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##A_VOTRE_ECOUTE-2023-10-31##
Transcription
00:00 Idealvoyance.fr, coaching de vie spirituelle par téléphone, chat et email présente
00:07 Sud Radio, à votre écoute, 16h-17h, Alexandre Delovane
00:12 Et bonjour à tous, alors je suis ravi de vous retrouver jusqu'à 17h, vous souhaitez participer à l'émission, c'est le 0826 300 300.
00:29 Cette émission, à votre écoute, parle de tout sujet et sans tabou.
00:34 Aujourd'hui, nous sommes à la veille de la fête de tous les saints, une période qui fait émerger en nous certaines émotions,
00:41 des émotions de tristesse, de colère, de commémoration à nos défunts.
00:46 Et le 31 octobre, c'est le jour d'Halloween, c'est un jour si spécial avec des traditions différentes en fonction de certains pays et de certaines cultures.
00:56 Et cette déclinaison de la fête de la Toussaint trouve sa source aux Etats-Unis.
01:01 Elle vient des colons venus d'Europe, ils avaient une tradition culinaire qui consistait à préparer des biscuits en hommage aux fidèles défunts la veille de la Toussaint,
01:11 et ils allaient ensuite les offrir sur les tombes.
01:14 Ainsi, les enfants allaient de porte en porte pour collecter ces sucreries en échange de prières pour les êtres aimés.
01:21 En résumé, c'était "si vous me donnez un bonbon, je vous promets de prier pour votre proche décédé".
01:27 A l'époque, ces enfants ne se déguisaient pas en petits monstres morbides ou en sorcières,
01:32 mais les cierges de procession étaient protégés du vent dans des citrouilles où n'avaient ces fameuses jacques aux lanternes,
01:40 devenues aujourd'hui des citrouilles typiques d'Halloween.
01:44 Aujourd'hui, Halloween s'est répandue dans le monde entier.
01:47 En France, elle est devenue une fête un peu mercantile avec ou sans déguisement.
01:53 Je suis à votre écoute et tout simplement, vous pouvez appeler le 0826 300 300.
01:59 Un groupe de paroles et de partage à votre écoute sur Facebook est ouvert pour poster vos avis et vos commentaires.
02:05 Nous sommes en direct live sur YouTube et aujourd'hui à la réalisation de l'émission, c'est Romain, on standard, Aude et Zach.
02:14 Sud Radio à votre écoute, Alexandre Delovane.
02:18 Et avant de donner la parole à Natacha, je me retourne vers Thomas, Thomas du Web,
02:23 pour voir un peu les commentaires qu'il y a sur le groupe à votre écoute sur Facebook.
02:27 Bonjour Thomas.
02:28 Bonjour Alexandre, bonjour à tous.
02:30 Alors c'est votre première dans l'émission.
02:32 Tout à fait.
02:33 Alors quels sont les commentaires, Thomas ?
02:35 Eh bien ça réagit sur la page Facebook.
02:38 Tout d'abord, on a Cédric qui nous explique que selon lui, c'est juste une fête qui a été détournée de façon lugubre et qui ajoute "trouver ça dommage".
02:46 Ensuite, on a Nicole qui nous donne aussi sa vision d'Halloween qui est, selon elle, une manière de démystifier la mort en moins tragique.
02:54 Alors elle nous explique un petit peu sa manière de vivre la tradition.
02:58 Je cite "J'allume des bougies un jour avant la Toussaint et j'essaie de me rappeler les bons moments de mes disparus.
03:04 Car au cimetière tout est triste. Je viens des Seychelles, les cimetières sont gays.
03:08 Une atmosphère de joie et de paix s'en dégage, cela m'a surpris en bien.
03:12 C'est une autre culture, mais elle est moins dramatique."
03:15 Merci Thomas, on vous retrouve tout le long de l'émission pour de nouveaux commentaires sur le groupe à votre écoute.
03:21 Et puis à présent, j'accueille notre première auditrice, Natacha.
03:25 Bonjour Natacha.
03:26 Bonjour Alexandre.
03:27 Bienvenue sur Sud Radio.
03:29 Merci.
03:30 Alors Natacha, je vais vous poser la question du jour.
03:33 Est-ce que vous fêtez vous Halloween et avez-vous des rituels à la veille de la Toussaint ?
03:39 Alors pas vraiment de rituels.
03:42 Pour ma part, c'est vrai que le 1er novembre est plus la journée où je fête les anniversaires de trois de mes amis.
03:48 Donc ça a plutôt ce côté un peu festif.
03:51 Et par rapport aux défunts, c'est vrai qu'on va y penser plutôt tout le reste de l'année et pas forcément un jour.
03:56 Donc je reste plutôt sur la version un peu américaine avec les citrouilles, le côté un peu gay de démystifier un petit peu la mort.
04:03 Et plutôt à la façon amérique latine avec toutes les couleurs.
04:06 Plutôt dans ce sens-là pour ma part.
04:09 D'accord. Donc vous y donnez quand même un côté coloré et festif.
04:12 Voilà. C'est vrai plutôt ça.
04:14 D'accord. Natacha, vous avez 46 ans et vous nous avez appelé récemment.
04:19 Vous souhaitez faire un retour aussi de témoignages.
04:22 Concernant une rencontre que vous avez faite il y a trois ans sur un site de rencontre.
04:26 Vous vous êtes vu longtemps de manière amicale et puis ensuite vous êtes sorti ensemble en 2020.
04:33 Cet homme était en couple, mais à l'époque, il disait qu'il mettait tout en œuvre pour se séparer de sa compagne.
04:40 Alors cette histoire est toujours d'actualité.
04:43 Qu'est-ce que je vous avais dit auparavant et à quel moment vous étiez passée à l'antenne de Sud Radio ?
04:49 Je suis passée en avril de cette année.
04:52 Oui, tout à fait.
04:54 Et suite au passage, j'ai mis fin à la relation deux semaines après vous avoir appelé.
05:00 Et qu'est-ce que je vous avais dit, moi ?
05:02 Vous m'avez dit que les sentiments étaient là, que l'homme en question était plutôt sincère,
05:08 et que c'était assez compliqué, qu'il fallait peut-être attendre deux ans,
05:12 et qu'il y avait un avenir potentiel avec cette personne.
05:17 J'ai initié la rupture parce qu'il fallait changer quelque chose pour que les choses bougent,
05:24 ou qu'elles aillent un peu plus rapidement.
