Trois fillettes accusent un ancien proche de leurs parents d’avoir abusé de leur candeur juvénile. Tantôt en jouant « au docteur », tantôt en les prenant en photo.
Notre journaliste nous résume le premier jour du procès.
Images : Albane Wurtz
Réalisation : Angélique Toscano
Notre journaliste nous résume le premier jour du procès.
Images : Albane Wurtz
Réalisation : Angélique Toscano
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NewsTranscription
00:00 Au deuxième jour du procès de Lilian Kobou, qui comparaît devant la cour d'assises pour
00:05 viol et agression sexuelle sur trois fillettes,
00:08 ce sont précisément ces fillettes
00:11 qui ont pris la parole, qui ont raconté ce qu'elles ont vécu,
00:14 avec des mots d'enfants, mais des mots suffisamment clairs. On parle de jeu du docteur, certaines parties
00:21 à toucher.
00:23 On parle de jeu
00:25 intitulé "devine ce que tu touches", les yeux bandés, les mains dans le dos. La fillette, puisque le viol n'est reproché que sur une fillette,
00:33 devait deviner ce qu'elle touchait avec ses mains, puis avec sa bouche. Des fillettes
00:41 encore marquées,
00:44 mais qui s'expriment très bien et dont le discours est cohérent, clair, précis, comme
00:50 l'a souligné notamment l'une des experts psychologues.
00:55 Ce mercredi matin, c'est la personnalité
00:57 du prévenu
01:00 qui sera
01:02 étudiée
01:03 devant la cour.
01:05 (...)