• il y a 11 mois
Ici je vous parle de Rogue One, premier spin off de la saga Star Wars.

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- Bush Week - Nihilore
- Icarus Uplifting Epic Orchestral - Scott_Buckley
- Scott Buckley - Light in Dark Places
- Horror Music No Copyright
- Spaceship - jlsmrl

#StarWars #RogueOne #DarkVador
Transcription
00:00 *bruit de l'air qui s'effondre*
00:02 *bruit de l'air qui s'effondre*
00:04 *bruit de l'air qui s'effondre*
00:06 *bruit de l'air qui s'effondre*
00:08 *bruit de l'air qui s'effondre*
00:10 *bruit de l'air qui s'effondre*
00:12 *musique*
00:14 Et si on parlait de Star Wars ?
00:16 Après tout, c'est pas un sujet hyper récurrent
00:18 sur Youtube ou sur Internet en général.
00:20 Si ? Non ? Si ? Je sais pas.
00:22 *bruit de la vidéo qui s'écoule*
00:24 Bon ok, il y a beaucoup de choses
00:26 sur Star Wars par ici. Mais de mon côté
00:28 il me reste encore pas mal de choses à dire.
00:30 Et non content de parler de cet univers
00:32 qui n'a plus aucun secret pour personne,
00:34 j'ai envie de me pencher sur un détail en particulier.
00:36 Quelque chose d'unique dans cette saga
00:38 cinématographique de 312 films.
00:40 Quelque chose qui m'a frappé quand j'ai revu
00:42 récemment tous les films à la suite.
00:44 Cette chose, on la retrouve dans Rogue One A Star Wars Story.
00:46 Et il s'agit de la manière
00:48 qu'a le film de mettre en avant le mal
00:50 comme aucun Star Wars ne l'avait fait auparavant.
00:52 Du coup bah, commençons.
00:54 *musique*
00:56 *musique*
00:58 *musique*
01:00 Ah Star Wars, ce foutu
01:02 Star Wars. Il en aura fait couler de l'encre
01:04 depuis son rachat par Disney.
01:06 En tout cas, s'il y a bien une chose qui
01:08 a majoritairement mis tout le monde d'accord,
01:10 c'est Rogue One. Je ne sais pas si
01:12 vous connaissez John Knoll. Mais cet homme,
01:14 superviseur des effets spéciaux chez ILM,
01:16 possède un Oscar des meilleurs effets
01:18 visuels pour le film Pirates des Caraïbes
01:20 3ème du nom. En gros, c'est lui
01:22 qui est responsable entre autres,
01:24 des personnages en CGI les plus réussis
01:26 de ces 20 dernières années. En plus de ça,
01:28 il est le créateur d'Adobe Photoshop
01:30 avec son frère Thomas Knoll.
01:32 Mais, non content d'avoir déjà
01:34 un CV extraordinaire, il est également
01:36 à l'origine de la trame principale
01:38 de Rogue One. C'est durant le tournage
01:40 de la revanche des Sith qu'il va se dire
01:42 "Et si cette petite phrase qu'on aperçoit dans le texte déroulant
01:44 d'Un Nouvel Espoir, était développée
01:46 pour en faire un bon film de casse à l'ancienne ?"
01:48 Il en parle à George Lucas,
01:50 qui n'est pas emballé par l'idée, mais gardera
01:52 l'espoir et retentera sa chance des années plus tard
01:54 après le rachat de la franchise par
01:56 Disney et donc le changement de direction.
01:58 Et dans cette nouvelle ère Star Wars,
02:00 l'idée prend. Kathleen Kennedy, nouvelle présidente
02:02 de Lucasfilm, est emballée par la trame.
02:04 Et c'est comme ça que naît le premier
02:06 spin-off cinématographique en images
02:08 réelles de la saga Star Wars.
02:10 La suite, vous la connaissez. Succès critique,
02:12 succès public, 1 milliard de dollars,
02:14 Disney qui prend la confiance et qui enchaîne
02:16 avec Solo, mais bref, on en parlera pas ici.
