Laughter Work du 25 Octobre 2023

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01:12 Voilà chers téléspectateurs bonsoir c'est un plaisir de vous retrouver sur la
01:21 CRTV bien sûr le rendez-vous c'est l'afterwork votre moment de pure détente
01:25 après une journée de dur labeur moment de décompression avec bien
01:29 entendu la Dream Team bien installée ce soir encore je voudrais justement sans
01:34 plus attendre passer le bonsoir à Ashley. Bonsoir comment tu vas ce soir Ashley?
01:38 Good evening Dexter, I'm very fine, I am in a very good mood today as compared to yesterday.
01:46 Yesterday I was a little bit exhausted I had a lot of things to do I was going
01:50 back and forth between Ballot 2 and the ministry but I think today I'm really
01:54 fine I'm strong and I'm healthy but I have to say something at the back door
01:58 when I met Dexter we're trying to you know exchange words Dexter came on set
02:03 Dexter was like "Ah Ashley tu es très ravissante" so thank you very much Dexter.
02:07 Je vous souhaite la présentation. D'accord.
02:09 Je vous aimerai les compliments.
02:11 Vous les femmes là, ça va bien?
02:14 Ah ça va Dexter. Voilà, toutes jolies aussi.
02:17 Ça va?
02:19 C'est que quand je suis avec Ashley, je n'ai pas encore maîtrisé Ashley.
02:24 Je suis un peu déstabilisé.
02:27 Là je regarde Ashley, quoi dans les yeux.
02:30 D'accord, ça fait du bien.
02:32 Alors, si donner un autre coup de gueule du jour pour commencer?
02:35 Voilà, Dexter on va commencer le coup de gueule par Seb, Amsel, Amki, qui sont toujours en train de mal nous répondre.
02:40 Tu arrives au marché, tu veux m'acheter la commerce, tu veux pas acheter, tu laisses, tu veux pas acheter, tu laisses.
02:44 On se demande si c'est la commerce.
02:46 On ne sait pas, elles sont toujours nerveuses.
02:48 Tu demandes le prix de la banane.
02:50 Oh madame, vous aimez convenir, si vous êtes une nage, vous les femmes des ministres là, vraiment, vous vous moquez de nous.
02:55 On ne sait pas. Elles sont nombreuses qui nous regardent.
02:58 Toujours en train de mal répondre aux clients.
03:01 On ne sait pas ce qui se passe. Où elles ont mal dormi, où il y a pas le marché, on ne sait pas.
03:05 Donc, nous ne sommes pas responsables de vos humains.
03:08 Je ne pense pas, c'est parce qu'elles n'ont pas bien dormi.
03:11 Ils disent que l'argent investi dans l'éducation n'est jamais un dérèglement.
03:15 Beaucoup de gens, parfois, manquent de pouvoir communiquer.
03:18 La communication est clé.
03:20 Beaucoup de gens qui vendent dans le marché sont parfois très frustrés par ce qui se passe derrière.
03:25 Ils doivent aller à la ferme, ils doivent acheter, vous avez un moyen de marché,
03:28 où vous achetez du moyen, et le moyen achète du vendeur.
03:32 Il y a beaucoup de choses qui se passent et parfois, ils sont très fatigués.
03:35 Quand ils voient des clients qui viennent, et que le prix va être peut-être un peu plus bas,
03:38 ils vont dire "c'est pas bon aujourd'hui".
03:41 C'est vrai que c'est une activité où il y a beaucoup d'impolités.
03:45 Peut-être c'est aussi dû à l'éducation de ces femmes-là.
03:49 Ce sont des femmes qui se lancent dans l'activité commerciale, sans comprendre le B.A.B. du marketing.
03:53 Parce que pour vendre, il faut attirer les clients, et elles ne le savent pas le faire.
03:57 Mais dans tous les cas, passons le bonsoir à toutes nos soeurs.
04:01 Elles sont utiles à la société, donc ça c'est très bien.
04:04 Nous allons retrouver tout à l'heure un universitaire, le Dr Von Lobivia, qui nous rend visite ce soir.
04:10 Il est donc chef-service de la coopération extra-africaine à l'Université de Yaoundé 1.
04:15 On va donc vous expliquer un peu comment ça fonctionne de ce côté-là,
04:18 et puis tous les mécanismes relatifs à l'obtention des bourses pour aller étudier à l'étranger,
04:23 si vous êtes étudiant à l'Université de Yaoundé 1.
04:25 On en parle tout à l'heure, mais pour l'instant, on va jouer, chers téléspectateurs.
04:28 Voici la question du jour.
04:31 [SILENCE]
04:40 Question du jour, chers téléspectateurs.
04:43 Quel est le traité qui fait du Cameroun un protectorat allemand ?
04:48 Je reprends la question.
04:49 Quel est le traité qui a fait du Cameroun un protectorat allemand ?
04:53 Si vous connaissez le nom de ce traité, répondez à la question au numéro qui s'affiche à l'écran.
04:58 Ashley, la question en anglais, s'il vous plaît.
04:59 La question du jour en anglais, c'est
05:01 Quel est le traité qui a fait du Cameroun un protectorat allemand ?
05:05 Je reprends la question.
05:06 Quel est le traité qui a fait du Cameroun un protectorat allemand ?
05:10 Vous pouvez jouer en utilisant les numéros sur votre écran pour gagner une carte de communication
05:13 ou un rideau pour gagner l'opportunité d'être ici en direct sur Laugh Tower.
05:17 D'accord. Maintenant que vous avez pris la question et que vous êtes en train de chercher à trouver la bonne réponse,
05:23 je demande à tous les autres de s'installer confortablement
05:26 parce que maintenant l'émission peut démarrer.
05:28 Chers téléspectateurs, la première escale est incontournable.
05:31 C'est une rubrique que vous attendez tous.
05:33 Voici donc le JAPAP !
05:36 D'accord. Avec Sidoni et Banga, rebonsoir Sido.
05:48 Rebonsoir.
05:49 Beaucoup d'actualités dans le JAPAP ce soir,
05:51 notamment pour commencer l'incroyable prestation remarquable du gardien des liens d'honneur d'honneur table hier soir en Champions League.
05:59 André Onana a fait trembler la planète.
06:01 Exactement, Desteur. Il est populaire en ce moment.
06:04 Il s'agit, on le dit, André Onana, le but qui permet de sauver la victoire de Manchester United.
06:10 En tout cas, on vous permet de revivre cet instant grâce à cette vidéo.
06:14 Allez, c'est parti.
06:16 Face à André Onana, c'est parti pour le Suédois.
06:21 Le pénalti stoppé par André Onana, fêté évidemment comme il se doit par tous ses coéquipiers.
06:29 Il aura eu un énorme arrêt à faire ce soir.
06:33 Un, le Camerounais, et c'est aussi la marque des grands...
06:36 Et c'est terminé !
06:37 Incroyable !
06:39 Incroyable, Sébastien.
06:41 C'est un pénalti important, c'est à la fin du temps réglementaire.
06:46 Donc à ce moment du match, Manchester mène un but à zéro.
06:50 Et à la fin du match, la bite concède ce pénalti à l'adversaire.
06:53 Donc s'il y a égalisation, c'est la fin du match, c'est un but partout.
06:57 Et André Onana, dont on sait que le pénalti n'est pas son exercice favori, va faire l'arrêt qui va tout changer.
07:03 Et ça, Desteur, nous sommes tous contents.
07:05 Mais Desteur, ce qui me dérange, c'est pourquoi les gens sont très contents quand même ?
07:09 Parce qu'on n'a pas l'habitude d'arrêter quand même.
07:11 Parce que sur la toile du Quai, on a l'habitude de un but, un but, on ne comprend pas.
07:17 Mais nous sommes quand même contents parce que c'est quand même le portier camerounais,
07:20 c'est le 237 qui est représenté du côté de l'international.
07:24 Alors il y a eu des commentaires quand même sur la toile.
07:26 On a Marie-Esther qui dit "Zéro humilité pour le continent camerounais".
07:29 En tout cas, félicitations à notre Lyon.
07:32 Ça c'est Marie qui le dit.
