Que pensez-vous du bonheur ? - À Votre Écoute

  • l’année dernière
Retrouvez À Votre Écoute avec Alexandre Delovane, chaque jour de 16h à 17h sur Sud Radio.
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##A_VOTRE_ECOUTE-2023-12-01##
Transcript
00:00 Sud Radio à votre écoute 16h-17h, Alexandre Delovane.
00:04 Bonjour à tous, alors quel bonheur de vous retrouver chaque jour et de vous accompagner jusqu'à 17h.
00:18 Quel bonheur d'entendre tous les jours vos témoignages, vos expériences vécues, vos confidences et votre bienveillance partagée.
00:26 C'est aussi ça le bonheur et pour vous, à quoi vous fait penser le bonheur ? Le bonheur est-il à la portée de tous ?
00:33 Est-ce une conception de l'esprit, d'une projection du désir ou un sentiment qui se vit dans le moment présent ?
00:40 Et si aujourd'hui on parlait de votre bonheur ? Venez en parler au 0 826 300 300.
00:47 Nous sommes en direct live sur YouTube. Je vous donne aussi rendez-vous sur le groupe de paroles et de partage à votre écoute sur Facebook.
00:54 Postez-y vos avis et vos commentaires et aujourd'hui à la réalisation de l'émission c'est Lucille, au standard, Aude et Zach.
01:02 Sud Radio à votre écoute
01:05 Alexandre Delovane.
01:07 Et avant de donner la parole à Marinette, eh bien écoutez ce vendredi c'est la journée mondiale de lutte contre le sida.
01:13 Alors il faut continuer à se mobiliser malgré des dépistages en hausse. Le nombre de contaminations lui a baissé par rapport à 2019.
01:21 Période estimée en fonction de la pré-covid. Mais c'est une bonne nouvelle. Il ne faut pas oublier qu'à ce jour plus de
01:28 630 000 personnes dans le monde sont quand même partie de maladies liées au sida.
01:34 Alors il faut continuer à soutenir le sidaction. Et je reprends aussi un message hier depuis le groupe
01:40 de groupe à votre écoute sur Facebook de Linda sur le sujet de hier sur l'hypnose qui nous dit pour moi
01:47 le bonheur est le partage avec les autres et puis j'attendrai aujourd'hui
01:51 pour partager avec vous et c'est une personne, enfin c'est une auditrice d'Alger qui nous a écrit ça.
02:00 Aussi il y a une autre personne qui nous a écrit "le grand secret du bonheur c'est d'être bien avec soi"
02:07 Bernard Lebouvier de Fontenelle qui a écrit cette citation.
02:12 Et elle dit "je crois que cette citation qui m'accompagne depuis longtemps est tellement juste tout y est".
02:19 Allez à vous maintenant de laisser vos messages et commentaires sur le groupe à votre écoute et à présent j'accueille notre première auditrice
02:26 Marinette. Bonjour Marinette.
02:28 Bonjour Alexandre et vraiment merci de prendre mon appel.
02:33 Bienvenue sur Sud Radio Marinette.
02:36 Merci beaucoup.
02:37 Alors je vais vous poser la question du jour.
02:40 C'est quoi pour vous le bonheur ? Racontez-nous un petit peu si vous avez déjà eu un
02:44 vécu ou un moment que vous pouvez vous souvenir du bonheur.
02:48 Alors moi ce que pour moi le bonheur je dirais que c'est mes enfants.
02:52 En fait la naissance de mes enfants et le fait de les voir rire.
02:57 Voilà dès que je les vois rire aux éclats par contre voilà moi je suis heureuse.
03:03 Pour moi c'est ça après il y a les petites choses, les fleurs qui poussent, les petites choses comme ça, les crocus,
03:09 premier crocus pour moi c'est le bonheur.
03:12 Ce sont des instants que vous ressentez en vous, des moments de partage avec
03:18 votre famille et puis aussi un sentiment qui est à l'intérieur dont on arrive,
03:24 enfin qu'on peut contrôler mais ça crée des émotions aussi non ?
03:29 Tout à fait.
03:32 Moi en fait si,
03:33 en parlant de mes enfants, si mes enfants pour moi sont heureux, moi je suis heureuse. Quand ils ne vont pas bien, moi je ne vais pas bien.
03:39 En fait pour moi voilà. Le bonheur c'est...
03:42 Alors pour vous c'est plus un état d'esprit qu'un sentiment vécu de l'intérieur ?
03:47 C'est plus un état d'esprit que vous ressentez ? D'accord très bien. Alors que piche pour vous Marinette ?
03:54 Alors en fait
03:57 bon bah des difficultés un petit peu avec aussi mon conjoint. Donc en fait bon ça fait 23 ans que je suis avec mon conjoint
04:04 et en fait
04:07 actuellement j'ai l'impression de ne plus être sur la même longueur d'onde. En fait j'ai plus l'impression qu'on est colocataire.
04:14 Alors évidemment ce qui est compliqué c'est que j'ai toujours beaucoup de sentiments pour lui
04:20 mais c'est vrai qu'actuellement je me pose beaucoup de questions.
04:23 Est-ce qu'on va rester ensemble ou pas ?
04:26 En fait ma vie actuelle ne me plaît plus beaucoup. J'ai plus vraiment de vibrations comme j'ai pu avoir.
04:33 Donc je me pose la question est-ce qu'on va rester encore ensemble ?
04:35 Est-ce que ça peut s'arranger ou pas ?
04:39 Voilà c'est vrai qu'actuellement en plus on a nos enfants qui vont pas très bien donc on est un petit peu... on n'est pas
04:45 toujours sur la même longueur d'onde à ce sujet là.
04:50 Oui Marinette, vous vous posez cette question depuis combien de temps ?
04:55 Depuis un bout de temps.
04:57 Ça fait des années que je me pose la question. Je me mets toujours des ultimatums. Ça fait des années.
05:02 J'ai le sentiment et l'impression que
05:06 ce questionnement là s'est vraiment imposé à vous par rapport à des situations
05:12 familiales extérieures de la vôtre. C'est à dire que soit il y a eu des événements familiaux qui vous ont
05:19 je dirais
05:21 tracassé ou en tous les cas
05:23 mis dans une fragilité, dans une difficulté peut-être aussi de contrariété.