02:18 Non, comme je vous l'ai dit, ici,
02:20 on va s'intéresser à la manière dont Garrett Edwards
02:22 met en scène son film et arrive à s'approprier
02:24 de la plus belle des manières un univers
02:26 pourtant très casse-gueule. Il faut quand même
02:28 savoir que Garrett Edwards est un gros
02:30 gros fanboy de Star Wars.
02:32 Genre un vrai de vrai. Et pourtant,
02:34 il n'est pas tombé dans le piège d'Abrahams
02:36 et a réellement réussi à récupérer du vieux
02:38 pour faire du neuf. Il a réussi à
02:40 reprendre des éléments ultra iconiques
02:42 qu'on connaît toutes et tous, fans de Star Wars
02:44 ou non, et il a réussi à leur apporter
02:46 quelque chose de nouveau. Là où nous, spectateurs,
02:48 on n'en attendait plus rien car c'était
02:50 tellement gravé dans notre imaginaire collectif
02:52 que ça ne pouvait pas être autre chose
02:54 que ce que c'était déjà. Prenez l'étoile
02:56 de la mort, par exemple. Ça fait plus de
02:58 40 ans qu'on la voit partout, mais on
03:00 ne sait pas vraiment ce qu'elle a dans le ventre au final.
03:02 On sait qu'elle est très puissante, mais à part
03:04 à travers une démonstration pas super
03:06 convaincante, sur laquelle je reviendrai plus tard,
03:08 elle n'a pas vraiment fait ses preuves, à part dans
03:10 sa fragilité excessive, se faisant détruire
03:12 par deux fois. Tout ça, Edwards l'a
03:14 bien compris. Et dans Rogue One, il en fait
03:16 l'arme qu'elle aurait dû être depuis le début.
03:18 Dans Rogue One, elle est un personnage à part
03:20 entière. Elle est mise en valeur sous toutes
03:22 les coutures comme jamais elle ne l'a été.
03:24 Prenons en exemple deux scènes.
03:26 Sa première apparition et sa
03:28 première utilisation. L'introduction de
03:30 l'étoile de la mort est à la hauteur de sa démesure.
03:32 Un chasseur, qui est grand
03:34 comme ça, à taille humaine, laisse
03:36 place à un destroyeur impérial, sortant
03:38 de l'ombre et imposant une grandeur phénoménale,
03:40 qui laissera également apparaître derrière lui
03:42 une infime partie de l'étoile de la mort,
03:44 qui impose alors à ce moment là, une sorte de
03:46 démesure ahurissante. Et ça,
03:48 c'est ce qui constitue un des nombreux
03:50 points forts de la courte filmographie de
03:52 Garrett Edwards, qui a déjà expérimenté
03:54 ce rapport d'échelle dans l'Excellent Monsters
03:56 en 2010 et le plutôt bon Godzilla
03:58 en 2014. Et dans
04:00 Rogue One, il va perpétuellement nous mettre
04:02 face à la réelle puissance de cet univers.
04:04 C'est en filmant à hauteur d'homme,
04:06 caméra à l'épaule, qu'Edwards parvient à
04:08 faire prendre conscience de l'indécente grandeur
04:10 des éléments qu'il manipule dans ses films.
04:12 C'est avec sa vision bien précise et sa
04:14 manière de mettre en perspective les différents éléments
04:16 dans le cadre, qu'il parvient à offrir à
04:18 cette arme ultime une puissance visuelle
04:20 incroyable. Dans l'épisode 4,
04:22 il y a également ce rapport d'échelle durant
04:24 la première apparition de l'arme. Le film
04:26 commence avec un destroyer qui se dévoile
04:28 de manière interminable, suggérant une
04:30 immense circonférence, mais en revanche
04:32 quand on introduit l'étoile de la mort, ce
04:34 même destroyer réapparaît, mais de façon
04:36 bien plus minime à l'écran. Malheureusement, ça
04:38 ne suffit pas à en prendre la pleine mesure, je trouve.