07:34 On a Salomon qui dit "Bravo champion, tu es le meilleur gardien du monde".
07:39 On a Jérémy qui dit "Bravo André Onana".
07:43 Oui, bravo André Onana quand même.
07:45 Ça voit quand même que depuis un temps, ce n'est pas assez fort.
07:48 On a vu le début de Manchester.
07:50 Il a eu un début de saison difficile avec Manchester United.
07:52 Mais de plus en plus, il est en train de retrouver la confiance et ça fait du bien.
07:55 En tout cas, on a vécu André Onana.
07:58 Alors Desteur, on va partir dans un Japon qui est très important.
08:01 Il faut rappeler que les gens qui ont des téléphones de 2010 à 2014,
08:06 WhatsApp va partir.
08:08 Quoi? Mais qu'est-ce que tu racontes là?
08:10 Oui, oui, oui.
08:12 Donc WhatsApp va maintenant choisir des téléphones?
08:14 Oui, à partir d'aujourd'hui.
08:15 Vraiment, ne t'inquiète pas, ton téléphone n'est pas permis.
08:17 Elle a le iPhone 17 Pro Max.
08:21 Donc c'est grave.
08:23 C'est une image qui est sécure sur la toile depuis aujourd'hui.
08:26 Donc ceux qui ont des téléphones à partir de 2010 à 2014,
08:29 WhatsApp ne va plus fonctionner.
08:31 Donc vous avez l'habitude de ne pas acheter les téléphones.
08:33 Dès que c'est gâté, tu passes le manque, tu mets le scotch.
08:35 Donc toi aussi, WhatsApp ne va plus passer.
08:38 Alors Desteur, tu as quel téléphone?
08:40 Non, non, ça va.
08:41 La marque n'est pas importante, mais c'est un téléphone actuel.
08:44 C'est les derniers sortis quand même.
08:46 Donc c'est éligible sur WhatsApp.
08:48 Je pense que la chose la plus importante n'est pas de parler du changement de téléphone,
08:55 mais aussi d'en parler.
08:57 Parce que nous savons déjà que nous sommes passés d'un téléphone analogue à un téléphone numérique.
09:01 Maintenant, si tu as un téléphone de 2010, ou bien même de 2009 ou 2008 à 2014,
09:07 je le décriverais d'une manière analogue.
09:10 Parce que tu sais que la technologie continue d'évoluer.
09:14 Parfois, tu prends ton nouveau téléphone de 2015,
09:17 ou peut-être, désolé, pas de 2015, mais de 2017 à 2023,
09:21 il y a tellement d'updates sur le téléphone.
09:23 Alors, il faut que tu te gardes en contact.
09:25 Et la seule raison pour laquelle tu dois te garder en contact,
09:27 c'est pour avoir un téléphone qui est très en contact.
09:29 Même quand tu as WhatsApp, parfois, WhatsApp sort de ton téléphone
09:34 pour te demander si tu peux t'enchaîner ton WhatsApp.
09:36 Donc je pense que ce que fait Mark Zuckerberg, c'est quelque chose qui est en train d'applaudir.
09:40 Alors, bien, c'est quand même une annonce qu'on voit chaque année,
09:42 et qui n'a jamais été réalisée.
09:44 Ça, il faut le dire, c'est pas la première fois que j'entends parler de ça.
09:46 Oui, c'est vrai, les communautés n'ont plus peur.
09:48 Alors, c'est un deep fake ou bien c'est vraiment à part de fériés?
09:50 Oui, c'est à part de fériés. En fait, hier c'était le 24.
09:53 Il faut rappeler que la note a commencé à fonctionner à partir d'hier.
09:56 Mais bon, il y a certains, je ne sais pas si c'est la blague,
09:58 mais il y a certains qui disent que vraiment, WhatsApp ne marche plus.
10:00 Oui, on ne va pas donner le nom de téléphone pour éviter la publicité.
10:03 En fait, grâce à WhatsApp, la vente de téléphone va augmenter.
10:06 Oui, les gars de Kennedy sont très contents depuis ce matin sur la toile.
10:09 Mais n'allez pas à Kennedy acheter des téléphones, hein.
10:11 Vous allez vous retrouver au CED.
10:13 D'accord, il y a eu des commentaires sur la toile.
10:15 Il y a eu un commentaire de Thierry qui dit "ça va commencer sur le téléphone de mon ex".
10:20 Oh là là, on ne comprend pas pourquoi ça va commencer sur le téléphone de son ex.
10:24 On a Jude qui dit "le pauvre n'a plus de place dans ce monde. La technologie crée la ségrégation sociale".
10:32 Non, c'est pour les riches maintenant.
10:33 Oui, ça sera pour les riches.
10:34 On a F de Sao qui dit "les telles inventions de Nanoué là, vous allez vraiment souffrir".
10:41 En tout cas, moi, je ne suis pas dans les téléphones de Nanoué.
10:44 Alors, on va continuer en parlant de ce comédien tchadien qui a décidé d'écrire le nom de Mani Bela sur sa tête.
10:53 On ne sait pas, Mani Bela est en vogue quand même.
10:55 Oui, il est populaire en ce moment.
10:56 Très populaire quand même.
10:57 Je vous permet tout simplement de regarder l'image.
11:00 Mani Bela.
11:02 Sur sa tête ?
11:03 Oui, c'est Mani Bela.
11:04 Est-ce qu'il a justifié son acteur ?
11:07 Il dit qu'il aime Mani Bela.
11:09 Il aime Mani Bela, c'est un comédien qui réside du côté du Tchad.
11:12 Il est amoureux de Mani Bela.
11:14 J'espère que Mani Bela a vu ça.
11:16 Il n'y a rien de mal.
11:17 Si vous vous amusez, vous ne pouvez pas contrôler qui vous amuse.
11:20 Si vous vous amusez, vous exprimez vous-même.
11:22 Je pense qu'il n'y a pas de problème.
11:24 Vous pouvez trouver l'amour de n'importe quel pays, de n'importe qui, irrespective de son statut financier.
11:28 Je pense que le gars est très courageux et qu'il a pu exprimer son amour pour Mani Bela.
11:33 Si j'étais Mani Bela, je lui donnerais une chance.
11:35 Ça veut dire que si quelqu'un...
11:36 Mais Ashley, est-ce que tu es contente ?
11:38 Tu es contente ?
11:39 Non, je suis contente parce que cette personne m'aime pour de vrai.
11:44 Parce qu'on a un vrai amour et un faux amour.
11:46 Si quelqu'un peut montrer au monde que je l'aime, c'est pourquoi je dis que c'est vraiment intéressant d'applaudir.
11:51 Si j'étais Mani Bela, je lui donnerais une chance.
11:54 En tout cas, c'est le continent qui est toujours aussi représenté du côté...
11:57 On a plusieurs voisins, Dester.
11:59 On a plusieurs voisins.
12:00 On a nos voisins qui sont représentés.
12:02 On va terminer, on va parler de cette vidéo où les enfants ont décidé d'encourager Francis.
12:06 Car vous savez que le match est le 28.
12:08 Oui, le duel, le choc des titans.
12:11 28 octobre, Aria dans l'Arabie Saoudite.
12:14 Francis Ngannou contre Tyson Fury.
12:16 C'est le match attendu.
12:17 Ça va chauffer.
12:18 Il faut rappeler aux téléspectateurs que toute la famille de Francis Ngannou est là de ce côté pour une première fois.
12:23 Donc je vous invite tout simplement à regarder cette vidéo.
12:26 Est-ce qu'on l'aura la vidéo ce soir ?
12:33 On va attendre un peu.
12:36 On l'aura peut-être...
12:38 Pas aussi.
12:39 Bon, si on ne l'a pas...
12:41 On attend.
12:42 Est-ce que c'est possible ?
12:43 Sinon, on va remercier Sidonie pour le japa.
12:48 Merci beaucoup.
12:49 On se dit à...
12:50 A demain.
12:51 A demain pour un autre japa.
12:52 Pour un autre japa.
12:53 Elle voulait dire "déjà le mondial".
12:55 Je crois qu'il y a moyen de la regarder.
12:58 On va y aller.
12:59 C'est parti.
13:01 Je suis Francis Ngannou.
