Ce responsable Pastef pointe une des force majeure de Sonko

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00:00 Ah mais c'est vrai. Parce que aujourd'hui, nous créons une fitte. Je peux dire la totalité, nous sommes à 24. Je pense que le point est là sur la transparence des élections. Nous devons l'inclure. Parce que je pense que 150 partis et organisations, si on compare avec une trentaine de partis, au moment où beaucoup de partis sont exclus, beaucoup en tout cas sont en fitte.
00:29 Je pense que cela aussi, c'est de créer une sorte de malaise pour nous. C'est mon opinion personnelle.
00:36 Si je le considère par rapport à cette création de fitte, cela ne me dérange pas.
00:42 Parce que sans que je disais que le Sénégal doit avoir la fierté d'être un soutenant de l'Afrique, le Sénégal doit aussi avoir une part démocratique de l'Afrique.
00:53 Parce que souvent je disais que le Sénégal n'avait pas gagné la Coupe d'Afrique des Nations avant 2022, mais la Coupe d'Afrique sur le plan démocratique, le Sénégal a remporté.
01:01 Parce que le Sénégal, avant même la conférence de Boul de 1990, le Sénégal, déjà en 1978, organisait une élection présidentielle, c'est un gars avec qui on avait parlé.
01:14 Donc il y a eu Abdel Jouf qui est devenu président, qui organisait une élection présidentielle en 1983-88.
01:22 Donc quand François Mitterrand a appelé les chefs d'état africains pour leur demander d'avoir une avancée démocratique, le Sénégal a beaucoup répondu.
01:29 Mais aujourd'hui, pourquoi le président Maki Sarkhia et son résumé, c'est ce qu'on doit préserver ?
01:34 Ça veut dire que cette fierté institutionnelle, avec ce genre de phare démocratique que le Sénégal a depuis 1978, parce que la première élection, il faut qu'il y ait une ouverture, un multipartite, et tout ça.
01:50 Parce qu'il y a des choses qu'on a fait en 1993, mais ce qu'on a parlé, c'est le code consensuel, le code de K-Banbay, il y en a eu.
01:59 Et ça a aussi évolué quand on a eu l'organisation de l'ONEL, qui est l'ONEL, qui est l'ONU, qui est rappelée.
02:04 Parce que Abdel Ayoub a créé en l'an 2000 le Front pour la Résistance, donc la Transparence des élections.
02:12 Mais là aussi, c'était pour pousser, pour appliquer toutes les décisions qu'on a prises par rapport à l'ONEL.
02:18 On l'a appliqué. Et vous voyez Abdel Jouf et Abdel Ayoub, pourquoi on a réuni Maki Sarkhia ?
02:22 C'est par rapport à l'élégance. Parce que Abdel Jouf, il ne pouvait pas le juger.
02:29 Mais Abdel Jouf, qu'a fait-il au niveau du ministère de l'Intérieur ?
02:34 Mais il a débatté pour les générales à la Ministé, vous comprenez ? Il l'a fait.
02:39 Aussi, Maki Sarkhia, qui a organisé les élections dans les règles de l'art, qui, comment on appelle ça, Abdel Jouf...
02:46 qui a appris à l'étranger, il est parti de manière démocratique. Et aussi, même, il a appris en l'an 2012.
02:52 Qu'a fait-il par rapport à celui-là ? Il a créé un ministère sardier des élections.
02:58 Mais quand Maki Sarkhia a été présent, on ne l'a pas interrogé, mais "Est-ce que tu veux créer ici un ministère neutre ?"
03:03 Il a dit "Non, je ne le ferai pas".
03:07 Et là, je pense qu'aujourd'hui, si vous voyez tout ce qu'il y a à faire, ces fêtes, ces F24, c'est parce que tout simplement,
03:12 c'est parce que Gagnon n'est qu'avec un présent, il ne comprend pas le langage des Sénégalais.
03:18 Mais est-ce que le Pôle son n'est pas aussi en train de souffrir de l'absence de Sonko ?
03:23 Parce que nous avons des dynamiques, mais quand même, le travail qu'il a fait, il a fait.
03:30 Mais, vous voyez, Ousmane Sonko, c'est vrai, c'est une personne d'une grande dimension.
03:35 C'est vrai, moi, je respecte, Dieu m'a fait, je respecte tout le monde, les gens, les jeunes,
03:40 mais quand même, Ousmane Sonko, il a fait son travail.
03:43 Mais Ousmane Sonko, je pense que c'est l'absence le plus présente.
03:48 Ousmane Sonko, il est à l'hôpital, mais jusqu'à présent, vous voyez, même le débat,
03:54 mais tout le monde parle d'Ousmane Sonko.
03:56 On ne parle pas des autres, parce que Ousmane Sonko, qu'il soit en prison, il est dangereux.