04:40 En revanche, cette scène en milieu de film
04:42 rend bien plus honneur à la station orbitale,
04:44 notamment à travers la réaction des personnages
04:46 en la découvrant, mais aussi car le rapport
04:48 d'échelle est ici bien plus impressionnant,
04:50 surtout quand on connaît la véritable taille du
04:52 Millennium Condor.
04:54 Maintenant qu'on a vu l'introduction de l'arme,
04:56 arrêtons-nous sur son utilisation.
04:58 Dans Rogue One, notre petit groupe de
05:02 rebelles se rend sur Jedha pour retrouver
05:04 Soh Gerrera, une des villes de cette planète,
05:06 Jedha City, est sous occupation impériale.
05:08 Ces derniers sont en train d'extraire
05:10 les Crystals Kyber des anciens temples Jedi.
05:12 Une fois le travail terminé, le
05:14 directeur Krennic positionne l'étoile de la
05:16 mort au-dessus de Jedha City, afin
05:18 de détruire la ville pour faire passer un message,
05:20 et rien de mieux pour ça que de détruire en partie
05:22 une planète dédiée jadis aux coutumes
05:24 Jedi, et par la même occasion tester
05:26 la puissance et l'efficacité de l'arme.
05:28 L'étoile de la mort se met donc en position
05:30 de tir, créant sur son passage une
05:32 éclipse qui va faire sombrer la planète dans
05:34 une sorte de pénombre qui accompagnera un
05:36 chaos ambiant où l'espoir n'est plus permis.
05:38 L'arme tire sur Jedha City
05:40 et crée une onde tellement énorme
05:42 qu'un tsunami terrestre se formera
05:44 et détruira tout à des
05:46 kilomètres à la ronde. Alors certes,
05:48 ici l'étoile ne détruit qu'une ville, là où
05:50 dans le 4, elle détruit toute une planète.
05:52 Mais pourtant, l'impact émotionnel
05:54 est décuplé, de par le fait que le rendu de
05:56 l'attaque est terrestre. On assiste à
05:58 cette destruction massive sur place,
06:00 on est témoin de ce chaos, on voit des
06:02 gens fuir, mourir. Mais aussi
06:04 et surtout, on vient de passer une dizaine de minutes
06:06 au plein coeur de la ville qui grouillait encore de vie
06:08 et toutes ces vies, on les a vues avant qu'elles ne soient
06:10 réduites ensemble. Dans l'épisode 4,
06:12 c'est plutôt différent. On est témoin de la destruction
06:14 de la planète Alderaan, mais on ne
06:16 s'est pas rendu sur cette planète. On ne sait
06:18 pas quel genre de ville abrite. On voit
06:20 juste un laser qui détruit une grosse boule.
06:22 Bien sûr, pour ce qui est d'assister à la destruction
06:24 directement sur la planète, ça n'était
06:26 clairement pas possible à cette époque en termes d'effet visuel.
06:28 Mais au moins nous faire quelques plans des
06:30 villes et de leurs habitants avant la destruction.
06:32 Là, on doit avoir de l'empathie seulement
06:34 à travers le regard de la princesse Leia.
06:36 Et le problème, c'est que le jeu de la regrettée Carrie Fisher
06:38 n'est pas assez poignant pour que l'on prenne
06:40 conscience de la gravité du geste.
06:42 Elle vient de perdre sa famille, ses amis,
06:44 tout son peuple. Et pourtant, dans la scène
06:46 qui suivra cet événement, on la retrouvera toute
06:48 pimpante comme s'il ne s'était rien passé.
06:50 Ce qui fait que tout ça manque clairement
06:52 d'impact émotionnel et du coup,
06:54 de ce fait, rend l'arme beaucoup
06:56 moins impressionnante. Et c'est là où cette
06:58 modernité, cette maturité chez Garrett Edwards
07:00 est au total opposé de la
07:02 vision quasi-enfantine de la trilogie
07:04 originale. Et ça n'est pas péjoratif, bien entendu,
07:06 puisque la trilogie originale parvient
07:08 quand même à dégager une certaine dramaturgie. Mais dans
07:10 Rogue One, elle l'est décuplée. Les
07:12 enjeux sont les mêmes, mais tout paraît plus
07:14 sérieux, plus crédible. Prenez les
07:16 rebelles par exemple. Ce ne sont plus de gentilles
07:18 personnes toutes lisses et sans défaut.