13:05 Nous sommes les enfants du complexe de l'école de visite.
13:15 Dans le pays de Jacob.
13:20 Je vous souhaite de bonne chance.
13:26 Et de bonne énergie.
13:35 En préparant à entrer dans la rue.
13:43 Le 5 28 octobre.
13:52 Voilà, très belle vidéo émouvante.
13:54 J'espère que Francis a regardé la vidéo.
13:56 Et dans tous les cas, nous sommes sûrs d'une chose.
13:58 Lorsqu'il reviendra au Cameroun, sa première destination, ce sera cette école.
14:02 Il a même ses amis ici sur le plateau.
14:06 Quand Ngannou arrive, il part et il reste avec eux là-bas.
14:10 C'est pas normal.
14:14 Il avait des amis sur le plateau.
14:17 Les amis de Samuel et tout.
14:18 Vous faites-les venir à l'after ?
14:20 Oui, on va manger à terre.
14:24 C'est moi qui fais toutes les décisions sur le plateau.
14:27 Merci Sidonie, c'était eux.
14:29 J'adore.
14:31 Vous êtes sur l'afterwork, chers téléspectateurs.
14:34 Avant de retrouver notre invité du jour, on va prendre l'instant comédie du jour.
14:39 C'est parti.
14:40 Je suis très heureux de vous voir.
14:44 Je suis très heureuse de vous voir.
14:47 La maison de derrière, quand tu la connaissais, vers les tombes, il a vendu.
14:52 La veranda, il a vendu.
14:54 La tombe du grand-père, il a vendu.
14:57 Maintenant, on n'a pas à m'appeler.
15:00 Bonsoir.
15:02 Je suis très heureux de vous voir.
15:05 Je suis très heureux de vous voir.
15:09 Je suis très heureux de vous voir.
15:12 Je suis très heureux de vous voir.
15:16 Je suis très heureux de vous voir.
15:19 Je suis très heureux de vous voir.
15:22 Je suis très heureux de vous voir.
15:25 Je suis très heureux de vous voir.
15:28 Je suis très heureux de vous voir.
15:31 Je suis très heureux de vous voir.
15:34 Je suis très heureux de vous voir.
15:37 Je suis très heureux de vous voir.
15:40 Je suis très heureux de vous voir.
15:43 Je suis très heureux de vous voir.
15:46 Je suis très heureux de vous voir.
15:49 Je suis très heureux de vous voir.
15:52 Je suis très heureux de vous voir.
15:55 Je suis très heureux de vous voir.
15:58 Je suis très heureux de vous voir.
16:01 Je suis très heureux de vous voir.
16:04 Je suis très heureux de vous voir.
16:07 Je suis très heureux de vous voir.
16:10 Je suis très heureux de vous voir.
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16:16 Je suis très heureux de vous voir.
16:19 Je suis très heureux de vous voir.
16:22 Je suis très heureux de vous voir.
16:25 Je suis très heureux de vous voir.
16:28 Je suis très heureux de vous voir.
16:31 Je suis très heureux de vous voir.
16:34 Je suis très heureux de vous voir.
16:37 Je suis très heureux de vous voir.
16:40 Je suis très heureux de vous voir.
16:43 Merci, c'était le moment de rire de cette émission.
16:46 Nous allons passer à des choses un peu plus sérieuses.
16:49 Nous retrouvons à l'instant notre invité du jour.
16:52 Il nous retrouve sur le plateau de l'after work.
17:03 Dr. Vando Bivia, bonsoir et bienvenue sur l'after work.
17:06 Comment vous allez?
17:08 Ça va bien, monsieur Alain Gessin.
17:10 Merci à tous d'avoir pris le temps de venir faire l'after work avec nous.
17:13 Elles sont là, les charmantes dames.
17:16 Je vous présente Ashley.
17:19 Quand je lis le nom de docteur, je me demande si je suis un gynécologue, un ophtalmologue ou peut-être un oncologue.
17:25 Ou vous êtes un docteur à l'université.
17:28 Je suis très heureux de vous voir.
17:31 Merci beaucoup.
17:34 Je voudrais savoir qui est le docteur.
17:37 L'ancien de PhD du doctorat.
17:40 C'est la tueur française.
17:43 C'est ça.
17:46 C'est Donnie Ebenga qui sera votre voisine.
17:49 Vous vous installez, vous êtes sur l'after work.
17:52 J'espère que vous allez très bien.
17:55 Je me sens à l'aise.
17:58 Je vais me permettre de vous présenter.
18:01 Je connais les littéraires.
18:04 Vous êtes chargé de cours en littérature moderne et comparée.
18:07 C'est ça.
18:10 Écrivant, essayiste avec à votre actif un roman, deux essais et onze articles publiés au plan national et international.
18:17 Alors docteur, vous êtes également chrétien pratiquant, ancien de l'église.
18:23 Mais vous n'êtes pas du tout tendre envers l'église.
18:26 J'ai paru votre livre, votre roman intitulé "Rédemption".
18:29 C'est un véritable coup de pied dans la fourmilière.
18:32 C'est pour ça que je voulais commencer l'émission avec cette question.
18:35 Qu'est-ce qui vous a inspiré l'écriture de ce roman "Rédemption"?
18:38 Je crois qu'on va regarder les visuels.
18:41 Alors "Rédemption", parlez-nous-en docteur.
18:44 Merci monsieur Alain Dessert de me passer la parole.
18:47 Je voudrais d'abord, avant de répondre à cette question, saluer tous les téléspectateurs.
18:54 Je voudrais saluer le professionnalisme de cette grande chaîne de télévision.
18:59 Que j'aime regarder parce que l'information est plus au sérieux.
19:05 Vous savez, il suffit d'une mauvaise information pour qu'il y ait la guerre dans un pays.
19:11 La CRTV, c'est n'est-ce pas, contrôler l'information.
19:18 Je ne voudrais pas dévoiler d'autres chaînes de télévision.
19:20 C'est pour ça que moi j'aime regarder la CRTV.
19:22 Donc je dis bravo à tous les journalistes.
19:24 Merci beaucoup.
19:25 Je salue le directeur, le directeur général, Charles Nouveau.
19:29 Je voudrais aussi saluer tous mes collègues qui travaillent ici.
19:33 Tous mes amis, tous mes camarades qui sont ici à la CRTV.
19:36 Je voudrais donc maintenant répondre à votre question.
19:39 D'entrée de juste, je voudrais vous dire que "Rédemption" c'est un livre de foi.
19:44 C'est un livre qui justifie ma foi.
19:46 Parce que je suis ancien pratiquant.
19:49 Il y a quelque chose qui m'a un peu...
19:53 Allez-y docteur.
19:55 Il y a quelque chose qui m'a un peu éclairé au niveau de l'église.
19:58 L'église aujourd'hui est devenue un milieu où se passe beaucoup de commerce.
20:03 Donc je critique, je condamne le marketing religieux.
20:06 Donc il y a peu de complaisance sur les textes qui régissent l'église.
20:10 Et moi, à mon avis, je crois qu'il est temps de revisiter l'église.
20:14 De reformuler, n'est-ce pas, les lois de l'église.
20:18 Et c'est pour ça que vous voyez le titre "Rédemption", c'est-à-dire le rachat de nos péchés.
20:22 Moi je parle particulièrement de l'église féministe cameroonaise.
20:26 Mais en général il s'agit de l'église où le choix est vraiment complaisant de ceux qui doivent parler au nom de Dieu.
20:33 On se rend compte qu'il y a des pasteurs de métier.
20:38 Et il y a des pasteurs de vocation.
20:40 Et arrivé à l'église, chacun fait à sa tête.
20:44 Il y a des pèlerinages avec les femmes des gens.
20:47 Beaucoup d'athérisme aussi.
20:49 Et on fait des monéages comme si être consacré à un poste à l'église c'était une nomination.
20:56 Ou on rend un gain.
20:58 Donc c'est un marketing qui appelle plutôt les gens à cultiver au nom des dirigeants qui peuvent être les pasteurs.
21:06 Généralement c'est ça.
21:08 Et puis la division provient du fait que ces pasteurs créent des groupes d'amitié pour combattre d'autres qui veulent parler, qui veulent dire la vérité.
