Anthony Delon s'exprime sur BFMTV ce vendredi après la plainte déposée par son père contre lui.
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00:00 Elle veut l'emmener en Suisse parce que mon père est là depuis le mois de juillet.
00:06 On va dire officiellement qu'il est là depuis le 2 juillet.
00:10 On était ensemble en Suisse le 27 juin.
00:13 On est aujourd'hui le 5 ou 6 janvier, donc ça fait 6 mois.
00:18 Il était malade, il était là, il était à l'IT, il y avait les médecins, etc.
00:22 Mais la crainte de cet avocat et de ma sœur, c'est quoi ?
00:27 C'est qu'il soit redéfini comme citoyen français.
00:30 S'il est redéfini comme citoyen français...
00:32 - Citoyen fiscal français. - Oui, bien sûr.
00:35 Fiscal, c'est le coup de matraque.
00:38 Si vous voulez, quelque part, mon père s'en fiche.
00:42 C'est-à-dire lui, d'être taxé post-mortem, il s'en fout complètement.
00:47 Et il a raison parce qu'il a travaillé toute sa vie.
00:50 Il a le droit de choisir où il veut être et qu'est-ce qu'il veut faire.
00:53 Nous, c'est contre nos intérêts, à mon frère et à moi naturellement,
00:57 puisqu'on dit... Déjà, nous, on est résident français,
01:02 donc on a payé 45% d'impôts.
01:04 Elle, elle est résidente suisse, elle vit à Genève, elle est là-bas,
01:08 elle payera zéro.
01:10 Et nous, on dit... Nous, on veut que la volonté de notre père soit respectée,
01:14 donc on s'en fout d'être taxé, sauf qu'elle, elle ne veut pas casquer.