Jean-Marc Furlan en conférence de presse d'avant-match
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00:00 qui est visé en premier lieu, en général, c'est pas les joueurs ?
00:04 Non, au XXIe siècle, c'est exactement ce que tu viens d'évoquer.
00:09 C'est exactement ce que tu viens d'évoquer.
00:11 Oui, c'est ce que tu évoques.
00:15 Au XXIe siècle, c'était pas le XXe siècle où Giroud, Suodo, De Noex
00:20 passaient 10 ans ou 15 ans dans chaque club.
00:23 Effectivement, c'est ce que tu viens d'évoquer.
00:27 Ça fait aucun doute.
00:29 Est-ce que justement, vous avez été rassuré, notamment par vos dirigeants,
00:33 dans cette période-là, qui vous ont dit "on comprend vous"
00:35 ou est-ce que vous n'avez pas eu trop de retours de leur part ?
00:39 Si, si, j'ai eu des retours.
00:41 J'ai eu des retours d'Olivier Piqueux, de Yoann Hédeline,
00:45 et tout se passe très bien.
00:48 Donc vous ne vous sentez pas menacé dans la parade de feu, en tout cas ?
00:52 Tu regardes, je souris.
00:58 En tout cas, vous ne le laissez pas transparaître, si c'est le cas.
01:01 Non, parce que ça va, j'ai 65 ans, c'est bon.
01:04 Vous en avez vu d'autres ?
01:05 J'en ai vu d'autres, sincèrement, j'en ai vu d'autres.
01:08 Tu sais, ça m'est arrivé de me casser d'un club du jour au lendemain
01:16 en jetant la clé à mon président,
01:20 en lui disant "voilà les clés de la voiture", et je me casse.
01:23 J'étais assez vu.
01:24 Voilà, c'est tout.
01:26 Et puis d'autres événements aussi...
01:29 d'autres événements aussi qui se sont passés.
01:35 Voilà.
01:36 Si on revient au jeu, si on parle plus de foot...