Retour sur l’élimination de l’Equipe de France de Rugby en Coupe du Monde

  • l’année dernière
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Transcript
00:00 Et on était le pays hôte. Quand je vois ça, pays hôte, ça veut dire qu'on accueille les gens et ils nous battent.
00:05 [Rires]
00:06 Non mais c'est quoi ça ? T'accueilles les Africains du Sud.
00:09 [Silence]
00:10 On les dit les Africains du Sud ?
00:11 - Oui. - Voilà.
00:12 - Les Sud-Africains. - Les Sud-Africains.
00:14 - Si vous voulez. - Excusez-moi.
00:15 [Rires]
00:16 Pour l'instant, je parle des Français.
00:18 On accueille les Africains du Sud.
00:20 - Les Sud-Africains quoi. Les Sud-Africains.
00:21 - Donc les Sud-Africains.
00:22 Hé ho ! Je peux parler vers l'ombre aussi.
00:24 [Rires]
00:26 C'est bon là.
00:27 [Rires]
00:28 Donc on accueille les Sud-Africains, en cas si vous voulez.
00:30 On accueille les Sud-Africains, tranquilles, ils viennent et ils nous battent.
00:34 Et c'est ça.
00:35 - Oui. Très mal élevé. - Et c'est ça.
00:36 - Très mal élevé. - Moi, sur la tête de ma mère,
00:38 j'aurais été organisateur, je les fous dehors de l'hôtel.
00:39 Ils n'en ont rien à foutre.
00:40 Ils n'en ont rien à foutre. C'est quoi ça ? Ils sont venus nous battre.
00:43 Donc voilà.
00:44 Pays prometteur la France.
00:47 Sur leurs 25 dernières rencontres, ils n'ont eu que 3 défaites, 80%.
00:50 - On était sûr de gagner. - De victoire.
00:51 - On était sûr. Même moi j'étais sûr de gagner.
00:53 Je regardais le match, mais tranquille, je me disais ça va, on va gagner.
00:56 Je me suis dit après on va rencontrer les Anglais, c'est des pipes.
00:59 On va les défoncer. Non mais c'est vrai.
01:01 L'équipe anglaise, c'est des pipes. Je vous le dis.
01:03 C'est des pipes totales.
01:05 Et on va re-rencontrer la Nouvelle-Zélande en finale, terminée,
01:08 dans deux semaines, dimanche, on est sur les champs.
01:10 On va dire "Wouhou, wouhou, wouhou".
01:13 La question est de faire quoi dans deux semaines sur les champs ?
01:15 Je vais aller faire un truc pour aller les Africains du Sud.
01:17 - Les Sud-Africains. - Bon, les gars.
01:19 [Rires]
01:21 Non mais c'est vrai.
01:22 Les Springboks.
01:24 - Oui. - C'est ça.
01:25 Les Springboks. Je croyais que c'était une marque de vêtements.
01:27 Dans ma vie.
01:29 Et donc, ils nous ont battus, les Springboks.
01:31 Je suis dégoûté.
01:32 Alors, on a vu...
01:34 J'ai une scène, moi, qui m'a...
01:36 qui m'a fait beaucoup de mal.
01:38 C'est Romain.
01:40 Tao Fifenoa.
01:41 - Ah oui ? - Romain qui ?
01:43 Tao Fifenoa.
01:44 C'est une boîte de nuit.
01:46 Non mais vous l'avez vu avec son fils, avec ses enfants.
01:48 - À la fin, c'était horrible. - Incroyable.
01:50 - C'était trop beau. Il m'a fait trop de peine. - C'est trop mignon.
01:52 C'était incroyable. Regardez ça.
01:54 Regardez ça.
01:56 [Musique]
02:12 Vous avez flouté le gars. Il a joué toute l'émission.
02:14 Non mais, je veux bien que vous floutiez les enfants.
02:16 Mais vous pouvez pas... Ne floutez pas le gars.
02:18 Il a joué toute l'émission. Il a joué tout le match.
02:20 Tout le monde l'a vu. Non mais c'est vraiment des débiles.
02:22 Non mais c'est vrai. C'est des bildés. Heureusement, c'est qu'il n'y a pas Jean-Michel.
02:24 Non mais c'est des bildés.