05:26 C'est ce qu'il m'a dit d'ailleurs, le fait de rompre, peut-être que ça le ferait bouger plus rapidement.
05:31 J'ai quand même eu quelques messages et je vois qu'il n'est pas bien.
05:35 J'ai initié une rencontre, je suis censée le voir samedi,
05:39 parce que la rupture s'était faite au téléphone.
05:42 Ma question c'était d'avoir votre ressenti par rapport à cette rencontre.
05:47 Je reste dans l'espoir qu'on ait une histoire ensemble.
05:51 Je ne me sens pas prête à faire d'autres rencontres.
05:54 Je ne l'ai pas apprécié.
05:55 D'après votre ressenti, j'ai l'impression d'être un peu bloquée.
05:58 Oui, j'allais vous dire.
06:00 Est-ce que vous n'avez pas ce sentiment de blocage ?
06:02 Et peut-être, est-ce que cette histoire ne rend pas les choses un peu obsessionnelles ?
06:07 Tout à fait.
06:09 Pourquoi ? Est-ce que c'est parce qu'il y a un sentiment d'inachevé
06:12 et que vous avez besoin d'aller jusqu'au bout des choses ?
06:16 Ou est-ce que tout simplement il y a une petite voix intérieure
06:19 qui vous dit qu'il y a moyen et possibilité de vivre quelque chose ?
06:24 Oui, voilà.
06:26 C'est vrai que les paroles sont là, les actes n'ont pas suivi,
06:29 mais c'est vrai que la sincérité de ces sentiments sont quand même assez fortes.
06:33 Et de mon côté aussi, je n'arrive pas à, en tout cas entre avril et aujourd'hui,
06:36 c'est assez atténué, mais ça n'a pas disparu.
06:39 Je ne me sens pas capable d'aller retourner sur un site
06:45 et de faire de nouvelles rencontres, à moins de rencontrer quelqu'un dans la vraie vie.
06:48 D'accord.
06:49 Donc, je compte sur votre ressenti pour m'explorer.
06:53 On se voit à la vis-à-vis de la rencontre de samedi.
06:57 Voilà, vous allez vous revoir ce samedi.
06:59 Comment vous envisagez cette rencontre ?
07:02 Est-ce que vous y allez avec beaucoup de sérénité, de peur, de crainte ?
07:07 Ou est-ce que vous laissez faire le destin ?
07:11 C'est un petit peu mélangé.
07:12 J'ai envie de lui dire tout ce que je pense, que je cogite,
07:15 et que je ne lui ai pas dit en face, en fait, parce que déjà ça...
07:18 Mais oui, j'appréhende, je ne sais vraiment pas sur quel pied danser.
07:22 Alors, de ce que je ressens pour vous,
07:27 évidemment, je sens qu'il y a quelque chose de bon, de positif qui s'annonce samedi.
07:33 Sinon, il n'aurait peut-être pas accepté de vous revoir.
07:36 Par contre, n'oubliez pas, Natacha, ce qui s'est passé auparavant.
07:40 N'oubliez pas que cette relation est compliquée
07:43 et qu'il ne faut pas s'attendre à un dénouement de la situation tout de suite.
07:47 Il faudra patienter un petit peu,
07:49 mais je sens que les choses peuvent évoluer, avancer.
07:53 Maintenant, ce qui est important, c'est vous.
07:56 Je suis d'accord avec cette histoire,
07:58 mais c'est d'abord vous et c'est d'abord votre équilibre.
08:01 Je crois qu'il faut être attentive à tout ce qu'il vous dit,
08:05 à tout ce qu'il envisage.
08:08 Il y a des choses sur lesquelles il faut peut-être essayer d'entendre ou de comprendre
08:13 pour que vous ne puissiez pas rester dans de faux espoirs et de fausses attentes.
08:19 Parce que pour moi, je n'ai pas le sentiment
08:21 et je n'ai pas l'impression que vous puissiez vivre une grande histoire ensemble.
08:25 Cet homme est bloqué, cet homme peut-être aussi a besoin de finir ce qu'il a à finir.
08:31 Malheureusement, ce n'est peut-être pas ce que vous pouvez espérer
08:36 et attendre de lui comme vous le souhaiteriez.
08:38 Donc, soyez prudente, prenez du recul, mais vivez ce moment présent.
08:42 Comme je le dis souvent dans l'émission,
08:44 ce qui est le plus important, c'est de vivre son moment présent.
08:47 Et ce moment présent, je pense qu'il y a des choses qui vont évoluer,
08:50 qui vont changer et qui vont vous amener à vivre du plaisir.
08:54 D'accord.
08:56 Est-ce que c'est bien entendu pour vous ?
08:58 C'est bien entendu, Alexandre.
09:00 Donc, n'hésitez pas à nous faire des retours, notamment.
09:04 Je ne vous souhaite une bonne continuation.
09:08 Allez, vous savez quoi ? On va se donner rendez-vous la semaine prochaine
09:12 pour voir un petit peu comment s'est passée votre soirée.
09:15 D'accord ? D'accord.
09:17 Ne quittez pas, le standard va vous reprendre.
09:19 Merci à vous, prenez soin de vous.
09:21 Bonne émission, au revoir.
09:23 Et si vous aussi, vous souhaitez réagir aux témoignages de Natasha,
09:26 n'hésitez pas à le faire sur le groupe A votre écoute sur Facebook.
09:30 Allez, on vous attend au standard 0826 300 300.
09:34 On se retrouve dans quelques minutes avec Lucie.
09:37 Elle est députée à la suite d'une dispute avec son compagnon.
09:41 Restez à l'écoute de Sud Radio.
09:43 Sud Radio, A votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
09:48 Et de retour sur Sud Radio, merci d'être à l'écoute de cette émission
09:52 de l'émission "Les croyances d'Halloween" et de la fête de l'Atoussin.
09:57 Alors, si vous souhaitez réagir ou porter un témoignage,
09:59 postez vos commentaires sur le groupe Facebook A votre écoute.
10:02 Pour toutes questions sur votre devenir, on vous attend au 0826 300 300.
10:08 Allez, passons à la minute du "Saviez-vous".
10:10 Le "Saviez-vous", le terme d'Halloween, vient du 18e siècle et de l'Ecossais.
10:16 C'est une contraction de "All Hallows' Even"
10:20 et ce qui signifie littéralement "Veiller de tous les saints".
10:23 Cela fait une référence à la veille de l'Atoussin, le 1er novembre,
10:27 au jour de célébration avec tous les saints et puis une commémoration le 2 novembre.
