• l’année dernière
Invitée dans Punchline WE , l'essayiste Naïma M'Faddel a évoqué les adolescents radicalisés : «Aujourd'hui, la radicalisation se passe sur le web, sur les réseaux sociaux et sur TikTok, avec des personnes qui s'autoproclament imams. C'est rarement dans les mosquées». 

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Transcription
00:00 Mais vous savez, moi j'ai envie d'interroger aujourd'hui la délinquance en général de nos mineurs.
00:07 Regardez, c'est dans tout.
00:09 Les émeutes, ça a été surtout des mineurs.
00:13 Les problèmes liés aussi à la discipline à l'école, c'est aussi des mineurs.
00:18 La délinquance dans les quartiers, notamment ces jeunes-là qui sont enrôlés dans les différents trafics,
00:25 notamment le port, c'est des mineurs.
00:27 Donc à un moment, il faut qu'on s'interroge aujourd'hui, qu'est-ce qui fait qu'aujourd'hui nos jeunes mineurs
00:35 tombent facilement soit dans la délinquance, soit dans la radicalisation.
00:38 Concernant ces cas bien précis, et notamment que ce ne sont pas des familles radicalisées,
00:44 donc ça interroge aussi, on sait très bien qu'aujourd'hui la radicalisation se passe beaucoup plus sur le web,
00:50 sur Internet, sur les réseaux sociaux, sur TikTok, etc.
00:54 Avec des personnes qui s'autoproclament imams, c'est comme ça que ça se passe, c'est rarement dans les mosquées.
01:02 On sait très bien que dans les mosquées en général, voilà, c'est rarement dans les mosquées
01:06 parce que de toute façon aujourd'hui, je pense que le ministre Darmanin fait un excellent travail.
01:11 Aujourd'hui, on sait très bien que s'il y a des mosquées qui sont radicalisées, le ministre intervient.
01:18 [Musique]
01:22 [SILENCE]

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