Jérémy Kalfon : «Temporairement, l'État de droit accepte que l'on fasse quelques exceptions, mais c'est temporaire et ça doit être particulièrement encadré. Là ce qui est proposé, ce n'est pas temporaire»
L'avocat Jérémy Kalfon réagit au sondage sur la rétention de sureté systématique des détenus radicalisés en fin de peine, auquel ont répondu les Français : «Temporairement, l'État de droit accepte que l'on fasse quelques exceptions, mais c'est temporaire et ça doit être particulièrement encadré. Là ce qui est proposé, ce n'est pas temporaire».