10:33 Allez, je me retourne vers Thomas.
10:35 Alors Thomas, est-ce que vous avez un sondage à nous révéler ?
10:37 Tout à fait.
10:38 Alors, à l'approche de la fête d'Halloween, plus de la moitié des répondants
10:42 à un sondage réalisé très récemment en octobre 2023 par Néomédia
10:46 ont indiqué ne pas aimer cette fête.
10:49 Ce sont 64,3% des répondants qui ont choisi la réponse "Je n'aime pas Halloween" dans ce sondage.
10:56 Cependant, on note que 21,4% ont indiqué qu'ils accompagnaient leurs enfants
11:02 pour ramasser des bonbons, comme le veut la tradition.
11:05 Pour les autres, 7,1% décorent leur maison, se déguisent, regardent des films d'horreur,
11:11 en mangeant des bonbons, enfin, vivent la fête à fond tout simplement.
11:14 Très bien, merci beaucoup.
11:15 Et vous, vous êtes dans quel pourcentage ?
11:17 Vous vous situez comment ? Vous regardez des films d'horreur en mangeant des bonbons ?
11:21 Je ferais partie en tout cas de ceux qui marqueront l'occasion.
11:26 Bon, moi en tous les cas, je serais déguisé, je ferais peur à tous les petits-enfants.
11:29 Je ne suis pas dans ce sondage là, alors.
11:32 Allez, maintenant j'accueille Lucie. Bonjour Lucie.
11:35 Bonjour, je te vois.
11:38 Oui, bienvenue sur Sud Radio.
11:40 Oui.
11:42 Alors, je vais vous poser la question du jour.
11:45 Lucie, est-ce que vous fêtez Halloween et avez-vous des rituels à la veille de la Toussaint ?
11:50 Alors, non, pas spécialement de rituels, mais mes petits-enfants adorent Halloween,
11:56 donc ils se déguisent, ils vont chercher des bonbons, ils s'amusent beaucoup.
12:01 Alors moi, je trouve ça assez festif et drôle, donc avec eux, mais pas spécialement pour moi.
12:06 D'accord, mais est-ce que vous vous déguisez un petit peu ?
12:09 Est-ce que vous les accompagnez à aller chercher les bonbons ?
12:12 Ah oui, oui, oui.
12:14 Bon, très bien. Vous êtes une grand-mère qui accompagne ses petits-enfants et vous jouez le jeu.
12:20 C'est très bien.
12:22 Lucie, vous avez 71 ans et vous travaillez à temps partiel en tant que psychologue.
12:27 Vous habitez dans le Val d'Oise et c'est bravo de continuer à travailler.
12:32 Vous dites que vous avez eu beaucoup de chance dans votre vie.
12:36 Vous avez eu des enfants, des petits-enfants, vous avez eu un mariage qui a duré 17 ans avec un homme
12:42 et vous avez divorcé car il n'y avait plus de communication ensemble.
12:46 Et à nouveau, vous vous êtes remarié, mais vous êtes tombé sur un homme qui était paranoïaque
12:51 et avec des possibilités de danger contre vous.
12:55 Alors, racontez-nous un petit peu, Lucie, un peu plus en détail,
12:59 ce qui s'est passé par rapport à cette relation et ce côté paranoïaque.
13:04 - C'est-à-dire que j'avais eu un cancer, j'étais pas très bien, j'étais fatiguée,
13:10 il m'épaulait à ce moment-là, donc il voulait qu'on se marie, donc j'ai accepté.
13:16 Et bon, ça a été une erreur et ça n'a pas du tout fonctionné.
13:22 Et donc, au bout de quelques années, on a divorcé, un divorce qui a duré longtemps.
13:28 Il était très passion sur plein de choses et puis l'année dernière,
13:36 j'ai rencontré un compagnon sur un site, ça a duré 15 mois.
13:40 Mais le problème, c'est que dès que je disais quelque chose, il me disait que c'était des fake news,
13:46 quand j'ai partagé une opinion ou on partageait des opinions, c'était pas la même.
13:51 Et puis, il me disait "on arrête là" et puis il parlait plus.
13:55 Et là, récemment, on n'était pas d'accord sur...
14:02 Enfin bon, comme on échange, moi j'échange avec des amis,
14:05 même si on n'est pas d'accord, on échange et après ça va aller, il est parti.
14:09 - Les désaccords que vous aviez, est-ce que c'était des désaccords par rapport à un fonctionnement de vie ?
14:13 Est-ce que c'était des désaccords politiques ?
14:15 - Ah, c'était des désaccords à propos de...
14:18 Ben c'était au départ, c'était sur la vaccination, on avait échangé là-dessus.
14:24 Puis bon, moi j'avais des échos par rapport à mes patients,
14:27 donc oui, mais c'est infinitésimal.
14:31 C'était sur la Russie et l'Ukraine, bon, quand j'ai donné mon opinion,
14:36 c'était sur tout ce qu'on pouvait entendre à la télé.
14:38 Tout ce que je disais, c'était repris fake news.
14:44 Enfin, voilà.
14:46 - D'accord. Est-ce que c'est un homme qui se nourrit beaucoup d'actualités ?
14:50 - Oui, oui.
14:52 Et la question qu'on peut se poser,
14:56 parce qu'aujourd'hui, votre relation ne tournait pas autour de ce qui se passe dans le monde,
15:01 même si on ne peut pas être insensible, et surtout plus en ce moment, ça c'est certain.
15:06 Mais vous venez de vous rencontrer, 15 mois de relation,
15:09 donc vous êtes un jeune couple,
15:11 et aujourd'hui, se séparer pour des divergences d'opinion, c'est dommage.
15:17 - Vous pouvez pas être rouge ?
15:19 - Bien sûr. Alors, à la fois, je veux pas être pessimiste,
15:23 mais à la fois, est-ce que cet homme avait de véritables sentiments fondés envers vous,
15:29 s'il lui-même a retenu, ou en tous les cas en a fait de cette histoire,
15:35 une histoire conflictuelle au travers de certains propos politiques et extérieurs ?
15:41 Est-ce que, pour vous, vous avez le sentiment qu'il avait suffisamment de sentiments envers vous ?
15:46 - Non, je pense pas, et surtout, il aimait pas qu'on le contredise.
15:50 - Oui. Son historique et ses histoires sentimentales auparavant,
15:58 est-ce qu'il a vécu beaucoup de choses ? Est-ce qu'il a eu un équilibre ?
