Lundi 4 décembre 2023, SMART BOURSE reçoit Alexandre Baradez (Chef analyste, IG)
Category
🗞
NewsTranscription
00:00 Votre programme avec IG. IG, bien plus que du trading. Une équipe d'experts à vos côtés.
00:06 Alexandre Baradez avec nous chaque lundi pour le plan de trading de Smart Bourse,
00:22 chef analyste chez IG, à nos côtés en plateau. Bonjour Alexandre.
00:26 Bonjour Édouard.
00:26 Merci beaucoup d'être avec nous. On est encore marqué par ce mois de novembre dont on sort à peine,
00:31 qui a été un mois historique, je le disais, sous différentes métriques,
00:35 notamment pour le portefeuille global 60/40, actions et obligations, avec ce facteur taux
00:42 qui a ramené un certain nombre d'indices actions sur des sommets annuels, voire des sommets historiques.
00:48 Oui, c'est clairement le thème du mois de novembre. Et ce qui est assez frappant,
00:52 et moi qui ai dépassé mes attentes très clairement, c'est la réactivité et le degré de réaction,
00:58 la vitesse de réaction du marché à l'ajustement des taux qui a été sensible, oui,
01:05 mais pas non plus complètement extraordinaire. C'est-à-dire qu'on a bien compris pourquoi les taux
01:08 ont commencé à lâcher tout doucement, des statistiques un peu moins bonnes aux États-Unis,
01:12 des chiffres d'inflation continuent de refluer. Donc ça, le mécanisme, on le comprend bien.
01:17 La vitesse de réaction du marché m'a en revanche surpris. Je pensais qu'on aurait pu voir effectivement,
01:20 autant, on le verra sur les indices tout à l'heure, les niveaux de support, on pensait qu'ils seraient dangereux
01:23 de vendre plus bas, donc l'action ne s'est pas trompée, autant la capacité à réagir du marché,
01:28 le squeeze, les flux aussi qui sont arrivés là-derrière, je trouve ça un peu plus interpellant.
01:34 L'effet taux a été démultiplié dans l'univers actions.
01:37 C'est ça, exactement. Et pour autant, on voit que les banques centrales, à ce stade,
01:42 si le marché actions joue l'effet taux, ce qui est le cas, il faut aussi, assez rapidement je pense,
01:47 que la rhétorique des banques centrales accompagne, abonde ce mouvement-là, abonde dans ce sens.
01:52 Parce que sinon, le message, ce serait quoi ? C'est de dire, on déploie de nouveau les multiples,
01:57 forward notamment, mais si les banques centrales n'offrent pas rapidement la garantie que,
02:01 oui, le pivot est bien pour le T2 et voire milieu T2, voire peut-être même début T2 pour la BCE,
02:07 ce qu'on voit sur l'euro, on a des anticipations de l'euro qui est un peu bas aussi, ça tire les marchés d'action européens,
02:11 parce que le marché se dit que probablement la BCE, cette fois-ci, ira avant la Fed.
02:15 Si rapidement, tout ceci ne se met pas en place dans la bouche de Christian Lagarde ou de Jerome Powell,
02:20 le risque, il est qu'effectivement, à un moment donné, le marché soit un petit peu parti trop vite.
02:23 Et en fin de semaine dernière, je pense que beaucoup attendaient ce moment-là, c'est l'intention de Jerome Powell,
02:28 parce que finalement, dans la semaine, on a vu des grands écarts au niveau des speakers de la Fed.
02:32 Ça avait commencé avec un speaker, Waller, Christopher Waller, qui avait clairement, lui,
02:37 commencé à parler d'hypothèses de baisse de taux, si l'inflation va de manière cadencée à 22 %,
02:42 c'est le premier, le tout premier qui en trouve la porte des baisses de taux.
02:45 Et à la suite de ses propos, d'autres de la Fed, Parkin ou autres, 3 ou 4, soient exprimés,
02:51 eux, en revanche, mettaient le curseur beaucoup plus à droite, en gros, par des baisses de taux.
