Les Marseillais ont souffert ce dimanche soir à Nantes mais l’ont emporté (2-1) pour repasser à la 2e place du classement, six points derrière le PSG.
Le contraste, d’un dimanche soir à l’autre, est saisissant. La semaine dernière, des centaines de supporters marseillais, qui venaient de battre le record d’affluence du Vélodrome, quittaient le stade à la mi-temps, suivis par des dizaines de milliers d’autres jusqu’au coup de sifflet final d’un triste classique contre le PSG (0-3).
Ce dimanche soir, à La Beaujoire, ils étaient interdits de déplacement, mais ça n’a pas empêché les inconditionnels olympiens de hurler des "On est chez nous" et des "Allez l’OM" une fois la libération en fin de match, éclipsant les chants de la Brigade Loire. Autre stade, autre adversité, autre résultat et autres conséquences : les hommes de Roberto De Zerbi l’ont emporté 2-1 face au FCN et remontent à la 2e place de Ligue 1.
L’entraîneur italien avait tancé son équipe qui avait manqué de personnalité, avait recadré son joueur star pour son indolence et son inconstance, il a en a eu pour son argent, même si les Olympiens n’ont pas disputé un grand match, loin de là et contrairement à Mason Greenwood, qui a répondu aux critiques et aux attentes au meilleur moment, quand l’on commençait à imaginer l’OM repartir du froid nantais sans trois points bienvenus (61).
Un nouvel exploit personnel du Britannique, qui masquera, le temps d’un rapide coup d’œil au classement, les quelques carences étalées, surtout défensives. Mais, après une semaine difficile, entre la gueule de bois post-Clasico et conflits internes autour de Jean-Pierre Papin, personne ne boudera son plaisir, surtout pas Roberto De Zerbi qui a sauté dans les bras de Pancho Abardonado et de ses autres adjoints à peine les lèvres de Bastien Dechepy avaient-elles effleuré son sifflet, au bout d’un temps additionnel de 10 minutes.
L’ancien guide de Sassuolo se demandait vendredi en conférence de presse quel était le vrai visage de l’OM, peut-être n’est-il pas plus avancé après sa soirée nantaise (nous non plus), mais au moins son équipe n’a pas renoncé à ses principes, a montré un minimum de courage, de personnalité balle au pied et de mouvement, à défaut d’une technique sûre et d’un jeu flamboyant.
Le contraste, d’un dimanche soir à l’autre, est saisissant. La semaine dernière, des centaines de supporters marseillais, qui venaient de battre le record d’affluence du Vélodrome, quittaient le stade à la mi-temps, suivis par des dizaines de milliers d’autres jusqu’au coup de sifflet final d’un triste classique contre le PSG (0-3).
Ce dimanche soir, à La Beaujoire, ils étaient interdits de déplacement, mais ça n’a pas empêché les inconditionnels olympiens de hurler des "On est chez nous" et des "Allez l’OM" une fois la libération en fin de match, éclipsant les chants de la Brigade Loire. Autre stade, autre adversité, autre résultat et autres conséquences : les hommes de Roberto De Zerbi l’ont emporté 2-1 face au FCN et remontent à la 2e place de Ligue 1.
L’entraîneur italien avait tancé son équipe qui avait manqué de personnalité, avait recadré son joueur star pour son indolence et son inconstance, il a en a eu pour son argent, même si les Olympiens n’ont pas disputé un grand match, loin de là et contrairement à Mason Greenwood, qui a répondu aux critiques et aux attentes au meilleur moment, quand l’on commençait à imaginer l’OM repartir du froid nantais sans trois points bienvenus (61).
Un nouvel exploit personnel du Britannique, qui masquera, le temps d’un rapide coup d’œil au classement, les quelques carences étalées, surtout défensives. Mais, après une semaine difficile, entre la gueule de bois post-Clasico et conflits internes autour de Jean-Pierre Papin, personne ne boudera son plaisir, surtout pas Roberto De Zerbi qui a sauté dans les bras de Pancho Abardonado et de ses autres adjoints à peine les lèvres de Bastien Dechepy avaient-elles effleuré son sifflet, au bout d’un temps additionnel de 10 minutes.
L’ancien guide de Sassuolo se demandait vendredi en conférence de presse quel était le vrai visage de l’OM, peut-être n’est-il pas plus avancé après sa soirée nantaise (nous non plus), mais au moins son équipe n’a pas renoncé à ses principes, a montré un minimum de courage, de personnalité balle au pied et de mouvement, à défaut d’une technique sûre et d’un jeu flamboyant.
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00:00Je me suis régalé, mais 1-0, tu joues un peu trop facile.
00:10Ça fait du bien parce qu'on est deuxième là actuellement,
00:12donc juste derrière le PSG, donc c'est plutôt encourageant pour la suite de la saison.
00:17On a gagné, c'est sûr, on est toujours content quand Marseille gagne,
00:20mais on est toujours déçu quand ils jouent comme ils ont joué contre le PSG.
00:23Content, ça fait du bien, après la petite claque qu'on a prise là, mais bon.
00:27C'était un peu difficile, mais la victoire est là.
00:30Du positif à avoir, je pense que c'est une équipe qui est très diversifiée au niveau de ses joueurs, etc.
00:35Pour ma part, j'ai vu un très beau match hier soir, à tous les niveaux.
00:38Le titre, je n'y crois pas beaucoup, mais peut-être sur le podium, au moins troisième.
00:44Moi, pour l'instant, je doute encore un peu parce qu'il y a des hauts, il y a des bas là.
00:48Pourquoi pas, quand on est supporters marseillais, on peut toujours y croire.
00:52Deuxième place, je pense qu'on va la conserver aussi.
00:56Il faut toujours y croire, sinon ça ne sert à rien de venir voir les matchs et de supporter l'équipe.
01:00L'OM, c'est dans le cœur pour toujours. C'est la vie à la mort, c'est l'OM.