16:01 - Non, très peu.
16:02 - Ah, d'accord. Donc, bon, je porte pas de jugement, bien entendu,
16:05 mais c'est un homme qui a peut-être du mal à partager,
16:09 et d'accepter de faire certaines concessions,
16:12 et d'ouvrir aussi son esprit à d'autres pensées, à d'autres idées,
16:16 parce qu'on peut avoir des différences d'opinion,
16:19 c'est tout à fait possible, mais pas pour autant en arriver à une séparation.
16:24 Alors, quelle est votre interrogation aujourd'hui ?
16:28 - Eh bien, moi j'ai le sentiment que, sentimentalement,
16:32 à part l'homme avec qui j'ai vécu 17 ans, avec qui j'ai eu deux enfants,
16:37 bon, j'ai toujours...
16:42 c'est certainement dû à mon passé, à ce que j'ai vécu enfant,
16:48 mais je fais pas de bon choix,
16:51 pour ce qui me concerne au niveau sentimental.
16:54 - Vous avez le sentiment qu'à chaque fois, vous vous trompez sur vos choix affectifs.
16:59 Qu'est-ce qui pourrait expliquer cela ?
17:02 - Oh ben, dans mon enfance, j'ai été rejetée par ma mère et pas aimée,
17:09 heureusement oui, par mon père, mais pas très protecteur,
17:12 donc je pense que je recherche des choses qui sont pas possibles de trouver,
17:19 c'est un alter ego.
17:22 - D'accord. Donc, votre question, c'est savoir si vous allez rencontrer quelqu'un,
17:26 ou si vous allez rester seule ?
17:27 - Oui, et puis à quelqu'un, un véritable alter ego, si je peux dire.
17:33 - Moi, je pense que oui, je pense que oui,
17:35 et je pense que vous avez besoin de rencontrer quelqu'un au travers du voyage,
17:40 au travers du déplacement, au travers de quelqu'un qui a eu aussi des expériences de vie
17:46 très différentes de la vôtre, et qui vous ouvre l'esprit à autre chose.
17:51 Je veux pas dire du tout parce que vous avez l'esprit fermé, mais vraiment pas.
17:54 Au contraire, vous avez besoin de nourrir cette curiosité, de nourrir votre esprit,
17:59 et je crois que c'est quelqu'un d'ailleurs, et ce quelqu'un d'ailleurs,
18:03 vous allez le rencontrer sous une période d'un an, un an et demi,
18:07 où là, il y a un changement, parce que je vous sens vouloir envisager de bouger un petit peu,
18:12 de voyager, de changer un petit peu votre quotidien,
18:15 et ça, ça va se mettre en place à partir de 2024.
18:18 Donc pour moi, laissez faire vraiment les choses, laissez venir à vous ce qui doit devenir,
18:26 sans vous poser trop de questions et sans vous infliger une certaine forme de punition ou de peine,
18:32 parce que vous allez avoir un avenir meilleur d'ici fin 2024, début 2025, Lucie.
18:39 Merci à vous, n'hésitez pas à nous faire un retour, prenez soin de vous.
18:44 Eh bien écoutez, merci beaucoup, et merci à Aude qui a été d'une grande empathie avec moi quand j'ai téléphoné.
18:51 Merci.
18:52 Et ça fait chaud au cœur d'avoir des gens comme vous pour espérer un avenir meilleur.
18:59 Merci, très bonne continuation à vous.
19:01 Merci beaucoup Alexandre. Au revoir.
19:04 Allez, si vous souhaitez réagir à ce témoignage, ou si vous souhaitez poser des questions sur votre devenir,
19:08 n'hésitez pas à appeler l'antenne au 0 826 300 300.
19:12 On revient dans un instant avec notre prochaine auditrice surnommée Renne,
19:18 qui souffre aujourd'hui d'un terrible besoin affectif. Ne bougez pas, on se retrouve dans quelques instants.
19:23 Et de retour sur Sud Radio, alors il est pratiquement 16h30, il est même 16h30,
19:40 vous pouvez aussi nous suivre en direct live sur YouTube.
19:43 N'hésitez pas à poster vos commentaires sur le groupe de Facebook à votre écoute.
19:47 Thomas est là pour interagir.
19:49 Et si à présent vous voulez témoigner ou réagir dans l'émission de jeudi,
19:53 ce sera une émission spéciale sur les phénomènes paranormaux, et ça fait déjà beaucoup réagir.
19:58 Alors n'hésitez pas à appeler le standard au 0 826 300 300 pour témoigner de ce que vous avez vécu en phénomène étrange ou paranormal.
20:08 Et à présent j'accueille Renne. Bonjour Renne.
20:11 Bonjour Renne.
20:13 Merci de prendre mon appel.
20:15 Merci, bienvenue sur Sud Radio.
20:17 Merci.
20:18 Alors Renne, je vais vous poser la question du jour.
20:22 Est-ce que vous fêtez Halloween et est-ce que vous avez des rituels à la veille de la Toussaint ?
20:27 Alors je ne fête pas Halloween, parce que d'abord je n'ai pas de petits-enfants.
20:31 Mais j'aime beaucoup la fête d'Halloween, parce que je trouve que c'est très festif.
20:36 Je trouve que c'est très coloré.
20:38 Les enfants s'amusent bien.
20:41 C'est très créatif. J'aime beaucoup.
20:43 Et puis je trouve que c'est une belle tradition. J'aime bien.
20:48 Après, ce qui concerne la Toussaint, je respecte, j'amène des fleurs, je respecte nos morts.
20:58 Mais après au niveau de la religion, j'ai coupé un petit peu avec la religion il y a quelques années.
21:03 Mais j'aime beaucoup la fête d'Halloween, effectivement.
21:07 D'accord. Ce n'est pas une fête qui vous rend triste, même si c'est à la veille de la Toussaint ?
21:12 Non, pas du tout.
21:13 D'accord, parfait.
21:14 Pas du tout, au contraire. J'aime bien les sorcières, j'aime bien Toussaint, j'aime bien les choses mortes.
21:19 Effectivement, on est dans un monde un peu irréel, mais pour les enfants, ça amène, ça fait travailler l'imaginaire, tout au moins.
21:26 Tout à fait.
21:28 Alors, Renne, vous avez 71 ans, vous êtes retraitée, vous habitez Biarritz, un très joli endroit de France.