21:17 Merci beaucoup M. Oumouia. J'espère que ce roman attirera l'attention de notre ami Serge Pout de l'émission "Ponctuation".
21:25 Ce serait très intéressant de venir en parler.
21:27 Alors vous venez d'intégrer l'administration universitaire puisque vous dirigez depuis quelques temps le service de la coopération extra-africaine de l'université de Yarondé 1.
21:36 Alors est-ce que vous pouvez nous situer un peu votre service dans l'organigramme de l'université Yarondé 1.
21:43 Oui je parlais surtout au niveau de la coopération.
21:47 L'université Yarondé 1, comme d'ailleurs toutes les universités du Cameroun, il y en a 11 déjà, les 11 universités détiennent des services de coopération.
21:57 Au niveau de Yarondé 1, nous avons une direction des affaires académiques et de la coopération.
22:03 Je voudrais profiter avant de présenter la DAC, de dire bonjour à son illustre directeur, le professeur Oumouia Kouma, et à toute l'équipe de la DAC, à tous les collaborateurs qui nous regardent à cet instant précis.
22:18 Donc c'est lui donc qui coiffe la coopération, mais elle est supervisée par M. le recteur de l'université Yarondé 1.
22:23 Bon maintenant, il y a trois divisions au niveau de la DAC. Nous avons la DPE, c'est-à-dire division des enseignements et du personnel enseignant.
22:33 Nous avons la DRD, la division de la recherche et du développement.
22:39 Donc moi je t'ai vu au niveau de la DCU, c'est-à-dire la division de la coopération universitaire.
22:46 Alors, pour être clair dans mon propos, je voudrais vous dire que là, tout est bien structuré.
22:52 Parce qu'au niveau de la division de la coopération universitaire, il y a deux chefs de services.
22:56 Il y a le service de la coopération nationale et inter-africaine. Il y a la coopération extra-africaine, aujourd'hui, chef de service.
23:07 Ça veut dire que tout au long de cette émission, je ne parlais que de la coopération extra-africaine.
23:13 Alors Ashley, justement, tu avais une question pour le docteur.
23:17 Oui, docteur. Tout d'abord, lorsque vous parlez, j'ai l'impression que je parle avec un compendium de lexicon.
23:24 C'est-à-dire, en entendant parler, j'ai l'impression que je parle avec un dictionnaire.
23:31 Parce que la littérature n'est pas facile, vous savez, avec la métaphore, avec le simile, avec l'humour blanc et l'hindou.
23:39 Mais j'ai aussi envie de savoir, d'abord, docteur, d'où avez-vous vraiment eu votre inspiration?
23:45 Est-ce qu'elle est dépendante d'un défi de vie quotidien ou d'une expérience?
23:48 Ou est-ce qu'elle est dépendante, peut-être, des étudiants en classe?
23:54 Merci. Je vais devoir répondre à votre question en français.
23:58 D'accord. C'est bon.
24:00 Donc, je vais répondre en français. Je vous ai dit que l'expérience, oui et non. J'ai 25 ans de classe.
24:05 Donc, j'ai enseigné d'abord 10 ans au Collège catholique Père Monty, ici à Rwanda.
24:11 Et puis, j'ai enseigné au Collège Adventiste d'Odja et au Collège Le Bon Berger.
24:16 Dans des places incertaines qui trouvent que je n'ai pas d'expérience, l'expérience, il y en a.
24:20 Et puis, je suis à 13 ans à l'Université d'Aoude.
24:23 Donc, en dehors de cette fonction d'enseignant, vous avez suivi, je suis auteur d'un roman de deux essais.
24:28 Donc, j'aime le travail. Je maîtrise le travail et j'aime travailler.
24:32 J'aime, n'est-ce pas, me lancer dans des dossiers pour sortir la vérité qui se trouve derrière les dossiers.
24:40 Donc, j'aime vraiment le travail.
24:41 Merci beaucoup.
24:42 Mais ma vraie question est de vous demander dans quel pays maintient en fait TALS, TALS Cooperative avec l'Université de Yaoundé?
24:49 Merci beaucoup.
24:50 Bon, à cette question, je l'ai déjà dit. Ce qu'il faut savoir, c'est que la coopération s'est faite, je peux dire à quoi niveau à l'Université de Yaoundé.
24:59 La coopération est d'abord nationale parce que vous avez des IPES, les Instituts Privés d'Enseignement Supérieur, qui sont des partenaires à certaines universités camerounaises.
25:09 Tout simplement parce que ces IPES fonctionnent comme des sous-traitants.
25:14 Bon, il y a de nouveaux enfants qui vont à l'école là et qui vont servir la République.
25:18 C'est pour ça que les universités d'État ont un regard académique, pédagogique si vous voulez, sur la manière, n'est-ce pas, de former, n'est-ce pas, ces étudiants.
25:28 Alors justement, docteur, la question, Hache les renvoie justement à la coopération extra-universitaire pour savoir aujourd'hui quels sont les pays étrangers qui collaborent avec votre université.
25:38 Oui, j'en venais sur ça, monsieur Alain Dessert, parce que maintenant au niveau africain, il y a des universités africaines où je ne suis pas des chef de service.
25:48 C'est pour ça que, il vaut la peine que j'explique comme ça, que c'est la coopération nationale et inter-africaine qui maîtrise mieux les pays africains, qui ont des relations avec l'université d'État.
25:58 Bon, maintenant au niveau international, je peux vous dire que tous les pays, tous les continents ont des relations avec nous, c'est-à-dire l'Asie, l'Europe, l'Amérique.
26:11 Mais dans ces relations, vous allez constater qu'avec la France, avec l'Union Européenne, cette coopération est intense, parce que l'université d'Août-de-Homme entretient au moins plus de 30 accords cadres avec les universités européennes.
26:31 Et puis, en deuxième lieu, on peut y aller avec le Canada. L'Asie, la Turquie, qui a une coopération avec nous. Donc, c'est comme ça.
26:42 Donc, de nombreux pays entretiennent des relations avec l'université d'Août-de-Homme. Et c'est très bien coordonné. Il y a des conventions, c'est suivi.
26:52 Et c'est pour ça que pour qu'il n'y ait pas d'amalgame au niveau de ces relations internationales, on a divisé le service, la division de la coopération, le serre-en-deux.
27:05 Coopération nationale et inter-africaine. La coopération extra-africaine.
27:10 D'accord, docteur, nous vous retrouvons dans quelques instants. Le temps d'accueillir Naya, qui vient justement de nous retrouver sur l'acteur.
27:16 On va vous montrer son entrée rapidement. Naya, tu nous retrouves. Alors, tu vas changer de poste, puisque Sidonie est là. Tu vas passer de l'autre côté.
27:23 Je crois que son micro est toujours là-bas, non? Tu lui positionnes son micro, Ashley. On va la retrouver directement pour la Bitpolis. C'est parti!
27:39 Naya, bienvenue. Et très rapidement, parce que comme tu es là, il faut rapidement y aller avec la Bitpolis. C'est parti.
27:46 Bonjour, docteur. Bonjour à tous sur le stade. Et bonjour à nos vues et à nos spectateurs. Désolé pour le début. J'avais quelques choses à gérer.
27:54 Aujourd'hui, Bitpolis va parler de dreadlocks, un haute-couture que je suis sûre que beaucoup de nous connaissent.
28:00 Aujourd'hui, je parle de dreadlocks parce que ce haute-couture est très stéréotypique.
28:06 Beaucoup de gens voient le dreadlock comme un haute-couture pour les thieves, ou pour les gens qui boivent de la viande ou prennent des drogues.
28:12 Je voulais que nous utilisions Bitpolis pour éduquer nos vues et nos spectateurs.
28:16 Les dreadlocks sont notre culture. Ils sont un symbole de liberté, de spiritualité et de nombreuses autres choses.
28:24 Ashley, que penses-tu des gens qui portent dreadlocks?
28:26 Quand j'étais jeune, je voyais toujours des gens avec dreadlocks comme des ex-convicts.
