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00:00 [Musique]
00:16 Eric Lauridan, qui est chirurgien digestif, n'est-ce pas ?
00:19 Qui anime aussi la chaîne TVADP, merci.
00:24 Je me présente, je m'appelle Eric Lauridan, je suis chirurgien digestif depuis 2002.
00:30 J'étais à l'hôpital de Boulogne-sur-Mer dans le Pas-de-Calais.
00:33 Tout se passait bien, tout se passait très très bien avec l'administration, avec les collègues, etc.
00:39 Et puis, je ne sais pas si vous vous souvenez, après le "Nous sommes en guerre" du mois de mars,
00:44 la folie du port du masque partout, y compris dans des endroits venteux comme on connaît nous sur la côte.
00:55 Je vais vous raconter une petite anecdote.
00:57 Dans une petite ville de la côte d'Opal, dans le nord, il y a une rue sur la digue,
01:03 donc vraiment la mer à côté et c'est très venteux, qui s'appelle Boulevard de la Liberté.
01:08 Et juste en dessous, il était marqué "Port du masque obligatoire".
01:13 Donc j'ai fait au mois de septembre 2020 une vidéo sur le port du masque.
01:16 Je pensais au départ que ça allait rester un petit peu dans le cercle privé des copains et des amis.
01:22 Et puis en fait, en 24 heures, 48 heures, elle a fait le tour de la planète.
01:25 J'ai su qu'elle était vue au Québec.
01:28 Et ça m'avait élu mes premières emmerdes avec l'administration de l'hôpital.
01:32 Donc, convocation par le directeur et le président de CME.
01:37 Une plainte, enfin un blâme qui m'a été donné par mes collègues de l'hôpital.
01:43 Je dois vous dire que j'ai été dénoncé aussi à l'ordre des médecins par un collègue de l'hôpital.
01:47 Et donc je suis passé au conseil départemental à Béthune en juillet 2021
01:52 et au conseil régional en chambre disciplinaire en décembre 2022,
01:58 où ils m'ont collé, alors qu'on était encore en pleine suspension,
02:01 ils m'ont collé trois mois d'interdiction d'exercer.
02:04 Alors c'est rigolo d'interdire 90 jours un chirurgien qui l'était déjà interdit depuis 500 jours.
02:09 Ceci étant, je vous informe si vous ne savez pas que j'ai fait appel avec Maître Jean-Pierre Joseph.
02:15 L'appel étant suspensif, je travaille.
02:20 Je n'ai pas repris mes fonctions à l'hôpital de Boulogne-sur-Mer
02:24 parce que mon départ ne s'est pas très bien passé avec mes collègues, vous vous en doutez bien.
02:28 Et puis en plus, j'ai une mise en disponibilité qui court jusqu'à janvier 2025.
02:34 J'entends bien en profiter, d'autant plus que vous savez pertinemment,
02:38 tout le monde ici l'ignore, mais vous le savez,
02:41 la loi du 5 août 2021 portant obligation d'un schéma vaccinal complet pour les soignants n'a pas été abrogée.
02:50 Elle a juste été suspendue par un décret comme on suspend un coup près de guillotine.
02:56 Ça veut dire que moindre remous médiatique et politique, reprise des obligations vaccinales,
03:04 un schéma vaccinal complet, vous allez faire Covid + grippe.
03:07 Et si vous ne l'avez pas fait vous dégager, le coup près retombe.
03:10 Donc je prends mes distances, on fait d'autres choses à côté.
03:14 Mais de temps en temps, et je sais que vous savez sans doute que les hôpitaux sont en difficulté.
03:19 Il y a des hôpitaux en France où ils recherchent des chirurgiens pour des missions temporaires,
03:23 ce qu'on appelle de l'intérim. Donc je fais des intérims un peu partout.
03:26 Pas dans le Nord Pas-de-Calais, je crois que je suis blacklisté,
03:29 mais ça me permet de voyager un petit peu partout en France.