21:35 Tout à fait, on a de la chance.
21:37 Et aujourd'hui, vous souffrez d'un terrible besoin affectif. Vous avez besoin d'être avec quelqu'un, avoir un compagnon de vie.
21:46 Alors, Renne, je vais reprendre un petit peu le fil de votre histoire vécue.
21:52 Vous avez eu un compagnon avec lequel vous êtes restée deux ans et demi.
21:57 Ensuite, il a fait un burn-out et vous avez donc mis fin à votre relation.
22:02 Comment vous avez vécu cette histoire et comment il a démarré ?
22:09 Ou en tous les cas, qu'est-ce qui s'est passé avec ce burn-out ?
22:12 D'abord, c'est une personne qui vivait à l'étranger, qui avait un travail à l'étranger.
22:19 Donc, nos relations étaient un petit peu compliquées, mais on se voyait quand même.
22:24 Moi, j'allais à l'étranger, il avait aussi un travail dans le sud-est de la France, donc on voyageait beaucoup.
22:30 Mais ça marchait très bien, il n'y avait pas de problème.
22:33 On avait trois domiciles, ça fonctionnait parfaitement.
22:36 Son activité à l'étranger ne fonctionnait plus, donc il a décidé de vendre.
22:43 Il est parti retrouver ses enfants en Australie.
22:45 Ça a été le premier échec, parce que notre relation sentimentale était encore...
22:52 Vous êtes restée après cinq ans avec un autre homme avec qui vous avez travaillé ensemble.
22:58 Et au bout de cinq ans, il a décidé de vendre son fonds de commerce.
23:03 Et alors, qu'est-ce qui s'est passé ?
23:06 Il a fait une dépression, parce que ça s'est très mal passé.
23:10 Il a mal vécu cette vente, il s'est retrouvé tout seul à 74 ans, sans plus de travail, sans rien.
23:20 Donc, il a très mal vécu ça, il s'ennuyait beaucoup, il a fait une dépression, il a décidé de tout laisser tomber, et moi avec.
23:27 Un deuxième qui a fait une dépression ?
23:30 C'est un peu un burn-out aussi.
23:33 C'est un burn-out aussi, mais lui il a très mal vécu la vente de son magasin.
23:36 Il était très bien, mais il a mal vécu la vente de son magasin.
23:41 Donc moi, avec tout ça, à chaque fois je m'écroule, parce qu'il faut remonter.
23:46 Ce ne sont pas des relations de 15 jours, 3 semaines, c'est quand même des longues relations.
23:51 Et on se quitte pas parce qu'on est fâché, pas parce qu'il n'y a pas de sentiments.
23:55 On a des sentiments l'un pour l'autre.
23:58 Donc pour moi c'est très difficile de remonter.
24:02 Et là dernièrement, on m'a un petit peu poussée à me faire sur des sites.
24:08 Pardonnez-moi, Renne, cet homme a mis fin à la relation.
24:15 Vous avez mis combien de temps pour sortir et faire le deuil de cette histoire ?
24:20 J'ai dû mettre 6 mois, 8 mois.
24:24 Et aujourd'hui, est-ce que vous vous sentez guéri de cette histoire ?
24:28 Ou est-ce que vous avez un remord et que vous aimeriez que cette histoire revienne à vous ?
24:31 Alors ce monsieur, je le vois toujours.
24:34 On est devenus amis, parce qu'il me dit qu'il tient beaucoup à moi.
24:39 On est amis, on est très proches, on a besoin de se voir.
24:43 On va manger au restaurant ensemble, etc.
24:46 Mais il n'y a plus de relations intimes, d'affections, il n'y a plus d'affectifs.
24:53 Et là, vous avez rencontré quelqu'un récemment, il y a combien de temps ?
24:58 J'ai rencontré quelqu'un il y a 6 mois à peu près, 5 mois.
25:05 Mais cette personne, on s'est dit au revoir il y a 3 semaines,
25:10 parce qu'il est plus jeune que moi, il travaille toujours.
25:13 Et donc son travail, il lui a fait une proposition de partir à l'étranger.
25:18 C'est une très bonne proposition, donc il part à l'étranger pour 3 ans.
25:21 Donc on s'est dit au revoir.
25:23 Il a quel âge cet homme ?
25:24 Il a 58 ans.
25:26 D'accord, bon, pas beaucoup plus jeune que vous, parce que vous avez une voix très jeune.
25:30 Je vous sens dynamique aussi.
25:32 Oui, la différence d'âge, si vous venez, ne se faisait pas sentir physiquement,
25:37 ne se voyait pas physiquement, et on s'entendait très bien.
25:40 Donc de nouveau, ce n'est pas sentimentalement, c'est à chaque fois un événement extérieur
25:45 qui fait que nos relations s'arrêtent.
25:49 Donc voilà, je suis de nouveau en bas.
25:52 Bien sûr, bien sûr.
25:54 Alors, est-ce que vous avez un sentiment pour vous d'échec,
26:00 ou un sentiment de solitude, un sentiment d'abandon aussi ?
26:04 Oui.
26:05 Quel est le ressenti, le sentiment que vous avez à chaque fois ?
26:09 Oui, j'ai l'impression d'être abandonnée.
26:14 Un échec, peut-être pas, parce que je vois bien que ce n'est pas un échec.
26:18 Mes compagnons successifs me disent que je suis quelqu'un avec qui tout se passe bien,
26:22 qu'ils ont une très belle relation, qu'ils vont me regretter, qu'ils ne m'oublieront pas.
26:27 Donc je vois bien que ça ne vient pas de moi.
26:30 Ça ne viendrait pas de votre personnalité ?
26:34 Non.
26:35 Est-ce que vous avez... Pardon, je vous laisse parler, désolé.
26:39 Je me demande, je me pose la question, c'est pour ça que je suis venue vers vous.
26:44 Je me demande, je me dis, est-ce que ça ne vient pas de moi ?
26:46 De ce que j'entends et de ce que je reçois comme informations,
26:50 à chaque fois ce sont des hommes qui sont face à une difficulté qui est extérieure à votre histoire.
26:55 Donc voilà, aujourd'hui c'est la priorité.
26:59 Vous allez vers des hommes qui sont très pris par leur travail,
27:03 qui sont des hommes ambitieux et qui se retrouvent à être face à un choix professionnel
27:08 et qui les amènent à être face à des chocs.