04:00 Qu'il soit en dehors, encore, il est dangereux.
04:03 Donc, pour lui, je pense que nous, on veut tout faire pour qu'il n'est pas exclu de l'élection présidentielle.
04:14 Parce que, je l'ai raconté, ça arrive de 1960 à maintenant,
04:18 c'est seul le président Macky Sall qui n'a jamais organisé d'élection présidentielle.
04:22 C'est ça, je ne dis pas que c'est un blague,
04:24 parce que Macky Sall, depuis qu'il est arrivé au pouvoir, c'est l'élection présidentielle qu'il a organisée.
04:29 Lors de l'élection, il faut que Khalifa Sall ne soit pas là, Karima ne soit pas là.
04:33 En 2024, Ousmane Sonko ne sera pas là.
04:37 C'est ça, parce que c'est l'élection présidentielle habituelle.
04:40 Et moi, je pense que ça, il faut changer.
04:44 Parce que Sénégal, c'est un pays qui est très respecté.
04:47 Parce que, si on ne sait pas, face à l'orage, l'homme d'État révèle sa stature.
04:54 Aujourd'hui, le président Macky Sall doit révéler,
04:57 montrer lui-même, parce que lui-même, sa sortie du pouvoir, je ne peux pas le répéter,
05:02 s'il avait fait comme le président Abdeljouf,
05:05 ça veut dire que tous les gens devaient voter.
05:07 C'est vrai, tous les gens devaient voter, parce qu'il y avait plus de 200 candidats.
05:10 Tout le monde ne peut pas, tout le monde ne peut pas aussi, on l'entend, tous les gens devaient voter.
05:14 Mais au moins, que les candidats sérieux,
05:16 ils devaient voter pour l'élection présidentielle.
05:18 Parce qu'aujourd'hui, imaginez,
05:20 je vais vous donner un exemple, par exemple, vous gagnez l'élection présidentielle,
05:24 imaginons, sans président Ousmane Sonko.
05:26 Mais tout le monde sait que vous avez gagné,
05:28 vous n'avez pas cette popularité,
05:30 c'est parce que tout simplement Ousmane Sonko n'est pas candidat,
05:32 vous êtes président.
05:34 Mais est-ce que toi, tu penses que toi, tu seras légitime ?
05:36 Mais non, c'est pas bon, il faut que nous arrêtions,
05:39 même les Sénégalais aujourd'hui, si nous avons gagné,
05:41 on va les faire vivre.
05:43 Je veux que les Sénégalais choisissent.
05:45 Mais le peuple sénégalais aussi,
05:47 le peuple sénégalais doit assumer cela.
05:49 Qui ? Moi, je le suis sur sa page Facebook.
05:53 Parce que c'est ce que j'ai organisé avec la création de FIT.
05:57 Mais c'est normal, malgré toutes les soupçons qu'on peut avoir.
06:01 Parce que qui ? Moi, je suis sur sa page Facebook,
06:03 c'est une partie de Gladiator.
06:06 Et quand on parle de Gladiator, c'est quelqu'un qui fait le combat,
06:10 qui est dans la violence.
06:13 Et aujourd'hui, parce que nous, nous sommes des gens,
06:16 mais c'est ce qui a fait aujourd'hui que nous,
06:19 aussi, les gens, nous sommes des résistants.
06:23 C'est ça la réalité.
06:25 Parce que, bien sûr, il faut consulter sa page Facebook.
06:27 Mais bien sûr, la paix, c'est une partie de Gladiator.
06:30 Donc, on sait donner des coups, on fait des flics,
06:33 ou alors, non, ce n'est pas quelque chose qui est souhaité.
06:38 Moi, j'aurais aimé, sans que l'opposition,
06:41 l'opposition, ne soit pas encore, je ne sais pas,
06:45 mais je pense qu'aujourd'hui, si l'opposant...
06:47 C'est bon d'aller là.
06:49 Mais nous, ceux des opposants, on doit faire un coup à son corps.
06:51 Nous, ils sont obèses.
06:53 Ils ont une obésité, mais du côté insouciance,
06:56 parce que tout simplement, toutes les frustrations du peuple,
06:58 tous les insouciances,
07:00 à ce que nous, qu'est-ce que c'est dans un pays,
07:01 où on a un oligarchie,
07:03 quand tu es avec le régime de Marquesal, tu es riche,
07:06 tu es dans... tu es en avion,
07:09 tu as bénéficié des reçus de ce pays-là,
07:13 mais c'est normal qu'ils soient obèses.
07:15 Mais nous, quoi, son corps, il peut...
07:17 On est tout à fait d'accord, mais on l'est dans la vérité.
07:20 D'accord.
07:21 Mais, opposition, constitution, mon bon consacré,
07:25 en 2016, dans le consacré,
07:27 statut de l'opposition et de son chef,

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