07:20 C'est la guerre, et en temps de guerre, la notion de
07:22 bien et de mal est constamment remise en cause.
07:24 Il y a des gestes impitoyables des
07:26 deux côtés. Il y a des gens qui meurent.
07:28 Et c'est ce que j'aime avec Rogue One. Les
07:30 protagonistes sont traités avec nuance.
07:32 Galen Erso est une des grosses têtes de l'Empire.
07:34 C'est lui qui a rendu le projet de l'Etoile de la
07:36 Mort possible. Mais il l'a fait pour protéger
07:38 sa fille, et surtout pour pouvoir y glisser
07:40 des failles. Cassian Andor,
07:42 espion rebelle, qui est prêt à tout, même à tuer
07:44 pour mener à bien sa mission, qui a été entraîné
07:46 dans ce conflit tout jeune malgré lui,
07:48 et qui maintenant fait tout pour faire avancer la cause,
07:50 même si ça doit impliquer des gestes inhumains.
07:52 So Guerrera, ennemi de l'Empire,
07:54 mais bien trop extrémiste et radical
07:56 pour faire partie de l'Alliance Rebelle.
07:58 Un homme qui déjoue les plans de l'ennemi à coup d'attentat,
08:00 et tant pis s'il y a quelques dommages
08:02 collatéraux. On passe donc d'un combat d'une
08:04 certaine noblesse, où le bas-peuple est mis
08:06 de côté, en tout cas n'est pas montré pour
08:08 mettre en lumière les élus, à la guerre
08:10 pure et simple, où les armes de l'Empire ne
08:12 servent plus qu'à blesser nos héros, mais
08:14 aussi le peuple en général, et les
08:16 innocents. En tout cas, ici, on est témoin de ça
08:18 visuellement.
08:24 C'est la guerre que Garrett Edwards
08:26 met en scène, en reprenant les
08:28 pires moments de notre histoire. Il
08:30 suit ses personnages de très près, presque
08:32 comme un documentaire, et on assiste
08:34 à hauteur d'homme, à la puissance d'un Empire
08:36 implacable. C'est la première fois dans
08:38 un Star Wars qu'on se retrouve sur un champ
08:40 de bataille, et même si j'adore la prélogie,
08:42 je parle d'un vrai champ de bataille.
08:44 Tous ces personnages ont été créés
08:46 dans un but précis, se battre sur ce
08:48 champ de bataille, et dans un enchaînement de
08:50 bravoure, se sacrifier pour la cause. On a
08:52 un groupe qui est là pour faire son job,
08:54 et pas pour jouer les héros. Les héros, ils sont
08:56 là, on les connaît. Mais c'est
08:58 vraiment intéressant de faire un film pour dire
09:00 "Eh, les héros ils sont là, parce que
09:02 eux-là, dont vous foutez,
09:04 ils ont fait le job." On a affaire à des
09:06 personnages d'une sobriété bienvenue,
09:08 et tout le film va aller dans ce sens. Il est à la
09:10 fois spectaculaire et très
09:12 élégant. Mais pour en revenir au titre de la
09:14 vidéo, le vrai point fort du film pour moi,
09:16 c'est la représentation de l'Empire, qui n'a
09:18 jamais été aussi impitoyable, et qui
09:20 voit son machiavélisme sublimé par la mise
09:22 en scène d'Edward. Le traitement de l'étoile
09:24 de la mort, ça on l'a vu. L'ajout d'une
09:26 unité d'élite Stormtrooper qui bordel
09:28 à une classe totalement folle. Le
09:30 directeur crénique qui ajoute un certain sadisme
09:32 à ses décisions, et qui n'est pas qu'un simple
09:34 chef de guerre, souffrant le luxe d'être aussi
09:36 un véritable psychopathe.