02:26 Ils ont flouté le joueur.
02:28 Ils ont flouté le joueur, frère, aussi.
02:30 Le gars, on l'a vu tout le match. Non mais floutez les potos, aussi,
02:32 tant que vous y êtes.
02:34 Floutez son numéro, parce qu'on va savoir qui c'est.
02:36 Non mais c'est vrai. Ils ont même renversé le numéro. Non mais c'est des génies, je te jure.
02:38 Je sais pas qui fait l'émission, mais franchement,
02:40 je connais pas ces gens, mais je vais pas les connaître.
02:42 Je vais pas les connaître.
02:44 Regardez, on a vu Antoine Dupont se pleurer.
02:46 Non mais les gars, vous êtes des génies.
02:48 Les gars, franchement, vous êtes des génies.
02:50 Qu'est-ce qu'il y a ? Je vous fais rien.
03:08 Grand moment d'émotion.
03:10 Vous voyez pas qu'on a perdu ? Vous voyez pas que je suis énervé qu'on ait perdu ?
03:12 Vous me rigolez ?
03:14 C'est parce que quand Raymond a vu sa meuf, il s'est retourné vers moi comme un charreau,
03:16 et on s'est regardé, c'est pour ça.
03:18 Vous sortez tous les deux.
03:20 Antoine Dupont, qu'est-ce que j'aime ce mec, en plus.
03:26 Je l'adore. Il est incroyable.
03:28 Il a fait un match de fou, en plus.
03:30 Vous savez que je suis écœuré.
03:32 Avant le match des Bleuillets, l'ancien sélectionneur français
03:34 Philippe Saint-André est revenu au micro de RMC
03:36 sur un épisode traumatisant de l'histoire du rugby français en 1995.
03:38 En fait, la France a affronté les Africains du Sud,
03:40 les Sud-Africains pour les puristes.
03:42 Au final du mondial, le match avait été remporté par les Sud-Africains,
03:44 mais en fait, il y avait eu des bails.
03:46 Parce qu'en fait, Jacques et Gilles,
03:48 il paraît qu'en fait, ils avaient triché, les Sud-Africains.
03:50 - Bah oui, on a dit beaucoup qu'ils avaient triché.
03:52 D'abord, on a parlé de dopage, puis de tricher avec l'arbitre.
03:54 - Non, mais ils ont fait quoi ?
03:56 - Ils ont triché !
03:58 - Pas du tout. Ils auraient...
04:00 Ils auraient...
04:02 Ils auraient...
04:04 Ils auraient empoisonné les Néo-Zélandais.
04:06 - Hum.
04:08 - Voilà, donc ils savaient pas, ça.
04:10 - Et c'est pas de la triche, ça ?
04:12 - Bah si. Ils auraient...
04:14 Une monde de 30 000 euros aurait été offerte à l'arbitre.
04:16 - Ouais.
04:18 - Parce qu'il avait pas l'heure.
04:20 - Parce qu'il avait pas l'heure.
04:22 - Un arbitre qui a pas l'heure, c'est un arbitre qui peut être en retard.
04:24 - Enfin, ceux qui ont la méthode Anouna, c'est ça ?
04:26 - Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a ?
04:28 - Enfin, la méthode Anouna.
04:30 - Oh la la !
04:32 - C'est grave, c'est grave, c'est grave, c'est grave, c'est grave, c'est grave !
04:34 - Quand on est con, quand on est con, on est con.
04:36 - Ah, ça, j'adore.
04:38 - Allez, merci. Alors, et deux,
04:40 il y a eu quatre essais refusés aux Français.
04:42 - Hum.
04:44 - Quatre essais refusés aux Français.
04:46 Un essai aurait pu être marqué si les Sud-Africains
04:48 n'avaient pas écroulé cinq fois la mêlée,
04:50 ce qui est interdit. Aujourd'hui, avec Lavar, ça ne serait pas arrivé.
04:52 Donc il y a eu des triches incroyables, parce que c'était
04:54 en Africain du Sud.
04:56 - C'est ça. - Les Africains du Sud.
04:58 - Et là, tout le monde a poussé un coup de gueule.
05:00 Même Thomas Pesquet.