02:56 Et donc, Jerome Powell, c'était un peu la conclusion de tout ça.
03:00 Il s'est quand même placé plutôt à droite, Jerome Powell.
03:02 Il a reconnu classiquement que l'inflation a fait des progrès, que l'emploi s'était un peu détendu,
03:06 mais il y a eu des "mais" à chaque fois. "Mais", ce n'est pas encore suffisant.
03:09 "Mais le marché de l'emploi reste encore très fort", pour prendre ces propos, il dit.
03:12 Et ça, c'est même assez surprenant. Comme phrase, il dit,
03:15 "Nous ne sommes pas encore sûrs que les conditions financières soient suffisamment restrictives",
03:19 alors que jusqu'à présent, le discours, c'était "elles le sont pour ramener l'inflation à 2 %,
03:23 c'était moins la question du "sont-elles suffisamment restrictives"
03:25 que la question du plateau qu'on allait devoir traverser.
03:28 – Et le marché allait en être très sélectif par rapport à ça, vous dites, Alexandre.
03:32 C'est intéressant, parce qu'ils ont tellement tordu la "forward guidance" depuis 18 mois
03:37 que ce moment est intéressant. On voit que leur parole,
03:40 alors je ne vais pas dire qu'ils ont perdu leur crédibilité,
03:42 elle est là et elle est solide, mais on voit bien que dans ce moment-là
03:46 où on guide les marchés vers les données, le marché, il fait ce qu'on lui dit.
03:51 Il suit les données, il est "forward looking" et finalement,
03:54 la rhétorique des banquiers centraux est peut-être un peu secondaire.
03:58 – Oui, c'est possible. C'est sûr que l'épisode qu'on avait eu pendant trois mois…
04:02 – Mais c'est un risque, j'en termine, de ne pas écouter ce que disent les banques centrales.
04:06 Encore une fois, la réaction initiale me paraît juste,
04:08 parce que pendant trois mois, on se souvient que c'était trois très résilients,
04:11 et toutes les states américaines étaient meilleures les unes que les autres.
04:14 Effectivement, ça a repoussé ce sentiment et on disait,
04:16 mais il y aurait peut-être une, voire deux hausses de taux de plus.
04:18 Donc, de seul coup, avoir eu des proportions d'emploi moins bons,
04:21 des ISM un peu moins bons, jolts moins bons également,
04:23 voilà, les choses ont commencé à se mettre en place.
04:25 Mais c'est plus la fonction de réaction, la vitesse de réaction qui me paraît,
04:28 et j'ai l'impression que les banquiers centraux, ça peut un peu les gêner,
04:32 parce que, encore une fois, la lutte contre l'inflation, c'est un combat de longue haleine,
04:36 et si même à la marge, les détentes des conditions financières,
04:38 on commence à voir ce taux de crédit aux Etats-Unis,
04:40 le taux de 30 ans, que tu as 8% et quel, qu'on le retrouve plutôt vers 7% désormais,
04:43 7, 2, 7, 3, c'est pas tout à fait 100 points de base de moins,
04:46 je ne dis pas que ça va amener d'un seul coup une respiration phénoménale
04:49 sur le marché du crédit immobilier aux Etats-Unis,
04:51 mais ça peut contribuer à freiner le retour de l'inflation à 2%,
04:54 il me semble que ça, c'est quelque chose que les banques centrales
04:57 ne veulent pas voir ou prendre le risque de voir.
04:59 - Elles ne laisseront pas le marché aller trop loin dans l'assouplissement des conditions financières.
05:03 Le mois de novembre a été un mois de spectaculaire assouplissement des conditions financières,
05:08 les spread de crédit se sont resserrés, le dollar a baissé,
05:11 le pétrole aussi apporte un peu d'air, etc., et les marchés actions bien sûr.
05:15 Venons en d'Axe, qui marque, je crois, ce matin, un nouveau sommet historique, Alexandre.
05:20 - Qui, parfois, de manière incroyable, il ne m'était pas fait...