28:32 Je me souviens que Bormali était un smoker. Il y a des jours où les gens célèbrent Bormali et font ce qu'ils appellent le baptême du smoke.
28:44 On a toujours vu des gens avec dreadlocks qui n'étaient pas très responsables dans la société.
28:49 Ma mère m'avait toujours dit que si on portait un gars avec dreadlocks sur sa tête, je n'allais pas l'accepter comme son fils-en-law.
28:54 On a toujours eu des gens qui allaient dans un espace public, dans un ministère ou dans un CRS.
29:00 Si quelqu'un sort avec un dreadlock et qu'il a un tatouage et qu'il veut dire "director-general de CRS", personne ne va vous prendre au sérieux.
29:07 Depuis qu'on est retournés à l'école, on a mis beaucoup de restrictions sur le vêtement.
29:11 L'identité de notre culture est refusée dans certaines institutions.
29:16 J'ai lu un article où les maîtres de la classe ont coupé les dreadlocks de la tête des enfants car ça les a enlevé de leur identité.
29:25 J'ai voulu utiliser cette opportunité. Le problème est que les gens qui portent ces dreadlocks sont souvent très insensibles.
29:32 C'est cette nature insensible qui les fait ne pas prendre au sérieux.
29:38 Je veux donc conseiller à nos vieux spectateurs que si vous portez un dreadlock et que vous devez le porter,
29:44 Daniel a des dreadlocks très sains.
29:46 Laissez-les être aussi sains que Daniel ou très sains pour que vous vous ressemblez.
29:51 Et arrêtons les stéréotypes concernant les dreadlocks car c'est un hairstyle pour notre culture.
29:59 Merci Naya. Bonsoir à tous les dreadlocks.
30:03 On ne va pas vous chasser. Ce n'est pas des coiffures pour des étudiants en modèle.
30:11 Alors, docteur Vandobivia, vous restez avec nous.
30:14 Une question qui nous vient de l'opinion publique, c'est des intérnautes qui nous écrivent.
30:19 Il y a une certaine opacité selon l'opinion publique qui règne autour du mécanisme doctoire des bourses.
30:26 On parle d'affairisme, de partenarisme parfois et même de clanisme.
30:31 Qu'est-ce que vous répondez à cela et quelles sont les garanties que vous donnez au niveau de la transparence sur le droit des bourses ?
30:36 Vous qui gérez un des services importants dans le mécanisme de l'auteur des bourses à l'Université de Ronde 1.
30:41 Merci M. l'investisseur. Je voudrais répondre directement que c'est mal connaître le droit des bourses dans les universités d'État.
30:51 Les bourses dans les universités d'État ne se gèrent pas comme les gens pensent.
30:55 On ne peut pas donner les bourses à tous les étudiants.
30:58 Vous ne pouvez pas avoir 9 ans comme on vous le dit d'habitude et prétendre aller étudier la mathématiques en France ou bien étudier l'anglais en Angleterre.
31:09 Les bourses sont offertes aux meilleurs étudiants. C'est une compétition. C'est un concours que les gens ne le savent pas.
31:18 Les nombres de bourses sont souvent limités. Nous avons des partenaires qui accompagnent les universités cambraises ou bien africaines.
31:29 Ces coopérations sont sur le plan de la solidarité. Il y a des comités qui siègent pour examiner certains critères dans les dossiers.
31:41 Nous qui sommes la coopération, nous n'avons rien à y voir. Les étudiants peuvent aller chercher leurs bourses en ligne.
31:51 Ils attendent la réponse en direct. Vous avez parlé tout à l'heure des téléphones Android.
31:57 Nous, ça ne nous regarde pas. Si vous avez des liens ou bien s'il y a des bourses à notre niveau, on vous donne le lien.
32:05 Vous traitez comme je suis à la professeure africaine. C'est l'université qui vous sélectionne, l'université partenaire qui vous dira qu'envoyez-nous telle ou telle information.
32:14 Le travail que nous faisons, si il faut donc vous répondre à votre question, vous savez que les bourses sont conventionnées.
32:20 C'est-à-dire que les bourses sont réglementées. Il y a une loi ou un règlement qui accompagne les bourses.
32:27 Et seul le recteur de l'université de la Ronde est le principal responsable des bourses. C'est lui qui signe ces conventions.
32:34 Cela fait que quand vous avez une bourse, il y a des éléments que nous recherchons. C'est le travail que je fais au niveau de mon service.
32:42 Je veux examiner d'abord l'aspect pédagogique. Après l'aspect pédagogique, je veux regarder l'aspect financier.
32:49 Qui va financer la bourse ? Je ne reconnais même pas. Il y a l'AEF qui finance, il y a l'Agence française de développement, il y a l'ONU, il y a l'Union Européenne, il y a d'autres partenaires et son nombre.
32:59 Alors, nous on regarde aussi l'aspect juridique. Est-ce que les thèmes de cette université cadrent avec les nôtres ?
33:07 Est-ce que nos étudiants qui partent à l'étranger peuvent vivre dans la sécurité ?
33:12 Nous, ça ne nous regarde pas. Si on vous refuse la bourse, ce n'est pas une affaire de dire qu'il y a ceci ou cela. Non.
33:20 Cela répond déjà presque à la question de Sidoli.
33:23 Oui, ma question c'est quels sont les critères pour un étudiant d'assister à une bourse ?
33:29 D'abord, il faut être éligible dans la bourse qui est offerte. Est-ce que la bourse que vous sollicitez répond à votre formation universitaire ?
33:40 Cela s'ajoute aussi à la moyenne. Est-ce que vous avez une bonne moyenne ?
33:45 On ne peut pas laisser quelqu'un qui a 17 moyens et prendre quelqu'un qui a 9. Vous ne voyez pas ça ?
33:51 Ou bien quelqu'un qui a 6 moyens, qui se lève pour chercher la bourse et aller au cathédrale du népotisme.
34:02 Il y a aussi le fait qu'il faut anticiper parce qu'il y a des délais. Il faut avoir l'information au bon moment.
34:10 Vous voyez, tous ceux qui ont reçu des bourses cette année vont partir. Ils attendent des visas, ils attendent cet hébergement.
34:17 D'autres ne partent pas avant. Il y a aussi le fait qu'il faut être jeune.
34:23 Les bourses ne sont pas pour les pères et les pères.
34:27 Je vais peut-être acheter une bourse.
34:29 Docteur, j'ai un grand défi à répondre à ce que vous avez dit.
34:32 Qu'est-ce qu'il y a de quelqu'un qui a tous les crédentials ?
34:35 La personne qui cherche l'accréditation de l'université de Yaoundé,
34:38 qui a un diplôme, qui veut aller à l'université,
34:52 qui a un diplôme, comment vous pouvez lui donner l'accréditation ?
34:56 Le fait que vous ne connaissez pas la personne, c'est la première chose.
34:59 Vous ne pouvez pas voter pour la personne, c'est la deuxième chose.
35:02 La personne peut être une étudiante moyenne. Je vais prendre un exemple.
35:05 Comment vous pouvez donner une accréditation à quelqu'un qui n'a pas été à l'université pour aller étudier
35:11 en raison de l'accréditation qu'ils ont obtenue ?
35:14 Merci, c'est une bonne question. Je vous réponds immédiatement.
35:17 C'est pour ça que j'ai parlé de la convention.
35:20 Quand vous avez reçu l'emploi d'une bourse, ça n'a rien à voir même avec la licence.
35:28 La personne habilitée à recevoir votre requête, c'est M. le recteur.
35:33 Quand M. le recteur reçoit votre demande de signature d'une convention de bourse,
35:39 parce qu'on ne voyage plus comme ça, c'est comme je vous l'ai dit, c'est réglementé.
35:42 Vous allez écrire une lettre et M. le recteur va envoyer à la coopération universitaire,
35:49 au service concerné, on vous dit "étude".
35:52 Vous voyez ça ? Nous, on prend dans le dossier d'une manière honnête et sincère,
35:58 en regardant les thèmes dont je vous ai parlé tout à l'heure.
36:01 Et puis, déjà aussi, il faut payer vos droits universitaires.
36:05 Non, tu ne l'as pas encore inscrit.