03:33 Alors l'appel qu'on fait avec Maître Joseph, c'est aussi une façon de dire on ne va pas se laisser faire.
03:39 Mais aussi vous les médecins du Conseil de l'Ordre, en vous tendant la main,
03:43 vous avez l'occasion de vous racheter.
03:45 Vous l'avez fait pour le Professeur Perron, vous l'avez fait pour le Dr Laurent Montesino,
03:50 vous avez annulé les peines, vous avez grâcié.
03:54 On vous donne encore l'occasion, avec d'autres médecins qui sont dans la même situation,
03:59 de réfléchir à ce qui s'est passé, aux positions que vous avez prises, et de rectifier le tir.
04:05 Parce que la réputation des Conseils de l'Ordre, des conseils ordinaux en général,
04:09 médecins, kinés, chirurgiens dentistes, sages-femmes, infirmières, j'en passe,
04:15 elle n'est pas belle, elle n'est pas bonne.
04:17 Parce qu'on ne se sent pas représenté par ces gens qui ressemblent plus à des institutions,
04:22 qui ressemblent plus à des rouages de l'Etat, qu'à des organismes chargés de défendre la profession.
04:29 Au passage, regardez sur le site du Conseil National de l'Ordre des Médecins,
04:34 et vous cliquez sur l'onglet "Nos missions", et vous allez tomber sur un petit passage
04:38 qui dit que l'Ordre des Médecins, organisme indépendant,
04:43 est en charge de défendre l'indépendance de la profession médicale vis-à-vis des instances de l'Etat.
04:51 Donc c'est bien aussi de leur rappeler, et je ne me suis pas gêné pour le faire avec mon avocat,
04:58 que leur mission c'est de me défendre contre l'Etat, et pas de défendre l'Etat contre moi.
05:03 Comme vous le savez, on a fait aussi partie, avec Louis, Carole Fouché et d'autres, du documentaire "Suspendu".
05:09 Je vous en donne un petit aperçu. "Suspendu", le documentaire de Fabien Moine, il continue de circuler.
05:16 Il a beaucoup circulé en France, il a été traduit en polonais, il est passé sur une chaîne alternative en polonais,
05:24 et il y a des négociations qui se font pour une chaîne d'Etat polonaise. C'est pas mal, hein ?
05:29 Il est toujours disponible sur le site ex-UVI de Fabien Moine.
05:34 Et comme le disait, ça y est, j'ai mangé son prénom, Martin, je suis aussi animateur TV,
05:42 alors on apprend plein de choses, je n'imaginais pas une seule seconde que je serais capable de faire ça.
05:46 Mais Eric Montana, journaliste indépendant, m'a fait confiance.
05:50 Et vous pouvez me retrouver aussi tous les lundis soirs pour une émission télé sur la chaîne TV ADP,
05:55 télévision Alliance du Peuple, où lundi prochain, en principe à 20h, vous pourrez retrouver Aminoum Lille.
06:03 Et j'espère Louis Fouché, pour qu'on puisse faire un débrief de leur passage au Conseil de l'Ordre.
06:08 Cette situation qu'on traverse tous nous permet aussi de nous recentrer sur d'autres choses,
06:16 et j'ai croisé ici beaucoup de soignants, mais j'en croise aussi beaucoup ailleurs,
06:20 et qui sont en charge de transformer leur métier, de faire d'autres choses.
06:25 Les médecins, en règle générale, sont des spécialistes de la maladie.
06:33 Tu es malade, tu vas voir ton médecin, on te soigne.
06:36 Et en fait, on se rend compte qu'en santé, on est des billes, on ne connaît rien.
06:40 Et on est obligé de se tourner vers des personnes et vers des systèmes
06:45 qui permettent plutôt de prendre en charge la santé des gens.
