Après 25 ans de prison, Foley, un escroc de haute volée, pense qu'il ne pourra jamais mener une vie normale. Pourtant, quand il rencontre Iris, qui porte elle aussi son lot de regrets, il espère enfin que son existence va changer. Mais son destin le rattrape quand Ethan, le fils de son ancien complice, lui propose une affaire qu'il ne peut pas refuser : arnaquer son patron, Xavier, de la coquette somme de 8 millions de dollars...
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Court métrageTranscription
00:00 Si tu continues à faire ce que tu as toujours fait, tu continueras à être ce que tu as toujours été.
00:06 J'ai partagé une cellule avec un mec qui avait ses bouts tatoués sur la poitrine, en caractère japonais.
00:11 Après dix ans, le mec est sorti. Une semaine après, il s'est fait descendre pour avoir continué d'être ce qu'il a toujours été.
00:17 – Qui êtes-vous ? – Etal.
00:24 T'es le fils d'Eddie. Qu'est-ce que tu sais exactement de ton père et moi ?
00:29 Vous étiez les meilleurs amis, associés. Vous étiez des escrocs. Les meilleurs de la ville, d'après les anciens.
00:35 Seul ? C'est pas normal ?
00:43 J'arrive pas à me souvenir de la dernière chose dont j'ai été fière.
00:50 Tu as de sacrées compétences qui pourraient m'être très utiles.
00:54 De quoi tu parles ?
00:55 Je suis en train de monter une arnaque pour le Samaritain. J'ai le pigeon parfait.
00:59 Deux millions et demi de dollars.
01:01 Ça pourrait être ton chef d'œuvre.
01:02 J'ai besoin d'une chambre d'hôtel-classe pour me remettre en forme et où je pourrais régler les détails de l'arnaque.
01:08 Une femme pour faire la part. Et j'ai besoin d'un endroit où l'arnaque se déroulera.
01:13 Super ! Là, on est sur la même longueur d'onde, associés.
01:16 On n'est pas associés, Ethan. J'en ai eu un une fois. Je l'ai tué.
01:23 Tu croyais que j'allais faire quoi ? Te pardonner d'avoir tué mon père ?
01:25 Ceci est une arnaque.
01:27 Savez-vous qui je suis ?
01:29 Je sais exactement qui vous êtes.
01:31 Qu'est-ce que tu lui as dit ?
01:33 Personne n'ira nulle part. Appelle-le.
01:36 Rien ne change. Donc on n'y change rien.
01:47 [Générique]