36:08 C'est peut-être quelqu'un qui vient d'avoir son BAPT et la personne veut l'accréditation.
36:13 Ça a été inscrit à l'université.
36:16 C'est impossible.
36:19 Peut-être que je ne veux pas être explicite à ce niveau.
36:23 D'abord, pour être éligible à une bourse universitaire, il faudrait être inscrit à l'université.
36:30 Et solvable, totalement solvable.
36:33 Il faut payer.
36:34 Et ces bourses, il y a des conventions, des accords cadres que nous signons avec les universités étrangères.
36:40 Peut-être que j'en parlerai de ça si M. Alain Dessert me donnera l'occasion.
36:44 Parce que la coopération amène d'ailleurs beaucoup d'innovation.
36:48 Il y a beaucoup de choses qui ont changé dans la co-tutelle.
36:51 Donc, c'est ça que nous regardons.
36:53 Est-ce que vous êtes inscrit ?
36:55 Il s'agit du master 2, ou bien du master, si vous voulez, ou bien du doctorat.
37:00 Est-ce que vous appartenez à une école doctorale ?
37:03 Parce que c'est la première condition qu'on demande même pour qu'on étudie votre dossier.
37:07 Quand est-ce qu'on vous a sélectionné au cycle de doctorat ?
37:11 On vient passer un bon matin et on dit "j'ai écrit un livre". Non !
37:14 Ces gens vont nous adresser des correspondances pour une voie claire.
37:18 Et ces gens ont des accords cadres avec nous.
37:22 Donc, ce n'est pas au hasard que ça se fait.
37:24 Alors, docteur, l'un des avantages de la coopération universitaire, c'est la double diplomation.
37:30 Mais est-ce que ce n'est pas un système qui favorise la fuite de nos cerveaux ?
37:33 Parce que justement, les bourses demandent que nos meilleurs étudiants ailleurs.
37:39 Mais la plupart ne reviennent plus.
37:41 Est-ce que ce n'est pas un système qui favorise la fuite de nos cerveaux ?
37:44 Parce que la plupart, après leur formation, ils se mettent là-bas et ils commencent à travailler là-bas.
37:48 Merci, monsieur Alain de Sémestier et à toute l'équipe.
37:51 Là, vraiment, il faut saluer l'effort du gouvernement.
37:54 Le gouvernement a vraiment beaucoup fait à ces niveaux.
37:57 Il faut saluer le travail des titans comme l'a fait le ministère de l'enseignement supérieur.
38:02 On va donc saluer l'éminent professeur Jacques Fahm Ndongo.
38:08 Jacques Fahm Ndongo, à qui je dis également bonjour aujourd'hui.
38:11 Monsieur le directeur du point de l'enseignement supérieur, le possédeur de Charles-Laurent Omba.
38:15 Je voudrais dire que vous savez aujourd'hui, l'emploi est devenu rare.
38:20 Le gouvernement parle aujourd'hui d'un étudiant, d'une entreprise.
38:25 Donc, on a essayé de libéraliser ces bourses-là pour donner plus de chances aux étudiants de s'installer là où ils veulent.
38:36 Les conventions sont là. Nous parlons de double diplomation.
38:40 Cela veut dire que le diplôme que vous avez en France, quand vous êtes en co-tutel, est valable là-bas et en même temps ici.
38:48 Donc, sur le besoin de consommation des entreprises, d'abord les Français parlent de l'employabilité.
38:58 Donc, quand vous étudiez à l'un niveau, vous avez la possibilité de travailler aussi là-bas.
39:03 Si vous venez au Cameroun, vous avez aussi la possibilité de travailler dans une entreprise.
39:07 En esthère ?
39:09 Ce n'est pas toujours évident.
39:11 À un moment donné de la vie, à l'époque, on allait chercher les gens qui avaient des certificats d'études pour travailler.
39:19 Les gens qui avaient des brevets élémentaires, des baccalauréats, ce n'est pas le cas aujourd'hui.
39:24 Les docteurs sont là.
39:26 Les docteurs font le taxi.
39:28 Donc, il faut plutôt encourager l'esprit entrepreneurial dans cette université.
39:35 Un étudiant, une entreprise.
39:37 Ce sont les propos de notre ministre d'enseignement supérieur.
39:42 Je voudrais vraiment saluer les efforts du gouvernement à ces niveaux pour ne pas faire accroître le taux de chômage dans notre pays.
39:50 Ils peuvent s'installer, ils sont libres de s'installer ou de rentrer.
39:53 Mais le problème, c'est la employabilité.
39:55 Toi, professeur, en face d'un jeune Cameroonien, tu vas me conseiller des restos bien dérangés.
40:01 On ne peut pas encourager la fuite de nos frères.
40:08 C'est bien beau d'aller à l'étranger, chercher l'habitance, de penser à sa famille, de revenir.
40:15 Je vais vous faire une surprise.
40:17 Le président de l'université de Toulouse-Capitole est un Cameroonien.
40:25 Le professeur est un Cameroonien.
40:28 Il était avec nous au salon d'énermet pour la promotion des études françaises.
40:35 Il attendait une main à tous les étudiants Camerooniens qui veulent étudier à Toulouse-Capitole.
40:42 Mais pour lui, il ne s'agit pas d'aller étudier, il s'agit également de travailler quelque part.
40:46 Il faut encourager l'esprit entrepreneurial.
40:49 L'entreprise, c'est ça qui paye aujourd'hui.
40:51 Merci, Dr. Bonobivia.
40:53 Je ne suis pas tout à fait convaincu de voir partir tous ces gens qui ne reviennent pas.
40:59 Mais bon, en tout cas, je vous ai compris.
41:01 On va vous retrouver dans quelques instants pour terminer cet entretien.
41:06 Pour l'instant, on va regarder quelques vidéos amusantes de ce jour.
41:09 Mesdames et messieurs, voici les Wayfarer.
41:13 Les Wayfarer, vous savez que nous sommes en pleine saison de pluie.
41:23 Dans certaines villes du Cameroun, d'Afrique et même du monde, en pleine saison de pluie,
41:28 si vous ne savez pas nager, vous aurez de sérieux problèmes.
41:30 Il y a des quartiers où il faut savoir nager pour aller d'une rue à l'autre.
41:37 Regardez cette vidéo, vous allez comprendre.
41:40 Où ça va sortir?
41:44 [Rires]
41:52 D'accord, c'est ton quartier là?
41:55 Tu sais nager?
41:58 Je fais effectivement l'effort de nager comme ça.
42:00 Tu es obligée de faire de la nager?
42:01 Oui.
42:02 Alors, je vais vous dire quelque chose de très sérieux.
42:05 Parfois, vous vous croyez déjà en sécurité.
42:07 Mais vous vous sentez inventé alors que c'est là que vos problèmes commencent.
42:11 Regardez cette vidéo, vous allez comprendre.
42:13 [Rires]
42:29 D'accord, les Wayfarer, le troisième du jour, chers téléspectateurs,
42:32 quand vous trouvez quelqu'un en train de manger son manioc,
42:36 vous allez pouvoir aussi le digérer.
42:39 Donc ne venez pas se demander de donner votre manioc.
42:44 Je vais vous goûter ça. Faites attention.
42:46 Parce que chacun sait comment il gère son manioc.
42:49 Regardez.
42:52 [Rires]
43:09 Oh là là, le pauvre.
43:11 Et puis maintenant, vous savez que depuis, vous me demandez le farotage.
43:15 Oui.
43:16 Et tu l'as déjà main donnée.
43:17 Non, non. En fait, j'ai déjà la volonté.
43:20 Ce qui manque, c'est l'argent.
43:22 [Rires]
43:23 Regardez ma vidéo, je suis à l'église en train de penser comment vous faroter.
43:26 Regardez.
43:28 [Musique]
43:31 Regardez comment il farote la suie.
43:33 [Musique]
43:38 Oh.
43:40 Le farotage.
43:42 Oh, le farot, le farot.
43:44 Même biais.
43:45 [Rires]
43:46 [Musique]
43:50 D'accord. Voilà, c'était les Wayfarers, chers téléspectateurs.
43:55 Alors, Ashley, are you ready?
43:58 I thought you wanted to say Naya, that's why I'm not ready.