09:38 "Oh, it's beautiful."
09:40 Et tout simplement, les décisions
09:42 de l'Empire, qui n'ont jamais réellement été aussi
09:44 dures dans la trilogie originale.
09:46 Ici, on enlève un père à sa famille, on met
09:48 en place des camps de travaux forcés, on vole
09:50 les ressources d'une planète avant de s'en débarrasser.
09:52 Bref, un empire impitoyable
09:54 que le réalisateur retranscrit avec brio,
09:56 en s'offrant même le luxe de mettre en scène
09:58 le plus grand méchant de l'histoire
10:00 du cinéma, Dark Vador.
10:02 Garrett Edwards a réellement
10:04 mis tout l'amour qu'il portait envers Star Wars
10:06 dans les scènes de Vador. Dans ces
10:08 deux scènes, on sent que c'est le fan qui parle avant tout.
10:10 Mais malgré cette excitation palpable
10:12 qu'il a dû ressentir à mettre en scène
10:14 le personnage iconique par excellence,
10:16 beaucoup de pression et de stress ont dû
10:18 accompagner cette joie. Mais Edwards a su garder
10:20 la tête froide et ne bombarde pas le film
10:22 avec la présence du personnage, même si
10:24 la tentation fut grande, j'imagine. Il a même avoué
10:26 qu'il l'a fait apparaître au bout d'une heure de film
10:28 car s'il l'avait fait apparaître avant,
10:30 les gens n'auraient voulu voir que lui.
10:32 On a donc ces deux scènes.
10:34 Une première scène sur Mustafar où il a un pied à terre,
10:36 preuve que le personnage souffre encore
10:38 d'une certaine mélancolie. Dans cette scène,
10:40 on l'aperçoit pour la première fois dans une sorte
10:42 de tube de régénération. On le met à nu
10:44 aux yeux du spectateur qui lui le connaît bien
10:46 avant de l'iconiser de nouveau dès lors
10:48 qu'il débarque dans la salle où se trouve Krennic.
10:50 Je veux dire, là, l'image parle
10:52 pour elle-même, pas besoin d'en dire plus.
10:54 Un jeu de domination va commencer
10:56 entre Vador et le directeur, avant
10:58 de venir asseoir son autorité pour de bon à travers
11:00 un geste tout aussi iconique que le personnage
11:02 et l'environnement dans lequel il évolue.
11:04 Bref, cette scène est un bonbon pour
11:06 les fans, mais en plus elle s'inscrit parfaitement
11:08 dans le récit et l'apparition de Dark Vador
11:10 se fait naturellement au vu de la timeline
11:12 du film. Et si cette scène est une réussite
11:14 totale, la seconde va
11:16 s'avérer être un des plus grands moments
11:18 de la saga tout entière.
11:20 Nous sommes en fin de film.
11:26 Les plans sont aux mains des rebelles, mais l'Empire
11:28 aborde le vaisseau de ces derniers qui vont alors
11:30 comprendre que le prix à payer pour cette information
11:32 sera terrible. Une épaisse fumée
11:34 noire vient envahir la pièce sous les yeux
11:36 des soldats rebelles terrifiés par l'atmosphère.
11:38 Dès lors, une respiration
11:40 bien connue vient titiller nos oreilles
11:42 avant que le rouge du sabre laser
11:44 ne laisse apparaître le mal en personne.
11:46 A partir de là, Vador,
11:48 véritable croque-mitaine, va décimer
11:50 de manière brutale et sans aucune forme de
11:52 pitié tous ceux qui se trouvent sur son chemin.
11:54 Dans cette scène, le personnage
11:56 apparaîtra comme jamais on aurait
11:58 osé imaginer le voir apparaître.
