• il y a 11 mois
Daniel Morin essaye de devenir plus joyeux...

Le billet de Daniel Morin dans le 5/7 (6h55 - date) Retrouvez tous les billets de Daniel Morin sur https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/le-billet-de-daniel-morin

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😹
Amusant
Transcription
00:00 Daniel Morin ! Oui, coucou les amis, ça va ?
00:02 Coucou Daniel ! Oh, c'est super tout ça, c'est super.
00:05 Vous avez vu, je m'améliore, je suis hyper positif.
00:07 En tout cas, j'essaye.
00:08 Depuis que j'ai eu une discussion avec Ali Hebei, Mister Bien-être de France Inter.
00:12 Daniel, tu es dans le tourment, tu es dans la rage.
00:16 Si tu ne t'apaises pas, ton cœur se transformera en petit orage.
00:19 Oui, mais grand maître Ali, j'aime ça la colère, la haine et le dégoût des autres.
00:22 Je ne te dis pas de changer définitivement, mais essaye de voir le beau et le bon autour de toi.
00:27 Et bien, j'ai dit, ben quoi Armando ? On y va, on devient positif.
00:31 Alors, je ne vous cache pas que les gens autour de moi sont quelques peu surpris.
00:34 A commencer par Eva Roch, notre camarade cagole des programmes télé.
00:38 Salut Eva, je suis content de te voir.
00:40 Waouh, j'adore ta coupe de cheveux.
00:42 Oh Morin, qu'est-ce qui t'arrive à être gentil ?
00:44 Tu ne veux pas serrer gentil, hein ?
00:46 Ils font des sourires, ils font des goussis-goussis,
00:48 et puis à la fin, ils te font toujours un coup de pute.
00:50 Et puis arrête avec ma coupe de cheveux, j'ai la même depuis 40 ans.
00:53 Ça fait 40 ans que je suis confé comme un Marguerite Brandt.
00:55 Et depuis quand tu t'y connais en cheveux, Kodjak ?
00:58 Mais Eva…
00:59 Y'a pas de mais.
01:00 Va te faire cuire le cul avec des anchois et attends bien que ça brûle.
01:03 Moi, cette semaine, je vais la finir à la cool, en étant joyeux et agréable, c'est décidé.
01:09 Et si j'y arrive pour me récompenser, j'irai ce week-end me faire un petit spectacle.
01:13 J'ai vu qu'il y avait une pièce en partenariat avec France Inter qui commence samedi.
01:16 Écoutons la promo pour avoir une petite idée.
01:18 France Inter, partenaire des immigrants.
01:21 Du 13 janvier au 4 février, à l'Odéon Théâtre de l'Europe.
01:24 Une pièce qui s'appelle "Les immigrants", ça sent pas le méga divertissement.
01:27 Mais après, c'est peut-être traité de façon joyeuse.
01:30 Le metteur en scène, Christian Mopin, a tiré pour la scène les récits de vie de deux personnages
01:35 qui ont en commun l'exil.
01:37 Ah non, pas un sujet comme l'exil.
01:39 Père en pitié, France Inter, pas partenariat "La misère et mon ami".
01:42 Pas déjà, pas mi-janvier.
01:44 À mi-chemin entre fiction et documentaire, il nous raconte les bouleversements provoqués
01:49 par la perte des racines, les déchirures intimes et la façon dont l'exil marque
01:53 que les hommes à tout jamais.
01:54 Merde, merde, merde, merde.
01:56 Et chier !
01:57 Les immigrants, un spectacle France Inter.
02:00 Oui, on a compris, nom de Dieu.
02:02 Ça y est, j'ai perdu toute ma positive attitude.
02:04 Bravo, merci les partenariats.
02:06 Ah punaise.
02:07 Pour conclure, c'est un faux, c'est un faux que j'ignorais totalement.
02:10 Le château où est né D'Artagnan, dans le Gers, est en vente depuis deux ans.
02:13 Personne ne veut l'acheter.
02:14 Il coûte 2,5 millions.
02:15 Mais c'est le château de D'Artagnan, quand même.
02:18 Si c'était la maison natale de D'Artagnan, le grand mousquetaire du 7-10.
02:22 Ah oui, là ça se vendrait immédiatement, tout de suite.
02:27 A vendre propriété de légende.
02:29 Aux confins de nos terres de ripa, il se trouve le domaine de deux morants.
02:33 Une Baptiste ou d'Artagnan, la légende de la radio a grandi.
02:36 Là où dès ses trois ans, il embrancha ses premières coulardes, égorgea ses premiers
02:39 gorets et maltraita ses premiers nounous.
02:41 Aujourd'hui, riche et puissant, il vit au cœur de Paris avec ses deux épouses, mais
02:45 surtout camarades de bagarre et de beuverie, Alinathos et Sonia Ramis, avec qui en fin
02:49 de semaine et pour fêter le week-end, ils se font des barbecues de stagiaires.
02:53 Les invités savent-ils qu'à tout moment, tout moment, ils peuvent se faire pourfendre
02:57 comme de vulgaires volailles et finir à la broche, eux aussi.
03:00 J'ai bien peur que non.
03:02 Donc c'est ça le deux morants, la particule.
03:04 Absolument.
03:05 Évidemment.
03:06 - Évidemment !

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