05:22 - Qui parle de l'Allemagne comme le maillon faible de l'Europe aujourd'hui.
05:24 - C'est exactement ça, et du coup, c'est le...
05:25 Vous voyez, la zone enviolée, c'est ce qu'on voyait il y a quelques semaines en somme,
05:27 on disait, voilà, sous cette zone, il y a assez peu de chances, d'un point de vue,
05:30 de l'envie de s'investir sur le dollar en dessous, parce que le gros de la purge, en gros, c'est 2022,
05:34 donc ça ressemblait plus à un écho de 2022 en plus faible.
05:36 On disait, attention, sous le 15 000, il n'y aura pas beaucoup d'opportunités,
05:39 il ne faut pas trop vendre en dessous.
05:41 Donc, là, on ne s'est pas trompé.
05:42 Par contre, dire, on va passer de 15 000 à...
05:44 - C'est vertical, hein.
05:45 - ... à 16 000, le sommet, là, ça va un peu vite.
05:48 Et c'est vrai que, oui, le pattern global, c'est celui dont on pense que sera le bon dans les mois à venir.
05:54 Ça, en gros, on a un énorme biseau qui passe par les creux de 2020, 2022, on lit les sommets.
05:59 Ça vous donne, je pense, la trajectoire dans les mois, et ensuite, sorti par le haut du biseau.
06:03 Donc, on est toujours optimiste moyen terme.
06:05 S'il vous plaît, il n'y a pas de raison d'imaginer qu'on ait un double top sur le DAX, ce genre de choses.
06:09 Mais en revanche, le biseau, comme pour le CAC 40, est extrêmement large.
06:13 Et cette zone, en gros, 15 000 et 16 000 et quelques, moi, je verrais aujourd'hui plein d'arguments pour y rester.
06:18 On parle du DAX, donc c'est un indice assez peu de valeur de croissance,
06:21 beaucoup de valeur domestique quand même, ou en tout cas européenne.
06:24 Ce qu'on voit de l'Europe, même si ça se stabilisait un peu au niveau des PMI d'activité,
06:27 manufacturier notamment, ça ne se dégrade plus en tout cas.
06:30 La porte de service a continué de se dégrader.
06:32 Donc, on peut se dire, ben ouais, le DAX joue finalement la stabilisation du PMI manufacturier.
06:36 Entre jouer une stabilisation et jouer une expansion, là, on a l'impression qu'il joue l'expansion.
06:40 Il joue un PMI qui serait revenu au-delà de 50, comme pour la Chine.
06:44 On comprend bien le lien Allemagne-Chine, etc., sur les flux.
06:47 La Chine aussi, on en parle régulièrement.
06:49 On voit que ça s'est stabilisé un peu sur le haït de chinois, notamment dans la partie tout immobilier.
06:53 On voit les PMI d'activité se stabiliser aussi un peu en Chine.
06:55 Donc, on peut comprendre qu'il y a une envie de remettre un peu de DAX dans ses portefeuilles.
06:59 Mais de faire du point A au point B en ligne droite sans étapes,
07:03 c'est là que moi je suis moins à l'aise.
07:05 Et encore une fois, par sa composition, se dire que les multiples repartent tout de suite comme ça,
07:09 moi, je verrais bien, encore une fois, il y a ce que moi je verrais, puisque le marché en fera,
07:13 je verrais bien une pause quand même sous les sommets.
07:15 Les sommets ne doivent pas s'aider tout de suite dans une optique qui serait une optique, encore une fois,
07:19 disons-le, de consolidation, pas de retournement ou autre.
07:21 Mais une consolidation, les mouvements sont tellement abruts que parler encore d'un range de 10% pour le DAX,
07:26 pour moi, n'aurait absolument rien de fou par rapport au value, par rapport à la macro, par rapport au niveau technique aussi.
07:31 Donc, pour moi, je suis assez peu à péter dans ce niveau-là.
07:34 Au-delà de ces niveaux, vous dites, on bascule dans une forme de complaisance
07:37 ou d'anticipation un peu trop lointaine qui devient un risque pour les investisseurs.