05:27 Ça peut être par rapport aux côtés de votre mari ou est-ce qu'il y a eu d'autres événements familiaux qui ont eu
05:36 un impact et une influence sur votre couple ?
05:39 Est-ce que vous avez ce sentiment là Marinette ?
05:43 Du côté de la famille de mon conjoint ?
05:46 Ça peut être du côté de la famille de votre conjoint ou en tous les cas
05:50 d'un entourage proche familial. Mais je sens qu'il y a quelque chose qui n'a fait que creuser ou en tous les cas qui n'a fait que
05:56 influencer cette idée
05:59 en mise à part les fragilités que vous avez dans votre quotidien avec votre mari. Mais il y a des événements extérieurs
06:06 qui n'ont pas aidé à ça aussi.
06:08 Excusez-moi, allô ?
06:10 Vous avez un petit souci de connexion Marinette ? Oui, oui, je suis là.
06:15 Donc pour moi, ce que je veux dire c'est qu'il y a des questionnements qui sont là, qui se posent et qui
06:22 sont liés aussi à
06:25 un environnement extérieur. J'ai l'impression que
06:29 vous allez avoir du mal à prendre la décision à changer les choses. C'est-à-dire que même si aujourd'hui vous réfléchissez sur
06:37 une éventualité de
06:40 changement, enfin éventuellement changer de vie ou autre, mais je ne vous sens pas pour autant le faire tout de suite dans l'immédiat.
06:47 Il y a cette notion de culpabilité qui semble ressortir. Il y a aussi la notion des
06:51 valeurs familiales qui sont là et qui ne nous amènent pas à prendre
06:57 véritablement la décision. Alors ce qui pourrait être intéressant c'est peut-être,
07:01 et si votre mari est ouvert à ce genre de choses, mais c'est peut-être de vous accompagner tous les deux à
07:06 une thérapie de couple. Vous l'avez déjà fait d'accord ? Et ça a donné quoi comme résultat ?
07:12 Pas grand chose.
07:16 Lui-même ne fait pas d'effort votre mari ? Non, du tout. Qu'est-ce que vous le reprochez aujourd'hui ?
07:22 Beaucoup de choses. En fait, par exemple,
07:27 il me reprend souvent sur ce que je fais. En fait il est toujours
07:34 négatif. Tout ce que je fais, ça ne va jamais.
07:36 Il est toujours critique.
07:39 C'est compliqué.
07:43 J'ai l'impression qu'il n'est jamais content, qu'il ne montre jamais son... qu'il est heureux. En fait, il lui dit
07:51 ce qui va. On n'en parle pas, mais par contre on parle de ce qui ne va pas. D'accord. Vous le sentez un peu fataliste ?
07:59 Oui. Et vous, vous avez envie d'autre chose ? Vous êtes un peu usé du quotidien, c'est ça ?
08:04 Complètement. En fait, je me dis...
08:07 Bon alors par contre, c'est vrai, ce qui est un petit peu compliqué, c'est que, bah oui, j'ai toujours beaucoup de sentiments pour lui,
08:12 mais
08:15 c'est compliqué de vivre tous les jours. Moi, j'aimerais bien
08:18 avoir un peu plus, par exemple, d'attention, des choses comme ça. Lui, il est toujours
08:24 à voir ce qui va pas. Bien sûr, il y a toujours... Oui, je comprends. Et d'un point de vue familial, est-ce que vous entendez bien avec sa famille ?
08:31 Est-ce que... Ça va. Oui, ça va. Oui, bon, il y a eu des conflits. Il y a eu des conflits. Il y a eu des conflits ?
08:37 Oui. D'accord. À propos de mon fils, oui. D'accord. Et il y a combien de temps ?
08:40 Trois ans, à peu près. Et depuis ces trois ans, est-ce que chez vous, ça s'est
08:47 accéléré, cette idée de changer de vie ou d'être un peu
08:51 fatigué de cette situation ?
08:55 Non. D'accord. Mais en attendant, je pense que les conflits
08:58 que vous pouvez vivre au quotidien n'aident pas. Et forcément, je crois que c'est valable pour tout le monde. Mais
09:05 pour moi, il y a
09:07 effectivement cette idée de vouloir changer de vie, mais je ne vois pas pour autant
09:13 l'action de le faire. Et ça va...
09:17 Malheureusement, il va falloir essayer de dynamiser votre couple autrement et différemment. Alors, moi, j'aurais tendance à vous dire
09:24 dans votre cas, Marinette, essayez de trouver des occupations, des activités extérieures qui vous permettent de pouvoir
09:30 essayer de vous échapper à votre quotidien un petit peu, de socialement aussi de vous ouvrir à d'autres rencontres, à d'autres idées. Et puis
09:38 attendre ce jour où, le moment où vous serez amené à prendre une véritable
09:45 décision. Mais je ne le ressens pas pour tout de suite.
09:48 Donc pour l'instant, pour vous, il n'y aura pas de séparation ?
09:50 Je ne vois pas de séparation, je vois une continuité. Lui n'a pas envie de se séparer de vous.
09:55 Non, ça c'est clair.
09:57 Il me dit "si tu veux te séparer, pars".
10:00 Mais lui, il ne le fera pas.
10:02 Il ne le fera pas et vous, je ne vous sens pas pour l'instant prête à le faire. D'accord ?
10:06 D'accord.
10:07 Prenez soin de vous, Marinette.
10:09 Merci beaucoup.
10:11 Merci. Si vous aussi, vous souhaitez réagir aux témoignages de Marinette ou si vous avez des questions sur votre devenir,
10:18 on vous attend au standard 0 826 300 300. On se retrouve dans quelques minutes
10:24 avec notre prochaine auditrice, Andrea, pour un projet professionnel qui est lié au coaching et au développement personnel.
10:31 Alors elle nous parlera du bonheur aussi. Restez à l'écoute de Sud Radio.