27:11 Donc est-ce que, je dirais, vraiment parce que parfois on ne rencontre pas les gens par hasard,
27:16 est-ce que vous, professionnellement, vous vous êtes réalisée ?
27:20 Oui, oui, oui, tout à fait.
27:23 Vous avez été épanouie dans votre travail ?
27:26 Oui, j'ai fait toute ma carrière dans la même profession,
27:29 bien que quand j'étais jeune, ce n'est pas cette profession que je voulais faire.
27:33 Voilà, ce n'est pas ce que je voulais faire comme profession.
27:36 Peut-être, dans l'inconscient, s'il vous plaît, il y a une frustration chez vous au niveau professionnel.
27:40 Et ça vous renvoie à rencontrer des hommes qui ont des fins de carrière qui sont un peu frustrantes
27:46 ou il y a des problèmes par rapport à ça.
27:48 Parce que je dirais qu'à chaque fois, ce qui se justifie, c'est cette problématique professionnelle de ces hommes.
27:55 Alors, bien sûr que là, vous avez cité trois exemples, peut-être qu'il y aurait d'autres exemples à citer.
28:00 Mais est-ce que vous n'avez pas vécu aussi un choc familial, parental ?
28:05 Pas vécu.
28:06 Est-ce qu'il n'y a pas eu trop d'autorité, soit masculine ou féminine, dans l'éducation parentale ?
28:13 Mon père était italien, un peu rigide, mais très très compréhensible.
28:20 On pouvait parler beaucoup avec lui. J'ai beaucoup parlé avec lui.
28:23 Je suis la dernière de trois enfants.
28:26 J'étais un petit peu sa préférée, je vais dire, et il me manque beaucoup, énormément.
28:31 Bien sûr.
28:32 Voilà.
28:33 Et il y a eu un choc familial ou parental, dans tous les cas ?
28:38 Peut-être, oui.
28:40 Mais vous savez, j'ai culpabilisé beaucoup.
28:43 J'ai fait des séances de MDR pour essayer de trouver une solution sur moi-même, parce que je me dis que ça vient peut-être de moi.
28:49 Mais il faut dire aussi que je trouve toujours, je ne sais pas, mes choix ne sont peut-être pas bons non plus.
28:54 Je vais toujours voir des gens compliqués, géographiquement.
28:57 Le dernier aussi n'habitait pas là, il travaillait dans la région parisienne.
29:02 Vous voyez, c'est toujours des choix compliqués.
29:05 Ça revient toujours à des choix qui vous sont, je dirais, contrariés et qui sont liés à une activité professionnelle de la part des hommes que vous rencontrez.
29:15 Alors, pour moi, je pense qu'il serait important de réfléchir et peut-être, je ne veux pas dire de comprendre,
29:23 mais peut-être qu'au fond de vous, il y a eu une certaine forme de frustration par rapport à votre réalisation professionnelle, même si vous êtes réalisée.
29:31 Et ça renvoie, si vous voulez, cette image de personnes ou en tous les cas de gens que vous rencontrez,
29:38 qui eux-mêmes sont préoccupés par leur travail ou doivent faire des choix vis-à-vis du côté professionnel.
29:46 Et puis aussi sur cette notion d'abandon familial, où là il y a quelque chose sur lequel il y a un besoin d'éclaircissement.
29:52 Maintenant, ne croyez pas qu'à chaque fois c'est des erreurs ou que c'est des mauvais choix.
29:57 Toute histoire est une expérience pour vous et je vous sens vous réaliser.
30:03 Alors, vous me parliez d'un potentiel de quelqu'un qui part voyager ou autre, mais c'est bizarre parce que cet homme reviendra plus vite que prévu.
30:14 Et je sens qu'il sera amené à vous recontacter.
30:18 Oui, mais peut-être, peut-être, mais il n'a pas donné signe qu'il voulait faire quelque chose avec moi.
30:30 Bien sûr, normal, normal. Il est pour l'instant dans l'idée de partir et je crois que c'est très honnête vis-à-vis de vous de ne pas vous promettre quoi que ce soit,
30:39 alors qu'il est amené à partir, être muté à l'étranger.
30:42 Mais vous verrez qu'il y aura un retour et que pour moi, cette histoire n'est pas complètement terminée et vous nous rappellerez pour nous tenir au courant.
30:48 Parce que je pense que, oui, je pense que vous voyez que la différence d'âge, il ne m'a pas montré que ça le gênait, pas du tout.
30:57 Mais il n'en parle pas. Pour l'instant, il a encore une fille qui est à charge puisqu'elle fait des études supérieures.
31:04 Il n'en parle pas, il n'en a pas parlé.
31:06 Mais n'hésitez pas à nous rappeler vraiment pour qu'on puisse vous suivre et vous accompagner.
31:13 Mais en tous les cas, pour moi, je pense qu'il y aura un retour de cette personne.
31:17 Merci à vous. Prenez soin de vous.
31:19 Merci, merci Alexandre. Je vous remercie. C'est très gentil. Merci à tous les autres qui sont parmi nous. Merci beaucoup.
31:26 Merci. Et la parole est à Sylvie. Bonjour Sylvie.
31:31 Sylvie est en ligne. Je vous entends. C'est le temps de vous prendre en ligne.
31:40 Alors, Sylvie, bienvenue sur Sud Radio. Vous nous appelez concernant votre avenir professionnel.
31:46 Vous avez l'impression d'avoir besoin de changer ou de partir sur autre chose.
31:52 Vous avez 52 ans, c'est bien ça ? Oui, c'est parfait.
31:58 Et vous êtes dans la coiffure à domicile depuis 30 ans. C'est bien ça ?
32:03 Bientôt 30 ans. Alors, dites-nous un petit peu pourquoi vous sentez être au bout d'un cycle, au bout d'une situation aujourd'hui ?
32:11 Alors, je pense que d'être au bout d'un cycle, peut-être pas complètement.
32:17 Parce que c'est vrai que ce métier, j'ai toujours voulu le faire et je me suis battue pour le réaliser et pour vraiment faire quelque chose de mes mains, en fin de compte, on va dire.
32:29 Mais depuis un ou deux ans, c'est comme un ressenti, j'ai dit bien un ressenti, d'avoir besoin de peut-être partir sur autre chose ou un complément d'autre chose.
32:42 Voilà, c'est comme un ressenti.
32:46 Ça reste toujours dans peut-être le soin à l'individu ou qui touche à des choses qui soient un peu dans le même sens que votre métier de la coiffure aujourd'hui ?