07:41 Tout dépense au portefeuille. Si, effectivement, on achète, et ça, c'est plutôt la partie des dégestions,
07:46 sur des horizons de plusieurs trimestres, il n'y a pas d'obstacle, comme vous disiez, il y a déjà quelques semaines.
07:50 On ne se renie pas là-dessus.
07:52 Si c'est dans une optique de 12, 18, 24 mois, évidemment, pas de souci pour moi du DAX.
07:56 Si c'est dans une optique un peu de swing ou de travail des mouvements de quelques jours à semaines,
08:01 moi, je verrais bien qu'il y a plutôt un retour des retracements de 5, 6, 7% dans cet espace-là,
08:07 entre la partie violette et la partie rouge, plutôt qu'une accélération vers le sommet et au-delà.
08:11 Qu'est-ce qu'on peut dire des grandes valeurs tech américaines à travers l'indice NICE Fang+,
08:17 qui comprend aussi, je crois, des valeurs tech chinoises.
08:20 Il n'y en a plus. A l'époque, il y en avait, donc c'est toujours 11 valeurs.
08:23 J'ai vérifié, en tout cas, il en reste une. A l'époque, il y en avait 3 et ça a été sorti.
08:28 En tout cas, ça reprend les 7 magnifiques qui pèsent plus de 80% de l'indice.
08:32 On nous dit que le mois de novembre a été un mois de rallye élargi.
08:36 Oui, tout y est passé, les smalls, les larges, la value, la tech, etc.
08:40 On note quand même depuis quelques jours que, par exemple, des indices un peu plus cycles,
08:43 type Dow ou autres, s'en performent. On le voit aussi dans la partie européenne.
08:46 Typiquement, le DAX, il n'y a pas beaucoup de croissance là-dedans, mais ça performe bien.
08:49 Et la tech, en revanche, on voit depuis, vous voyez, il y avait le sommet de 2020,
08:53 qui a été largement corrigé. On se tourne par très vite le thème d'intelligence artificielle
08:57 qui booste et qui permet de passer dans le record historique là-dessus.
09:00 Les 3 mois dont on parlait, T3, où ça a construit un peu de biseau, comme ça, canal baissier,
09:04 donc on sort très vite par le haut. La sortie par le haut, on la comprend du point de vue de la détente des taux.
09:09 Après, qui est une force motrice pour permettre de rester au-dessus de ce sommet
09:13 et de continuer à accélérer derrière. On connaît tous ces performances,
09:16 en gros les 7 magnifiques qui font 3/4 de la perte du S&P.
09:19 Au-delà de ça, c'est l'aspect taux, au-delà de l'aspect poids dans le S&P ou autre, c'est l'aspect taux.
09:27 Pour moi, les taux, oui, sur une partie, on a touché le plafond.
09:30 Pas trop de débat là-dessus, je pense, pas d'os de taux supplémentaires à prévoir,
09:34 mais un effet de consolidation qu'il va falloir.
09:38 Voir des valeurs comme Microsoft ou autre, ça devient questionnant sur la dynamique, sur les multiples.
09:44 Les derniers résultats, même si on voit qu'on est sortis de la phase de contraction des bénéfices aux Etats-Unis,
09:49 3e trimestre consécutif, on est sortis là sur la dernière publication,
09:52 est-ce que pour autant on doit jouer l'expansion à nouveau des multiples sur les bases actuelles des taux ?
09:56 Pour moi, je verrais bien envoyer un retour, je sais que c'est un peu négatif,
09:59 mais je verrais bien un pull-back sur l'ancienne zone de consolidation, l'espèce de canal baissier,
10:02 revenir dans cette zone et finalement élargir la zone de consolidation.
10:06 C'est-à-dire entre le point bas du T3, grosso modo, avant le squeeze,
10:09 je verrais bien cette zone-là devenir un peu une zone de range pendant quelques mois
10:12 et donc réintégrer pleinement cette zone-là pour les valeurs tech américaines.