10:35 Sud Radio à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
10:41 Et de retour sur Sud Radio, merci d'être à l'écoute de cette émission, au programme de l'émission "Le Bonheur". Alors
10:47 quelle est vous, votre vision du bonheur ? Vous pouvez souhaiter, vous pouvez, pardon, réagir ou porter un témoignage sur "Le Bonheur"
10:53 en postant vos commentaires sur le groupe Facebook à votre écoute. Et pour passer à l'antenne, c'est tout simple, un seul numéro, c'est le
11:01 0 826 300 300. Allez, passons à la minute du "Saviez-vous". Le "Saviez-vous", le bonheur est un état de
11:08 satisfaction stable et durable. C'est une forme de plénitude.
11:12 C'est le but le plus élevé de l'existence que tout homme cherche à atteindre.
11:17 Il est en lien avec l'image que l'on a de soi par rapport à ce qui nous entoure.
11:23 Donc, plus on vit du bonheur et plus on a aussi cette capacité à prolonger sa vie.
11:29 Allez, si on écoutait Andrea. Bonjour Andrea.
11:32 Bonjour. Bienvenue sur Sud Radio, Andrea.
11:36 Merci, merci beaucoup
11:39 de me recevoir. Avec plaisir. Alors, Andrea,
11:43 vous avez 48 ans, vous avez un projet de création d'entreprise et vous habitez Montrouge, dans les Hauts-de-Seine.
11:50 C'est bien ça ? C'est ça.
11:52 Juste avant de parler de votre sujet,
11:56 Andrea, dites-nous un petit peu, pour vous, quelle est la définition du bonheur ?
12:02 Alors, pour moi, le bonheur, tant mieux s'il est durable. Mais en ce qui me concerne, c'est plutôt un état de grâce que j'ai pu
12:11 me connecter à certains moments dans ma vie.
12:13 J'étais dans un flow, que ce soit artistique
12:18 ou en étant pleinement dans ce que je vis. Et pleinement connectée à mon environnement.
12:25 D'accord.
12:27 Vous voulez que je vous dise un peu plus ? Oui, bien sûr, allez-y. Exprimez-vous.
12:31 Donc, moi qui suis dans l'accompagnement, j'étais avec quelqu'un
12:40 en process d'état, ce qu'on appelle génératif, dans notre jargon.
12:45 Ensuite, je suis partie me promener et là,
12:51 j'étais en ouverture. C'est-à-dire que c'était léger, j'ai
12:55 pu observer des choses que je n'avais jamais pu observer, que je n'avais jamais pris le temps finalement d'observer.
13:00 J'ai écrit, écrit, écrit et ça jaillissait.
13:06 J'étais dans le flow et c'est un état de grâce et j'étais très très contente d'avoir vécu ce moment court mais intense.
13:12 Alors, j'entends.
13:14 De ce que j'entends aussi, c'est que vous vous êtes accordé ce moment-là.
13:18 C'est-à-dire qu'à un moment donné, vous avez accepté de pouvoir vivre ce moment de grâce, ce moment de bonheur.
13:24 Et vous avez pris conscience que le bonheur, c'était aussi de pouvoir
13:29 être en observation avec ce qui se passe autour de nous et de pouvoir être en résonance avec ça. C'est bien ça ?
13:36 Voilà et puis d'être aussi un peu dans l'action parce que je me suis bougé à sortir.
13:41 Au départ, je n'avais pas forcément envie.
13:44 Voilà, d'être en mouvement aussi. C'était à la fois être en mouvement et à la fois en étant
13:50 dans l'observation.
13:53 Et ce moment de grâce, est-ce que vous l'avez vécu à nouveau ? Est-ce que vous essayez vous-même de
13:58 le répéter ou en tout cas de le vivre peut-être avec
14:02 des événements différents ? Mais est-ce que vous essayez de le faire régulièrement ?
14:07 Oui, j'essaye de le faire bien sûr. Mais peut-être pas autant qu'il faudrait
14:13 parce que les cordonniers ne sont pas forcément les mieux chaussés comme on dit.
14:18 Et vous essayez de le transmettre aux autres aussi ce bonheur ? Tout à fait. Et vous faites comment ?
14:25 Alors parce que j'ai étudié, je vous dis, tout ce qui est le process génératif et
14:32 donc c'est à la base
14:34 un pnliste Robert Dix et puis un thérapeute en mythes nové-érictoniennes Gilligan qui
14:39 l'ont co-créé.
14:42 Et le postulat de base, c'est d'être déjà dans un état de bien-être, de relaxation et d'ouverture
14:50 pour ensuite aller vers son intention, son objectif.
14:54 D'accord.
14:56 Est-ce que c'est un peu comme une forme de méditation de pleine conscience ?
15:00 J'ai pas vraiment pratiqué la méditation de pleine conscience. La méditation tout court, oui. Mais c'est...
15:08 Il y a plus de mouvements. Il y a plus de mouvements. D'accord. C'est plus avec la pnl aussi. D'accord.
15:15 Alors que piche pour vous ?
15:17 Alors puisque vous êtes largement dans l'intuitif
15:26 et de voir un petit peu les événements futurs, moi j'avais envie d'avoir un éclairage sur mon devenir
15:33 professionnel et financier.
15:36 Parce que c'est une chose de vouloir faire, c'en est une autre après d'en vivre bien.
15:41 Alors je crois que vous êtes dans une volonté et dans un souhait de créer une
15:46 entreprise ou d'être dans un nouveau projet professionnel. C'est bien ça ? Alors c'est déjà fait.
15:54 Voilà, j'ai déjà fait ma reconversion.
15:56 Par contre ça s'est pas passé comme je le pensais parce que
16:01 personnellement et familialement
16:04 j'ai eu pas mal de débois. Et puis après il y avait le Covid aussi. Et aujourd'hui donc je
16:10 suis d'un côté salariée
16:13 en devant de l'accompagnement. Donc ça c'est super. Mais c'est pas assez. Et de l'autre, j'ai mon entreprise.
16:22 En revanche, j'ai la personnalité de l'artiste mais pas de l'agent qui va avec.
16:29 Pour qu'on puisse bien comprendre, vous êtes coach en développement personnel.
16:35 Donc vous êtes salariée dans cette discipline, dans cette fonction-là, c'est ça ?
16:40 D'accord. Et ensuite vous avez une casquette aussi d'artiste ?