06:49 Et en fait, je pense que c'est Louis qu'on a entendu au micro,
06:53 il disait qu'on avait besoin des médecins, on voulait recevoir peut-être Stéphane Gaillet,
06:57 qui est d'ailleurs parti, je pense, mais qu'on a besoin des médecins,
07:01 et que les médecins aussi ont besoin de vous.
07:05 Moi, je dirais même plus, les médecins ont besoin des naturopathes,
07:09 les naturopathes ont besoin des médecins, ils ont bossé ensemble, et ça, ça va être génial.
07:13 (Applaudissements)
07:15 Alors, un petit mot sur le port du masque, puisque moi, en vaccin ARN, j'y connais rien,
07:21 donc je laisse parler Alexandra et elle en parle très bien.
07:24 Mais le masque, c'est mon chemin, et je me suis rendu compte au fur et à mesure de mes études
07:29 que j'ai pu faire tomber tous mes a priori sur le masque,
07:32 qui ne sert à rien, y compris au bloc opératoire, en tout cas pour arrêter une infection.
07:37 C'est-à-dire que les équipes portent ou ne portent pas le masque, c'est exactement la même chose.
07:42 Il n'y a pas de plus de contamination sur le patient qui est opéré.
07:45 Et ce n'est pas parce qu'on postillonne dans le ventre qu'il s'infecte.
07:49 Il n'y a pas plus d'infection.
07:51 La seule chose à laquelle sert le masque au bloc opératoire,
07:54 c'est d'éviter que le porteur du masque soit contaminé par des projections de sang,
07:59 des projections de salive, des projections d'humeur, etc.
08:02 Les projections de sang, ça peut arriver, dans une carrière de chirurgien,
08:06 ça arrive des dizaines de fois où une petite giclée de sang, ça prend sur le visage,
08:10 et on est content d'avoir eu un masque.
08:12 Mais pour éviter la contamination du patient, c'est zéro.
08:16 Donc imaginez bien que la mamie qui fait 80 ans,
08:19 qui doit monter avec son cap à la course, l'héroïne de Boula de Surmer,
08:22 je vous promets que ça monte, avec son masque en plus sous le nez,
08:25 parce que sinon elle suffoque, c'est du pipo.
08:29 En fait, il faut vraiment qu'on se dise que le port du masque,
08:35 pour chacun ici, vous qui avez des enfants, vous qui avez des aînés,
08:40 c'est non. Et c'est non négociable.
08:43 Et là-dessus, vous devez être ferme.
08:46 Parce que si vous laissez le petit doigt dans l'engrenage du port du masque,
08:51 le petit doigt va vous entraîner jusqu'au point d'injection.
08:55 Je ne fais pas une quenelle, d'accord ?
08:57 Ne vous y méprenez pas.
08:59 Mais il faut déjà, à partir de là, à partir du masque,
09:02 et c'est ce qu'on aurait déjà dû faire en 2020, c'est non.
09:06 Non, vous ne passerez pas. Non.
09:08 Je voudrais, enfin en tout cas pour moi,
09:13 je trouve, et je ne suis pas le seul,
09:16 qu'il est inutile, non seulement inutile, mais également nuisible en population générale.
09:21 Ça n'est qu'un objet démonstratif de la soumission du peuple.
09:26 Ça c'est flagrant.
09:29 Je voudrais en profiter aussi,
09:32 ici il y a plusieurs soignants qui ont été suspendus,
09:35 on en a entendu quelques-uns qui ont pris la parole.
09:38 Je voudrais vous remercier, vous rendre hommage,
09:41 et également à tous ceux qui vont nous entendre via les réseaux,
09:44 parce que vous n'avez pas été nombreux,
09:49 à peu près 10-15 000 suspendus, empêchés d'exercer d'une diverse manière,
09:54 mais ça a été vraiment un chiffre important malgré tout.
10:01 J'étais persuadé que si le verrou soignant sautait pour ce qui est de l'obligation vaccinale,
10:12 tous les autres verrous sauteraient,
10:15 les enfants, les femmes enceintes, avec l'obligation.