32:56 Oui, c'est possible parce qu'après c'est le fait de parole de clientes qui trouvent du bien-être quand je les coiffe et pas forcément justement dans la coiffure en elle-même.
33:08 Le bien-être soit dans le contact, dans le toucher même, souvent, c'est des personnes âgées qui m'ont dit des choses comme ça.
33:17 Exactement, et je crois que vous avez besoin justement d'apporter autre chose à ce niveau-là.
33:22 Quand je vous parlais de fin de cycle, oui, pour moi, je le ressens plus de cette manière-là.
33:27 Un cycle ne veut pas dire pour autant que vous êtes à la fin d'une carrière parce que vous êtes encore jeune et qu'il faut travailler.
33:33 Et n'abandonnez pas ce que vous faites aujourd'hui parce que je crois que vous avez réussi à avoir une clientèle et cette clientèle a besoin justement de vous encore.
33:44 Mais en revanche, je vous sens être… c'est bizarre, mais la réflexologie me parle.
33:49 La réflexologie ou toutes ces disciplines-là me parlent un petit peu et j'ai l'impression que vous risquez de faire une formation dans des médecines alternatives qui tournent autour de ça.
33:59 Est-ce que vous avez déjà réfléchi à ça ?
34:01 Oui, parce qu'après, c'est vrai que j'aime beaucoup, j'ai toujours été attirée par les médecines alternatives, la culture est sûre.
34:10 J'ai même fait une petite séance de Reiki avec une connaissance pour justement essayer de voir de n'importe quelles choses.
34:19 J'aime beaucoup aussi, j'essaie de comprendre le Shiatsu, enfin toutes ces choses-là.
34:25 Mais je sens que ce que vous êtes amené à faire, c'est un peu comme de l'acupression, avec les mains, il y a une notion de pression, il y a une notion de soin avec les mains.
34:38 La coiffure, bien sûr que c'est avec les mains, mais là, je vous sens… pour moi, la réflexologie m'inspire quelque chose et j'aurais tendance à dire que vous allez progresser dans cette voie-là.
34:50 N'hésitez pas, Sylvie, à nous tenir au courant et merci de votre témoignage.
34:55 Merci beaucoup, à vous aussi.
34:57 Merci.
34:58 Au revoir.
34:59 Allez, on se retrouve dans quelques minutes avec Christophe pour un projet immobilier avec son bailleur social.
35:05 Ne bougez pas, on en parle dans un instant et c'est sur Sud Radio.
35:08 Sud Radio, à votre écoute, Alexandre Delovane.
35:13 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
35:19 Et de retour sur Sud Radio pour cette dernière partie, avant de retrouver les vraies voix présentées par Philippe David et Cécile Dominibus.
35:26 Il vous reste quelques minutes pour passer à l'antenne de Sud Radio.
35:29 Et avant de retrouver Christophe, je vais faire focus sur les témoignages du groupe, à votre écoute sur Facebook avec Thomas du Web.
35:36 Alors Thomas, est-ce que ça réagit un peu ? Est-ce que vous avez de nouveaux commentaires du groupe ?
35:41 Et oui, Alexandre, quelques nouveaux commentaires sur la page Facebook.
35:45 Donc tout d'abord, on a Guy qui nous dit, un petit peu comme Cédric, au début qu'Halloween est une fête commerciale.
35:51 Et qui précise que les bonbons, par ailleurs, ce n'est pas très bon pour les dents ni pour le diabète.
35:57 Intéressant, mais ça on le sait.
35:59 On le sait, mais c'est toujours bon de le rappeler.
36:01 On peut se l'accorder une fois par an, peut-être un peu.
36:03 Je pense qu'on peut.
36:04 Oui, mais enfin, en ce qui me concerne, ce n'est pas une seule fois par an, les bonbons.
36:08 Faire attention.
36:09 Voilà, exactement. Vous en mangez beaucoup, vous, Yann ?
36:11 Thomas.
36:12 Thomas, pardon, excusez-moi, Yann, c'était hier. Aujourd'hui, c'est Thomas.
36:14 J'essaye d'éviter.
36:15 Bon, très bien. Est-ce qu'il y a un autre commentaire ?
36:18 On a Suzy qui, à l'inverse, nous rappelle qu'Halloween est une fête où les enfants attendent avec impatience la soirée synonyme de la fameuse, la traditionnelle chasse aux friandises.
36:30 Merci, Thomas. Nous, on se retrouve tous les mardis, à présent.
36:34 Tout à fait.
36:35 Voilà. Et vous restez encore avec nous. Et puis, on se dit à mardi prochain, en tous les cas.
36:40 Allez, je vais vous donner les 5 clés de sécurité pour vivre un bon Halloween.
36:44 Alors, quelques règles de sécurité sont importantes pour éviter que la fête ne se transforme pas en cauchemar.
36:51 Dans un premier temps, assurez au mieux la sécurité de votre enfant.
36:54 Il est préconisé de choisir des costumes aux couleurs vives pour accroître sa visibilité par les automobilistes et les deux roues, en optant pour des matériaux inifugés.
37:05 Si votre enfant doit sortir après la tombée de la nuit, fixez des bandes réfléchissantes ou munissez-le d'une lampe de poche.
37:13 Le masque de costume peut également poser un problème de sécurité en obstruant la vue de votre enfant et donc privilégier un maquillage.
37:21 Pour la collecte de bonbons, il est recommandé aux parents d'accompagner leurs enfants les plus jeunes, d'au moins d'une personne adulte.
37:29 Prévoyez un itinéraire familier et fixez un horaire de retour en vous assurant qu'ils partent avec une montre.
37:36 Et s'il y a la possibilité d'avoir un portable, c'est encore mieux.
37:40 Et évitez de sonner aux maisons mal éclairées ou dans une demeure d'un inconnu, de monter dans une voiture, de traverser la rue sans arrêt et de manger les friandises avant le retour à la maison et avant qu'elles aient pu être vérifiées par un adulte.
37:55 Allez, la parole est à Christophe. Bonjour Christophe.
37:58 Bonjour Alexandre, merci de me recevoir en antenne.
38:00 Bienvenue sur Sud Radio. Alors Christophe, vous avez 52 ans, vous habitez Ploneis dans le Finistère et vous exercez quoi comme métier ?
38:09 Technicaux commerciaux, itinéraires en sur-route.
38:12 D'accord. Alors vous avez une compagne depuis 5 ans, vous avez même un projet de vous marier.