16:44 Alors j'ai la casquette d'auto-entrepreneur toujours dans l'accompagnement.
16:51 Parce que le statut salarié ça me donne un fixe mais ça ne suffit pas.
16:55 Et voilà, je cherchais à développer mon propre business.
17:00 Effectivement je me demandais si j'allais y intégrer
17:05 du chant ou quelque chose comme ça. Et je sais pas mais j'ai le sentiment qu'il y a quelque chose qui m'attend.
17:11 Mais je sais pas exactement quoi. Et je cherche parce que ça fait un bout de temps que
17:15 je suis dans la recherche de ce qu'on appelle les "Kigail".
17:19 D'accord. Alors ce que je vous propose,
17:21 Andrea, c'est de rester avec nous.
17:24 On va faire une petite pause et je vais répondre à toutes vos préoccupations, d'accord ?
17:30 Allez, si vous aussi vous avez besoin d'avoir une guidance intuitive, c'est simple, il suffit de composer le 0826 300 300.
17:40 Aude vous attend. On revient dans un instant avec
17:42 Andrea, notre auditrice.
17:45 Et c'est dans quelques quelques minutes sur Sud Radio.
17:49 Sud Radio à votre écoute 16h17, Alexandre Delovane.
17:55 Sud Radio à votre écoute 16h17, Alexandre Delovane.
18:01 Et de retour sur Sud Radio, il est bientôt 16h30. Alors vous pouvez aussi nous suivre en direct live sur Youtube.
18:07 N'hésitez pas à poster vos commentaires sur le groupe de Facebook "À votre écoute".
18:10 Et si à présent vous voulez témoigner ou réagir dans l'émission de lundi, le sujet sera sur la gratitude.
18:17 Alors appliquez-vous le sentiment de la gratitude.
18:20 Et avez-vous besoin de mieux développer la gratitude et de mieux comprendre ce sujet ?
18:26 Appelez-nous au 0826 300 300, le standard prendra tous vos appels.
18:32 Alors je vais à nouveau accueillir Andrea, mais parlons un petit peu de bonheur.
18:37 Avant, le bonheur se manifeste par la prise de conscience du bien-être et de toutes ses manifestations et en le cultivant bien sûr régulièrement.
18:46 Adoptez une attitude positive, une attitude positive contribue à votre bonheur.
18:52 Il faut accepter vos soucis pour qu'ils ne sont et aussi ne pas aussi contrôler votre vie.
18:59 Parce que le bonheur c'est votre bien-être spirituel, c'est aussi votre bien-être physique, c'est votre bien-être intellectuel et émotionnel.
19:07 C'est l'idée de prolonger votre durée de vie, de vous protéger du stress et de vous rendre encore plus créatif.
19:14 C'est peut-être aussi le cas chez Andrea. Andrea vous êtes là ?
19:18 Oui je suis là.
19:19 Bon et en tous les cas de ce que je viens de dire, est-ce que ça résonne en vous ?
19:24 Est-ce que vous avez ce sentiment que le bonheur c'est aussi de se rendre encore plus créatif ?
19:28 Tout à fait.
19:30 Bien.
19:31 Alors Andrea, on vous a eu il y a quelques minutes à l'antenne concernant votre projet,
19:38 en tous les cas votre situation professionnelle et financière. Vous nous avez dit que vous aviez deux activités,
19:44 enfin avec deux statuts différents dont une avec un statut plutôt salarié et une autre où là vous êtes auto-entrepreneur. C'est ça ?
19:54 C'est ça.
19:55 Et vous avez des questionnements concernant la continuité, sur le développement de ces activités-là.
20:02 Alors je pense plus que c'est par rapport à votre activité en tant qu'indépendante que vous avez des questions ?
20:08 Oui, oui, enfin et plus généralement, vers quoi je vais évoluer et comment.
20:15 Alors idéalement, vous aimeriez quoi Andrea ? Et on parle de l'aspect professionnel.
20:21 Idéalement, vous aimeriez évoluer de quelle manière et comment ?
20:26 Alors ce double statut me va très bien.
20:29 Oui.
20:30 Après, idéalement, j'aimerais pouvoir développer les deux côtés, parce qu'il y a des choses à faire du point de vue salarié,
20:42 et il y a aussi des choses à faire du côté de mon auto-entreprise.
20:46 D'accord. Qu'est-ce qui différencie ce côté, mis à part le côté administratif et statut bien entendu,
20:52 mais qu'est-ce qui différencie entre ce côté salarié et ce côté indépendante ?
20:58 Alors vous voyez, il y a d'un côté un chien, de l'autre côté un loup.
21:03 Donc le chien, il est assuré d'avoir sa pâté chaque soir, ce qui n'est pas le cas du loup.
21:11 En revanche, le loup a la liberté.
21:14 Donc c'est un peu la différence entre le salariat et l'entreprenariat.
21:18 L'entreprenariat, c'est génial, et en même temps, ça demande vraiment d'avoir un mindset particulier,
21:24 des compétences même commerciales, etc.
21:28 D'accord. Alors là, on parle effectivement de sécurité financière, évidemment,
21:33 mais au niveau du contenu du travail, est-ce que c'est un peu différent, non ?
21:40 Ou est-ce que vous utilisez les mêmes méthodes de travail ?
21:45 Alors oui, j'utilise les mêmes méthodes de travail. Après, ça dépend.
21:50 J'aime bien la diversité, donc là, je voulais rajouter un accompagnement spécifique.
21:57 Et puis voilà, en fait, je suis ouverte à pas mal d'opportunités,
22:03 du moment que c'est dans l'accompagnement et le mieux-être.
22:08 Alors vous parliez tout à l'heure du côté artistique, que vous voulez intérer aussi le chant ou la musique.
22:17 Il y a des aspects comme ça qui sont dans votre volonté de plus se développer.
22:24 Jusqu'à présent, vous avez démarré, vous avez commencé à le faire ?
22:28 C'est tout jeune. Je n'ai pas de recul pour savoir si ça prend, etc.
22:38 Et puis, je pense que j'ai une fibre artistique et que ça me manque parce que je ne la mets pas assez dans ma vie.
22:50 C'est une manière de faire aussi.