44:01 Non, c'est une question de fin. Donc il n'y a vraiment pas de souci pour Naya.
44:04 Pour l'instant, nous allons prendre Ashley, mesdames et messieurs. Voici donc le Zapping.
44:09 [Musique]
44:15 Le Zapping avec Ashley, c'est parti.
44:17 Good evening, teller viewers and thank you for joining us.
44:20 I was make sure, I was look at my time so that I gave you, ok.
44:24 It's 20 minutes past 5 p.m. on the CRE TV.
44:27 And of course, this is the time to give you vital information and of course to entertain you
44:31 and to inform you to tell you about some of our most important from the top to the least program.
44:37 But there's no least program because your favorite program might not be my favorite program.
44:40 And so CRE TV is a compendium of entertainment, infotainment, information and of course everything that you can think of.
44:46 Now I want to start with the 50th anniversary of the Advanced School of Mass Communication.
44:50 You know it has been going on for three days from Monday to Wednesday today and it's going to end today.
44:54 And you know, ASMA has birthed a lot of big people in the country today.
44:58 Like you have the director General Charles Ndungu and there are so many more.
45:01 Like even the director of the Yonde-2 University, that's Professor Adolf Minkoshe and many more.
45:06 And of course it's still birthing a lot of people that are coming up in the society.
45:10 And of course we want you to not move an inch to sit and watch some of their excerpts to tell you about their experience.
45:16 To tell you how and what they went through in the Advanced School of Mass Communication.
45:20 They are what they are today because of ASMA.
45:22 So I give you a rendez-vous to tune on to CRE TV News once it's 9pm to watch this 50th anniversary.
45:28 And so let's watch the excerpts.
45:30 D'abord que c'était une institution de lutte.
45:36 Je voulais être bandolo ou rien.
45:38 C'est une grande école qui a su résister à l'usure du temps dans ces ans-ci qu'elle a su s'adapter.
45:47 L'éthique a contribué à nourrir ma passion pour l'écriture.
45:51 À l'éthique, on forme nos journalistes et on forme l'homme de manière débatte.
45:57 C'est grâce à l'éthique aussi que j'ai construit la plume de journaliste d'aujourd'hui.
46:03 L'éthique est une école à part entière de communication.
46:08 CRE TV News
46:12 CRE TV News
46:23 On est à Testimony.
46:25 Parlons de la santé.
46:27 La santé est quelque chose que vous ne pouvez pas acheter.
46:29 La santé est inévitable.
46:32 Je dis toujours à la personne que si vous êtes très en bonne santé, vous avez tout en vous.
46:36 Vous n'avez pas besoin d'être très bien financièrement pour savoir que vous êtes très en bonne santé.
46:39 Dans l'édition de demain, nous parlons du cancer du ventre.
46:42 Notre santé est un capital précieux.
46:44 Beaucoup de gens meurent de cancer du ventre, de négligence.
46:47 Les gens le découvrent très tard.
46:48 Les hommes souffrent de cancer du ventre.
46:51 Il y a une minorité de gens qui souffrent de cancer du ventre.
46:55 C'est une maladie qui est valeuble à aller voir le médecin.
46:58 Parfois, il faut faire un scan pour savoir ce qui se passe dans les tissus du ventre.
47:05 Dans l'édition de demain, nous avons un oncologue qui spécialise en cancer.
47:09 Il va nous montrer le type de cancer.
47:11 Est-ce un tumor bilatéral ou un tumor myeliné?
47:13 Si vous avez déjà vécu un cancer, vous savez ce que je parle.
47:16 C'est une chance pour vous de ne pas perdre demain à 11h00 sur le CRSV pour en savoir plus sur le cancer.
47:22 Voyons voir.
47:24 L'oncologue dit en cet homme, vous avez un cancer du sein.
47:28 Après les séances de chimiothérapie, j'ai perdu mes cheveux, j'ai perdu tous les poils de mon corps.
47:37 Mes porcs étaient ouverts. Je ne devais pas être exposé au soleil.
47:42 C'est l'apparition des métastases qui déterminent la gravité de la maladie.
47:49 On dit que c'est une tumeur maligne quand il s'agit d'un cancer.
47:54 Et quand on parle de tumeur bénigne, c'est que ce n'est pas un cancer.
47:59 Les effets secondaires touchent principalement les tissus qui ont un taux de renouvellement rapide.
48:05 Nous sommes de cancer, nous sommes de tumeur et nous sommes d'un oncologue.
48:12 Parlons maintenant de l'infidélité dans le couple.
48:15 L'infatilité dans le couple.
48:17 Dans notre tradition africaine, on est obligé de se réprocréer une fois marié.
48:22 Et une fois que vous n'avez pas l'opportunité de se réprocréer, ça pose des problèmes.
48:26 Et ça devient plus difficile quand vous avez des enfants qui vous dérangent.
48:29 Parce qu'ils veulent des enfants. Mais parfois, ce n'est pas seulement la faute des femmes.
48:32 Les hommes sont parfois aussi très barrés, austères, qu'ils ne peuvent pas se réprocréer.
48:36 Donc, vous avez des gens sur scène qui viennent vous partager leur expérience et vous dire ce qu'ils ont vécu.
48:41 Peut-être d'une façon ou d'une autre, Dieu les a bénis.
48:43 Après 14 ans, après 20 ans, après 2 ans.
48:45 Mais je ne pense pas que ce soit votre portion.
48:48 Et bien sûr, je veux que vous vous réjouissiez ce soir, à 5h10, sur CRTBC, dans "Les Glaxons".
48:54 Voyons ce qu'on a à dire.
48:56 Après 25 ans, on n'a pas encore d'enfants.
49:01 Et puis on voit ses voisins, ses cousines, ses soeurs.
49:05 Et puis en un ou deux, on se pose la question de savoir si on est normal.
49:12 Jésus, des tradis praticiens, des mamans, du village, comme on dit souvent, des naturopathes.
49:17 Et les tradis praticiens avec vous, vous avez duré combien de temps ?
49:20 C'était plus de 10 ans, en effet. Il était à durer 20 ans.
49:23 Tu te retrouves dans ta chambre seule. Parfois, on se demande si le Ciel nous a maudits, si Dieu nous a priés.
49:31 Après, je me suis déjà mise de côté que je pouvais être à nouveau maman.
49:34 J'avais 3 mois de grossesse, je n'ai pas su que j'étais en scène.
49:38 L'infertilité ne vient pas toujours de la femme, parce qu'il y a aussi des hommes qui ne peuvent même pas produire.
49:44 Qui n'ont plus de spermatozoïdes capacitaires.
49:47 Une émission n'est pas manquée ce soir sur les antennes de la CRTV.
49:54 22h05 et on va parler de l'infertilité dans le couple.
49:59 Est-ce que ça unit ou bien ça sépare le couple ?
50:02 En attendant, parlons de l'éducation des jeunes de Mborero.
50:06 Les Mborero sont des minorités dans la région nord-ouest de Cameroun.
50:10 Les gens qui ressemblent à Phil et...
50:12 C'est en fait une mixture.
50:15 Et bien sûr, on sait que l'éducation dans ce milieu de gens n'est pas vraiment quelque chose de réoccurrent.
50:21 Donc, une fois que vous rencontrez des jeunes de Mborero qui sont intéressés par l'éducation, c'est quelque chose de vraiment intéressant.
50:26 Ce programme arrive demain à 5h30, juste après la fin du travail.
50:30 Donc, si vous êtes intéressé comme moi,
50:32 voyons ce que ça peut vous offrir.
50:34 Les animaux de la région d'Edamawa croient que le caca de coton est une des solutions
50:40 pour aider les cattles et aussi pour garder leurs enfants dans les écoles.
50:45 La plupart des enfants de Mborero ne sont pas conscients de l'école.
50:52 Même leurs parents ne sont pas conscients de les envoyer à l'école.
50:56 Le caca de coton a beaucoup d'avantages pour la nourriture animale.
51:01 Par exemple, pour la production de lait et de la viande.
51:06 Le caca de coton, avec ses riches valeurs nutritionnelles,
51:10 peut mettre l'éducation des jeunes Mborero dans le bon et au-delà.