05:02 Thomas Pesquet, normalement, il ne pousse jamais de coup de gueule.
05:04 Il est toujours en apesanteur.
05:06 - Il a poussé un coup de gueule comme ça ?
05:08 - Il a les mêmes chaussures.
05:10 - Il a les mêmes chaussures.
05:12 - C'est pas possible.
05:14 Le rugby est un sport
05:16 qui, d'habitude, se joue à 15 contre 15.
05:18 Mais en plus de se faire voler,
05:20 il faut se taper les mecs frustrés
05:22 qui ne connaissent pas les règles.
05:24 Ça va bien là. Personne ne parlait en Belgique
05:26 quand la France a gagné.
05:28 Tout le monde disait que c'était un beau match avec deux bonnes équipes
05:30 et pourtant rien à voir niveau arbitrage, sans déconner.
05:32 - Oh ! - Eh ouais.
05:34 - Il retourne dans sa fusée, quoi.
05:36 - Oh !
05:38 - Comme ça, Thomas Pesquet.
05:40 - Non mais... - Mais toi, sans rigoler,
05:42 tu vois pas que tout le monde est énervé ?
05:44 Toi, t'acceptes l'inacceptable.
05:46 C'est ce que tu fais depuis des années avec ton couple.
05:48 Et tu veux le faire aussi dans le rugby.
05:50 Excusez-moi, je suis énervé. La France a perdu.
05:52 Je suis fou de cette équipe de France, que j'adore les gars qui y jouent.
05:54 Mon pote Christian, la bite, ce matin,
05:56 on a été député.
05:58 Et toi, t'acceptes l'inacceptable.
06:00 Toi, tu te fais voler. C'est pareil.
06:02 C'est comme quand il y a un spotter chez toi.
06:04 - Soyons dignes dans la défaite.
06:06 - Arrête un peu. Nous soyons pas dignes dans la défaite.
06:08 On s'est fait voler. Voler !
06:10 - Vous êtes français, ça.
06:12 - Ça m'étonne de vous. Vous êtes un compétiteur.
06:14 - Pas du tout. On s'est fait voler.
06:16 - Il a pas le moral.
06:18 - Mais qu'est-ce qu'il a pas le moral ?
06:20 On s'est fait voler. Et lui, il dit rien.
06:22 - C'est la pochette, là.
06:24 - C'est la pochette.
06:26 - De tes yeux.
06:28 - Mais c'est bien français, ça.
06:30 - Ce qui est français, c'est toi.
06:32 - On a perdu. Et non, alors c'est la bite.
06:34 - On s'est fait voler.
06:36 - Même le sélectionneur, il dit pas comme vous.
06:38 - Et même Antoine Dupont l'a dit.
06:40 - Et même les stulos Dupont, on vous dit.
06:42 - Mais c'est...
06:44 - Moi, je suis pas d'accord.
06:46 - Et toi, tu ouvres ta gueule.
06:48 - Non, c'est Pesquet qui ouvre sa gueule.
06:50 - Non, non, non, tu parles pas comme ça de Pesquet.
06:52 - Qui rentre dans la lune pour mieux tourner ses fesses.
06:54 - Non, non, mais calme-toi.
06:56 - Hé, je te le dis, parle pas comme ça de Pesquet.
06:58 - Je connais le rugby, Pesquet.
07:00 - J'adore Pesquet. J'adore Pesquet.
07:02 - J'adore Pesquet.
07:04 - Pesquet, il connaît rien à rien.
07:06 - Pesquet, il connaît très bien.
07:08 - Il connaît les fusées, il connaît pas le rugby.
07:10 - Fais gaffe qu'il y ait pas une fusée qui vise dans ton cul.
07:12 - Oh !
07:14 - Je te le dis, je commence à en avoir assez de toi.
07:16 - Et tu parles pas comme ça de Thomas Pesquet.
07:18 - J'adore Thomas Pesquet, non mais je te le dis.
07:20 - OK, bah je retire.
07:22 - T'es pas obligé de retirer, tu fais du nid, ce que tu veux.
07:24 - Il est nul, il nous fait chier avec sa fusée.
07:26 Il nous fait chier.
07:28 Si elle retombe sur la lune, il va galer.
07:30 Il est frustré de la lune.