22:53 Andrea, je vous ai posé beaucoup de questions, certes, mais je voulais voir un petit peu quelle était votre résistance
23:00 et aussi votre capacité de résilience par rapport à tout ça.
23:04 Parce que je pense que vous êtes en train de vivre cette notion de résilience chez vous.
23:09 Et vous allez arriver à dépasser tous les obstacles, vous allez arriver à affronter le plus dur, vous allez arriver à avancer.
23:16 Ensuite, il faut juste peut-être rester droite avec vous-même dans le sens où, je veux dire,
23:23 par rapport à la volonté de ce que vous avez envie de faire, de ce que vous envisagez,
23:30 dans les secteurs dans lesquels vous souhaitez évoluer, il faut rester dans cette continuité-là
23:38 et aussi dans cet engagement-là et dans cette promesse que vous avez pu vous faire.
23:44 Et là, je vous sens pouvoir aller au-delà de tout obstacle, de toute fragilité, de toute difficulté.
23:52 Donc oui, pour moi, les choses vont avancer, vont évoluer et vont s'annoncer positives dans le temps.
23:59 Votre activité demande encore à trouver une certaine forme de stabilité.
24:04 Vous allez sûrement avoir encore des moments de variation, des moments avec des doutes,
24:09 des moments où ça marche mieux et puis il y a des moments où ça retombe.
24:14 Mais je crois que c'est valable pour tout le monde et surtout quand on est dans une activité indépendante
24:20 et qu'on est seul à se gérer, donc c'est plus difficile.
24:23 Mais vous verrez que progressivement, il y a quand même du résultat, il y a de l'amélioration
24:28 et ça amène un équilibre matériel et financier.
24:31 Alors ça demande du temps, mais je dirais que vous avez une trajectoire de trois ans qui s'annonce pour vous.
24:38 Et dans trois ans, le bilan est très positif.
24:40 Alors il faut tenir pendant ces trois ans, mais ça ne veut pas dire pour autant que d'ici les trois ans,
24:47 ou en tous les cas durant ces trois ans, vous allez vivre la difficulté.
24:50 C'est juste avec des périodes, un petit peu de oui et de non.
24:54 Mais pour moi, chaque année est encore mieux et se développe de mieux en mieux chaque année.
25:01 Très bien.
25:03 Il ne faut pas hésiter à mettre de l'avant vos talents, vos capacités, à proposer aussi,
25:09 attention à la dispersion, attention aussi à ne pas trop donner aux autres
25:14 et de maintenir le cap dans ce sens-là.
25:18 Mais vous verrez que pour moi, il y a cette volonté et puis surtout, vous avez cette capacité à persévérer.
25:26 Donc ça, c'est ce qu'il y a de plus important.
25:28 D'accord, très bien. Avec le chant.
25:32 Et avec le chant aussi, en tous les cas, avec tous les aspects que vous souhaitez proposer.
25:38 D'accord, très bien. Merci beaucoup.
25:41 Merci à vous, Andrea. N'hésitez pas si vous avez besoin.
25:45 Sud Radio, à votre écoute, Alexandre Delovane.
25:49 Et à présent, je vais accueillir Alba. Bonjour Alba.
25:53 Bonjour Alexandre.
25:55 Bienvenue sur Sud Radio.
25:57 Merci beaucoup.
25:58 Vous avez une voix un peu timide Alba, qu'est-ce qui se passe ?
26:01 Ça doit être le temps.
26:03 C'est le temps ?
26:04 Mais surtout l'émotion de vous avoir.
26:06 Ah d'accord, ok. Bon, vous n'êtes pas trop nostalgique, ça va ?
26:10 Oui, ça va.
26:11 Bon, alors Alba, racontez-nous un petit peu l'histoire du bonheur.
26:15 Vous connaissez ce bonheur ?
26:17 Oui, heureusement. Je l'ai expérimenté, notamment d'une façon un peu rigolote au final,
26:26 parce que c'était mal parti en fait.
26:28 Pour vous raconter l'anecdote, je faisais une croisière avec mon mari,
26:33 on avait fait Iskall à Capri.
26:36 On avait toujours rêvé d'aller à Capri, on était transportés par le paysage,
26:41 par l'endroit, par le lieu, de telle sorte qu'en fait,
26:45 j'avais un peu oublié de reprendre la navette qui devait nous conduire sur le Pacbo.
26:52 Et donc du coup, on s'est retrouvés coincés avec toutes les affaires à bord,
26:59 avec donc, quid, qu'est-ce qu'on fait, au secours,
27:04 on ne peut pas rester toute la vie à Capri malheureusement.
27:07 Et donc du coup, on a sauté dans une navette publique
27:11 pour voir partir de loin le grand Pacbo.
27:16 Et puis je voulais me jeter à l'eau pour, dans le port, bloquer le Pacbo.
27:21 Et puis mon mari évidemment m'en a empêchée.
27:23 Mais une fois le pied à terre, j'avais fait le film dans ma tête,
27:27 je me suis dit, c'est pas possible, on ne peut pas rester à Capri,
27:30 il faut trouver une solution.
27:32 Et il y a eu un flash, un coup de, je ne sais pas quoi,
27:36 d'inspiration impossible, miraculeuse.
27:38 Donc je suis allée voir le capitaine du port en lui disant,
27:41 arrêtez le Pacbo, il faut que je monte à bord.
27:44 Il a regardé comme une étrange personne arrivait de nulle part.
27:50 Et puis il a vu ma détermination, il a compris que je ne pouvais pas rester là.
27:54 Et donc du coup, je lui ai appelé le capitaine,
27:58 le commandant, comme vous pouvez.
28:00 Il m'a dit, mais non, on ne peut pas, ce n'est pas possible.
28:03 Et finalement, il l'a fait, n'y croyant pas.
28:06 Et puis il a réussi à joindre le commandant du bord,
28:09 qui a accepté d'immobiliser le Pacbo,
28:12 de stopper le Pacbo alors qu'il était déjà parti,
28:14 qu'il était prêt à sortir du port.
28:16 - Ça c'est exceptionnel quand même comme événement.
28:18 - Mais extraordinaire, extraordinaire.
