• il y a 11 mois
«Parler d’autorité c’est bien, faire preuve c’est mieux», a assuré Olivier Marleix à propos des premiers pas de Gabriel Attal au gouvernement dans #LaGrandeInterview 

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Transcription
00:00 Je ne les jugerai pas sur les mots.
00:02 Parler d'autorité, c'est bien.
00:03 Il n'a pas de bilan ?
00:04 Parler d'autorité, c'est bien.
00:05 Faire preuve, c'est mieux.
00:06 Il a appliqué la loi sur l'interdiction des signes religieux à l'école,
00:12 et notamment sur l'Abeya.
00:13 Formidable.
00:14 Le ministre qui a appliqué la loi, c'est absolument extraordinaire.
00:16 Donc merci à lui de l'avoir fait, évidemment.
00:19 Voilà, maintenant, on jugera sur les actes.
00:22 Vous savez, ce gouvernement est dans la communication.
00:25 Moi, ce que j'ai eu, c'est vraiment le sentiment hier,
00:28 avant-hier, pardon, en écoutant cette intervention,
00:31 c'était que ce quinquennat était fini, qu'il n'y avait plus de projet.
00:36 Dans la République, il n'y a plus de projet.
00:37 Il a dit d'ailleurs qu'il se battrait jusqu'aux derniers quarts d'heure
00:40 parlant de la bataille contre le Rassemblement national.
00:42 D'ailleurs, il n'a pas du tout cité les autres partis d'opposition.
00:45 C'est comme si vous n'existiez pas.
00:46 Bien sûr, c'est toujours sa minute de publicité pour ses adversaires favoris
00:49 qui lui a permis d'être réélu au second tour comme prévu.
00:53 [Musique]
00:57 [SILENCE]

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