• il y a 2 ans
Le directeur de la rédaction Capital Social, Joseph Thouvenel, a évoqué la flambée des prix pendant les Jeux Olympiques : «Ce qui est choquant, c’est de voir qu’il n’y a pas de priorité faite pour ceux qui ont une pratique sportive. Il y a de nombreux Français ou étrangers qui font partie de petits clubs». 

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Transcription
00:00 Ce qui est un peu choquant, c'est de voir qu'il n'y a pas de priorité vraiment faite pour tous ceux qui ont une pratique sportive, par exemple.
00:06 Il y a de nombreux Français ou étrangers qui font partie de petits clubs, qui ont des petites licences,
00:11 et eux n'auront pas accès s'ils n'ont pas les moyens.
00:15 On voit aussi les limites de l'offre et de la demande.
00:17 Je trouve que l'offre et la demande, c'est dans un principe, c'est bien.
00:21 Encore faut-il que, comme tout principe, il soit encadré quand il y a des événements exceptionnels.
00:25 Et là, on voit que ça n'a pas du tout été fait. Ça aurait dû être négocié avec les hôteliers.
00:30 Ça n'a pas été fait. Là, il y a un trou dans la raquette qui est absolument extraordinaire.
00:34 Puis, il y a un autre trou dans la raquette. On fait appel à beaucoup de bénévoles.
00:38 Bénévoles, c'est-à-dire des gens qui vont travailler gratuitement.
00:42 Alors, je ne suis pas contre le bénévolat. Au contraire, je trouve que c'est une très belle chose.
00:46 Mais quand à côté, je vois que des gens qui vont faire beaucoup, beaucoup d'argent,
00:49 et je ne pense pas qu'aux hôteliers, je pense par exemple à tous les dirigeants des fédérations internationales de sport,
00:54 qui eux vont se goinfrer quand on voit leur salaire, leurs conditions de vie, leur etc.
00:59 C'est absolument indécent. Alors, à l'esprit olympique, il n'y est absolument pas.
01:03 [Musique]
01:07 [SILENCE]

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