28:20 Parce qu'on a fini par rejoindre le Pacbo avec la navette de la police du port.
28:25 Et même si j'avais le vertige parce qu'on est monté par l'échelle de bord,
28:31 mais l'échelle légère, je me suis dit, oh purée, ça c'est le vrai bonheur.
28:35 Pouvoir remonter à bord, retrouver les affaires,
28:39 repartir comme prévu sur la croisière.
28:42 Parce que sinon c'était la cata.
28:44 - Effectivement, mais resté à Capri, c'est pas mal non plus.
28:48 - Oui, mais ce n'était pas possible.
28:50 Ce n'était pas possible sans un sou, sans carte bleue.
28:53 - Et donc là vous avez eu ce sentiment de...
28:56 Vous avez déjà relâché la pression et puis un sentiment de retrouver vos repères
29:02 et ce sentiment de bonheur.
29:04 - Et de miracle.
29:05 - Et de miracle, effectivement c'était un peu exceptionnel.
29:07 Bon, alors Alba, quelle est votre question du jour et votre questionnement ?
29:14 - Eh bien en fait, depuis 5 ans, ma vie a complètement explosé à tous les niveaux.
29:24 Ils me laissent dans une paralysie totale de tous points de vue,
29:31 à la fois professionnel, financier...
29:34 - Qui vous laisse ?
29:36 Bonne la vie vous laisse dans cette paralysie ?
29:39 - C'est ça.
29:40 - D'accord, ok.
29:41 - Pas que, ça se traduit par effectivement plus de travail,
29:46 plus de ressources financières, plus rien qui fonctionne.
29:51 - D'accord, ça a été lié à quoi ?
29:53 - A séparation avec mon mari.
29:56 - D'accord.
29:57 - Et donc du coup, tout explosé parce qu'on travaillait ensemble.
30:03 Et donc il m'a tout volé, tout pris.
30:09 Il me laissant, moi et notre fils, dans le plus grand des moments.
30:15 - Alors cette séparation, c'est lui qui l'a voulu ou c'est vous qui avez décidé de cette séparation ?
30:21 - Eh bien disons que j'ai découvert qu'il me trompait, donc c'est moi qui l'ai mis dehors.
30:27 - D'accord. Aujourd'hui vous êtes divorcée ?
30:30 - En cours, c'est en cours.
30:32 - Et donc vous aviez une activité ensemble,
30:35 et effectivement ça a eu des conséquences et ça a fait des dégâts.
30:40 Vous en êtes où et quel est votre questionnement par rapport à ça, Alba ?
30:45 - Je n'arrive pas à savoir comment faire pour en sortir,
30:49 parce que tout ce que j'entreprends bloque, ou avoir tout est contre carré.
30:56 Donc quand ça s'arrête et comment ça s'arrête,
31:00 comment je rebondis professionnellement, quand ? Parce que ça fait 5 ans que ça dure et là c'est plus possible.
31:07 - Oui, effectivement.
31:09 Pour moi, il y a eu des blocages, mais parce que vous avez été beaucoup aussi dans l'émotionnel.
31:14 Et à un moment donné, vous avez peut-être espéré à ce que votre mari puisse céder à votre ex-mari,
31:21 votre futur ex-mari puisse céder à certaines propositions.
31:25 Et je crois que vous avez été trop dans cet aspect émotionnel, et c'est normal, c'est logique.
31:31 Et puis vous lui avez fait confiance aussi, et vous aviez envie de continuer à lui faire confiance.
31:36 Et puis il y a cette déception qui est arrivée pour votre fils aussi,
31:39 ça a été quand même aussi sur le plan émotionnel, il y a eu cette fragilité.
31:44 Donc je vous sens avoir été plus enseveli par ce genre de situation,
31:49 et par cet état-là d'émotion que vous n'arrivez plus à gérer.
31:54 Et là, peut-être qu'il a profité de cette faiblesse-là pour reprendre le dessus et dominer la situation.
32:03 Mais les choses sont en train de bouger progressivement, elles sont en train d'évoluer.
32:07 Alors dans un premier temps, ce que je ressens, c'est que vous avez besoin de vous concentrer sur votre devenir
32:14 et le côté de l'activité professionnelle, et il semblerait que vous allez trouver un travail très rapidement.
32:20 Et quand je dis très rapidement, c'est une question de semaines, ce n'est pas une question d'année,
32:24 ce n'est pas une question de semestre, c'est une question de semaine, voire aller moins de trois mois,
32:29 mais vous avez un travail qui vous est destiné.
32:31 Alors peut-être que ce travail ne sera pas forcément celui dont vous attendez ou vous souhaitez réellement,
32:37 mais ça permettra de pouvoir débloquer la situation et de sortir de cet enfermement et de cette difficulté-là.
32:46 Et puis sur le côté de tout ce qui est procédure de divorce, aussi de la société, tout ça,
32:54 alors là par contre c'est plus compliqué.
32:56 Le divorce, je sens quand même qu'il y a quelque chose qui s'annonce ou qui se met en place au début de l'été 2024,
33:02 où là on va vers peut-être une conclusion, ou en tout cas là ça semble s'annoncer.
33:09 Mais sur la procédure professionnelle, ça va demander un petit peu de temps,
33:14 il y a besoin de vérification, il y a un besoin aussi peut-être de reprendre certaines choses
33:20 et d'étudier ou d'expertiser certaines choses pour à nouveau évaluer et permettre de redonner du sens à tout ça.
33:28 Donc là j'ai l'impression qu'on parle peut-être d'une année encore supplémentaire,
33:33 peut-être, je ne sais pas si ce n'est même pas plus, mais je ne veux pas être pessimiste sur la situation.
33:38 Ce qui est important et d'un point de vue chronologique, c'est votre travail,
33:42 et ça vous allez retrouver un équilibre professionnel et permettre de revivre plus convenablement.
33:49 Oui, c'est nécessaire effectivement.
33:56 Bon, écoutez, vous allez nous tenir au courant, d'accord ?
34:00 On va se donner rendez-vous pour la période de fin janvier,
34:04 vous allez rester avec le standard et on va vous suivre.
34:08 Alba, vous voulez ?