07:32 - Non, mais oh, calme-toi.
07:34 - Il est frustré de la lune.
07:36 - Ne parle pas comme ça de Thomas Pesquet.
07:38 - Il est frustré parce qu'il marchera pas sur la lune.
07:40 - Je vais dire, si y en a bien un qui a plus vu la lune que toi,
07:42 c'est lui.
07:44 - C'est pas ça, ça, de Pesquet.
07:46 - Ni Pesquet, ni Pasquet.
07:48 - Les brioches.
07:50 - OK, je te le dis, rien.
07:52 Ni les pitchs, je te le dis.
07:54 On touche pas aux pitchs.
07:56 OK, ni Pesquet, ni Pasquet, ni les pitchs.
07:58 - Il fasse des photos, là.
08:00 - Non, non, mais oh, calme-toi.
08:02 - Bah lui, au moins, il est sur orbite.
08:04 C'est pas ton cas.
08:06 - Oh, oh, oh, oh.
08:08 - Bravo.
08:10 - Bon, Gilles, arrête, c'est une boucherie.
08:12 Arrête, c'est une boucherie.
08:14 - Arrête, c'est une boucherie.
08:16 - Un problème, toi ?
08:18 - Arrête, c'est une boucherie.
08:20 - Qu'est-ce que tu veux dire ?
08:22 Retourne dans ton camion, c'est ça ?
08:24 - Tu es en difficulté, tu m'enfonces, tu parles d'un pote, toi.
08:26 - Mais non, mais je voulais pas...
08:28 - T'es pas en difficulté, on s'est fait voler, mon gilou.
08:30 On s'est fait voler.
08:32 - Arrêtez. - La pénalité, c'est quand même très bizarre.
08:34 - Mais Cardo, j'y connais quoi, au rugby ?
08:36 Même au foot, ils t'ont viré !
08:38 - Arrêtez !
08:40 - Arrêtez un peu !
08:42 - C'est bon, c'est bon, c'est bon.
08:44 - C'est bon, c'est bon.
08:46 - Eh, les gars, eh !
08:48 - Eh, touche pas à Cardo, hein.
08:50 - Non plus ! - Touche pas à Cardo.
08:52 - Mais ce qu'est Cardo, je peux toucher à personne, alors !
08:54 - Si, touche à ton cul !
08:56 - OK, non, mais je te dis, touche pas à Cardo.
08:58 - Mais il connaît le rugby. - Non, mais, eh, Gilles, arrête un peu.
09:00 - T'as vu la pénalité, comme elle est contrée ?
09:02 - Qu'est-ce qu'il y a ? - C'est bizarre.
09:04 - Bien sûr, la pénalité, elle est contrée, elle est pas droite.
09:06 - Et toi aussi, tu vas venir au rugby, pour aller retrouver Fatou, là.
09:08 - Le petit.
09:10 - Calme-toi, s'il te plaît. - Normalement, arbitrage à la maison, ça passe.
09:12 - Arbitrage à la maison, ça passe pas, ça, je te le dis.
09:14 - Donc toi, parce que si toi, à la maison,
09:16 tu te fais arbitrer comme de la merde,
09:18 eh ben, nous, non, hein, je te le dis.
09:20 Voilà, nous, je te le dis. Parce que là, je te dis que,
09:22 hein, t'es pas prêt de passer entre les poteaux, toi.
09:24 - Alors, pour mettre tout le monde d'accord...
09:26 - Alors, elle, c'est la juge.
09:28 - Carline Zérébi a des raisons, en fait.
09:30 - Non, mais en fait, c'est vrai, quand même.
09:32 - C'est la juge.
09:34 - On s'est... Bam !
09:36 (applaudissements)
09:38 - C'est la juge.
09:40 - Alors, elle, elle arrive, c'est le tribunal,
09:42 Géraldine Maillet, c'est bon, voilà, bah, le Maillet,
09:44 de toute façon, bam, voilà. Elle est là, bam.
09:46 Alors, elle, pour trancher, accusée,
09:48 le débouche, Gilles Vernez.
09:50 - Merci. - Non, justement, je voulais
09:52 tendre une main à Gilles. - Alors, bah, si, si,
09:54 faut lui tendre une main pour lui mettre une tarte.