10:19 Mais il y a eu un petit nombre qui a dit non.
10:22 Il y a eu un village d'irrécultibles qui a dit non, c'est non négociable,
10:26 et c'était les soignants suspendus qui ont préféré perdre leur statut social,
10:30 qui ont préféré perdre leur job.
10:32 Certains en sont morts.
10:35 Il y en a qui se sont suicidés,
10:37 il y en a qui sont dans la misère.
10:38 Je connaissais une soignante qui faisait la manche.
10:41 Dans un pays comme la France, c'est un pur scandale.
10:45 Mais grâce à cela, j'ai la faiblesse de croire que c'est grâce à ces soignants
10:53 qui ont tenu le coup, même s'ils n'étaient pas nombreux,
10:55 qu'il n'y a pas eu d'obligation dans tous les autres corps de métier,
10:58 de tous les âges.
11:00 Alors, un vibrant hommage à tous les soignants suspendus.
11:03 (Applaudissements)
11:11 Merci.
11:13 Voilà.
11:15 C'est gentil, mais j'ai pas fini.
11:17 (Rires)
11:21 Alors, en avril, les pompiers, les ambulanciers,
11:27 les administratifs des hôpitaux, les jardiniers des EHPAD, les cuisiniers, etc.
11:30 J'essaie d'oublier personne, mais tous les suspendus.
11:34 En avril 2021, j'ai eu vraiment une crainte là-dessus,
11:39 parce que dans l'hôpital où je travaillais,
11:41 il y avait 94% des médecins qui étaient vaccinés.
11:47 94%, il restait plus que 6% qui refusaient.
11:51 On est en avril, hein.
11:52 Donc, aucune obligation encore.
11:54 L'obligation s'est passée par la loi du 4 août, du 5 août.
11:59 Et à ce moment-là, je me suis dit "c'est foutu, ça va sauter".
12:04 Et en fait, j'ai regardé les chiffres des infirmières et des aides-soignantes.
12:07 Les infirmières, c'était un peu plus de 50%.
12:10 Les aides-soignantes, à peine 40%.
12:12 Je veux dire que plus on a de diplômes...
12:15 Comment je vais vous dire ça ?
12:18 Plus on est conformes et obéissants.
12:22 D'accord ?
12:24 Je voudrais profiter ici pour rendre aussi un hommage
12:33 à quelqu'un que vous avez tous beaucoup apprécié,
12:35 qui nous a quittés, c'est Olivier Soulier.
12:37 C'est rien de dire que j'ai perdu mon grand frère.
12:42 Je pense que je me suis rendu compte que si j'avais perdu mon propre frère,
12:46 ça m'aurait fait le même effet.
12:48 Et je me souviens, et je me souviendrai toujours,
12:51 comme pour le 11 septembre, je me souviendrai toujours
12:53 de où j'étais et ce que je faisais quand on me l'a annoncé.
12:56 Olivier m'a appris à soigner des patients Covid.
13:00 Il m'a appris un peu d'homéopathie.
13:02 Il m'a appris à gérer aussi des patients qui ont été injectés.
13:05 Il nous laisse un héritage immense et qu'on n'a pas fini d'explorer.
13:10 Et je vous invite à aller voir sur le site "Sens et Symboles",
13:14 qui est son propre site, où il a tout recueilli, ce travail qu'il a effectué.
13:20 Il va bientôt y avoir un livre qui va sortir,
13:23 avec les travaux d'Olivier.
13:27 Je vous rappelle aussi que 15 jours avant son décès,
13:32 il a reçu en Italie, des mains du professeur Giuseppe Trito,
13:36 le prix Humanity Award pour toute son action pour la médecine.
13:42 Et durant la période Covid.
13:45 Le professeur Giuseppe Trito est quand même le président de la World Academy for Biomedicine and Technology.
13:51 C'est pas rien.
13:52 Il avait bien constaté ce qu'on était en train de vivre,
13:58 c'est-à-dire que c'était une destruction programmée de notre système de santé.