34:12 Super, c'est très gentil, merci beaucoup Alexandre.
34:16 Merci à vous.
34:18 Allez, on se retrouve dans quelques minutes avec notre prochaine auditrice Patricia.
34:22 Ne bougez pas, on en parle dans un instant et c'est sur Sud Radio.
34:26 Sud Radio à votre écoute, Alexandre Delovane.
34:31 Sud Radio à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
34:37 Et de retour sur Sud Radio pour cette dernière partie,
34:40 avant de retrouver les vraies voix, présentées par Philippe David et Cécile Dominibus.
34:44 Alors, il vous reste quelques minutes pour passer à l'antenne de Sud Radio,
34:47 et avant de retrouver Patricia, je vais me diriger vers le groupe à votre écoute.
34:51 Alors, vous êtes nombreux à laisser des messages sur le sujet du bonheur,
34:56 c'est un sujet qui fait réagir, et je retiens celui de Maryse,
35:00 qui nous dit "la vie est faite de petits bonheurs qu'il faut capter à tout moment de la journée,
35:05 le bonheur de vivre, de profiter, de partager, d'être heureux de ce que l'on a,
35:09 le bonheur d'une belle vie, d'amour et d'amitié,
35:13 le bonheur est à portée de main, souvent on ne le voit pas".
35:16 C'est un peu ça, effectivement.
35:18 Et puis il y a aussi un message de Sylvain, qui nous dit "le bonheur, c'est d'abord d'y croire".
35:23 Exactement, Sylvain, c'est aussi un sentiment ressenti.
35:26 Et la parole est à Patricia. Bonjour Patricia.
35:30 Oui, bonjour Alexandre, et bonjour à tous les auditeurs et à votre équipe.
35:34 Merci, pardon, j'ai la voix qui est partie.
35:37 Patricia, bienvenue sur Sud Radio.
35:40 Pour vous, le bonheur, qu'est-ce que ça vous révèle, qu'est-ce que ça vous inspire ?
35:45 Alors pour moi, le bonheur, c'est un instant privilégié,
35:49 où on est juste dans le ressenti, où il n'y a plus de pollution extérieure.
35:53 En fait, c'est un peu comme une bulle qui est autour de nous, et là c'est une plénitude.
35:57 En fait, c'est un arrêt sur image. On n'a plus besoin du reste.
36:01 Et qui peut être soit programmé, moi je pense à la naissance de notre fille,
36:07 ou alors de manière complètement inopinée.
36:10 C'est-à-dire que ça peut être une belle rencontre, et dans ces cas-là,
36:13 il faut être ouvert à ce qui se passe à l'extérieur.
36:16 Et là, on est bien, on n'a besoin de rien d'autre, c'est tout.
36:19 C'est vrai. Est-ce que vous avez le sentiment de vivre ces moments-là régulièrement,
36:23 ou est-ce que vous êtes vous-même obligé de les provoquer, ces moments ?
36:27 Non, parce que quand ils sont inopinés, en fait, ils arrivent.
36:31 Il faut juste ressentir et se dire "là, oui, là, ce qui se passe, c'est merveilleux,
36:36 je veux dire, j'ai besoin de rien d'autre".
36:38 D'accord. Après, c'est aussi un état d'esprit, c'est-à-dire que plus on est en recul face à des situations,
36:45 et plus on lâche prise avec ce qui nous préoccupe.
36:48 Oui, ne rien attendre, en fait. Ne pas attendre. Recevoir.
36:53 Voilà. En fait, je crois que c'est ça.
36:55 Exactement. Alors, Patricia, vous avez des interrogations, et notamment vous parliez de votre fille.
37:01 Ça concerne votre fille, c'est bien ça ?
37:03 Oui. Alors, oui. Je vais vous expliquer la situation.
37:06 C'est-à-dire qu'elle a 20 ans, elle est en couple avec son petit copain depuis 5 ans.
37:10 Tout se passait très bien. Ils ont vécu 2 ans chez nous, à la maison,
37:14 et puis ils sont partis dans la liée, on va dire, parce qu'elle est allée faire ses études là-bas,
37:20 et qu'il avait sa famille là-bas, et donc elle voulait lui renvoyer un peu la monnaie de sa pièce
37:24 pour que ça se passe très bien, et puis je pense qu'elle avait besoin de prendre un petit peu l'air.
37:28 Donc ils sont partis, tout se passait bien, donc elle a fait ses études.
37:32 Lui a fait une formation, il avait trouvé du travail, donc tout allait bien.
37:36 Ils avaient leur maison, tout était parfait.
37:38 Et puis il est rentré il y a 15 jours en lui disant "Voilà, il faut que je te parle.
37:43 Je ne peux plus vivre avec toi. Je ne connais personne d'autre.
37:48 Ma vie avec toi s'arrête là, on ne peut pas aller plus loin, je ne peux plus."
37:53 - Alors, Patricia, combien de temps ils ont vécu ensemble, bien, de manière équilibrée ?
38:01 Pendant combien de temps ?
38:03 - Alors, en fait, ça fait 5 ans qu'ils étaient ensemble, et 3 ans chez eux, indépendants.
38:08 - D'accord, c'est une longue histoire.
38:10 - Donc, ils avaient le projet d'avoir des enfants, mais même lui, je veux dire,
38:14 dès qu'elle arrêtait ses études, pratiquement, c'était avoir des enfants,
38:20 parce que lui voulait avoir des enfants très très jeunes.
38:23 Enfin voilà, tout était parti, tout était dans une configuration de construction.
38:29 Et en fait, en l'espace de 2 minutes, tout s'est écroulé.
38:33 Tout s'est écroulé, donc là, complètement un coup derrière la tête.
38:37 Et en fait, en en parlant autour d'elle, tout le monde est tombé de la lune.
38:42 On ne s'attendait pas du tout à ça. Pas du tout, du tout.
38:46 - Pour quelle raison il a décidé d'arrêter la relation ?
38:49 - Alors lui, il lui dit qu'il a besoin de, peut-être, je pense, de vivre sa vie,
38:54 il est jeune, il a 21 ans, de construire tout seul.
38:58 C'est ce qu'il lui a dit, en tout cas.
39:00 - D'accord. Alors, quelle est votre question ?
