute de silence-là.
00:19 En aucun cas, je me moquais de la situation actuelle.
00:23 On était dans un contexte assez particulier dans les tribunes.
00:27 On était au milieu des supporters adverses.
00:29 Et en montant, tout simplement, il y avait des supporters adverses qui avaient fait certaines
00:35 blagues.
00:36 Ce rire nerveux est sorti, tout simplement.
00:39 Je tenais à m'excuser auprès de toutes les personnes que j'ai pu offenser avec ce rire
00:45 nerveux.
00:46 Je pense que c'est la moindre des choses.
00:48 Qu'il n'y ait pas de méprise là-dessus.
00:49 Car en aucun cas, je me moquais de la situation, tout simplement.