38:18 Vous n'avez pas encore fixé la date des informations que j'ai eues, mais en tous les cas, déjà toutes mes félicitations.
38:23 Merci.
38:24 Et à ce jour, vous avez un projet immobilier qui est en cours. C'est un projet avec un bailleur social qui va construire des maisons en location, mais qui à long terme vont devenir des maisons en acquisition.
38:35 La livraison de ces biens sont prévues pour quelle période et dans quel environnement exactement ?
38:40 Alors normalement, avril 2025. Après, la vie va nous plaire parce que ça fait un petit peu arborex. Et ce qu'il se passe, c'est que là on a remis les pièces à la banque du bailleur qui lui étudie les dossiers qui vont être viables.
38:58 Et après, ils donneront un accord de principe. De là, si on ne trouve aucune banque qui nous suive, la banque du bailleur, elle nous suivra.
39:06 Maintenant, notre question, ma chérie et moi, c'est de se dire, est-ce qu'on va pouvoir espérer obtenir cette maison, soit au début en location, soit la première année, deuxième année, troisième année ? Voilà, c'est vraiment la question.
39:20 D'accord. Vous avez déjà vu un peu les plans des maisons, de ce qui est en train de se construire ?
39:25 Oui, oui, oui. Le bailleur nous a fourni les plans avec les implantations de maisons. Et nous, on est allé voir même sur le terrain la construction par elle-même. Donc, c'est un lotissement.
39:35 D'accord. Pourquoi vous doutez ?
39:37 C'est parce que je me dis, là, j'ai quand même 52 ans, je ne m'en viens qu'une banque que suive. J'ai déjà été propriétaire de ma maison. Donc, là, maintenant, de se dire qu'avec ma nouvelle compagne, en plus, on a 17 ans d'écart, c'est de se dire, voilà, c'est plus qu'elle ou autre chose. Et on aimerait vraiment que ça aboutisse.
39:52 Votre compagne est en activité professionnelle aussi ?
39:54 Oui, oui, oui, c'est ça. Je suis pratique à la direction.
39:56 Bien sûr. Alors, moi, je vous pose cette question. Pourquoi vous doutez ? Parce que je crois vraiment que vous allez avoir l'obtention de votre prêt. Alors, je ne sais pas si c'est avec votre banque actuelle. Et moi, je serais plus d'avis peut-être de prospecter d'autres banques parce que ce n'est pas forcément avec votre banque.
40:14 Ou peut-être que vous pouvez avoir un taux ou un prêt plus intéressant avec une autre banque. Mais en tous les cas, je sens que oui, bien entendu, votre projet va pouvoir se réaliser. 2024 est une excellente année pour vous. Autant sur le projet de l'habitation, mais en plus, comme vous l'avez dit si bien et que vous êtes en train de le confirmer, ça va se valider plus tard, mais sur votre mariage aussi.
40:37 Donc, c'est une belle année. Restez confiant sur votre devenir parce que je sens que ce projet va aller à sa réalisation.
40:47 D'accord. Et sur le mariage, est-ce que vous avez plus ou moins une période ou une date ?
40:51 Je pense que d'ici un an, vous êtes marié.
40:56 Oui, c'est à peu près ce qu'on s'était dit.
40:58 Il va falloir nous rappeler pour nous tenir au courant de tout ça. D'accord ?
41:01 D'accord. C'est ce qu'on s'était dit plus ou moins le projet maison. Et peut-être un projet d'un enfant.
41:06 Très bien. Merci à vous. On doit rendre l'antenne. Je suis désolé Christophe.
41:10 D'accord. Merci.
41:11 Prenez soin de vous.
41:12 Merci.
41:13 Merci de m'aimer. Continuez le très bien. Merci. A bientôt.
41:15 Merci. Et pour conclure, je dirais Halloween est une magie qui n'existe pas dans le monde réel.
41:20 Allez, demain nous serons en rediffusion. Le sujet sera sur les rencontres insolites.
41:24 Mais on se retrouve jeudi sur le sujet des phénomènes paranormaux.
41:28 Et la parole est au vrai voix.
41:30 Bon, si je ne vous vois pas le micro, ça ne va pas bien.
41:33 Bonjour Alexandre Deloval.
41:34 Ah, enfin une vraie voix.
41:36 Ah, une vraie voix. Mais vous allez en avoir cinq aujourd'hui.
41:39 Le menu des vraies voix. 17h30. Sujet très lourd.
41:43 Suite à l'actu très lourde, vous avez vu à Paris, ici les Moulinots, Aubert-Villiers, Saint-Ouen,
41:49 des tags d'étoiles de David sur les maisons de personnes de confession juive.
41:55 Et on vous pose cette question.
41:56 Tags antisémites. Êtes-vous inquiet de la montée de l'antisémitisme ?
42:00 Évidemment, ça défraie la chronique. On n'avait plus vu ça en France depuis fort, fort, fort longtemps.
42:07 Et ça rappelle des souvenirs particulièrement douloureux.
42:09 Est-ce que vous, vous êtes inquiet de la montée de l'antisémitisme ?
42:12 Ou est-ce que vous pensez que les choses vont s'arrêter lorsque le conflit au Proche-Orient sera arrêté ?
42:17 Est-ce que vous pensez que c'est quelque part, certains élus en parlent, un retour aux années 30 ?
42:22 Ou est-ce que vous pensez que c'est juste un épiphénomène ?
42:25 Venez témoigner au 0826 300 300.
42:28 À 18h37, le sondage IFOP fiducial pour Sud Radio et le Figaro.
42:33 Un sondage qui met Marine Le Pen entre 31 et 33%.
42:37 Et si on calcule Marine Le Pen à un peu plus de 30%, Éric Zemmour à 7%, Nicolas Dupont-Aignan à 2% environ,
42:44 ça fait 40% des voix pour la droite que certains qualifieront de dures ou d'extrêmes ou ce que vous voulez.
42:51 Si vous ajoutez les 25% d'Edouard Philippe, les 5% de Laurent Wauquiez,
42:55 on a aujourd'hui une gauche qui est rétamée, il n'y a pas d'autre mot.
42:59 Et on vous pose cette question, sondage IFOP, la France est-elle en train de basculer à droite ?
43:04 Vous voulez réagir ?
43:06 Le 0826 300 300 avec Cécile de Médibus, un trio de chocs ce soir.
43:10 Philippe Bilger, Françoise de Goyes et Benoît Perrin.
43:14 Bonne émission.