12:00 L'icône laisse place au démon
12:02 qui va asseoir sa domination sous cet univers
12:04 et rappeler à toutes et tous pourquoi
12:06 il est l'antagoniste ultime de ces 50
12:08 dernières années. C'est d'ailleurs une évidence
12:10 aujourd'hui à tel point qu'on s'en rend même plus
12:12 compte, mais quand on prend du recul,
12:14 on peut vraiment prendre la pleine mesure de ce
12:16 design qui est totalement incroyable.
12:18 Un design que l'on doit au
12:20 génie et regretté Ralph McQuarrie
12:22 qui est à l'origine de bon nombre de personnages
12:24 de la trilogie originale et qui
12:26 continue à inspirer les créateurs de chez Lucasfilm
12:28 car c'est à partir d'un de ces croquis
12:30 qu'est né le droïde K2SO.
12:32 Mais revenons à l'épilogue. Dans cette
12:34 scène, Vador ne parvient pas à récupérer les plans.
12:36 On comprend alors qu'il va se lancer à la poursuite
12:38 de ce vaisseau, où un des soldats donne
12:40 les plans à la princesse Leia dans une scène
12:42 finale qui précède de quelques minutes
12:44 l'introduction de l'épisode 4.
12:46 Le lien est fluide, efficace et conclut
12:48 un film qui s'offre le luxe de parfaitement
12:50 s'insérer à la saga tout en constituant
12:52 une entité à part entière.
12:54 En mettant en scène un véritable film de guerre
12:56 à partir de ce postulat de base très risqué
12:58 au vu de son utilité, Garrett Edwards
13:00 parvient à déjouer tous les pronostics
13:02 et offre à Star Wars une vraie bouffée d'air frais.
13:04 Il réussit l'exploit dans une production
13:06 aussi formatée de poser son regard sur cette mythologie
13:08 en offrant au film une fatalité
13:10 étonnante mais réellement touchante
13:12 et plus que bienvenue dans un blockbuster
13:14 de ce calibre. Felicity Jones
13:16 quant à elle parvient à porter seule un film
13:18 Star Wars sous ses épaules et s'en sort
13:20 avec les honneurs. Ses compagnons ne sont
13:22 pas en reste et on va prendre un certain plaisir
13:24 à suivre tous ces personnages inédits.
13:26 Ce petit groupe voué à échouer
13:28 mais qui réussit et qui va se
13:30 sacrifier pour le faire. On ne peut donc
13:32 qu'affirmer la réussite de ce qui est encore
13:34 à ce jour la meilleure production Star Wars
13:36 de l'ère Disney. Je sais que c'est facile de dire
13:38 ça mais en même temps ça reste une évidence.
13:40 On a un film qui tente des choses et qui parvient
13:42 à nous raconter une histoire solide à travers
13:44 une mise en scène respectueuse du matériau de base
13:46 et surtout hyper maîtrisée.
13:48 C'est pour ça que je voulais depuis un moment
13:50 parler de ce film. Même si parler
13:52 de Star Wars sur Youtube ça équivaut à pas
13:54 prendre beaucoup de risques, je vous l'accorde.
13:56 Mais bon, je voulais me faire plaisir.
13:58 Et puis c'était surtout l'occasion de revoir
14:00 cette scène en boucle.
14:02 *Musique*
14:12 Et bien voilà, la vidéo
14:14 est à présent terminée, j'espère qu'elle vous aura plu.
14:16 Je tiens à remercier le partenaire de cette vidéo
14:18 qui est NordVPN. Vous connaissez
14:20 sans aucun doute NordVPN j'imagine.
14:22 Mais je vais quand même vous en parler ici parce qu'ils font des choses
14:24 plutôt sympathiques. NordVPN va vous permettre
14:26 de protéger vos données personnelles.
14:28 Par exemple si vous êtes dans un aéroport ou dans un
14:30 centre commercial et que vous intégrez
14:32 à votre smartphone ou à votre ordinateur la Wi-Fi
14:34 publique, et bien avec NordVPN
14:36 aucune chance qu'on vous vole vos données.