10:15 Donc ce n'est pas hyper baissier, mais c'est plutôt consolidant,
10:18 plutôt qu'un rallye cadencé vers de nouveaux records.
10:22 Où va le pétrole, Alexandre ?
10:24 Alors, on retrouve le thème Macron dont on parle.
10:26 C'est-à-dire qu'il y a d'un côté les actions aussi,
10:28 cette divergence massive entre ce que font les matières premières, en tout cas le pétrole.
10:33 Le cuivre, c'est un peu plus nuancé sur la partie industrielle.
10:35 On comprend que la Chine rassure un tout petit peu,
10:37 en revanche, dans les métaux industriels, c'est un peu stabilisé.
10:39 Mais sur le pétrole, vous avez d'un côté la baisse du pétrole
10:44 qui peut contribuer aussi à la détente des taux,
10:46 par le fait qu'on pense qu'il y aura de moins en moins de choses,
10:48 une inflation qui reparte si l'énergie ne repart pas elle-même.
10:51 Donc on comprend que ça puisse contribuer à la détente des taux.
10:53 De l'autre côté, à quel moment la baisse du pétrole devient un Macron négatif ?
10:57 Macron négatif, exactement.
10:58 Et là, vous voyez, il y a eu un rebond la semaine dernière
11:01 qui a été très très vite vendu par les opérateurs.
11:03 Et on retape des zones à 72, 73,
11:05 qui sont vraiment des zones très marquées d'un point de vue technique.
11:07 Si ça lâche, vous avez derrière des zones, c'est 5, 6 dollars plus bas quand même.
11:11 Donc ça commence à faire des zones où l'Arabie Saoudite sera évidemment inconfortable,
11:14 le PEP plus sera inconfortable.
11:16 On peut expliquer le fait que le pétrole, jusqu'à présent, une partie de la baisse,
11:20 s'explique par le fait que les États-Unis, eux, produisent de manière,
11:23 moins de puissance d'activité, mais qui produisent de manière,
11:26 on a battu les niveaux pré-Covid d'ailleurs, en termes de production globale.
11:29 Donc ça peut s'expliquer par cette...
11:31 Mais à la fois, on entend qu'on est toujours en déficit de capacité
11:35 et que l'économie a plus de pétrole qu'il en arrive,
11:38 pour autant le pétrole continue de baisser.
11:40 Donc à quel moment ça devient un projectif de ralentissement à venir ?
11:44 Et moi, si vous voulez, si on commence à passer avec le pétrole sous le 72, 12
11:48 et qu'au moment où les indices retracent un peu,
11:50 c'est assez courant, c'est le thème macro qui l'emporte.
11:52 Pour jouer long pétrole, pour moi, il faudrait que les indices ne lâchent rien du tout,
11:56 que le pétrole remonte à 76, 77, et à ce moment-là, on aurait la thématique,
11:59 la macro tient, le pétrole va commencer à jouer ça,
12:01 et là, on joue un rebond à 85, 82, 85, voilà.
12:04 Mais là, on a une espèce de carrefour entre les divergences sur la partie indicielle,
12:08 le sentiment, et ce que le pétrole nous montre, qui pour l'instant, est quand même très pesant.
12:11 Compliqué, effectivement. Il y a la question de la demande pour le pétrole,
12:14 mais l'offre aussi, vous l'avez dit, c'est quand même une offre qui s'est améliorée avec les Etats-Unis,
12:19 et puis même l'Iran, là aussi, c'est difficile de mesurer,
12:22 mais c'est quand même, voilà, il y a une offre quand même qui s'est améliorée de ce point de vue-là.
12:27 Merci beaucoup, Alexandre. Merci pour votre éclairage technique.
12:29 Chaque lundi, 13h30 en direct, à retrouver en replay sur bsmart.fr
12:33 ou encore en podcast, le plan de trading de SmartBourse.
12:36 C'était votre programme avec IG.
12:38 IG, bien plus que du trading.
12:40 Une équipe d'experts à vos côtés.
12:42 !