51:15 Avant de dessiner les cacas pour l'édition d'aujourd'hui,
51:22 êtes-vous un jeune, un jeune star aspirant ?
51:25 Est-ce que vous voulez devenir populaire ?
51:27 Est-ce que vous voulez être connu dans le domaine de la musique ?
51:29 Et bien sûr, avez-vous de la musique dans le marché qui ne vend pas ?
51:31 Venez à CRE TV, vous êtes en train de vous dépasser, c'est gratuit.
51:34 Nous avons un programme appelé "Joker"
51:36 où le but de ce programme, bien sûr,
51:38 est de propulser ou plutôt de tirer fort les jeunes stars qui ne sont pas connus
51:41 ou de faire des jeunes stars.
51:43 Nous aurons donc de la recruteur sur le 28 octobre 2022
51:47 à Mbala 2, ici à CRE TV.
51:50 Vous devriez venir, la recruteur commence à 10h00.
51:53 Vous ne pouvez pas vous en perdre.
51:55 Le recruteur se déroule à 10h00, je le répète encore,
51:58 à 10h00, au studio 1 de Mbala 2, CRE TV,
52:02 le 28 octobre, le samedi.
52:04 A l'heure actuelle, si vous êtes très heureux comme moi,
52:06 et j'espère vous rencontrer demain,
52:08 fort et en santé, si Dieu le veut.
52:09 N'est-ce pas, Docteur ?
52:11 Au revoir.
52:12 OK, merci Ashley.
52:14 A demain pour la dernière émission de la semaine.
52:17 Alors, Docteur Van Der Buille, nous allons nous séparer.
52:20 Le temps court rapidement.
52:22 On a eu une émission avant, celle de Naya.
52:24 Alors, on sait que l'administration est très absorbante.
52:27 J'en sais quelque chose parce que j'ai passé quand même 14 ans dans l'entreprise.
52:30 Alors, je voulais savoir si ça vous laisse quand même du temps
52:33 entre la gestion du service, les réunions.
52:35 Est-ce que ça vous laisse du temps pour vos travaux de recherche
52:38 et vos activités littéraires ?
52:40 Est-ce que vous vous préparez un nouvel ouvrage quand même ?
52:42 Qu'est-ce que vous faites actuellement ?
52:44 Merci, Monsieur Alain Dessert.
52:46 Tout dépend de l'organisation dans la vie.
52:48 Il faut être organisé.
52:50 Il faut savoir repartir son emploi de temps.
52:52 Donc, en dehors de mon service, je m'occupe également de mes recherches.
52:57 Il y a un nouveau roman qui arrive.
53:00 Je ne voulais pas dévoiler le titre.
53:02 Je suis en train de l'achever.
53:04 Et moi, vous serez au courant.
53:06 Donc, nous, on travaille quand même toujours du temps, après le repos,
53:09 pour faire d'autres choses.
53:11 Quelques personnes à remercier quand même ?
53:13 Je voulais d'abord vous remercier, comme je l'ai dit.
53:16 Mais je voulais, pour terminer, saluer trois personnes, si vous le permettez.
53:21 Allez-y, c'est votre antenne.
53:23 Je voudrais saluer le président de la section De La Haut-Homme,
53:25 le Dr Jean-Sylvain Vandeau.
53:27 Je voudrais saluer ma charmante épouse,
53:30 Madame Vandening-Antoniette Abemjan-Christian.
53:37 Je voudrais saluer un ami,
53:39 je vais aller dire un confident,
53:41 le professeur Enes Monyobon.
53:43 Et monsieur Alain Dessus, s'il vous plaît, je vous demande,
53:46 je peux, juste une seconde ?
53:48 Allez-y, rapidement.
53:49 Je voudrais avoir une pensée pieuse,
53:51 pour les mémoires de tous mes enseignants.
53:53 D'accord.
53:54 En commençant de la matinée,
53:57 de l'école primaire, du secondaire, au collège et de l'université.
54:01 Je voudrais penser ici au professeur André-Marie Thionbet,
54:05 au professeur Ambiana,
54:07 au professeur Dacy,
54:10 au professeur Fosso,
54:13 à Madame Mathilde Zoua,
54:15 et sans oublier Marie-Louise Messine-Dogo,
54:19 professeur Fosso.
54:21 Et maintenant, nous sommes en train d'attendre le programme des obsèques
54:23 de notre enseignant, le docteur Onamou, qui est de Korya.
54:27 Je prie toute personne de nous faire parvenir le programme de ces obsèques,
54:31 pour que nous puissions nous organiser, nous les anciens étudiants de l'université d'Ayaouné-Homme.
54:37 Voilà les gens qui l'ont marqué.
54:39 Je voudrais associer à ceci les mémoires de ma mère et de mon grand frère.
54:46 Alors, Naya, la question de Naya, voilà.
54:48 Donc, docteur, avant de vous prendre le déjeuner,
54:50 je voudrais vous demander si vous avez un message ou un conseil pour vos étudiants et étudiantes de partout au monde,
54:55 en particulier ceux qui vont à l'université pour la première fois, les jeunes.
54:58 Aux étudiants?
55:00 Oui, je voudrais sincèrement dire aux étudiants d'être heureux d'être à l'université,
55:06 qu'ils travaillent, qu'ils cherchent de bonnes manoeuvres, pas de coopération, pas de bourse.
55:11 Ce sont les meilleurs étudiants qui méritent la bourse.
55:14 On ne vient pas à l'université pour faire la recherche.
55:17 Faire la recherche, c'est faire reculer le champ d'ignorance.
55:20 Il faut, n'est-ce pas, accéder et chercher à accéder à ce monde de lumière.
55:23 Donc, je leur demande d'être juste patients.
55:26 Cette souffrance-là, c'est la somme de la vie, mais après, on finit toujours par devenir quelqu'un.
55:30 Donc, c'est ça.
55:31 Merci au docteur Vendore Viviac qui est passé nous voir à Hachene.
55:35 La question du jour est sa réponse.
55:37 La question du jour est ce qui est le traité qui rend Cameroun un territoire protégé du royaume.
55:43 Bien sûr, c'est le traité du Royaume Indien.
55:45 Il a été signé le 12 juillet 1884 et le flot a été hosté au Cameroun le 14 juillet 1884
55:52 en montrant que le Cameroun est devenu un territoire protégé du royaume.
55:58 Merci Hachene.
55:59 Et notre gagnant du jour, dans les mains du professeur, du docteur Vendore Viviac,
56:03 qui va donc nous tirer notre gagnant du jour.
56:05 Vous mettez la main derrière l'une et vous nous tirez le nom de notre gagnant du jour, docteur Vendore Viviac.
56:11 Merci.
56:12 Rapidement.
56:13 Il s'appelle ?
56:14 Mbwos Katerine.
56:15 D'accord.
56:16 Des Foulans.
56:17 Des Foulans.
56:18 Pas les Foulans de votre belle famille, j'espère.
56:20 D'accord, docteur, merci d'être venu nous voir et tous nos amitiés au directeur.
56:26 De la coopération.
56:27 Exactement.
56:28 C'est moi qui ai vu du merci.
56:29 Voilà, c'est ça.
56:30 J'aime voir, n'est-ce pas ?
56:31 Ashley.
56:32 Elle est parfaitement bien.
56:34 J'admire aussi notre sœur.
56:37 Attention, votre épouse regarde les musiques.
56:39 Ok, merci DJ Vendo, désolé, il a beaucoup plus la vie.
56:43 On se quitte en musique pour partir en beauté.
56:46 Merci à tous, à demain, 16h30.
56:48 Au revoir.
56:50 C'est pas moi qui suis parti, mais je ne suis pas allé loin.
56:53 Adi, Adi, je ne peux pas le voir seul.
56:57 Un homme ne peut pas faire une nation.
56:59 Il n'y a pas de moi sans toi.
57:01 Adi, Adi.
57:03 Un homme m'appelle, il m'appelle.
57:07 Les frères Kim m'appellent, il m'appelle.
57:11 L'Afterwork, une émission de fou rire, de détente et d'ambiance avec des invités de marque.
57:16 (Musique)