14:38 Ça permet également d'accéder à n'importe quel site
14:40 web à travers le monde. Vous êtes aux
14:42 Etats-Unis par exemple et vous voulez voir, je sais pas moi,
14:44 le replay de Top Chef sur M6,
14:46 et bien grâce à NordVPN c'est possible.
14:48 Vous êtes en France et vous voulez accéder
14:50 à un site américain comme par exemple,
14:52 je dis ça au hasard, le catalogue Netflix US
14:54 qui est beaucoup plus fourni que le
14:56 nôtre. Un exemple tout bête,
14:58 Danse avec les loups qui est mon film préféré, vous le savez maintenant,
15:00 est disponible sur le catalogue
15:02 Netflix US et pas en France.
15:04 Et donc avec NordVPN vous pouvez voir
15:06 Danse avec les loups sur Netflix et plein d'autres
15:08 films dont vous n'aurez pas accès
15:10 ici en France. En plus de ça, grâce à cette
15:12 chaîne vous pouvez avoir accès à un code promotionnel.
15:14 Il vous suffit de vous rendre sur ce lien
15:16 qui s'affiche également en description et en
15:18 commentaire épinglé, de rentrer le code
15:20 "Réservoir" et de profiter d'une très très
15:22 belle réduction et d'un mois d'essai
15:24 gratuit en plus sur l'abonnement de 2 ans.
15:26 Et si dans les 30 premiers jours le service
15:28 ne vous convient pas, vous pouvez résilier à tout moment.
15:30 Vous pouvez connecter jusqu'à 6 appareils
15:32 sur un seul compte, que ce soit des ordinateurs,
15:34 des tablettes, des smartphones. Le service client
15:36 est français, disponible 24h/24
15:38 et 7j/7. Donc j'ai envie de vous dire
15:40 qu'attendez-vous ? Qu'attendez-vous ?
15:42 Au bout d'un moment, on clique sur le lien
15:44 et on y va et ça balance quoi. Enfin en tout cas
15:46 voilà, ce fut un plaisir de faire cette vidéo pour vous
15:48 et un plaisir également de pouvoir compter sur des partenaires
15:50 qui vont dorénavant sponsoriser mes
15:52 vidéos, ce qui est assez fou quand même.
15:54 C'est quelque chose que je vais faire de plus en plus à l'avenir
15:56 parce que j'ai beaucoup de projets pour la chaîne, des
15:58 projets que j'avais laissés de côté parce que je trouvais ça
16:00 quasiment infaisable. Mais grâce à
16:02 ces partenariats, maintenant
16:04 tout est possible. Évidemment je ferai toujours
16:06 toujours en sorte que les partenariats
16:08 ne nuisent pas à la qualité des vidéos
16:10 et à l'ambiance générale que j'essaie
16:12 de créer pour chaque vidéo. Mais ça va me permettre de pouvoir
16:14 faire plein de choses, notamment de la fiction. J'ai un premier
16:16 court-métrage qui est prêt et il me tarde
16:18 de pouvoir vous le montrer. Et j'ai un
16:20 second court-métrage beaucoup plus
16:22 onéreux qui est en cours d'écriture et qui, grâce
16:24 à des partenaires comme NordVPN, va pouvoir
16:26 se faire et le projet
16:28 va pouvoir se concrétiser et ça va être génial.
16:30 Donc voilà, c'est une bonne opportunité que
16:32 j'ai saisie, je pense que vous comprenez ça.
16:34 Et parenthèse fermée, n'hésitez pas à vous abonner à la chaîne,
16:36 à liker, à commenter et à partager la vidéo.
16:38 Je vous remercie encore d'être présent sur la chaîne.
16:40 C'est vrai que là il y a beaucoup de monde maintenant.
16:42 Donc merci, merci d'être
16:44 fidèle à la chaîne. Je vous souhaite
16:46 une très bonne journée ou une très bonne soirée
16:48 et je vous dis à très bientôt pour de nouvelles vidéos.
16:50 Et à très bientôt. Ciao !
16:52 [Musique]

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