Alors que le RN et Reconquête ! s’indignaient d’une « razzia » ou d’une « expédition punitive » à Crépol, l’enquête montre que les choses sont (beaucoup) moins simples.
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00:00 Je n'étais pas présent, personne n'était présent, des éléments fuites.
00:03 Quand ça n'arrange pas les gens, ils sont remis en cause.
00:06 Quand ça n'arrange personne, personne n'entend dit que ça devient le centre de discussion.
00:11 [Musique]
00:13 [Musique]
00:41 Je dis il y a des familles en deuil.
00:43 Ça fait plusieurs minutes qu'on parle ensemble, où je dois commenter du commentaire de fuite.
00:49 Moi, je n'étais pas présent, personne n'était présent, des éléments fuites.
00:53 Quand ça n'arrange pas les gens, ils sont remis en cause.
00:56 Quand ça n'arrange personne, personne n'entend dit que ça devient le centre de discussion.
01:00 Il faut maintenant, moi, s'en remettre à la réalité.
01:03 Cette réalité, c'est que des jeunes français qui faisaient une fête de village
01:09 ont été attaqués au couteau.
01:11 Par d'autres jeunes français ?
01:12 Oui, mais des jeunes français qui étaient là se sont fait attaquer au couteau.
01:16 Il y a eu un mort, il y a eu un blessé grave, il y a des familles traumatisées, point barre.
01:21 [Musique]
01:29 Alors que le bal de l'hiver battait son plein à Crépole, dans ce petit village de 500 habitants,
01:35 une bande de cités s'est livrée à l'horreur.
01:37 Armés de couteaux, remplis de haine, ils ont semé la terreur.
01:42 Frappés au hasard, gratuitement, avec la volonté de blesser, de tuer, autant la vie à Thomas.
01:49 Les témoignages rapportant les propos tenus par ces barbares lors de l'attaque
01:53 laissent planer peu de doute quant à leur motivation.
01:56 "On est venus pour planter des blancs", aurait-il déclaré.
01:59 A leurs yeux, Thomas et ses amis avaient le malheur d'être de jeunes français en France.
02:04 [Musique]
02:09 Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org