09:56 - Non, justement, y a qu'une personne, vraiment,
09:58 qui s'y connaît, ici, en rugby. - C'est Mokhtar.
10:00 - On est d'accord. Mokhtar, c'est le spécialiste
10:02 rugby, ici, dans cette pièce. - Il a 2 spécialités,
10:04 Mokhtar. - C'est quoi, la 2e ?
10:06 - Le rugby et les sandwichs au thon.
10:08 Malheureusement, y a pas de championnat du monde
10:10 de sandwich au thon, mais il aurait pu le dire.
10:12 - Donc, vous êtes le producteur, et c'est vous
10:14 qui décidez, mais est-ce qu'on ne pourrait pas
10:16 lui tendre un micro et que, vraiment, en toute
10:18 transparence, en toute vérité, ils nous disent
10:20 vraiment... - C'est bon, merci.
10:22 C'est pas la peine de... C'est bon.
10:24 Alors, bonsoir. - On s'en a plansé.
10:26 - Alors, on est venus dans le public.
10:28 (rires)
10:30 Il est venu avec qui, celui-ci ?
10:32 - Tout seul. - Eh ouais !
10:34 - Oui, avec mes collègues. - Je suis pas les Anglais,
10:36 moi, hein. Je te le dis. Alors ?
10:38 - Quoi ? - T'es d'accord avec moi ?
10:40 - Ouais. - On s'est fait voler, Mokhtar. - De fou !
10:42 - Non, mais il a rien, non. Les mecs, on s'est fait voler.
10:44 - Sur quelle action ? - Déjà, par rapport à...
10:46 Sur toutes les actions. - Sur toutes les actions ? - Pratiquement toutes les actions.
10:48 - Bien sûr. Lui, il connaît le rugby, toi. Qu'est-ce que tu connais, toi ?
10:50 - Mokhtar ! - Parfait. - Non, mais sur la transformation.
10:52 Sur la transformation de Ramos,
10:54 Colby part avant
10:56 qu'il s'élance.
10:58 - Voilà. - D'ailleurs, ça...
11:00 - 1 mm ! - OK, il court vite.
11:02 Mais non, quel 1 mm ? Il est à 5 m. T'as vu les images ?
11:04 - Non, mais il a pas vu les images.
11:06 - J'ai regardé le match. Mieux que toi, t'étais au bord du stade, alors !
11:08 - J'en suis, j'étais là. - Bah oui ! T'as pas vu comme mou !
11:10 - T'étais où, toi ? - J'étais là. - Moi, j'étais devant ma télé.
11:12 J'ai revu 10 fois. - Bah, retourne-y.
11:14 - Tu sais quoi ? Bah, regarde l'émission de Putatélé, aussi, tu vois.
11:16 - Merci. Donc, on s'est fait voler ? - De fou.
11:18 - Merci, Moctarez. Ouais, ouais, oh !
11:20 - Il est à 4 m ! - Non, mais voilà, il est pas bien.
11:22 - Il est à 4 m ! - Il est pas bien, là !
11:24 (applaudissements)
11:26 - Moi, je me suis fait glisser. - Ouais.
11:28 - Et dis-moi, comme moi, si on avait gagné ce match, on était champions du monde.
11:30 - Bah oui. - Bien sûr. - Après, c'était quiche.
11:32 - C'était fini, après. C'était des quiches Lorraine.
11:34 Je te le dis. Voilà. Y avait que des quiches Lorraine.
11:36 Les Anglais, c'est des pipes.
11:38 Après, la Nouvelle-Zélande, on les a déjà battus, c'est des pipes, aussi.
11:40 Voilà. Et nous, qu'est-ce qu'on va se retrouver ?
11:42 À la maison, alors que les Africains du Sud,
11:44 ils sont en train de kiffer.
11:46 - Les Sud-Africains. - Les Sud-Africains.
11:48 Voilà. Les Springboks.
11:50 Hein, voilà. Comment on appelle les...
11:52 - Les Soudains. - Oui.
11:54 (rires)
11:56 Et les Autrains, comment on les appelle ? Les Wallabies ?
11:58 - Ouais. - If you wanna be my lover...
12:00 D'accord, j'aime bien.
12:02 [Musique]

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