39:03 - Alors moi, je me dis, en fait, elle a 20 ans, elle est loin de nous,
39:08 comment est-ce qu'elle va émotionnellement arriver à surmonter cette épreuve ?
39:12 Parce que c'est quand même très douloureux.
39:15 Elle m'a signé quelqu'un d'hypersensible, est-ce qu'elle a la force pour remonter ça ?
39:20 Et du coup, comme elle est loin, est-ce qu'elle va revenir chez nous ?
39:23 Ou est-ce qu'ils vont se remettre ensemble ? Ou est-ce qu'elle va trouver quelqu'un d'autre ?
39:26 Voilà, j'en suis un peu là.
39:28 - Bien sûr, Patricia. Bon, de ce que je ressens,
39:30 je n'ai pas le sentiment et l'impression qu'il y ait un retour qui puisse se faire.
39:34 Je crois qu'effectivement, il a envie de vivre autre chose.
39:37 Il a peut-être des idées, ou il a peut-être déjà une personne qui le perturbe,
39:42 émotionnellement ou sentimentalement, et il n'a pas osé le dire à votre fille.
39:47 Il faut qu'elle, elle-même, se fasse aider, encadrer,
39:52 entourer pour pas qu'elle tombe dans une petite forme de dépression ou de solitude.
39:57 Mais je la sens revenir vers vous, je la sens vouloir reprendre ce chemin
40:03 et revenir vers ce qui la rapproche,
40:06 ou ce qui en tous les cas l'a amené jusqu'à présent à être heureuse aussi,
40:09 c'est de retrouver sa famille.
40:11 Donc ça va demander un petit peu de temps,
40:13 parce qu'elle a toujours peut-être cet espoir de retour,
40:16 mais vous verrez que d'ici à peu près entre 6 mois et un an,
40:20 elle semble revenir vers vous et pour se réinstaller dans une nouvelle vie
40:24 et recommencer sa vie sentimentalement et différemment, bien sûr,
40:28 parce que je ne vois pas de retour avec ce garçon,
40:30 mais vous verrez qu'elle va retrouver un équilibre.
40:32 C'est un passage un peu à vie de 6 mois à peu près,
40:35 et après, au-delà de ces 6 mois, là je sens que les choses se mettent en place,
40:39 se positionnent plus positivement,
40:41 et votre fille a tendance à être dans un état d'esprit
40:47 où elle peut s'écrouler mais très vite remonter.
40:49 Voilà de ce que je ressens pour elle.
40:51 N'hésitez pas à nous tenir au courant, Patricia.
40:53 En tout cas, c'est très gentil.
40:55 Mais en fait, ce délai, c'est un petit peu ça,
40:57 vous parlez d'un délai de 6 mois,
40:59 parce qu'en fait, dans 6 mois, elle aura fini ses études,
41:01 et je pense qu'à ce moment-là, elle va pouvoir la vivre.
41:03 C'est bien ça. D'accord.
41:04 Tenez-nous au courant.
41:05 Merci, on doit rendre l'antenne, Patricia.
41:07 Et pour conclure, je dirais,
41:09 le bonheur ne dépend pas des autres,
41:11 mais de soi-même.
41:13 Allez, on se donne rendez-vous lundi, on parlera de gratitude.
41:15 Êtes-vous dans cette approche ?
41:17 Ou souhaitez-vous développer votre gratitude ?
41:19 0800 26 300 300.
41:21 Passez une bonne fin de soirée,
41:23 et prenez soin de vous.
41:25 La place est aux vraies voix.
41:27 Bonsoir Alexandre Delovane.
41:29 Vous avez l'air en pleine forme.
41:31 Oui, écoutez, ça va, oui, oui.
41:33 En pleine forme. Le menu des vraies voix.
41:35 On est en train de faire un grand débat.
41:37 C'est une tribune du syndicat de police Allianz,
41:39 qui, on peut dire, met les pieds dans le plat,
41:41 en parlant d'ensauvagement et de brutalisation,
41:43 qui accuse la justice de laxisme.
41:45 Et on vous pose cette question.
41:47 Les policiers sont-ils les mieux placés
41:49 pour critiquer la justice ?
41:51 Vrai sujet, puisqu'ils sont quand même en première ligne.
41:53 Et il est vrai que quand on voit certaines décisions de justice,
41:55 on peut quand même se poser des questions.
41:57 Mais est-ce que pour vous,
41:59 les policiers sont les mieux placés pour la critiquer ?
42:01 Ou est-ce qu'ils devraient,
42:03 plutôt, faire profil bas ?
42:05 On attend vos appels au 0826 300 300.
42:07 À 18h37,
42:09 le coup de projecteur,
42:11 les combats ont repris au Proche-Orient,
42:13 suite à l'attentat d'hier à Jérusalem.
42:15 Et on vous pose cette question.
42:17 Faut-il accélérer une solution à deux états
42:19 pour éviter l'escalade ?
42:21 Certains disent que c'est encore possible.
42:23 D'autres disent que c'est trop tard,
42:25 que de toute façon le Hamas ne reconnaîtra jamais Israël.
42:27 Et vous, qu'est-ce que vous en pensez ?
42:29 Est-ce que cette solution à deux états,
42:31 elle est encore crédible ?
42:33 Ou est-ce qu'elle fait définitivement partie du passé ?
42:35 Et dans ces cas-là,
42:37 que doit devenir la bande de Gaza ?
42:39 Et que doit devenir la partie de la Cisjordanie ?
42:41 Où il y a des Palestiniens ?
42:43 Appelez-nous au 0826 300 300
42:45 pour nous donner votre avis.
42:47 Nos trois vrais voix du jour.
42:49 Philippe Biliger, Elisabeth Lévy et Michael Sadoun.
42:51 - Bonne émission.
42:53 - Sud Radio, à votre écoute,
42:55 16h17,
42:57 Alexandre Delovane.
42:59 - Avec Idealvoyance.fr,
43:01 coaching de vie spirituelle
43:03 par téléphone, chat et e-mail.
43:05 - Sud Radio. - Parlons vrai.
43:07 - Parlons vrai.
43:09 - Sud Radio. - Parlons vrai.