14:03 Et d'ailleurs, en avril dernier, le président de la République nous l'avait dit,
14:10 je pense que c'était le 27 avril,
14:12 il avait dit, dans un passage dans un hôpital périphérique,
14:15 il avait dit "on est en train de tout réinventer,
14:17 mais c'est difficile de tout reconstruire quand tout n'a pas d'abord été détruit.
14:21 Demandez le programme."
14:23 On a parlé des neuf bonimenteurs, je ne vais pas revenir dessus.
14:26 On a tous des noms en tête.
14:28 On a des milliards d'années de noms en tête.
14:31 Aujourd'hui c'était pour un rassemblement pour Amine, ce matin,
14:37 qui s'est battu comme un beau lion,
14:40 et franchement, un soldat comme lui, ça fait plaisir à connaître.
14:45 C'était aussi pour Louis Fouché, cet après-midi, vous avez entendu ses réactions.
14:49 Demain, à Lille, au conseil régional de l'Ordre des médecins à Lille,
14:54 va passer quelqu'un qui est beaucoup moins connu,
14:57 et son nom ne vous dira certainement rien.
14:59 Elle s'appelle Andrea Vicolle.
15:01 Elle est médecin gériatre.
15:03 Et Andrea a été convoquée au conseil disciplinaire
15:07 parce qu'elle a prescrit de l'hydroxychloroquine avec une association.
15:12 Je cite l'intitulé du conseil départemental de la Ouellet,
15:18 avec un site "complotiste".
15:21 Elle soigne des gens, elle les soigne gratuitement,
15:25 elle passe au conseil de l'Ordre.
15:27 Ça fait un peu histoire répétée avec d'autres personnes.
15:30 Maintenant, qu'est-ce qu'on va devoir faire ?
15:32 On va se trouver en situation de devoir gérer
15:35 à la fois un système de santé qui s'écroule
15:38 et des nouvelles pathologies.
15:41 Louis nous a parlé tout à l'heure de la protéine Spike,
15:45 des spikes opatiques qu'il va falloir gérer dans tous les sens,
15:48 avec toutes ces complications cardiaques, neurologiques,
15:52 et tous ces turbocancers qui démarrent.
15:55 Et je peux vous dire, pendant les remplacements que je fais,
15:58 des turbocancers, j'en vois.
16:00 Les médecins qui sont sur place font pas le lien.
16:02 Moi je le fais.
16:04 A tort ou à raison, j'en sais rien.
16:06 Mais il y a quand même des choses assez surprenantes.
16:08 Quand une personne, en deux mois de temps,
16:10 fait deux cancers différents,
16:12 en un an de temps fait trois cancers différents,
16:14 et que vous avez ces choses-là à gérer en une seule nuit,
16:16 c'est quand même un peu particulier.
16:20 Alors maintenant, qu'est-ce qu'il va falloir faire
16:22 pour toutes les personnes qui croient encore à la vaccination
16:24 et qui veulent faire leur dose suivante ?
16:26 Je vous propose un petit exercice d'ironie.
16:31 Tout ce que vous allez pouvoir dire, sortir comme étude,
16:33 ça passera pas.
16:35 Par contre, vous pouvez leur dire,
16:37 "Ok, tu veux faire ta quatrième dose ? Très bien.
16:39 Tu as pris rendez-vous ? C'est quand ? La semaine prochaine ? Ok.
16:41 Est-ce que tu veux pas que la veille,
16:43 on passe chez le notaire, j'aimerais bien te vendre ta maison en viagé,
16:46 te racheter ta maison en viagé ?
16:49 Vous me semez une petite graine.
16:51 C'est juste de l'humour, ça va passer,
16:53 et après il fait ce qu'il veut. D'accord ?
16:55 Voilà, je crois que j'ai terminé,
16:57 j'ai dit tout ce que je voulais. Ah oui !
16:59 Donc, vous avez entendu parler de la plainte au Conseil de l'Ordre
17:03 pour les neuf bonimenteurs,
17:05 mais sachez que le CSAPE,
17:09 un collectif d'avocats,
17:11 fait également des démarches,
17:13 mais elles, pas au Conseil de l'Ordre,
17:15 en pénal, et ça va même remonter
17:17 au Tribunal pénal international de la Haye
17:20 pour crimes contre l'humanité.
17:22 [Applaudissements]
17:25 Comme le disaient certains de mes intervenants dans mes émissions,
17:28 je vous ai parlé tout à l'heure du professeur Guiseppe Trito,
17:31 mais également je voudrais citer Tiffaine Pinsol,
17:34 qui aurait dû être avec nous ce soir, mais qui est bloquée chez elle.
17:37 Bisous, Tiffaine.
17:39 Et Anne-Lise Bloquet,
17:41 qui est une immunologue, qui est intervenue aussi dans mes émissions.
17:45 Il s'agit d'une putain d'arme biologique.
17:48 D'accord ? Je ne mets pas de filtre.
17:51 Ce qui se passe, nous sommes victimes d'une arme biologique.
17:55 Et donc on ne peut pas en rester là.
17:57 Bien sûr, il y aura des plaintes au Conseil de l'Ordre
18:00 pour les médecins des plateaux télé et les télétubules,
18:03 qui nous ont plongés là-dedans,
18:05 mais il y a aussi les décideurs politiques.
18:08 Il y a plusieurs personnes qui sont citées dans ces plaintes,
18:13 notamment les présidents des conseils ordinaux,
18:17 les anciens,
18:19 et le président de l'Académie de médecine également,
18:22 qui est dedans dans cette plainte.
18:25 Plus tous les hommes politiques que vous connaissez bien,
18:28 et ce n'est pas la peine de les citer ici.
18:31 Mais on ne sait pas si ces journées de plaintes vont aboutir,
18:36 mais le simple fait qu'elles existent,
18:38 ça doit nous donner de l'espoir pour continuer,
18:40 parce qu'on ne peut pas laisser ces crimes impunis.
18:44 Maintenant...
18:46 (Applaudissements)
18:48 Alexandra nous le disait, je vous le redis,
18:50 restons unis, restons en lien,
18:52 échangeons ensemble nos compétences.
18:54 Il faut beaucoup de solidarité, il me semble.
18:56 Ce n'est pas la peine de commencer à se taper dessus en disant
18:59 que tu es pro-Poutine, que tu es anti-Poutine, etc.
19:01 Moi j'ai vu des gens dans la Résistance,
19:03 moi j'appelle quand même ça la Résistance,
19:06 qui disaient...
19:08 Ils étaient tout à fait d'accord ensemble sur le Covid,
19:12 tout à fait d'accord ensemble sur ce qui se passe en Ukraine,
19:15 bon, c'est comme ça,
19:17 mais qui se déchirent sur le conflit actuel.
19:19 Il faut quand même que vous vous rendiez compte
19:21 qu'on occulte une situation par une autre qui paraît plus grave
19:26 pour vous faire oublier la précédente.
19:28 Mais nous on n'oubliera pas.
19:30 Vous pouvez nous faire faire tous les conflits du monde,
19:33 nous n'oublierons pas ce que vous nous avez subi pendant la crise Covid,
19:37 et on vous le fera sentir.
19:39 Et tout ça, on le fait pour nos enfants, d'accord ?
19:43 Tout ça on le fait pour nos enfants, on ne le fait pas pour nous.
19:45 Donc il faut continuer, il ne faut rien lâcher.
19:48 Voilà. Merci à vous.
19:52 Merci d'avoir été là, parce que vous donnez du sens à tout ce qu'on vous subit,
19:56 médecins, scientifiques, soignants, sous-commandés.
20:00 Au revoir.
20:01 (Générique)
20:06 (Générique)
20:09 [SILENCE]